Je suis au bureau, comme d’habitude, je ne suis vêtue que d’une mini-jupe assez ample et d’un bustier, les sous-vêtements étant interdits, Pierre m’appelle :
Pierre : Vero, tu peux venir, j’ai besoin de tes services,
Vero : bien Monsieur,
j’entre dans le bureau sans frapper, il est assis ou plutôt avachi sur son fauteuil et a sorti sa bite,
pierre : pompe à sperme,viens t’asseoir, mets toi de dos, je dois lire mon courrier et je n’ai pas envie que tu m’espionnes,
j’obéis, relève ma jupe, écarte mes cuisses me positionne dos à Pierre, j’écarte mes fesses pour ouvrir ma chatte, et je m’empale sur son chibre bien dur,
Pierre : reste comme ça, ne bouge pas,
Vero : bien,
j’ai sa bite qui me chatouille au fond de la chatte mais je dois rester le plus calme possible, de temps en temps, il donne un léger coup de reins pour se remettre en position, et m’enfonce sa bite encore plus profondément, je pousse un petit cri à chaque fois, il me donne une claque sur les fesses,
Pierre : c’est pas possible, dès que tu as une bite quelque part, tu n’es pas capable de te retenir de crier et tu me distrais dans ma lecture,
Vero : pardon, c’est trop,
Pierre : retiens toi grosse salope,
le téléphone sonne, il abandonne son courrier, décroche d’une main et de l’autre me branle le clitoris sans ménagement,
Pierre : Bonjour Rémy, quel bon vent t’amène ?
Rémy : c’est pour notre grosse pute, j’en aurai besoin cet après-midi, tu veux bien me la lâcher ?
Pierre : Tu as envie de te vider les couilles ?
Rémy : Presque, j’organise un après-midi avec des potes et elle aura du sperme à pomper,
Pierre me pince fortement le clitoris et je ne peux m’empêcher de pousser un petit cri de plaisir,
Rémy : j’ai entendu un bruit connu ?
Pierre : oui, je suis en train de me détendre en lisant mon courrier,
Rémy : bonjour salope, alors on se fait ramoner,
Vero : bonjour maître,
Pierre : elle est pleine, alors comme ça, tu voudrais faire plaisir à tes potes, cet après-midi ?
Rémy : oui si ça ne te gène pas trop ?
Pierre : je vais me servir du vide-couilles ce matin, comme ça, je pourrais te la laisser,
Rémy : merci, pompe-à-jus, rendez-vous à 13h30 à la maison, compris ?
Vero : oui maître,
Rémy : je te prépare une tenue et je te brieferai
Vero : bien compris, maître à cet après-midi
Pierre : je te la lâche après le repas, je lui fournirai sa dose de protéines,
Rémy : d’accord et avec ce qu’elle va avaler cet après-midi, elle aura assez de calories pour tenir la journée,
Pierre : bon après-midi, amuses toi bien,
Rémy : merci et à toi aussi, bon après-midi,
bien entendu, pendant la conversation, Pierre n’est pas resté inactif et a ponctué chaque phrase, de coup de reins et de pincement de clitoris, je suis excitée comme pas possible mais je n’ai toujours pas le droit de bouger, l’envie est là, je voudrais me faire jouir mais Pierre me bloque, il a repris la lecture de ses lettres, ponctue certains courriers de quelques remarques acides envers les secrétaires qui font du travail dégueulasses et devraient plutôt faire la pute « comme toi, pompe à jus, au moins toi, tu sers à quelque chose », je le remercie d’un sourire pour sa courtoisie. Je lui masse la bite avec mon vagin, au moins si je l’excite, il va bouger un peu et me faire jouir, mais non, il est pris dans son courrier, il est toujours aussi dur en moi mais se refuse à me ramoner,
Pierre : j’ai un rendez-vous dans 5 minutes, lèves toi, tu vas me sucer et me vider,
Vero : j’ai envie de jouir,
pierre : vas y mais je te préviens, dépêche-toi
Vero : merci,
je commence à bouger du cul pour bien me chatouiller le fond du vagin, je sens le plaisir monter en moi, je me libère, puis je me lève, m’agenouille devant Pierre et commence à sucer sa belle bite enduite de ma mouille,
Pierre : nettoie bien tout, jusqu’au bout, il faut que je sois présentable pour mon rendez-vous,
je lui lèche la hampe jusqu’aux couilles, aspirant la cyprine et quand enfin elle est bien propre, je la prends en bouche tout en la massant, les conséquences ne se font pas attendre et je reçois de longs jets de foutre dans la bouche, j’aspire bien tout pour ne pas perdre ce précieux jus, je remballe le précieux matériel et je me retire dans mon bureau,
Pierre : je te rappellerai quand mon rendez-vous sera parti, tiens toi prête,
Vero : bien,
le rendez-vous fut assez rapidement expédié et j’eus encore droit à quelques séances de baise et d’avalage de foutre. je dois bien le reconnaître, je n’avais pas très faim quand j’ai quitté le bureau pour rejoindre Rémy à la maison.
Celui-ci m’attendait, tranquille allongé sur le canapé, je m’approche, toujours habillée comme au bureau, je me penche sur lui pour échanger un baiser, il me glisse une main sur les fesses et me pelote,
Remy : alors, salope, tu es en forme ?
Vero : oui, Pierre m’a bien échauffée ce matin,
Rémy : j’espère parce que cet après-midi, tu as intérêt à être à la hauteur,
Vero : je donnerai le maximum,
Rémy : voilà ce qui t’attend, j’ai invité 3 potes pour une partie de poker, tu feras le service,
vero : jusque là, ça n’est pas trop compliqué,
rémy : sauf que je veux que mes amis repartent avec les couilles vides comme des raisins secs, tu comprends ?
Vero : donc je fais le service et je leur vide les couilles en même temps, c’est ça ?
Rémy : pas en même temps, mais c’est un peu ça,
vero : d’accord,
rémy : en attendant qu’ils arrivent, tu vas me pomper le gland,
je m’installe à genoux devant lui, il ne fait aucun effort, je lui sors la bite du pantalon et commence à le sucer jusqu’à ce qu’il me délivre une bonne dose de jus que j’avale avec délectation,
Rémy : maintenant, tu vas te laver le cul, les dents, tu pues le sperme et tu enfiles ça, après tu prépares les boissons et la table de poker et tu reviens prendre les consignes,
ce disant, il me tend une jupe noire à liseré blanc tellement courte qu’on voit le bas de mes fesses, un justaucorps découpé au niveau de ma poitrine qui laisse mes seins apparents, des bas résilles, un porte-jarretelles, une coiffe de soubrette et des souliers à talons d’au moins 15 cm de haut.
Je me rends dans la salle de bains, je fais une rapide toilette, me maquille comme une pute, enfile la tenue, je me sens super salope comme ça, je commence déjà à mouiller en pensant à tout ce que je vais prendre cet après-midi, je descends au salon, petit sifflement admiratif de Rémy à ma vue,
Rémy : pas mal, tu fais vraiment pute comme ça,
Vero : merci maître,
il me reste à préparer la table de jeu, ne pas oublier les cartes bien que ce ne soit pas la priorité de ces messieurs, les verres et les boissons,
Rémy : à propos, je compte sur toi pour accueillir dignement nos invités,
Vero : quelles sont les directives, maître ?
Rémy : tu iras leur ouvrir la porte, les débarrasseras de leurs manteaux ou blousons, les accompagneras jusqu’ici, pendant que nous parlerons, tu serviras un verre à chacun, quand nous serons au complet, le temps de la discussion, tu te mettras à genoux et tu commenceras à nous sucer,
Vero : bien maître,
Rémy : j’oubliais, à toi de veiller à ce que nos verres ne soient jamais vides, tu as intérêt à avoir des yeux partout, je veux une maîtresse de maison exemplaire,
Vero : bien maître,
Rémy : avant que nous passions à la table de jeu, tu nous aideras à nous mettre à l’aise,
Vero : compris, maître,
Rémy : tu peux disposer, vas prendre des forces, mais je veux que tu sois à la porte en moins de 5 s au premier coup de sonnettes,
j’en profite pour aller rapidement en cuisine, boire un verre d’eau, je mange un yaourt vite fait et la sonnette retentit, je cavale jusqu’à la porte d’entrée faisant un bruit d’enfer avec mes talons, j’ouvre la porte, le visiteur marque sa surprise en me voyant ainsi accoutrée,
Vero : vide-couilles, je suis là pour satisfaire toutes vos envies, monsieur ?
alain : Alain, je viens pour l’après-midi poker avec Rémy,
Vero : laisser moi vous débarrasser,
je me serre un peu contre lui, ouvre la fermeture éclair de son blouson, le fait glisser sur ses épaules tout en me frottant contre lui comme une chienne en chaleur, je récupère le blouson,
Vero : pouvez vous attendre deux minutes, je vais ranger votre blouson,
il reste un peu hagard par ce qu’il lui arrive, je me dirige vers le vestiaire en dandinant des fesses, je me penche en avant pour bien lui dévoiler mon cul
Vero : vous voulez bien me suivre,
Alain m’emboîte le pas, je me dandine devant lui, remuant du cul, arrivant au salon,
Vero : vous désirez boire quelque chose ?
Alain : un whisky, s’il vous plaît,
Rémy : bonjour Alain, alors tu te sens bien pour notre après-midi,
Alain : je ne sais pas si je serai vraiment concentré sur les cartes,
Rémy : tu as peur que vide-couilles ne te perturbe ?
Alain : pas que peur,
Rémy : tu verras elle saura se faire discrète,
Alain : même si elle est discrète, je en suis pas sûr d’avoir les idées claires,
je lui apporte un verre de whisky pas trop plein, comme la sonnette n’a pas encore retentit, je me permets de rester un peu avec eux, j’en profite pour passer ma main sur la bosse qu’Alain a en haut de son pantalon, je jauge par la même la taille de ce qu’il a à m’offrir, Rémy m’a glissée une main au cul,
Rémy : tu es déjà trempée salope, c’est pas vrai ça, il suffit d’un jeune homme dans ton champ de vision et de suite tu t’excites comme une chienne en manque
la sonnette retentit avant que je n’ai pu réagir, le deuxième invité (Bernard) arrive, je réédite le même scénario qu’avec Alain et l’accompagne jusqu’au salon, le temps de le servir et la sonnette retentit à nouveau annonçant le dernier invité (Christian), même scénario mais maintenant tous les invités sont arrivés,
Rémy : vous pouvez toucher notre charmante hôtesse, hein vide-couille que ça te ferait plaisir que mes invités profitent de tes trous,
Vero, avec un sourire engageant : oui, bien sûr, messieurs, je suis à votre entière disposition, si vous voulez bien en profiter,
je leur sers un verre chacun, j’ai bien sûr vérifié que ceux de Rémy et d’Alain soient pleins, pendant le service, ils ne se sont pas fait prier pour me peloter les seins, mettre des mains au cul, certains m’ont même doigté la chatte pendant que je m’inclinais pour ramasser une bouteille que Rémy avait posé à terre, chaque fois, je les remerciais d’un sourire, puis les verres étant bien remplis, je me mis à genoux au milieu,
premier arrivé, premier servi, je me mis face à Alain, lui ouvre la braguette, sors sa queue et commence à le sucer, ils sont un peu surpris, mais après l’accueil et ce qui vient de se passer, ça ne les choque pas plus que ça, quand Alain a juté, je lui ai bien nettoyé la bite, puis suis passé à Bernard et à Christian, j’ai gardé l’hôte pour la fin, et quand Rémy s’est finalement vidé dans ma bouche,
Rémy : vide-couilles, tu peux nous aider à nous mettre en tenue,
bien sûr le terme aider est un bien grand mot, en fait, c’est moi qui ai détaché les ceintures, ouvert les pantalons et les ai fait glisser sur leurs jambes, la seule chose qu’ils aient faite, ça a été de lever les pieds pour que je les dégage. après avoir plié et ranger les pantalons, je dus faire la même chose pour les caleçons, slips ou boxer que ces jeunes hommes portaient, j’en profitais d’ailleurs pour caresser leurs bourses et leurs bites qui commençaient à reprendre un peu de vigueur,
Rémy : maintenant que nous sommes prêts, nous pouvons passer à table et commencer à jouer, je vous rappelle qu’un bon joueur de poker ne laisse rien paraître de ses émotions, ceci est valable aussi pour toi, sac à foutre,
ces messieurs s’installent à leur place autour de la table, celle-ci est carrée et suffisamment large pour que je puisse me glisser dessous à quatre pattes sans les gêner. pour l’instant, je suis debout à proximité de Rémy, il m’a mis un doigt dans le cul et me ramone furieusement, suivant les règles du poker, je ne dois montrer aucun signe,
quand il a terminé, je fais le tour de la table, je remplis les verres, m’attardant plus que nécessaire à chaque fois, ils en profitent pour me doigter, qui la chatte, qui le cul, j’essaie de rester impassible, mais le corps a ses raisons et de petits mouvements trahissent mon excitation, Rémy en profite aussitôt pour me rabaisser,
Rémy : alors salope, tu n’es même pas capable de te retenir, tu es vraiment une grosse truie,
ses camarades hésitent encore à m’insulter mais il les encourage dans ce sens
Rémy : hein les copains que c’est une grosse truie, une vide-couille, un sac a foutre,
et je dois moi aussi les convaincre,
vero : oui, je ne suis qu’une truie qui aime le foutre, messieurs, j’aime me faire traiter de sac à foutre, de grosse salope, de pompe à jus
ces quelques mots libèrent mes interlocuteurs qui vont faire preuve d’une imagination débordante tout au long de l’après-midi, en attendant, je me glisse sous la table à la recherche d’une bite en érection, ma recherche n’est pas longue et je commence à sucer, je passe de bite en bite recueillant ma dose de sperme à chaque fois, je reçois un coup de pied au cul, bien placé juste sur la chatte, ce qui a pour effet de me projeter sur la bite que je suis en train de sucer et je l’avale en entier,
Rémy : vide-couilles, fais ton boulot, les verres de mes invités sont vides, qu’est ce que tu branles ?
Je me dégage rapidement, sors de sous la table,
Rémy : pas possible, ça, même pas capable de tenir ton rôle de maîtresse de maison, tout ce qui t’intéresse c’est de pomper des bites, espèce de salope,
vero : pardon, je ferai attention,
Bernard : purée quand elle ouvre la bouche, ça pue le sperme,
Christian : oui, c’est infect,
Rémy : la bouteille est presque vide, vas en chercher une en cuisine, prend la bouteille de whisky
Vero : bien maître,
je file en cuisine sans demander mon reste, ils me matent tous le cul, il faut dire que mon passage sous la table a fait remonter ma jupe qui maintenant ne cache absolument plus rien de mon intimité, je ne tire même pas dessus parce que je sais bien que ça va m’attirer une réflexion sévère de Rémy, lorsque je reviens avec la bouteille,
Bernard : prends la bouteille vide et rinces toi la bouche avec ce qui reste,
Vero : merci monsieur,
il reste au moins 30 cl dans la bouteille, je porte la bouteille à ma bouche pour boire au goulot, j’en bois un peu et commence à me rincer la bouche, Bernard me donne une bonne claque sur les fesses, sous l’effet de surprise, j’avale le whisky d’un trait,
Bernard : elle comprend rien ta traînée, elle est bouchée, avec la lichette qu’elle a pris, ça ne changera rien, il faut qu’elle se remplisse la bouche si elle veut que ça fasse effet,
Bernard : j’ai dit le reste pas une lichette, sac à sperme, et fais attention de ne pas gâcher
Vero : bien monsieur,
j’obéis, vide la bouteille, ça fait bien 25 cl, je me remplis la bouche avec, je fais tourner le whisky,
Bernard : maintenant, rince toi la bouche avec ça nous évitera de sentir ton haleine fétide,
Rémy : tu as compris, vide-couilles, la bouteille entière, et puisque tu n’es pas capable de réfléchir par toi-même, tu attends qu’on te dise pour avaler
je fais un signe d’acquiescement pour montrer que j’ai compris, Bernard me glisse une main entre les cuisses et me doigte la chatte, Alain me fait tourner les fesses dans sa direction et m’enfile deux doigts dans le cul, j’ai encore la bouche pleine de whisky, je ne peux pas respirer, quand je commence à être bien rouge,
Rémy : c’est bon, je pense que ça doit être propre, tu peux avaler,
j’obéis promptement mais le whisky prend le mauvais trou et je me mets à tousser, tout ça avec ces doigts qui me fouillent, les quintes de toux me font bouger et je sens les doigts qui s’enfoncent en moi, c’est trop fort, je n’en peux plus, je prends excuse des quintes de toux pour accentuer le mouvement, j’ai un orgasme que j’arrive à maîtriser et passe inaperçu pour tous sauf Rémy, il n’est pas dupe mais pour une fois laisse passer, il me fait juste un petit signe pour me faire comprendre qu’on verra ça plus tard,
Rémy : fais nous vérifier que cette odeur de chiottes a bien disparu,
je me penche sur Alain pour qu’il puisse juger de mon haleine, j’ai la bouche ouverte, il en profite pour sortir les deux doigts de ma chatte et me les mets dans la bouche,
Alain : tiens nettoies ça, au moins que ta bouche de pute serve à quelque chose,
il oublie qu’elle sert aussi à lui pomper le dard mais je ne peux lui faire remarquer, j’en profite pour remplir son verre, Bernard ne m’ayant toujours pas libéré le cul, je me dirige de son coté, je remplis son verre et tiens, on dirait qu’Alain lui a donné une idée, lui aussi retire les doigts de mon cul, et comme j’ai la bouche ouverte, me les enfile directement dedans,
Christian en profite pour prendre la place dans mon cul, il commence avec un doigt puis l’ouverture étant assez large en entre 4 sans difficulté,
Christian : putain, c’est plus un trou du cul, c’est un garage à bites, on doit pouvoir en mettre au moins trois la dedans,
Vero : merci du compliment monsieur,
Rémy : oui, vide-couilles a l’habitude de se prendre des bites de partout, mais maintenant elle a le cul si large que je en sais même plus dans lequel de ses trous je suis,
je rougis,
Vero : merci maître,
bien entendu, Christian m’enfile les 4 doigts dans la bouche en même temps, je déglutis avec peine mais les lèche bien avec ma langue, Rémy en profite pour me doigter la chatte et le cul en même temps,
Rémy : bon tu as rempli nos verres, reprend ton activité,
Vero : bien maître,
je repasse sous la table pour une nouvelle tournée, toutes les bites ont repris un minimum de vigueur, j’entends Rémy,
Rémy : vide-couilles, nous avons bientôt fini la partie, alors tu vas redonner de la vigueur à mes invités qu’ils profitent de tes talents de pute,
Vero : bien maître,
je fais le tour de la table, suçant, léchant, le travail n’est pas trop difficile, les bites étant déjà bien redressées, je m’applique quand même sachant que plus mes invités seront en forme plus je prendrais mon pied. au coup de pied dans la chatte que me donne Rémy, je comprends qu’il est temps de sortir de sous la table. Nos invités se lèvent, je vois Alain s’allonger sur le dos, j’ai compris, je me positionne sur lui et m’emmanche sa bite dans la chatte, je n’ai pas longtemps à attendre avant de sentir la bite de Bernard à l’entrée de mon cul, il l’y enfonce sans coup férir, puis Christian me propose de le sucer, enfin proposer est un bien grand mot, il m’a mis sa bite devant la bouche, tous utilisent mes trous pour me baiser, je n’ai pas vraiment mon mot à dire, d’ailleurs j’ai la bouche pleine, puis Christian a une idée,
Christian : on va la mettre sur la table basse à quatre pattes comme une chienne et on va la prendre chacun notre tour,
aussitôt dit, aussitôt fait, je me positionne et à tour de rôle, ils me baisent, m’enculent, me donnent leur bites à sucer, Rémy participe à la ronde, je ne sais plus qui me fait quoi, je jouis en permanence, ces messieurs finissent par ne plus pouvoir bander, et un par un quitte la ronde, je suis pleine de sperme, Rémy pour ajouter à mon avilissement s’est amusé à me jouir au visage, j’essaie de me nettoyer avec ma langue, le jus s’écoule de mon cul, de ma chatte, Alain a mis un verre entre mes genoux pour recueillir tout ça et « ne pas laisser perdre ce si bon breuvage », ils se servent un dernier verre me laissant dans ma position, Rémy en profite pour poser son verre sur mon dos, bientôt suivi par les autres,
Rémy : et fais attention de ne pas les faire tomber,
le filet de sperme étant tari, Rémy fait couler un peu de whisky entre mes fesses, celui-ci me coule dans le cul puis dans la chatte et finit par rejoindre le jus de bite dans le verre, alors il saisit le verre entre mes cuisses et le porte à ma bouche, je bois longuement ce délicieux nectar, je reste comme ça, les fesses en l’air en attendant un ordre qui tarde à venir, chacun commentant ma prestation en termes plus ou moins élogieux, puis :
Rémy : bon salope, tu t’es assez reposée, il serait temps d’aider nos invités à se rhabiller,
je me lève, les accompagne, les habille comme des bébés, chacun se laissant faire, ils en profitent pour me peloter les nichons, c’est presque la seule partie de mon corps qui soit à peu près propre, puis quittent la maison,
Rémy : vas te laver, grosse truie, nous débrieferons après,
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