Après de nombreux échanges d emails, nous avions finalement décidé de rencontrer Laurent. Laurent à 46 ans. Il se prétend Maitre épicurien, spécialiste du SM soft.
Des différentes conversations téléphoniques à 3, nous avaient données envie de vérifier si Laurent, le libertin pervers est aussi raffinée que ce qu’il laisse paraître à travers nos échanges. Nous devions nous retrouver dans un Hôtel à la montagne.
Il nous a donné RDV dans un restaurant, en plein centre ville. Le restaurant est réputé pour la finesse de ses mets.
Passée la porte, nous avons suivi le maitre d’hôtel. Karine fermait la marche derrière moi.
Nous étions arrivés le matin même, et nous en avions profité pour faire du Shopping. J’avais offert à Karine, un ensemble porte-jarretelle noir, des bas noirs, un soutien gorge en dentelle qui remonte les seins mais laisse la pointe à l’extérieure et n’englobe que le bas du sein. Karine portait son achat pour la circonstance.
Une robe classique, rose pale soulignait son bronzage. Cette robe sage d’apparence, se boutonnait devant avec un grand décolleté qui dévoilait partiellement le soutien gorge. Nous savions que, si elle se penchait en avant et en avançant que l’épaule gauche, son voisin de droite, apercevrait mes tétons. Les boutons de la robe, n’étaient pas tous fermés. Elle avait laissé non fermés ceux du bas de la robe. Chaque pas qu’elle faisait laissait apercevoir ses cuisses qui paraissaient plus fuselée grâce à ses hauts talons à aiguilles. Le surnom de Barbie que lui donne les hommes ne semble pas usurpé. J étais surpris que Karine ose se vêtir ainsi. Elle déteste normalement être provoquante devant une assemblée. Mais la demande expresse de Laurent de la voir ainsi, était une condition de notre rencontre. Karine amusée y répondait par défi et surtout par l envie et la curiosité de rencontrer Laurent
Je vois un sourire de plaisir illuminé le visage de notre hôte lorsque nous approchons de la table. Mon cœur bat la chamade, j’ai du mal à respirer.
Je tends la main bêtement en me présentant. Karine en fait autant. Laurent la réprimande aussitôt.
– « Ma femme ne me dit pas bonjour comme cela….Elle est bien ma femme, n’est ce pas ? cocu ». Laurent a posé en une seconde les rapports de forces. Il es sur de lui, male dominant et dominateur. Ses proies sont là. Elles s’inclinent
– « Pardonnez moi, mon doux maitre » balbutia Karine.
Elle avança ses lèvres vers sa bouche. Il en prit immédiatement possession. Je pense que Karine fond littéralement et je la vois se laisser aller. Sa langue se fait quémandeuse, mais Laurent l’arrête en souriant et nous demande de prendre place.
Karine s’asseye à sa gauche sur la banquette, et moi en face sur une chaise.
Le serveur distribue les menus. Karine n’ose le regarder et se plonge dans le menu. Alors que Laurent commente, en habitué des lieux, les plats proposés, sa main se pose sur la cuisse de sa voisine et la caresse. Elle frémit et ferme les yeux, le menu n’a plus d’importance. Plus la main remonte, moins Karine n’ose regarder autour d’elle, persuadée que tout le monde nous voit. La main se fait inquisitrice, Elle écarte les jambes et me fixe du regard. Les doigts vont immédiatement sur le renflement caché par le string.
J ai compris la situation. Karine sera Sienne. Et lorsqu’il propose un vin, je ne peux m’empêcher de dire stupidement, par dépit : « Karine prendra bien deux doigts voir plus ».
Les plats se suivent aussi délicat que fins. Les vins sont en harmonie avec chaque plat, rendant le plaisir charnel à son apogée
Laurent découvre que le string est fendu au milieu. Il a un sifflement d’admiration. Karine a bien respecté ses directives.
Quand un de ses doigts s’insinue en elle, j’entends son souffle court alors qu’elle se penche en avant. Il aperçoit ses seins et commente à voix haute leur forme. Le doigt se fait le plus inquisiteur, et Karine, la bouche ouverte émet un « oh oui » dans un tout petit bruit au moment où le serveur arrive. Elle rougit et essaie de cacher la main par sa serviette en se penchant plus en avant.
Le serveur matte dans son décolleté mais ne dit rien.
– « Le repas est excellent, ma femme y prend beaucoup de plaisir, n’est pas chérie ? Peux tu le dire au monsieur »
– « Ce n’est pas nécessaire » bafouille le serveur
– « J’insiste. Ma femme va vous le dire »
Les doigts sortent de son intimité et viennent pincer son clitoris jusqu’à ce qu’elle acquiesce à voix basse, en regardant le serveur. Une bosse déforme son pantalon. Il s’empresse de partir.
– « Ne contestez plus mes ordres » dit Laurent à voix haute. Karine baisse les yeux en forme de soumission.
Le repas fini, nous quittons le restaurant. Laurent sort en la tenant par la taille comme un mari le ferait. Laurent l’a choisi femme.
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