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Photographe 2

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Récit d’un ami photographe
Je m’éveille en sursaut. La lumière du matin, qui entre par la fenêtre dont les rideaux ont été tirés, baigne la chambre d’une lumière dorée et colore les murs blancs. Je comprends très vite ce qui m’a éveillé. Mon sexe est dressé, et se fait sucer par Martine, couchée à plat ventre entre mes jambes.

Elle lève les yeux, et sa bouche esquisse un sourire autour de mon membre. Elle donne un coup de langue sur le frein et me dit espiègle:
« J’avais faim… J’avais envie de te remercier à ma façon pour m’avoir gentiment accueilli cette nuit. »

Elle reprend sa tâche, me faisant gémir malgré moi. Elle imprime un mouvement d’abord lent puis de plus en plus rapide à sa tête, que je vois monter et descendre entre mes cuisses. Sa langue s’affaire aussi, se promenant autour et tout le long de ma verge.

Puis, elle se redresse et place mon membre entre ses deux seins, qu’elle enserre de ses mains. Elle monte et descend chaque sein en alternance. Elle a les seins assez gros pour envelopper entièrement mon sexe, et sa peau soyeuse glisse sur la mienne.
« T’aimes? » Me demande-t-elle.
Je ne peux qu’acquiescer entre deux soupirs.

Elle oscille de tout son corps au-dessus de moi, et je vois mon gland entrer et sortir d’entre ses seins magnifiques. Ne voulant pas la surprendre, je lui demande :
« Arrête, je t’en pris, tu vas me faire jouir trop vite ! »

J’en profite pour happer au passage un mamelon que je triture sans trop de délicatesse. Elle grimace mais semble adorer le traitement. Je la renverse sur le dos et mord ses mamelons.

Elle se dégage en riant.
«  Allez ! À la douche ! » Clame-t-elle alors.
Je la guide vers la salle de bain. Martine entre dans la douche et fait couler l’eau. Je regarde l’eau glisser sur son corps, entre ses seins et le long de ses cuisses. Joueuse, elle presse son corps contre la vitre, écrasant ses seins de manière provocante et presque vulgaire, avant de m’inviter d’un doigt à aller la rejoindre.

Je me place derrière elle, mon sexe dressé s’appuyant entre ses fesses. J’att**** une bouteille de savon et j’en verse une quantité généreuse sur sa poitrine. Mes mains empoignent et pétrissent avec force ses seins savonneux.

Une main glisse jusqu’à son coquillage. La plaquant fermement contre moi, écrasant mon sexe contre ses fesses. Martine cambre son dos et enserre mon cou de ses bras levés pendant que ma main descend vers son minou trempé. Je glisse un doigt en elle pendant que mon autre main continue de caresser sa poitrine aux mamelons durs et dressés. Elle se laisse faire, haletante, sa bouche cherchant la mienne. Mon doigt replié fouille l’intérieur de son corps.

Lorsque je la sens prête, je pousse ses épaules vers le ba, elle pose les mains contre le mur et je la pénétre profondément dans un long soupir de plénitude.

Je lime son antre avec énergie tout en malaxe ses seins opulents.

Elle recule ses fesses, voulant me faire entrer toujours plus loin. Chacun de mes coups de butoir fait bondir ses seins et lui arrache de petits cris, à la frontière entre la douleur et le plaisir. Je ralentis la cadence mais elle m’encourage :
« Plus fort défonce moi !! Continue ouiii !!! »

Je m’accroche à ses seins pendant que la jouissance me pousse au plus profond d’elle, lui arrachant un dernier gémissement alors qu’elle jouit quelques instants après moi.

Reprenant son souffle, elle se redresse et nous nous embrassons longuement sous l’eau chaude. Puis, lors du petit déjeuné dans la cuisine, Martine, vêtue d’un long t-shirt que je lui ai prêté, regarde la campagne illuminée de soleil.

Rêveuse, elle me dit :
« Je maintiens ce que j’ai dit hier. Ta maison est beaucoup trop grande pour une seule personne. »
«  Que cherches-tu à me dire ? Je vis seul, c’est vrai. Et passer une nuit avec fût très agrèable.

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