Salope.
À peine la porte ouverte j’entre sans lui adresser un regard.
Je lui adresse juste un : « – Salut, grosse pute ! » avant de me mettre à fureter dans la maison. Je trouve enfin la cuisine, ouvre le frigo et me sers quelque chose à boire. Elle attend dans l’encadrement de la porte. Je lui dis :
« – Ben alors ? Tu devrais déjà être à mes pieds, à poil. »
Elle s’exécute. Je lui tends alors son collier :
« – Mets ça. »
Puis je prends mon verre et continue ma visite. Elle attache son collier aussi vite qu’elle le peut puis veut se relever pour me rejoindre. Mais elle se rappelle mes instructions au téléphone et tente de me ratt****r tant bien que mal à quatre pattes. Je ne la regarde pas mais cela m’excite malgré tout de la sentir si servile. Je m’assois sur le lit. Elle s’approche de moi et commence à ouvrir mon pantalon. Je la laisse faire. Mais au moment où elle cherche à sortir ma queue je dis :
« – Fais voir ton cul, pétasse. »
Elle se met alors cul vers moi. Elle a encore le plug qu’elle m’avait dit toujours garder. Je lui enlève d’un coup sec. Elle serre les dents. Je lui fais lécher. Puis nous restons un moment ainsi, moi à mater son cul, elle à attendre. Enfin elle se penche en avant, écarte ses fesses et dit :
« – Vas-y, encules-moi. »
« – Non. »
« – Hein ? Euh, pourquoi ? »
« – Pas envie. »
« – Euh, je … »
« – Donnes-moi envie, toi. »
Je me lève alors. Elle s’agenouille, saisit ma bite que j’avais sortie de mon caleçon. Elle veut la prendre en bouche. Je la gifle. Puis je l’étrangle en la secouant comme un prunier :
« – Putain, mais tu te crois où ? Déjà tu ne me tutoies pas, ok ? C’est toi la truie, pas moi ! »
Elle essaie de parler, en vain. Je continue ma tirade :
« – Ensuite tu oublies de m’appeler Maître ! Et enfin, tu crois qu’il suffit de trémousser ton gros cul et de me sucer la queue pour me donner envie ? T’es vraiment qu’une conne ! »
Je la jette au sol :
« – Bon maintenant tu vas réellement m’exciter, grognasse. Montres-moi que tu es une salope qui en veut. Fais moi voir où tu voudrais te faire mettre. Dis le moi aussi. Allez vas-y. »
Je la laisse reprendre ses esprits. Elle parvient à dire dans un croassement :
« – Oui, Maître. Excusez-moi, Maître. »
« – Ouais, ouais. Allez, grouilles, je n’ai pas que ça à faire. »
Elle commence alors à se lécher les doigts. Elle les fait ensuite glisser le long de sa gorge, entre ses seins et décrit une spirale finissant sur ses tétons. Elle se penche en arrière en prenant appui sur un de ses bras. Elle recommence son manège deux, trois fois puis fait glisser ses doigts plus bas, entre ses jambes. Elle les plante directement dans sa chatte et dit :
« – Je voudrais sentir votre grosse queue ici, Maître. Bien profondément. »
Je regarde sans rien dire. Elle se masturbe aussi violemment qu’elle le peut :
« – Comme ça, je veux être prise comme ça, Maître. »
« – Mouais … Montres-moi plutôt l’intérieur de ta chatte. »
Elle se redresse :
« – Non, reste penchée en arrière. »
Elle essaie tant bien que mal de rester penchée en arrière sans le support de son bras, son dos tremble sous l’effort. Mais elle écarte malgré tout les lèvres de son minou et me livre le spectacle de son vagin. Je soupire, comme si je m’ennuyai :
« – C’est tout ? »
« – Non, non, Maître, bien sûr. »
Elle se remet à quatre pattes et pose son visage et son buste au sol. Elle écarte ses fesses d’une main et plante ses doigts dans son cul :
« – Je vous veux ici aussi. Je veux vous m’enculiez sauvagement, Maître. »
« – J’y réfléchirais. Bien je commence à avoir envie de toi, c’est pas mal. Je suis peut-être pas venu pour rien finalement, morue. »
« – Merci, Maître. »
« – Ta gueule et suces-moi, je ne suis pas encore assez raide. »
Elle s’approche de moi. Je me lève :
« – D’abord je vais reprendre un truc à boire. Et pour toi aussi. Restes là. »
Je reviens et me rassois face à elle. Je commence à boire. Elle me suce. J’en profite alors pour vider le contenu d’une bouteille de bière au côté de ma queue :
« – T’as pas intérêt à en foutre par terre, sale truie. »
Elle essaie tant bien que mal mais n’y arrive pas. Je la gifle à nouveau :
« – Putain, t’es vraiment qu’une bonne à rien ! Bon je vais te prendre le cul, on verra bien. »
Elle se retourne à nouveau. Je vois que son cul est serré malgré le plug qu’elle portait. Je vois aussi qu’elle essaie de le dilater pour faciliter l’entrée de ma verge :
« – Dis moi, petite pute, tu as envie de quoi ? »
« – Me faire enculer, Maître. »
« – Ça j’avais compris. Je ne suis pas aussi débile que toi. Mais quoi d’autre ? »
Elle fronce les sourcils :
« – Euh … Je … »
Elle ne pense plus à dilater son anus. Je le plante alors violemment. Elle pousse un cri de douleur et de surprise. De douleur surtout :
« – Ben alors on aime pas, salope ? »
Elle n’arrive pas à parler, elle se met à chialer. Je la défonce aussi fort que je peux :
« – Et ben ? On aime ça dis donc, ça te fait pleurer de joie ! Quelle pétasse tu fais ! »
Elle parvient à articuler :
« – Oui … Oui … »
Je l’att**** par les cheveux, tire sa tête vers moi :
« – Oui, qui ? »
« – Oui, Maître. »
« – Bien. »
Je la ravage encore un peu puis je la laisse s’effondrer au sol. Je l’att**** par le bras et la traine :
« – J’ai vu un tabouret sympa dans l’autre pièce, ça me donne une idée. »
Elle se laisse entrainer. Nous arrivons dans le salon. Il y a son chien, un gros danois, attaché dans un coin de la pièce. Il jappe à notre entrée. Je lui dis distraitement :
« – Mais oui, toi aussi tu auras ton tour. C’est normal : c’est une chienne. »
Je la dépose dos sur le tabouret puis j’attache ses bras à ses jambes en dessous d’elle. Je tire les liens au maximum. Elle gémit de douleur. Je joue avec ses seins, les suce. Puis je détache le chien et l’amène entre les jambes de sa maitresse :
« – Aujourd’hui tu lui prends la chatte, profites-en. »
Il ne se fait pas prier. Moi je mets ma queue dans la bouche de mon esclave et la pilonne. Elle tente de me satisfaire du mieux qu’elle peut. Le chien finit par la remplir. Je le rattache pour ne pas qu’il la reprenne de suite : j’aurais besoin de lui plus tard. Je retourne près d’elle :
« – Bon, à mon tour. Visitons cette chatte. »
J’accroche une laisse à son collier et l’enroule autour de mon poignet. Puis je me place entre ses cuisses et la ramone. Mes bras font des va et viens en même temps que mes hanches. Cela tire sa tête en arrière par à-coups. Elle émet un vague gargouillis. De douleur ou de plaisir ? Dur à dire, elle est quand même très humide … Enfin, je sens que je vais juter. Je me mets alors au dessus de son visage et me branle. Elle tente tant bien que mal de placer sa langue de manière à en avaler le maximum. Je lui recouvre la gueule de sperme. Puis j’enfourne mon sexe dans sa bouche. Enfin je ressors et dis :
« – Bon ben, je vais regarder la télé, moi … »
Je la laisse attachée sur sa chaise, et me dirige vers la chambre. Je referme la porte du salon et la laisse seule. Enfin, seule, façon de parler, j’ai pris soin de libérer son chien avant de partir …
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