Histoires de sexe en groupe Histoires de tromper Histoires érotiques au travail

LE SUPPORTER

LE SUPPORTER



RÉCIT D’UNE FEMME COQUINE DE 50 ANS QUI PASSE PAR MON PROFIL POUR NE PAS SE FAIRE DÉMASQUER PAR SON MARI…

En cette soirée pluvieuse du mois de juin, je rentre seule (mon mari est en déplacement pro depuis hier et ne rentre qu’aprés demain) d’un dîner au restaurant avec mes 2 soeurs alors qu’un match de l’Euro vient de se terminer.
Je n’ai pas fait attention au match, n’aimant pas le foot, et je me dépêche de rentrer chez moi, réfugiée sous mon parapluie.
Je dépasse une terrasse où une horde de supporters braille en buvant de la bière. A voir leurs maillots jaunes et bleus et leurs têtes blondes, il doit s’agir de supporters suédois. Je me rappelle que la Suède jouait contre la Croatie. Malgré leur défaite, ils chantent et hurlent de façon joyeuse et surtout avinée.
Je passe prudemment mon chemin : pas envie d’être prise à parti ou aspergée de bière vu l’équilibre instable des vikings imbibés.

Quelques mètres plus loin, je vois un jeune mâle, appuyé contre une porte cochère, il titube et sa tête repose contre la porte. Il porte un maillot de l’équipe de Suède, un bermuda sombre et des baskets. Il relève la tête à mon approche et je vois son regard vitreux sous l’effet de l’alcool. Il est jeune (environ 25 ans) et beau comme un dieu avec ses cheveux blond pâle, son regard bleu glacier et sa bouche encore juvénile. Sa peau est rose et semble douce. Il a une tête d’ange et un corps d’homme.

Evidemment, devant ce genre de spécimen, la salope qui sommeille en moi se réveille à grande vitesse et ma chatte se contracte de désir. Je m’approche de lui et en anglais lui demande si tout va bien. Il me regarde en roulant des yeux et me répond avec une élocution difficile (en anglais, comme tout le reste de notre conversation) :

– Pas si bien que çà
– Je vois, tu veux de l’aide ?
– J’ai perdu mes amis, me dit-il

Je me garde bien de lui signaler qu’ils sont à dix mètres et lui propose mon aide

– J’habite la rue d’à côté, tu veux venir te réchauffer ?

Il est trempé de la tête aux pieds et réfléchit avec difficulté à ma proposition.
Il me regarde et se rend à mes arguments : je lui tends la main et il s’accroche à mon bras. Je le « tracte » tant bien que mal jusqu’à la porte de mon immeuble. Nous rentrons dans le hall et je le pousse dans l’ascenseur. L’ascenseur prend son envol vers le 5ème étage et je suis à dix centimètres de mon viking…

– je m’appelle Sven, me dit-il dans un souffle très très alcoolisé.

Arrivé au 5ème, je déverrouille la porte après avoir appuyé le jeune Sven contre le mur et l’aide à entrer dans l’appartement.
Il se vautre littéralement sur le canapé : il est irrésistible et je commence à me sentir humide.
Je suis comme tous les jours, en chemisier et jupe, string dentelle, bas, porte-jarretelles et nuisette légère sous mes vêtements.
Ma chatte commence à devenir vraiment humide de désir. Il me faut la bite de ce supporter de foot !!

– J’ai besoin de pisser me dit-il, la voix pâteuse
– C’est à droite dans le couloir
– Aide-moi stp, j’ai du mal

Je lui tends la main pour l’extraire du canapé et il garde ma main dans la sienne :

– Non, viens m’aider à pisser

J’avance dans le couloir avec Sven accroché à mon bras et lui ouvre la porte des toilettes. Il entre et je reste dehors. Il se positionne devant la cuvette et essaie désespérément d’ouvrir sa braguette.

– Aide-moi, putain, je veux pas pisser dans mon fut

Pris à mon propre piège, je me glisse à ses côtés et commence à déboutonner son jean qui descend sur ses cuisses

– Vas-y, sors ma queue, je peux plus attendre

Je descends son boxer bleu et jaune aux couleurs de sa sélection nationale (vraiment bizarre comme sous-vêtement !) et saisit sa queue que je dirige vers la cuvette.

Il est tellement saoul qu’il s’appuie sur moi en même temps qu’il envoie un jet doré dans les wc.
Je tiens sa queue, longue, assez fine et circoncise avec une couronne de poils blonds sur le pubis.
Je suis complètement excitée : je tiens la queue de ce mec saoul et je veux y goûter.
Je commence à la branlotter discrètement en comptant sur son état d’ébriété pour qu’il ne se rende compte de rien.
Sa queue commence à s’allonger sous l’effet de ma branlette discrète et je continue mes mouvements de poignets, je sens sa queue durcir dans la paume de ma main.
Il continue de pisser mais sa queue durcissant et se redressant, je suis obligée de forcer sa bite vers le bas pour qu’il n’arrose pas les murs. Plus je rabats sa queue, plus il bande. Il n’a pas fini de pisser (après les litres de bières qu’il a dû boire, rien d’étonnant) que sa queue est complètement déployée et son gland décalotté. Il me regarde interrogatif et je me dis que c’est l’occasion ou jamais : je me penche sur sa queue et viens recueillir avec la pointe de ma langue les dernières gouttes de pisse de mon viking.
J’enroule immédiatement ma langue autour de son gland. Ma langue tournoie ardemment autour de son champignon, et je l’entends râler au-dessus de moi.
Il se laisse faire et je pousse mon avantage en descendant ma tête sur sa tige : son gland vient chatouiller mes amygdales et je continue ma plongée, ma bouche se transforme en brasier sexuel pour mon suédois. J’aspire, serre ma gorge, joue de la pointe de la langue sur ses couilles. Il pose une main sur ma tête et appuie pour j’aille plus loin encore. Sans lâcher sa queue, je le repousse légèrement et m’assieds sur les toilettes. Dans cette position plus confortable, je me mets à me limer la gorge sur la queue déployée. Je suce à gorge déployée cette bite au goût de bière. Je vais lui traire son jus de supporter avec ma bouche de salope!
Il tente de mettre des coups de reins mais il est trop saoul pour tenir la cadence, je compense en me défonçant la gueule sur sa queue qui elle ne mollit pas.
Comme je veux jouir aussi, je défais ma jupe et la fais glisser : je commence à carresser ma chatte qui est trempée à travers mon string pendant que je le suce. Au bout de quelques minutes, mon viking capte mes agissement et me dit :

– Espèce de bitch, tu ne suces pas seulement ! tu te doigtes ! »

Et il allonge le bras pour venir me chatouiller la rondelle avec son doigt. Je me cambre sous la caresse et facilite l’entrée de son doigt dans mon trou. Sa première phalange entre sans difficultés dans ma rondelle et il commence à me limer le cul en rentrant profondément son doigt dans mon trou. Bien que la bouche pleine, je me mets à ronronner de plaisir. Il glisse un second doigt et commence à me détruire l’anus. Il me chauffe de longues minutes avant de me dire :

– Donne-moi ton cul !

Je lâche sa queue, me lève et me tourne. Je prends appui sur la chasse d’eau et me penche pour libérer l’accès à ma rondelle. Sa queue est luisante de ma salive, pas besoin de la lubrifier. Il vient poser son gland sur ma rondelle et commence à pointer. Son état d’ébriété l’empêche de bien m’embrocher et je prends la direction des opérations : je prends mes fesses à pleines mains pour les écarter et je pousse sur ma rondelle pour qu’elle s’ouvre devant son gland.
Avec mon aide, il commence à rentrer sa bite dans mon cul et je commence à coulisser pour que sa queue aille bien au fond.
Il me laisse faire et je me sers de sa queue comme d’un gode vivant, mais gorgé de bonne semence.
Il me prend par la taille pour tenir debout et accompagne le mouvement de ma croupe qui vient chercher de façon vorace sa dose de jus. A force de reculer mon cul, je le coince contre le mur et je peux profiter de toute la longueur de sa queue qui me ramone les entrailles. Il est silencieux à part son souffle qui commence à accélérer avec la montée vers la jouissance. J’ouvre au maximum ma rondelle pour que sa queue coulisse bien.
Sven grogne de plaisir et sa tête vient s’appuyer sur mon épaule qu’il commence à mordiller. J’en profite pour reculer mes fesses encore plus histoire d’aller chercher les derniers millimètres de sa queue.
Je commence à serrer mon conduit anal et, immédiatement, je sens sa bite tressauter. Mes contractions anales semblent le propulser vers le plaisir et, rapidement, sa queue durcit encore un peu et se gorge de bon jus de mâle. J’adore çà !
Une première secousse et je sens sa crème me tapisser le conduit, un deuxième coup et je sens mon cul se remplir de sperme, les coups suivants me remplissent et j’ai l’impression que mon ventre gonfle avec la dose qu’il me met. Il n’a pas dû jouir depuis son arrivée en France avec ce qu’il me met.
Il se déboite de mon cul et je sens comme un vide dans mon trou : l’air frais me frais contracter la rondelle et je retiens ainsi son jus tant bien que mal.
La partie de baise semble l’avoir un peu dégrisé et il est visiblement embarrassé par ce qui vient de se passer.
Pendant qu’il se rhabille en me matant, je vais chercher son jus dans mes fesses avec deux doigts.
Je me délecte de son sperme en le regardant dans les yeux.
Il semble pressé de partir, il me dit au revoir et claque la porte derrière lui, puis je l’entends descendre dans la cage d’escalier en courant.
Le lendemain, vers 18h, il est revenu toquer à ma porte et il était accompagné de son meilleur pote qui lui ressemblait comme un jumeau…c’etait extra !
Mon mari est rentré de son déplacement le lendemain aprés midi, il s’est empressé de me sauter dessus pour me prendre et me reprendre, il me baise bien, mais j’avoue que cette histoire avec ces vikings m’a terriblement excitée !

RÉCIT D’UNE FEMME COQUINE DE 50 ANS QUI PASSE PAR MON PROFIL POUR NE PAS SE FAIRE DÉMASQUER PAR SON MARI…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire