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Caroline, ma voisine – 5

Caroline, ma voisine – 5



Encore un épisode des aventures de Caroline et Arthur. Dans cet opus, Sonia la mystérieuse jeune femme va devenir l’objet de toutes les attentions.

– … Bonsoir Mademoiselle !
– Ho ! Vous ne vous connaissez pas !! Arthur, je te présente Sonia…

En jeune homme bien élevé, je tends une main, mais Sonia s’approche de moi pour que l’on se fasse la bise. Je suis toujours un peu surpris dans ces circonstances, mais Sonia accompagne son geste vers moi par un début d’accolade chaleureuse, posant sa main sur le haut de mon bras. Nous nous faisons la bise, et je peux apprécier la senteur subtile de son parfum, avec des notes de jasmin et de fleur d’oranger.
Sonia est dans une certaine séduction et Caroline le ressent. Elle se colle à moi.

– Nous buvions un verre, en papotant… Tu te joins à nous ?
– Je ne voudrais pas m’immiscer dans votre discussion…
– Ne fais pas ton timide, Arthur. En plus, le vin blanc est l’un de tes préférés !

Effectivement, le chardonnay est très bon et à une température idéale. Nous sommes assis dans le salon de Caroline et la conversation aidant, j’apprends que les deux copines se connaissent depuis de longues années. Sonia est une amie d’enfance de Caroline, elles se sont connues en Suisse, leurs parents respectifs travaillaient pour des institutions internationales. Elles ont passé une bonne partie de leur scolarité à Zurich, au lycée français.
Sonia est ensuite partie à l’étranger pour ses études, alors que Caroline rentrait en France à la faveur de la nomination de son père pour un poste dans son pays natal. Les deux amies se sont perdues de vue à ce moment là, mais c’était sans compter la puissance des réseaux sociaux. Sonia a retrouvé son amie d’enfance sur Internet. A l’occasion d’un court séjour en France, elle avait décidé de retrouver son amie d’enfance, Caroline semble heureuse et excitée de ses retrouvailles.

– Mais Sonia, tu vis toujours en Suisse ?
– Oui, je me suis mariée à un suisse juste après mes études. Sans doute trop jeune, notre relation n’a pas été la plus heureuse et nous avons divorcé après seulement deux ans de vie commune et un an de mariage…Mais ça m’a permis d’obtenir la double nationalité. Et mon travail me permet de résider en Suisse.
– Je te rassure, les histoires tumultueuses, je connais… C’était avant de rencontrer Arthur !

Je rougis un peu, les deux filles me regardent avec amusement et j’échange un regard avec Sonia. Même si Caroline est là, je ne me prive pas d’être dans une certaine séduction avec son amie suissesse. Nous sommes, Caroline et moi, dans une relation de confiance et de partage. D’ailleurs, elle non plus ne se prive pas de commenter et de faire un peu de charme aux garçons… Pas de jalousie entre nous, on ne cherche que notre plaisir dans un lit, mais aussi en dehors.
Les deux amies se retrouvent pour la première fois depuis de nombreuses années, et elles ont pas mal de choses à se raconter… Je rentrais ainsi assez peu dans la conversation, mais j’en profitais pour détailler un peu plus notre nouvelle amie. Au delà de son physique impeccable, Sonia avait beaucoup d’allure et un charme dévastateur, qui devait toucher autant les garçons que les filles. On sentait tout de suite son éducation bourgeoise dans ces manières et sa façon de s’exprimer. De plus, Sonia semblait avoir un solide bagage culturel, qui devait lui rendre de fiers services dans son job de galeriste à Zurich. Si j’avais eu une fortune personnelle, Sonia aurait pu me vendre n’importe laquelle de ses toiles exposées dans sa galerie !
Nous finissons notre apéritif, qui l’heure avançant, est devenu un apéro dînatoire. Sonia regarde sa montre et se lève.

– Il commence à se faire tard et je dois aller visiter un jeune artiste que j’aimerais représenter dans ma galerie. Je vais appeler un taxi.
– Tu as pris une chambre d’hôtel en ville ?
– Non Caro, je suis logé dans une maison à la campagne, non loin du village ou se trouve le jeune peintre très prometteur… La maison appartient à des amis de mes parents, c’est très calme, très tranquille ! Ca change de Zurich !
– Mais nous pouvons sans doute te transporter, t’éviter un taxi…
– Merci Arthur, c’est très gentil, mais je vais vous laisser en amoureux…

Sur cette dernière phrase, Sonia regarde son amie, qui rougit un peu.

– Mais si vous voulez découvrir la maison, pourquoi vous ne viendriez pas dîner un soir, avant que je rentre en Suisse ?
– Oui ! Pourquoi-pas ? Qu’en penses-tu Caro ?
– Oh oui !
– Parfait… Caroline, je te rappelle dans la semaine pour te donner l’itinéraire.

Sonia appelle son taxi, et les deux amies continuent de discuter alors que je débarrasse la table basse du salon.

– Mon taxi est en bas, j’y vais !

Caroline et Sonia s’embrassent, s’étreignent, heureuses de s’être retrouvées après tout ce temps. Sonia m’embrasse à son tour, tout aussi chaleureusement qu’en début de soirée, avec une accolade un peu plus soutenue…
Les deux amies échangent quelques mots à voix basse, et pouffent de rire comme deux adolescentes. Sonia quitte l’appartement, Caro referme la porte , traverse le salon et s’écroule dans son canapé.

– C’était cool de revoir Sonia ! Je ne pensais pas que l’on aurait autant de choses à se dire ! Je suis crevée, pas trop envie de sortir ce soir… Tu resterais pas avec moi ?
– Humm… Oui, pourquoi-pas ? Et qu’est-ce que tu prévois ?…
– Une petite soirée en amoureux, sous la couette, juste toi et moi !

On s’embrasse tendrement, les caresses sont appuyées assez vite entre nous. Je suis un peu excité par ce verre en compagnie de deux belles jeunes femmes. On quitte le canapé pour la chambre.
Ce soir-là, on a fait l’amour simplement, sans aucun artifice. Caroline m’a offert un bel effeuillage, relevant encore une fois son joli petit corps tonique, son petit cul et ses petits seins à croquer… Je me suis moi aussi déshabillé, et dans l’ambiance feutrée et sensuelle de la chambre de mon amante, nous nous sommes massés mutuellement.
Je n’ai oublié aucune partie de son corps, et le massage sensuel s’est transformé en une masturbation mutuelle. Haletants, nous nous regardions prendre du plaisir en toute liberté. Caroline était superbe dans le plaisir que je lui donnais avec mes doigts sur son bouton d’amour. J’appréciais particulièrement la voir jouir doucement sous mes caresses, ce qui fut fait lors de ces préliminaires… Par la suite, Caro s’est occupé de mon sexe en me donnant l’une des meilleures masturbations depuis longtemps. Avec juste un peu d’huile de massage, elle m’a branlé avec délice, alternant des va-et-vient avec ses deux mains et une branlette énergique de mon vit tout en flattant mes bourses avec son autre main. Caro m’a emmené plusieurs fois au bord de l’orgasme, mais elle calmait le jeu à chaque fois, pour me laisser dans une douce frustration…

– Tu es une vraie peste ! J’ai tellement envie de jouir…
– Pas maintenant chéri… Occupe-toi de moi maintenant…

Laissant mon sexe bandé, mon amante remonte vers mon visage en me laissant quelques baisers sur le haut de mon pubis, sur mon ventre et ma poitrine. Alors qu’elle allait m’embrasser, elle me dépose juste un baiser du bout des lèvres et se redresse brusquement. Elle se positionne à cheval sur ma poitrine, puis présente sa petite chatte luisante de cyprine à ma bouche. L’invitation est sans équivoque, et je mange son abricot, glissant ma langue à l’entrée de son vagin. Caroline se laisse complètement aller, son sexe sur mon visage, les mains à plat contre la tête de lit, tentant de rester en équilibre malgré le plaisir qui la submerge. Ses petits cris de plaisir m’encouragent dans mon cunni, et je suis moi aussi très excité par la situation. Caro est sur moi, je lui mange la chatte, et cette petite domination renforce encore mon érection. Je sens la lente pulsation de ma queue et ma bandaison commence à me faire mal.
Quand je suçote du bout des lèvres son clitoris, en caressant ses seins, Caroline exulte, son orgasme la fait monter dans les aigus, elle crie son orgasme. Elle mouille de plus belle, et je goûte encore une fois à son plaisir. N’en pouvant plus, elle se désengage de ma bouche et vient s’allonger à coté de moi. Caro att**** une capote, la déroule tendrement sur ma queue.

– Viens… Fais-moi l’amour, j’en ai trop envie…

Je me positionne au dessus de ma belle, on s’embrasse et elle écarte les jambes. Je me positionne au cœur du compas de ses jambes et je la pénètre doucement. Son sexe est serré en missionnaire, et j’ai peur de jouir trop vite. Mais après quelques coup de reins, elle s’habitue à ma pénétration et je commence des va-et-vient réguliers. Caroline remonte ses jambes et positionne ses talons sur mes fesses, signe qu’elle aime ce petit traitement et que je peux accélérer quelque peu la cadence de mon pistonnage.

– Oh oui oui oui oui !!! Hummmmmmmmmmm……

Chacun de mes coups de rein est ponctué par un petit cri et la cadence s’accélérant, ma partenaire perd pied à nouveau. Un petit orgasme survient, et les petits cris se transforment en un feulement qui m’indique que Caro va jouir. Je retiens mon plaisir pour faire encore crier mon amie.

– Oh ouiiiii ! C’est bonnn ! Je viens chériiiii !!!! Ahhhhh ouiiiiii !
– Hummm… Caro, je sens ta jouissance ! C’est bon de t’entendre prendre ton pied !!!
– Ouii !!!! Jute pas maintenant chéri ! Pas dans la capote ! Je te veux sur mes seins !!!

Je suis proche de mon orgasme, je me retire rapidement, enserre la base de mon sexe et retire le préservatif. Caro est encore haletante, elle me regarde avec beaucoup d’envie dans les yeux. J’approche mon sexe au dessus de ses seins et je me branle en matant ce corps recouvert d’une fine pellicule de sueur. Elle me flatte les couilles, cette dernière caresse déclenche mon orgasme et je répands quelques traînées de foutre sur la poitrine de Caro. La chaleur de mon sperme fait gémir Caro. Vidé par ma jouissance, je m’allonge à coté de ma belle.

– Wow… C’était génial ! On a jamais fait ce final…
– Il y a un début à tout ! Hihihi !!!
– Je vais te chercher de quoi t’essuyer la poitrine…

La petite toilette faite, nous nous endormons enlacés, fatigués par cette douce baise au final terriblement excitant.

Quelques jours plus tard, Caroline passe au théâtre pour me prévenir que nous sommes invités le soir suivant à dîner par son amie Sonia, dans la maison de campagne non loin de chez nous. Ce fameux soir, nous nous présentons au portail d’une jolie maison de campagne. Le cadre est plutôt sympa, un peu trop isolé pour les urbains pur jus que nous sommes, mais la propriété semble calme avec son joli jardin un peu sauvage.
Nous sommes à l’été indien, et cette soirée de septembre est encore douce. Caroline a conservé l’une de ses petites robes d’été qui la rendent si jolie et si désirable. Elle est vraiment très en beauté ce soir, et je ne suis pas peu fier de tenir la main de mon amie alors que Sonia vient nous accueillir. L’amie d’enfance de Caroline est elle aussi très en beauté ce soir-là : les cheveux attachés en chignon, elle porte une blouse blanche décolletée dans le dos. Une jupe cintrée noire souligne ses hanches et sa taille, et Sonia porte de jolis escarpins noirs à bouts ouverts. On s’embrasse comme si on s’était quittés la veille. Sonia serre Caroline dans ses bras, et l’entraîne vers la maison bras dessus bars dessous. Suivant les deux amies de quelques pas, j’admire la chute de reins de Sonia et je constate avec grand plaisir que notre amie suisse ne porte pas de soutien-gorge.
On s’installe sur la terrasse pour boire un verre. Sonia revient avec le plateau, et on commence la soirée avec un rhum planteur plutôt corsé.

– Ho Arthur ! J’ai prévu des grillades ce soir… la soirée est si douce. Pourrais-tu t’occuper de démarrer le barbecue ? Je ne suis pas très douée et surtout pas vraiment en tenue pour ça…
– Pas de souci Sonia, je vais revenir aux habitudes primaires de l’homme : faire un feu !
– Les hommes peuvent aussi faire bien d’autres choses…

Les filles rigolent en se regardant. On termine nos verres, Sonia et Caro partent préparer des salades, tandis que je commence à faire le feu. Tout en préparant le barbecue, je vois les filles discuter gaiement dans la cuisine. Elles doivent encore se remémorer les bons moments de leur adolescence en Suisse. Les braises sont quasiment prêtes, et je regagne la cuisine pour demander à Sonia les grillades.

– Ca va être prêt au niveau des braises. Tu peux me passer les grillades ?
– Oui Arthur, sans souci, elles sont au frigo…
– Caro ne t’aide plus ?
– Je crois qu’elle se repoudre le nez… Hihihi !
– Ha ! D’accord !

Je repars et commence la cuisson. Pendant un court moment, plus personne dans la cuisine, puis les filles reviennent à la table sur la terrasse, avec le reste du repas. Caroline semble ne pas se sentir très bien. Je me rapproche d’elle et passe mes bras autour d’elle.

– Hey… Ca va bien ?
– Oui… Ne t’en fais pas, le rhum m’a fait tourner la tête…

Les grillades sont délicieuses, et nous passons un agréable moment en compagnie de Sonia. Notre hôtesse est intarissable sur l’art et le jeune peintre qu’elle a découvert. Un rosé très fin accompagne les plats, et l’alcool nous rend tous les trois très joyeux. Le dessert terminé, une petite brise un peu plus fraîche que les autres nous chasse de la terrasse et nous rentrons à l’intérieur.

– On est mieux à l’intérieur ! Caroline, Arthur ? On se prendrait un digestif ?
– Pas pour moi… Mais je suis sûr qu’Arthur ne serait pas contre.
– OK, je t’accompagne Arthur. Tu serais un amour si tu nous servais deux petit verres…

Je me dirige vers le buffet ou se dresse une bouteille de vieux cognac et quelques petits verres en cristal. Je nous sers deux verre, les filles sont dos à moi. Je me retourne et je manque de lâcher les verres sous l’effet de la surprise. Sonia et Caroline s’embrassent sur la bouche, les caresses sont sans équivoque. Amusé, je reviens vers les filles et je regarde ce beau spectacle, fantasme partagé par beaucoup de mec. Caroline ouvre les yeux, la langue toujours dans la bouche de son amie, et je lui signifie par un large sourire mon plaisir de découvrir une nouvelle facette de sa sexualité.
Elle continue de caresser la poitrine de Sonia, tandis que son amie a déjà passé une main sous sa robe d’été, et caresse les cuisses. Les filles se séparent, Sonia prend l’initiative en déboutonnant le devant de la robe de Caro, dévoilant ses petits seins. Caro déhabille également Sonia en ôtant son chemisier. Je découvre la poitrine de notre nouvelle amie intime : belles rondeurs, joliment surmontées par des tétons dressés par l’excitation du moment. Les deux filles se caressent les seins mutuellement et s’embrassent à nouveau, elles gémissent…
Sonia quitte les lèvres de mon amie et s’adresse à moi.

– J’ai envie d’une femme depuis un bon moment… Mais on ne va pas te laisser comme ça Arthur ! Viens, on monte dans la chambre…

Un petit bisou lesbien et quelques marches plus tard, nous sommes tous les trois dans la chambre. Les filles se jettent sur mes vêtements, et je suis nu en quelques secondes. Je bande déjà, mais Sonia et Caroline vont sur le lit, continuant leurs caresses. Sonia est sur le dos, son amie est à genoux sur le lit et passe sa petite robe d’été au dessus de sa tête. Caroline dezippe ensuite le coté de la jupe de Sonia. Les deux amies sont maintenant en string, se caressant sensuellement. Les gémissements montent petit à petit, les filles se rapprochent. Caro fait glisser la lingerie de son amante, écarte les jambes de Sonia pour lui manger le sexe.
Je ne tiens plus, j’ai moi aussi envie de me mêler aux ébats. Caroline est à quatre pattes, croupe dressée. Je monte sur le lit, Sonia me décroche un sourire coquin, et retourne à son plaisir. Je me positionne derrière mon amie et écarte le tulle du string de Caro. Son petit abricot est déjà mouillé, et moi aussi je me lance dans un cunnilingus. Sonia est de plus en plus vocale sous les coups de langue de Caroline, ces gémissements se transforment en cris de plaisir. Caro relève la tête pour, elle aussi, pousser quelques petits cris… Sonia, haletante, s’adresse à son amie.

– Caro, j’ai envie de sucer ton homme… Continue de me faire du bien ma chérie !

Sans attendre l’acquiescement de ma sex-friend, je saisis l’occasion de faire goûter mon sexe aux lèvres de Sonia. La galeriste suisse me prend en bouche, et sa technique renforce encore mon excitation. Elle me branle doucement avec sa main tandis que sa langue tourne généreusement autour de mon gland. Sa main redescendant sur mes bourses, la coquine m’embouche encore plus, appliquant une succion continue sur mon vit… Au bout d’un moment, Sonia ne peut plus car les talents cachés de Caro en cunni finissent par avoir raison de ma fellatrice : elle jouit sous les coups de langue sur son clitoris.

– Oh putain Caro, c’était trop bon ! J’ai envie d’une queue maintenant, tu me le prête ? Hihi !!
– Je ne pense pas qu’il sera contre cette idée… Hein chéri ?

Je ne dis rien, Sonia se positionne et me présente son cul sublime. Son sexe glabre est trempé par le désir, mon sexe revient au garde à vous. Caroline place une capote sur mon sexe en la déroulant de la plus belle des façons, avec sa jolie petite bouche… Les deux copines sont complices, et je suis tombé dans le plus beau des traquenards ! J’ajuste le condom à la base de mon sexe, et je m’approche de la chatte de Sonia. Frottant mon gland à l’entrée de son puits d’amour, je libère quelques soupirs de satisfaction. Caroline est à coté de moi, elle me caresse les pectoraux d’une main et guide mon sexe vers la chatte de sa copine.

– Humm… Oui, vas-y ! Prends-moi ma petite chatte… Caro, j’ai envie de te manger !

Caroline rejoint Sonia, ôte la dernière pièce de lingerie, écarte les jambes et lui présente son minou. De mon coté, je pousse mon gland, Sonia est serrée. Ma pénétration s’accompagne du plus joli des soupirs, et je me trouve encouragé dans mon mouvement. J’att**** les hanches de Sonia et juste au dessus de son épaule, je vois ma petite Caro se faire goulûment lécher le sexe. Cette vision déclenche en moi un réflexe presque primaire, et je pousse mon sexe au fond du vagin de ma partenaire. Ce mouvement fait crier avec délice Sonia, mais je ne m’arrête pas : je repars dans le sens inverse, avec le même petit cri pour conséquence. Sonia est encore plus vocale que Caro, et c’est bien excitant.
Les mains toujours bien calées sur les hanches de la suissesse, je lime en rythme le sexe de Sonia , tout en flattant sa sublime poitrine. Sonia relève la tête et exprime sa volupté.

– Ha ouiii ! Prends-moi bien comme ça ! Humm… c’est bon… Caresse-moi les seins, ouiii !
– Humm… Oui, c’est bon ! Putain, elle est bonne ta chatte…
– Ouiiiii ! Tu aimes ça, bébé !!!!! Oh… Putain, continue !!!!!!!!

Caroline passe sous le corps de sa copine, et vient se positionner entre nos jambes. Alors que je pistonne généreusement la chatte de Sonia, Caro lèche alternativement le clito de son amie et mes bourses… Je suis au bord de l’explosion, la tension sexuelle est à son comble, et la langue de Caroline agit comme un détonateur.

– Haaa… Sonia ! Je vais jouir ! Je vais venir en toi !!!
– Oui ! Oui ! Oui ! Oui ! Ouiiiiiiiiii ! Je veux te sentir te vider !!!! Haaa !!!!
– Hummmm ! C’est bon ! Je viens !!!!

En deux coups de reins, je remplis la capote en projetant mon sexe au plus loin et en cramponnant fermement le postérieur de Sonia. Je me retire, le sexe encore bandé et Caro ôte très doucement le préservatif, en me flattant le pubis et l’intérieur de mes cuisses. Le chapeau de latex, encore poisseux de secrétions intimes, devient alors l’objet de toutes les attentions des filles. Caroline l’approche doucement de la bouche de son amie, le renverse, laissant Sonia boire mon foutre directement à l’orifice du préservatif…

Décidément, Caroline ne cessera pas de m’étonner ! Et les aventures de notre trio sensuel sont loin d’être terminées…

(A suivre)

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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