…ça faisait longtemps que j’essayais d’voir un rendez-vous avec vous. Faut reconnaître qu’en tant qu’enseignant de votre enfant, et vu le comportement qu’il avait en classe, cela se justifiait. 3 semaines que j’essayait d’avoir ce satané rdv! Et « j’ai oublié mon carnet chez maman et j’ai dormi chez papa, « Maman a oublié de signer… » Dans ces cas-là, j’aime bien répondre : « Et bien, c’est maman qu’il va falloir punir… ». Mais bon, quand au bout de 3 semaines enfin j’ai une signature et une date et un horaire… je n’y croyais plus.certes, l’horaire est tardif : « maman travaille tard! » mais bon passons, j’attendrai donc jusqu’à 19h30…si ça peut calmer le gosse!
Bref! il fallait bien une petite vingtaine de minutes de retard. Vous m’avez appelé, à peine gênée pour me prévenir. Mais bon je suis un peu énervé quand même : à quelle heure je vais rentrer… faudra abréger la rencontre. Enfin je devine une silhouette derrière la porte vitrée. Comme c’est la première fois que je vous rencontre, je vous demande en ouvrant, « Mme Lalie? »
Vous avez répondu « Oui » négligemment. Mon regard se pose enfin sur vous : Ma taille, une jupe très courte, des talons hauts, des bas où des collants (je n’arrive pas à trancher) gaînant une belle paire de jambes… , et un chemisier avec quelques boutons ouverts et un décolleté plongeant sur deux beaux globes bien rebondis! Hum! bandante la p’tite maman! là ça valait le coup d’attendre un peu.mais bon, on ne va pas dormir ici quand même. « Nous allons monter dans ma classe si vous voulez », 3 étages plus hauts, vous vous lancez devant moi. Bon tant pis,ce n’est pas très galant mais je vous suis. D’autant que là je vais pouvoir trancher : ce sont des bas et là c’est sans équivoque. J’en verrais presque votre culotte… si vous en avez une. C’est Hypnotisé par votre cul que je monte vers ma classe. J’ai un début d’érection e je profite d’être derrière vous pour me remettre la queue en place.
« une vraie petite pute celle-là » je me dis… je m’occuperai bien de ses fesses. je mate mais je fais attention de n pas me faire voir. Heureusement, l’école est vide à cette heure-là. Car ça aurait jasé sinon…Et pourquoi je ne suis pas au 4ème??? ça aurait duré plus longtemps.
Putain, autant votre cul est bandant, autant la conversation est un calvaire. Vous êtes en déni complet vis à vis de la conduite de votre enfant et je sens la colère monter en moi: j’ai comme une envie de vous remettre en place. C’est vrai parfois à voir les parents on comprend mieux les enfants. Là vous dépassez carrément les bornes : bientôt c’est de ma faute s’il se conduit comme ça!
Je m’énerve un peu et je commence à déballer ce que j’ai sur la patate :comment vous permettez vous alors qu’il a fallu 3 semaines pour avoir un rdv, à 19h30 qui plus est et vous vous pointez avec 20 minutes de retard, la bouche en coeur : c’est pas votre gosse qui est en cause; c’est vous qui méritez une bonne fessée… aïe! j’y suis allé un peu fort, mais bon j’assume… je suis gonflé (en bas aussi, mais c’est pour une autre raison!). Et bizarrement, vous qui avez réputation de l’ouvrir pour un oui, pour un non, là vous vous taisez, vous baissez les yeux et vous rougissez même… Oh!Oh!J’ai marqué un point..; cela a mis comme une drôle de tension dans la pièce.
La discussion reprend… vous un ton en-dessous… Allez! Comme les gosses! Voilà que vous vous mettez à vous balancer sur votre chaise…Alors là, réflexe : « Vaudrait mieux ne pas vous balancer, vous risqueriez de tomber. Certes la chaise n’est pas haute mais bon j’ai vu pas mal d’élèves tomber et ce ne serait pas le moment… quoi que!
Visiblement, comme votre enfant, vous ne voulez pas écouter… les chiens ne font pas des chats et dans ma tête je me dis que tant pis, au pire ça vous servira de leçon. Il est tard, et je commence vraiment à avoir un petit creux. Je sais qu’il me reste quelques bonbons d’un précédent anniversaire et je me lève donc pour allez en prendre un. En plus ça ne peut que détendre l’atmosphère… de mon bureau je vous observe. A chaque fois que vous vous balancez, votre jupette remonte et la lisière de vos bas apparaît mieux encore. » Une belle salope, voilà ce que tu es ma chère » je me dis en moi-même. « Franchement je te baiserais bien… je glisserais bien ma queue dans cette bouche pour qu’elle se taise un peu et je ferais bien des malheurs à ce petit cul qui se trémoussait dans les escaliers tout à l’heure devant moi! Tiens je suis sûr qu’elle va choisir la sucette dans la broîte à bonbon… » Vous voulez un bonbon »… »Vous avez quoi? » J’apporte la broîte. Je sais que là je ne suis plus caché par le bureau et que ma queue doit faire une bosse dans mon jean. Je décide de m’asseoir, non plus en face de vous, mais perpendiculaire à vous, sur le côté de la table. Cela me permet d’avoir une meilleure vue sur vos jambes. Et zut! Tant qu’à se faire chier, autant en profiter un peu. Une fois la broîte à portée de main, vous minaudez… et vous prenez la sucette…la petite salope. Il monte en moi une tension sexuelle, mais pas seulement. J’ai envie de vous humilier, de rabaisser votre caquet, de vous coller cette fessée que vous mériter pleinement et de vous faire rougir ces fesses… qui me font tellement envie… Euh! revenons à notre conversation… mais vous savez c’est pour son bien et c’est maintenant qu’il faut faire quelque chose, l’année prochaine j’ai peur qu’il soit trop tard et ne pas voir ce qu’il se passe c’est… vous me regardez avec un air bizarre mi-lascif, mi-je ne sais trop quoi entre attentive, apeurée et légèrement soumise… mon éclat de voix de tout à l’heure à laissé des traces. Cela ne vous empêche pas de sucer littéralement, comme un gland, la friandise… c’est à croire que vous me cherchez! Une vraie démonstration de votre aptitude à tailler des pipes. je m’imagine de plus en plus y enfoncer ma queue… Et tout à coup patatras! Ce que j’avais dit est enfin arrivé : à force de vous balancer, vous êtes tombée, à la renverse. heureusement, plus de peur que de mal, d’autant qu’un cartable a amorti votre chute. Mais vous voilà maintenant sur le dos, les jambes relevées… et votre jupe sur le bas ventre. Là, plus de mystère, vous portez bien des bas et un petit string se perd entre vos lèvres… un sexe qui à l’air totalement épilé à ce que je vois!
Vous êtes surprise et ne bougez pas… moi je profite du paysage!
Donc voilà le tableau : vous à demi-étalée sur votre chaise, les cuisses relevées et la jupette aussi, le string et les bas dévoilés ; moi debout, matant votre entrecuisse et les haut de vos jambe, une bosse de plus en plus proéminente dans mon jean et une envie partagée soit de me laisser aller à vous pourrir littéralement devant autant de n’importe quoi et de réellement vous coller une bonne fessée, soit de vous att****r et de vous baiser en commençant par votre bouche et en finissant par ce petit cul qui m’avait tant excité dans les escaliers.
J’hésite quelques secondes mais je vois bien que vous attendez ma réaction. Là, ça y est vous vous soumettez!
Votre regard me le dit. Vous vous laisserez faire!
« Bon stop maintenant ; arrêtez vos conneries. Levez-vous! ». Vous basculez sur le côté et vous vous mettez à quatre pattes pour vous levez. « Stop! J’ai bien aimé voir votre chatte, montrez moi un peu votre cul… » « Mais… dites vous… » arrêtez un peu de faire la vierge effarouchée, vous êtes venue habillée comme une petite pute et vous ne voulez pas me montrer votre cul. Allez relevez votre jupe que je le vois un peu ce cul!
« mais les fenêtres sont ouvertes et avec la lumière, les voisins vont nous voir ». « Peut être mais là c’est moi qui veut mater! »
Alors timidement vous remontez votre jupe. Je me frotte la queue, je suis très excité, et vous me regardez à la dérobade.
« Levez-vous maintenant! » En vous relevant vos cambrez bien votre cul… c’est sûr, tout à l’heure, je vais me le payer!
« Virez-moi votre string…il ne sert plus à rien! » Docilement, vous sortez une jambe, puis l’autre. J’ai une de ces érections, il faut que je me lâche plus encore.
« Appuyez-vous sur la table »…vous vous exécutez… »Virez-moi cette jupe, elle ne sert à rien non plus ». « Mais on va nous voir? » « Pas important ça, allez vite ! »
Vous dégrafez votre jupe ; elle tombe à vos pieds. D’un mouvement de pieds, vous vous en débarrassez… ça se voit que ce n’est pas la première fois que vous faites ça. « Appuyez vous sur la table et cambrez-vous » Vous tortillez des fesses, mais vous obéissez. C’est très excitant de voir la maman chiante à souhait honnie par tous les collègues dans cette position des plus offerte… quoi que… Vous pouvez faire mieux … « Cambrez-vous mieux, je veux voir votre entrefesse… allez écartez vos fesses pour me montrer ce que je vais pénétrer bientôt! Là maintenant vous savez ce qui va vous attendre, vous savez que j’ai une terrible envie de vous enculer! Vous vous cambrez à l’extrême… Vos fesses s’écartent toutes seules…hummm! la vision est alléchante!
« Touchez-vous » « nooon » « Ne me le faites pas répéter : touchez-vous »… »Mais d’habitude, j’utilise un gode » « Petite salope tu es vraiment une petite salope. Débrouille-toi! Tiens si tu veux tu peux prendre ça… » et je vous tends mon plus gros tube de colle « désolé, mais il ne vibre pas! » Vous commencez à vous frottez le sexe avec le tube avant de le voir disparaître dans votre chatte. Je dégrafe mon jean et j’ouvre ma braguette. je sors mon sexe de mon shorty… Comment faire autrement: je suis très, mais vraiment très excité. Je prends ma queue dans ma main et je commence à me branler doucement en vous regardant. Pendant ce temps vous vous activez! « Viens ici! ». Vous vous redressez vous vous tournez et vous vous approchez de moi. Je vous regarde : un petit chemisier bien échancré avec deux beaux gros seins qu’on a envie de mordiller, avec en dessous une chatte rasée en haurt de deux jambes mises en valeur par des bas noirs et une paire de talons hauts… Ouuuuuffff!
Je me branle lentement mais avec puissance…j’aime faire ainsi quand je suis très excité! « Tu sais quoi? Maintenant tu va t’agenouiller et tu vas me sucer. attention je n’aime pas sentir les dents alors tu te débrouilles mais quoi qu’il je soit, je ne veux pas les sentir… tu as compris? »
« Oui, je ferai attention ». « Attend! Tu vas t’accroupir plutôt… comme ça tu sentiras tes fesses mieux écartées… et il te resteras une main pour te toucher. Allez, accroupi! ». Vous approchez et vous vous accroupissez. Je passe la main derrière votre tête et tenant ma queue avec l’autre, je l’enfonce dans votre bouche. C’est chaud et je sens une goutte de sperme perler au bout de mon gland. Je le pousse plus loin, encore plus loin…j’aime sentir ma queue profondément enfoncée. Je commence un va et vient lent mais sans répit. Putain que c’est bon! « Touche-toi! » Je vois une main disparaître entre vos cuisses…
Et pendant ce temps je vous baise littéralement la bouche voire la gorge. De temps en temps je reste bien au fond… La sensation sur mon gland est terrible…c’en est presque serré… j’adore. Mais bon faut vous laissez respirer aussi!
je vous att**** par les cheveux…ça m’aide à vous prendre la bouche. Je vous tire la tête en arrière et je descends votre bouche vers mes testicules. « Lèche! ». c’est fou comme vous êtes devenue obéissante… à moins que cela ne vous excite. En tout cas, ça fonctionne sur moi et ma queue se dresse un peu plus. D’autant que je sens une petite langue dardée et malicieuse se diriger vers mon périnée… une vraie cochonne… « lèche! »…d’une main je vous guide la tête, de l’autre je me branle vigoureusement. de temps en temps je vous tire la tête en arrière afin de voir votre visage et votre bouche, la langue tendue, de la salive tout autour de la bouche. cela me donne tout le loisir de contempler votre jolie poitrine… Hum ça fait envie. je vous tire la tête vers le haut et je vous pince un téton. « Quelle bonne paire! je vais me frotter la queue entre, un peu… » En tirant encore sur vos cheveux, je vous relève et je vous allonge sur le dos sur une table de gosse : c’est pratique, elles sont basses. Votre tête dépasse et j’att**** vos seins et glisse ma bite entre pour me frotter entre…je vous baise les seins et je sens votre langue qui me lèche en même temps… « c’est bien, tu progresses, bonne initiative… tu vas avoir ta récompense, je ne vais pas tarder à t’enculer… longuement! » Je suis très excité, imaginez, je suis de me faire lécher pendant que je me tape une bonne branlette espagnole entre vos deux beaux gros seins et j’ai une vue sur votre chatte, vos jambes, vos bas, vos talons hauts… J’ai envie de mater votre anus. « Relève tes cuisses! Remonte tes genoux! » Vous vous exécutez sans rechigner, vous êtes totalement soumise. J’att**** vos jambes sous vos genoux et je les tire vers moi en les écartant: votre entrecuisse et votre entrefesse m’apparaît complètement. Vous gémissez un peu : « Non c’est trop… j’ai honte vous violez totalement mon intimité » me dites-vous. J’envoie une main sur votre chatte « Tu es trempée salope, et tu minaudes pour la forme, tu coules littéralement. Même ton trou du cul est trempé tellement ça coule. et regarde ça rentre facilement. » J’en profite pour vous glisser mon majeur dans les fesses. « Han! » faites-vous un peu surprise…
Je pense qu’il est grand temps de vous possédez maintenant totalement… j’ai toujours eu la sensation qu’une femme qui se laissait prendre par le cul se laissait aller complètement, se soumettait totalement, s’abandonnait tout simplement. Bientôt vous ne serez plus qu’un corps abandonné au désir et au plaisir d’être complètement possédée.
Mon index vient rejoindre mon majeur.Ils se glissent en vous, vous écartent, vous préparent pendant que votre langue s’active… une vraie p’tite pute…
à, je dois avouer j’hésite. Soit je fais durer la plaisir, soit je vous sodomise de suite… Et c’est sûr, je crois qu e j’ai une furieuse envie d’abuser. Voir une femme qui a priori adore en imposer aux autres, se retrouver là, comme ça dans une situation plutôt dégradante sans rechigner : une bite dans la bouche, en train de me lécher des couilles à l’anus, la chatte à l’air, le cul bien écarté avec deux doigts plantés dedans… quel délire, quelle folie! Alors qu’est-ce que je pourrais glisser dans ce p’tit trou… Mais oui, le concombre que j’ai vu dans le frigo de la salle à manger des profs… Un vieux fantasme!Je retire d’un coup mes deux doigts de votre cul et je vous att**** par les cheveux pour vous relever. » Viens avec moi, on va se balader un peu ». « Mais non, on risque de croiser quelqu’un. Je serais morte de honte, je dois me rhabiller… » « Tu rêves tu viens comme ça et plus vite, le cul à l’air avec tes bas. J’en ai rêvé tout à l’heure en montant les escaliers devant vous : passons du rêve à la réalité! » « Allez, passez devant, on redescend. » Arrivés dans notre réfectoire, j’ouvre le frigo. Merde plus de concombre…mais des peites courgettes. Incroyable ce que les collègues peuvent apporter ici. Enfin heureusement plutôt!
Pour vous mettre la pression, je vous annonce la suite des réjouissances: » Je vais te préparer avec ça » vous dis-je en prenant un légume à la base renflée puis plus fin… on dira un bon gode! Je vous sens un peu en panique « Mais c’est gros quand même! » « Allons allons, tu essaies de me faire croire que tu n’as jamais pris un coup de queue dans les fesses? tu as un trou du cul accueillant si j’en crois…mes deux doigts? » « Si, si je l’ai déjà fait…mais uniquement avec un sexe ou des doigts jamais autre chose avouez-vous timidement ». « Bon il y a un début à tout et j’ai une furieuse envie de te voir avec ça planté dans ton p’tit cul. Monte sur la table et mets-toi à 4 pattes. » « Mais tu es sûr que personne ne peut arriver? » « Sûr non! et puis là c’est ton cul qui focalise mes pensées… alors tant pis! » Vous montez sur la table et prenez la pose : quel spectacle! J’adore, un vrai fantasme ambulant! Je viens par derrière et je vous écarte un peu les genoux : vos deux globes s’écartent et laissent apparaître votre anus un peu rougi par le traitement qui je lui ai infligé juste avant. Je m’approche et d’un coup de langue bien aplatie, je vous mouille de salive…je sens le goût de vos sécrétions… « Allez maintenant au travail : cambre-toi bien que je te glisse ça entre les fesses! » Doucement en appuyant, en tournant, en relâchant la pression pour mieux rappuyer ensuite, j’arrive à faire s’ouvrir votre trou du cul… de plus en plus. Je sens que vous vous crispez un peu : normal, c’est le bout le plus renflé qui rentre en premier…
Tiens je remarque qu’une de vos main vient de disparaître entre vos jambes, vos doigts s’activent sur votre chatte pendant que je continue de vous enfoncer la courgette entre vos fesses…ça progresse et la partie renflée est presque passée. Du coup, je la tire en arrière et la sort complètement. Vous poussez un petit « oh! » de surprise et je mate votre trou qui reste un temps entr’ouvert. Et je me remets à vous l’enfoncer doucement mais sans m’arrêter. Vous vous cambrer et quand la grosse partie est enfin passée ous me faites un « Ohhh!! » plus long. Voilà la courgette et en place et je vous demande de descendre de la table… vous vous exécutez avec un peu de difficultés mais je vous fais prendre des poses les plus « garce » possible pendant que je me branle en vous regardant. Vous êtes à ma disposition, sous mon parfait contrôle, vous êtes ma chose ma petite pute anale prête à tout pour m’obéir… « Remonter sur la table,mais ce coup-ci, allonge-toi sur le dos que je te ramone l’anus avec cette bonne petite courgette. » L’avantage,dans cette position, c’est que je vois le moindre rictus qui s’affiche sur votre visage. « remonte tes genoux ^lus haut que je la vois bien fichée dans tes fesses, et que je puisse voir ton trou bien ouvert, bien envahi. » Vous remontez vos genoux jusque sur vos deux beaux gros nichons blanc laiteux… votre cul s’ouvre et j’att**** la partie émergée du légume pour commencer à vous branler le cul. C’est terrible ce que je vous fais…et vous êtes totalement à ma disposition, disponible, ouverte, offerte! J’adore! ça rentre et ça sort de votre cul et je vous ordonne « Touche toi comme tout à l’heure p’tite pute! » Une main viens se coller sur votre clitoris pendant que l’autre att**** une des fesses pour tirer dessus et les écarter un peu plus… Si les autres profs, si les autres parents s’imaginaient ça…vous auriez un succès fou auprès des autres mâles. Ma collègue lesbienne apprécierait aussi je suis sûr… il paraît qu’elle aime bien mettre sa petite main un peu partout…Bon, là, je dois avouer, je n’en peux plus : vous voir ainsi, un gode « bio » planté dans les fesses, votre trou très dilaté, penchée en avant offerte, soumise à cette caresse, j’ai envie de glisser ma queue en vous. sans vous prévenir, je tire d’un coup sec la courgette, vous gémissez brusquement et votre anus reste un temps bien ouvert… Vous savez que je vous matte. Et elle est loin la superbe et l’arrogance de la maman casse-pieds venue sur son 31 pour en imposer voire émoustiller le prof de son rejeton… La queue à la main je vous allume : « Tu sais que ton trou du cul est vachement dilaté et que t’es complètement ouverte… une vraie pute à enculer! Et comme je ne voudrais pas te décevoir, je vais te planter! Et là je pose ma queue sur votre rondelle qui m’aspire littéralement le bout du gland tant il est ouvert… Je pousse en vous attrapant par les hanches. « Haaaaa » vous faite quand ma queue rentre bien dans votre joli postérieur. J’écarte vos deux fesses pour pouvoir partir plus loin… »Haaaa » car là je peux difficilement aller plus loin. Je ne bouge pas, je profite de l’instant. Comment aurais-je pu imaginer ça quand j’ai vu votre silhouette à travers la porte-vitrée? Et aurais-je pu imaginer meilleur fin quand je montais derrière vous dans les escaliers en détaillant votre cul. je commence les aller-retours, et rapidement je m’emballe. J’ai envie de vous défoncer que ce soir, quand vous rentrerez chez vous, vous sentiez ma bite encore comme si elle était encore dans votre trou du cul. je veux que le lendemain, il vous rappelle notre entretien.
Je veux aussi vous sodomiser dans ma classe ; pas seulement. A la porte d’entrée de l’école aussi… Je vous annonce le programme « … comme ça quand tu viendras chercher ton gosse ça te rappellera de bons souvenirs! » Et c’est parti : direction la porte d’entrée, vous le cul à l’air et moi qui vous suis. Devant la porte, je vous ordonne : « allonge-toi ici, parterre, sur le dos. Ecarte tes cuisses et remonte tes genoux, écarte plus…bien! Ton cul est encore ouvert…ça m’étonnerait que ce soit la première fois que tu te fais prendre par le cul…avec ta tête et tes attitudes de Sainte-Nitouche! » Et je m’enfonce une nouvelle fois dans votre cul. « Pourquoi vous ne me prenez pas par devant un peu? » « Allons ton p’tit cul est bien plus accueillant et c’est comme ça qu’il faut te baiser, je l’ai compris dès que j’ai ouvert la porte, n’est-ce pas? » Vous baissez les yeux… et je recommence à vous prendre. J’appuie sur vos genoux pour vous faire remonter le cul. Je vos ma queue rentrer et sortir de vos fesses, je vois votre visage qui grimace sous ce mélange particulier de légère douleur et de plaisir fort. Mais oui, vous prenez votre pied… je me retire d’un coup. « Allez, direction ma classe! » En montant , dans les escaliers, je vous att**** par la taille : « Penche-toi en avant que je regarde un peu ton petit trou… enfin pas si petit! » Votre chatte est dégoulinante, votre anus palpite quand je tire sur vos fesses pour mieux admirer… comme ce doit être humiliant de se retrouver ainsi exposée à mon regard…je glisse ma queue dans vos fesses encore… pas un endroit où vous vous seriez fait mettre par derrière. « Tiens tourne-toi, vous dis-je en attrapant et en tirant vos cheveux, assieds-toi ici et suce-moi! ». J’imagine l’effet du marbre glacé sur votre entrecuisse et surtout votre entrefesse brûlant. Je m’enfonce dans votre bouche, lentement, fermement et profondément. Votre nez s’écrase contre mon pubis. J’adore cette sensation de fond de gorge…c’est différent! Je vous baise littéralement la bouche après vous avoir pris le cul…Quelle humiliation, mais apparemment quel plaisir aussi!Je me dégage car je commence à ne plus en pouvoir… j’en ai mal aux couilles tellement j’ai envie de jouir. Je me demande comment je vais faire ça. En longs jets au fond de vos fesses, afin que vous puissiez encore penser à moi quand vous le recracherez, en longs jets toujours mais au fond de votre gorge ce coup-ci, avant de l’avaler? Ou encore en vous maculant le visage et votre bonne paire de seins, afin que vous sortiez de la avec une forte odeur de sperme vous enveloppant afin que tous ceux qui vous croiseront sachent sans pouvoir en douter que vous venez de vous faire juter dessus!
« Allez, on remonte en classe, c’est là que tout a commencé, c’est là que tout doit finir..; enfin pour l’instant. Avance ». Il y a une belle trace d’humidité parterre, votre chatte et votre cul ont coulé. je vous colle une petite claque sur les fesses, vous poussez un petit cri et vous accélérez le mouvement. Nous rentrons dans la classe : « Choisis la table où je vais te sauter encore ». vous prenez la première. Par la fenêtre on voit maintenant les appartements voisins qui sont éclairés : il est tard et il fait nuit. Je crois que ce sera l’entretien le plus long de ma carrière … et tout compte fait, le plus agréable. « Comment dois-je me mettre? » « C’est bien tu demandes, c’est bien Lalie! Une vraie p’tite pute obéissante comme je les aime! »
« Je vais commencer à 4 pattes » Et oui je veux profiter jusqu’au bout. Vous prenez place. « Att****r vos fesses avec vos mains et accroupissez-vous… plus que ça! » Je reste derrière vous et je me branle en regardant votre intimité, la plus intime, ainsi impudiquement exhibée. Je ressens le sperme qui bouillonne dans les couilles… elles me font presque mal, j’ai tellement envie de lâcher tout ça!Je me place derrière vous, je pose mon gland sur votre anus et je remets ma queue entre vos fesses. je la vois aller et venir dans votre anus bien ouvert. Je tends la main et j’att**** sur mon bureau mon appareil photo. « Non, pas ça , c’est trop humiliant! » « tais-toi!, c’est tout ce que tu mérites. Tourne ta tête vers moi que je vois ta figure de cochonne… il faut que je puisse me rappeler son expression quand je te prenais par derrière… rassure toi, je garderai ça pour moi… les soirs où je serais seul et que j’aurais envie de me branler en repensant à quelque chose de bon! Allez tourne ta tête… voilà c’est bien… hummm sacrée photo! »
« Allez maintenant tu te mets sur le dos comme ça il n’y aura pas loin de la coupe aux lèvres! Et débrouille-toi que ma queue ne sorte pas de toi! » Vous vous contorsionnez et vous vous retrouvez sur le dos. Pour évitez les photos vous mettez la main devant votre visage. « Arrête ça! tu me prends pour une bille! »Je vous retire la main pendant que je continue à m’activer en vous. Et je continue les photos! Trop bon! Quel bel angle de vue!Vous ne savez que faire, jouir ou pleurer…
Je n’en peux carrément plus. Il faut que je lâche tout ça! Alors j’accélère encore… ça chauffe quand même… je vous att**** la jambe droite, je la soulève brusquement. Cela fait sortir ma queue d’un coup de votre anus, et ça libère le passage vers votre visage. Je pense que vous avez compris ce que je trame… « Dans la bouche pas sur moi, je ne vais pas pouvoir rentrer chez moi comme ça? ». Je suis maintenant au-dessus de vous. J’att**** vos deux mains pour les bloquer et éviter que vous m’empêchiez de vous jouir dessus…
« Arrête! Laisse-moi faire! » Quoi qu’il en soit, c’est trop tard… enfin je me libère de toute cette pression de tout ce jus qui part sur vos deux beaux gros seins (n’est-ce pas?), sur votre visage.. quelques gouttes partent sur votre bouche… vous passez votre langue dessus. Avec ma queue je vous étale mon foutre sur toute votre poitrine, je me branle pour en faire sortir le plus possible: ce serait dommage que vous en perdiez la moindre goutte!
« tu as quelque chose pour m’essuyer? » « Déjà une petite photo : allez souris! Tiens, glisse-toi une main jusque sur ta chatte. Sinon pour t’essuyer, tu n’as qu’à prendre ton chemisier : tu dois assumer ton statut de petite salope soumise! Certes tu es un peu souillée, mais tu restes terriblement bandante. Allez, rhabille-toi,l’entretien est terminé. Je me réserve le droit de te reconvoquer quand j’aurais envie de t’enculer un peu… je mettrai un mot dans le carnet de ton enfant. » Depuis je n’ai plus eu de problème avec l’enfant… par contre j’ai toujours trouvé une bonne occasion de vous reconvoquer le soir… malheureusement tard car vous bossez beaucoup!
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