Fin mars était l’occasion pour maman d’accueillir une «étudiante» étrangère. Cette année c’était une tunisienne Amina, une professeur de français dans son pays, elle venait pour parfaire la langue et allait passer une quinzaine de jours à la maison. Nous ne savions pas quelles seraient les conséquences mais en tout cas nous prenions cela comme un moment différent.
Amina arriva le samedi, c’était une jeune femme de 28 ans, de taille moyenne, assez fine et avec une petite poitrine. Elle était très brune et habillée classiquement, pantalon, chemisier et chaussures à petits talons.
Les premiers jours furent assez calmes, nous avions pas mal de discussion sur la vie dans nos pays, nos envies, passions. Parfois nous rigolions un peu tant nos cultures était différentes.
Amina nous faisait découvrir la cuisine de son pays et nous la notre.
Le WE arrivait tranquillement. Lors du repas maman lança la conversation sur les sorties.
Amina nous expliqua qu’elle n’était jamais sortie, cela ne se faisait pas dans son pays.
-Et bien cela te dirait de sortir ce soir ? lui proposa ma mère
-Et je ne sais pas.
-Allez, on y va tous les trois.
-Vous sortez ensemble ?
-Bien sûr, lui répondis-je.
Finalement elle accepta pour découvrir ce que c’était. Vers 23H nous sommes allez au pub. Amina au début très timide commença petit à petit à s’amuser. Finalement vers 2H du matin nous reprîmes le chemin de la maison. Tout le monde fila au lit pour finir la nuit.
Le lendemain nous avons eu pas mal d’échanges autour de cette soirée. Lors du repas de midi maman lançait le débat sur la soirée.
-Bon, nous serons tous les trois ce soir, que faisons-nous, une idée Amina?
-Non je ne sais pas, que faites-vous lorsque vous voulez passer une bonne soirée.
-Et bien un apéro dînatoire, lançais-je.
-C’est une bonne idée mon cœur, qu’en dis-tu ?
-Je ne connais pas mais je vous suis.
Dans l’après-midi je suis sorti avec des amis et suis revenu en fin d’après-midi. Une petite douche après je n’habillais cool pour la soirée et descendais dans la cuisine.
Les filles étaient dans la salle de bain, je leur demandais
-Il y a quelque chose à faire ?
-Oui ma pupuce, tu sors ce qu’il y a au réfrigérateur et nous arrivons dans quelques minutes.
Je mis sur la table du salon les petites choses qu’elles avaient préparées et m’installais dans le canapé.
Une bonne demie heure plus tard maman fit son arrivée. Elle était vêtue d’une petite jupe droite qui laissait apparaître les attaches des bas et un chemisier blanc qui laissait apparaître un soutien-gorge noir.
-Attention mon cœur j’ai une surprise pour toi, ferme les yeux.
Je fermais les yeux et entendais Amina entrer dans la pièce. Elle se rapprocha du canapé et stoppa face à moi.
-Vas-y mon cœur ouvre les yeux.
Amina était là devant nous, c’était la première fois que je la voyais avec une jupe à mi cuisse qui mettait en valeur ses jambes fines et galbées ainsi qu’un chemisier qui mettait en valeur sa taille de guêpe. Un maquillage un peu plus chargé qu’habituellement finissait par donner un air fort désirable à cette femme.
-Comment trouves tu notre invitée mon cœur.
-Et bien superbe.
Les joues d’Amina virèrent au rouge, signe de sa gêne et de son manque d’habitude de ce genre de situation.
-Allez viens t’asseoir entre nous et profiter de ce moment, lui lança ma mère.
Elle s’exécuta et prit place entre nous. Le fait de s’asseoir acheva de remonter sa jupe sur ses cuisses pour faire apparaître la naissance de ses bas. Les deux femmes de la maison étaient fort désirables mais je ne savais pas comment en profiter……
Nous avons commencé à prendre cet apéro, profité des petites choses qu’elles avaient préparées. Les discussions portaient sur l’amusement, les sorties, le mariage puis vinrent sur les relations familiales. A un moment il y eut un petit blanc.
-J’aurais une petite question à poser, mais je ne sais comment, lança Amina.
-Et bien pose la comme tu la sens répondit maman.
-Et bien, tous les deux vous êtes mère et fils et vous avez une complicité que je trouve immense. Je n’ai pas les mêmes relations avec ma mère et mes frères encore moins. Je trouve que c’est magique, vous vous comprenez simplement, chacun fait une partie du boulot et aide l’autre. Vous sortez ensemble, vous rigolez ensemble, voila, je trouve cela super et pour être franche j’aimerai beaucoup savoir et comprendre comment cela est possible.
Maman eut un large sourire et commença à répondre:
-Tu sais Amina j’ai beaucoup de chance d’avoir un fils comme mon cœur et les relations que nous partageons sont assez particulières.
-J’imagine mais j’aimerais bien savoir comment vous arrivez à être si complices, lui retourna-t-elle.
Maman me fixa droit dans les yeux avec ce petit regard qui en disait long. Elle se pencha vers l’avant et plaça son visage juste devant celui d’Amina en me regardant.
-Mon cœu, je crois qu’Amina veut savoir ce qui nous rapproche.
J’ai alors fait de même et nous nous sommes embrassés à pleine bouche quelques secondes. Nous avons pris un petit recul et regardé le visage d’Amina. Elle était stupéfaite.
-Je
-Tu es étonnée lui dit ma mère.
-Un peu plus que cela même.
Ma mère retourna la tête et nous avons repris tendrement nos baisers en nous regardant droit dans les yeux. Dans un mouvement quasi mutuel nos têtes ont commencé à se rapprocher de celle d’Amina. Ce synchronisme dans l’idée nous fit «sourire». Nous sommes rapidement arrivés au visage d’Amina qui ne pouvait plus reculer son visage. Nous nous sommes légèrement séparés. Nos trois nez étaient collés les uns aux autres, nos lèvres étaient fort proches au point que nos souffles ne faisaient qu’un. Celui d’Amina était court. Nous avons commencé à caresser son nez avec les nôtres, rapprochant encore plus nos lèvres en évitant totalement les contacts. Petit à petit ce jeu semblait ne plus la laisser insensible. Nos regards se croisaient, d’un côté celui de maman déjà totalement lancée et de l’autre celui d’Amina, mi révulsée, mi troublée….. Au bout de quelques moments ma mère et moi avons tiré nos langues et commencé à jouer. Puis, nous nous sommes arrêtés en positionnant nos deux langues à l’entrée de la bouche d’Amina et en la regardant droit dans les yeux. Cette position resta ainsi quelques secondes puis elle commença à desserrer les dents et la bouche. Quelques secondes après elle sortit la langue et la plaça lentement contre les nôtres. Nous avons alors tous les trois commencé à jouer, à nous goûter, petit à petit nous la sentions se détendre, s’abandonner.
J’ai alors placé une de mes mains sur sa cuisse alors que maman caressait son décolleté. Maman commença à ouvrir le chemisier de la miss qui se laissait totalement faire maintenant.
Maman acheva d’ouvrir le chemisier d’Amina et commença à lui embrasser les seins.
-Ils te plaisent mon cœur.
-Super jolis.
-Tu comprends Amina pourquoi nous sommes heureux et complices tous les deux.
-Un peu de mal à suivre mais…….
Maman repéra tout de suite mon érection, passa la main sur le renflement de mon pantalon et libéra ma verge qui se dressa immédiatement.
Elle la prit en main puis en bouche tout en regardant Amina.
Cette dernière maintenant ne loupait pas une miette du spectacle en commençant à se caresser sa poitrine.
Mon érection était dure comme un roc et maman se délectait en la suçant langoureusement et profondément.
-Elle te plait sa bite, lui demanda-t-elle
-Oui.
-Allez fais-toi plaisir, viens la sucer lui dit-elle en se reculant.
Amina vint s’asseoir sur le bord du fauteuil. Sa main se posa sur ma cuisse en remontant lentement vers ma bite. Elle la prit finalement en main et commença à la caresser.
Maman s’était assise en face sur le fauteuil, remontant sa jupe et commença lentement à se caresser.
Amina finit par approcher sa bouche de ma queue. Elle me regarda et avala entièrement ma queue dans sa bouche.
-Gourmande dit ma mère.
Amina s’activait maintenant goulûment à sucer ma queue alors que maman se branlait comme une folle en face.
-Je ne sais pas pour vous mais moi je n’en peux plus dit ma mère.
-Viens me baiser mon cœur.
Elle se leva, se retourna et mit un pied sur le fauteuil. Je m’approchais derrière ma mère et l’enfilais d’un seul coup tellement elle était trempée. Dès les premiers coups de piston ses râles de plaisirs se faisaient entendre. Je l’attrapais alors par les hanches et me mis à violemment la pistonner, elle criait maintenant comme une folle et je finis par lui éjaculer au plus profond de sa vulve.
-Ca va maman ?
-Un peu mieux, si on allait se mettre à l’aise ?
Je prenais Amina par la main et l’emmenais dans la chambre de maman qui nous suivait.
Je m’assis sur le fauteuil alors que les deux filles face à face commençaient à se caresser.
Maman termina de retirer le chemisier d‘Amina et laissa tomber le sien. Elle la prit par la hanche, se plaqua contre elle. Amina avait maintenant laissé tomber toute crainte, elle prit le cou de ma mère et l’embrassa goulûment.
Elles se libérèrent de leurs jupes et s’allongèrent en 69 sur le lit. Maman écarta les genoux d’Amina pour que je puisse admirer la vulve qu’elle était en train de lécher.
Elles se bouffaient réciproquement la chatte sans répits. Maman approcha ses doigts de l’intimité d’Amina qui se tendit et lui dit:
-Non pas ce trou là.
Je tendais un petit gode à maman qui commença à lui titiller l’anus. Après quelques orgasmes des deux filles, maman se leva et vint sucer ma bite qui avait repris vigueur avec ce spectacle. Alors qu’elle me pompait à fond Amina continuait à se bricoler l’anus avec le gode.
Maman récupéra alors un préservatif et l’enfila sur ma queue bien dure.
-Allons-y.
Amina se mit en levrette et s’écarta largement le cul, maman se mit derrière moi, empoigna ma queue, la présenta à l’entrée de l’œillet d’Amina.
Sentant ma bite Amina recula, son anus s’ouvrait facilement et mon gland fut happé. Ma mère me poussa et j’étais maintenant à fond en elle.
Je l’empoignais alors par les hanches et l’enculais vigoureusement à fond. Maman se mit en face d’Amina qui commença à lui goder le cul. J’explosais littéralement le cul d’Amina qui se tapait orgasmes sur orgasmes mais moi, la capote me bloquait tout. Maman vint alors se mettre en levrette à côté de nous.
-Viens mon cœur, défonce mon cul maintenant.
Je sortais du cul d’Amina, retirais la capote et présentais ma queue à l’entrée du cul de ma mère. Une légère poussée me permit d’être en elle et de lui tirer un petit cri. Je finissais de l’enfiler et commençais à lui bourrer le cul. Je la défonçais vigoureusement ce qui lui extirpait des cris de plus en plus intenses, elle jouissait alors de manière bruyante et je lui expédiais de gros jets de foutre dans le cul.
Nous primes alors quelques minutes ainsi pour reprendre nos esprits et notre souffle. Je pouvais admirer et caresser ces deux culs alors qu’elles s’embrassaient tendrement et langoureusement.
Nous avons fini la soirée en se faisant de tendres et langoureux câlins.
Les quelques jours restants furent assez sympas et nous avons échangé pas mal de choses et fait connaissance encore plus intimement.
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