Histoires de sexe hétéro Histoires porno

Surprise à la Porte de Champerret

Surprise à la Porte de Champerret



Après vous avoir vue, vous avoir laissé partir, un trouble s’est emparé de tout mon être, vous retrouver enfin… Depuis je vais d’arrêt de bus en Porte de Paris à votre recherche… puisque c’était à un arrêt de bus et à une porte de Paris que… Mais rien ou presque… Rien… Non !
À part cette curieuse expérience que j’aimerais vous faire partager si un jour vous me lisez…

Décidément, cette Porte de Champerret, objet de tous mes fantasmes, fut une fois de plus le lieu de cette étrange histoire. Je vous y ai croisée, vous m’avez répondu dans un souffle « Allons faire l’amour », je ne savais rien de vous… Et vous rien de moi…

Vous m’avez pris la main, une porte s’est ouverte et je vous ai prise dans cette cage d’escalier… Vous avez disparu et depuis je rôde à votre recherche…

J’attendais une fois de plus votre arrivée ou plus précisément j’essayais une fois de plus de me dire que vous alliez apparaître, là. Oui ! Oui ! Juste là, sous cet abribus. Tous les signes indiens étaient vaincus alors forcément vous deviez être là… Il y avait la pluie, la foule, les bus.
Et puis cette femme de dos qui vous ressemble étrangement, même rousseur, même sourire, une baguette chinoise dans les cheveux semblant rythmer la cadence de ses bottes sur le trottoir humide.

Je m’approche, lui touche le bras avec douceur :

— Estelle…
— Oui.
— Mais ce n’est pas… enfin je veux dire ce n’est pas vous ! Euh ! je n… !
— Je ne suis pas votre Estelle ! C’est drôle, non ! J’ai l’impression de vous connaître !
— Pas moi, désolé ! Vous m’excuserez de vous avoir abordée…
— Bien sûr ! J’attends un bus et vous ne m’avez pas agressée, alors ! Vous accepteriez de boire un verre ? me dit-elle avant que je puisse faire un geste…
— Pourquoi pas, j’ai un peu de temps devant moi !

Nous nous dirigeons vers le bar le plus proche, le même où nous nous sommes rencontrés.
N’y tenant plus, je lui raconte toute l’histoire. La bousculade, les excuses, la porte cochère, le hall de l’immeuble abritant nos premières chaleurs…
Je me vide de toutes ces tensions, elle écoute, sereine, et contre toute attente rapproche sa chaise et me glisse à l’oreille :

— Si vous voulez, je vous suis dans ce fameux immeuble… Il ne faut pas aller contre un fantasme si fort…
— Euh ! Vous croyez ?
— Viens, dit-elle en me prenant la main.

Trottoir, accélération du pouls, moiteur des mains, sensation de gorge sèche nous accompagnent dans notre recherche d’un hall d’immeuble tranquille.

Enfin, une femme sort, je retiens la porte et entraîne Estelle à ma suite. Nos bouches se trouvent en un long baiser, nos mains se libèrent enfin. Elle me plaque sur le mur de broîtes aux lettres. Sa main est déjà sur mon bas-ventre et l’enflamme par un massage appuyé.
Mon regard cherche rapidement un endroit pour abriter notre étreinte d’éventuels regards.
Un local à vélos nous offre sa tranquillité.

Nos baisers reprennent avec fougue. Nos manteaux sont maintenant par terre. J’explore sa poitrine ferme et désirable. Ses seins se soulèvent sous ma langue.
Sa main se pose sur ma cuisse. Je ne bouge pas. Elle remonte lentement, sa main, me caresse, je ne peux cacher mon trouble, une bosse se forme sous mon pantalon, je tremble d’excitation.

Estelle semble imperturbable, commence à remonter sa main, effleure mon entrecuisse, s’attarde, j’ouvre mes cuisses au maximum, sa main se pose sur cette bosse qui me fait presque mal. Ses doigts commencent un léger massage, épousant la forme de ma queue.
Je suis tellement excité que j’ai peur de jouir comme ça, dans mon pantalon. Elle le sent et sa main s’arrête. Je regarde autour de moi, les vélos me rassurent… Elle s’arrête :

— Baisse ton pantalon !

Je m’exécute, libérant mon sexe déjà dur. Elle s’agenouille sur ma veste et me suce puis s’arrête et me retourne prestement. Elle écarte au maximum mes fesses, afin de les offrir le plus possible à sa convoitise. Je me cambre. Je la sens qui m’observe : elle prend son temps.

Mon anus s’entrouvre, comme étiré… J’apprécie cette situation : une inconnue est en train de me peloter les fesses et me mater le trou du cul. À ce moment, je sens sa langue brûlante me parcourir la raie. Elle est à genoux et lèche avec passion mon trou écartelé, m’arrachant des gémissements que je ne me connaissais pas. Il me reste suffisamment de conscience pour craindre d’être entendu. J’essaye de me retenir, mais bien vite devant l’insistance de ses coups de langue, je me lâche complètement.

— Tu aimes ?
— Oui…

Je suis là, pantalon sur les jambes, le sexe contre un mur froid, la langue chaude d’une inconnue prénommée Estelle dans le cul et plus rien n’a d’importance. Je suis vivant.
Elle se relève, je l’embrasse pour me goûter. Je lui caresse les seins et passe ma main sur son ventre qui ondule sous mes caresses.

Ma main est maintenant sur son entrejambe. Je l’effleure tout doucement et… Je sens un sexe comprimé qui ne demande qu’à s’exprimer…

— Mais… tu es un homme…
— Non chéri, un trans. Ça te gêne…
— Euh ! non ! Je ne sais pas !
— Laisse-toi faire, tu verras, ça ira tout seul !

Il ou elle je ne sais plus, sort son sexe maintenant dressé à hauteur du mien, elle s’empare de nos deux sexes et les branle. Cela m’excite de nouveau.

— Tu veux essayer !
— O… Oui !
— T’en as envie ? Bouffe-moi la bite…

En deux secondes, je me retrouve à genoux, nez à nez avec une belle verge en érection. Pas grande mais très grosse, avec un gros gland luisant de désir. Devant cette tige dressée, j’ouvre instinctivement la bouche et tends ma langue en signe de soumission. Prendre cette pose m’excite énormément.

J’ouvre la bouche et son gland glisse entre mes lèvres, d’instinct je les referme et me mets à le caresser avec ma langue. J’ai juste son gland en bouche, et je n’en peux plus d’excitation. J’aime sentir sa main sur ma nuque. Plongeant d’un seul coup, comme désespéré, je l’engloutis d’un seul coup.

C’est trop bon, il est dur, il vibre dans ma bouche, je suce comme si ma vie en dépendait. Je monte jusqu’au gland, puis je redescends d’un coup au fond. À chaque fois elle ou il, je ne sais plus, accompagne ma plongée d’un soupir et sous ma tête ses muscles se contractent.
Ma tête tourne, je ne pense plus qu’à sa queue, je veux qu’elle jouisse, je veux la boire, c’est comme une spirale de plus en plus profonde dans laquelle je fonds à chaque aller-retour.

Ses mains se serrent sur ma tête, elle m’enfonce encore plus au fond, et tout à coup, elle sort de moi et me maintenant le visage au bord de sa queue, elle se branle. J’attends, bouche ouverte, la léchant pour qu’elle jouisse, et enfin une grande giclée épaisse m’éclabousse. Je saute sur son gland et je tête toute sa semence. Elle gémit de plaisir, elle tremble, c’est mon plus grand bonheur.

J’ai l’impression qu’elle n’en finit pas d’éjaculer, que je vais rester là à la sucer pour toujours. Enfin, elle se calme, et je reste, son pénis en bouche, couvert de semence, à la sucer doucement. Elle respire profondément. Ma verge entre mes jambes me fait mal, je n’ai jamais été aussi dur. Je voudrais qu’elle me touche, qu’elle me fasse jouir aussi, mais je n’ose pas demander.

J’ai à peine le temps pour quelques coups de langue sur ce gland magnifique, qu’elle a renfourné très vite son membre dans ma bouche me donnant une sensation de plénitude exceptionnelle. Je la sens durcir à nouveau…
Son phallus est dur de nouveau et elle me sourit. Je lui rends son sourire. Elle attire ma bouche et nous nous embrassons goulûment, partageant ainsi sa liqueur au goût salé et légèrement acre.
Maintenant c’est elle qui, à genoux, me suce, je suis entièrement au fond de sa gorge, c’est doux et chaud je ne sais plus où je suis, je râle de plaisir.

Je n’ai plus peur que l’on nous trouve, je me fous de tout, je veux juste jouir de ce moment d’éternité. Elle s’écarte, me laissant tremblant, ses doigts s’insinuent entre mes fesses. Je sursaute. Un « non !  » s’échappe de mes lèvres, mais sa poigne reste ferme. Elle entre un doigt dans mon trou. Je crie un peu, et me tends. Elle me dit doucement :

— Chut, laisse-moi faire…

Je me détends doucement, et elle commence à aller et venir avec son doigt dans mon cul. Cela me brûle. D’un coup elle enfonce son doigt complètement, et je crie de nouveau, puis je sens un autre doigt s’insinuer, forcer, jusqu’à ce que je me détende enfin. Elle fait couler un filet de salive dans ma raie pour me lubrifier.

Je sens ses deux mains de chaque côté de mes hanches. Elle me claque un peu les fesses, je sursaute, elle passe ses mains sur mon cul. Je n’en peux plus, je gémis déjà, je respire fort, elle remouille son doigt et recommence à me caresser la rondelle.
Ça a duré 30 secondes, je suis déjà bien dilaté, tellement offert, tellement excité. Elle retire son doigt, me reprend les fesses, place ses jambes entre les miennes, m’écarte les jambes avec les siennes tout en m’appuyant sur le bas du dos. « Ohhhhhhhh ! « . Je suis complètement plaqué contre le mur, le cul relevé, saillant, bien offert.

Je sens son sexe contre ma rondelle, je me raidis, tellement je suis surpris, mais rien ! Elle s’est arrêtée au bord, je la sens là, le gland positionné comme il faut, juste une toute petite pression, suffisante pour que je la sente mais insuffisante pour qu’elle la rentre.
« Ohhhhhhhh ! ».
Je relève la tête, je respire plus fort encore, je la sens là, prête à partir, mais rien ne se passe. Juste cette petite pression constante. Comme je respire fort mon cul fait d’infimes mouvements.

Cela a pour effet de faire varier la pression de son gland sur mon anus, me faire respirer plus fort encore, me faire bouger plus fort encore. Sans que je m’en rende compte, je suis en train de m’ouvrir moi-même sur son gland, apeuré, attendant avec inquiétude le moment fatidique.
Elle a une technique absolument incroyable, une petite pression… « Ohhhhhhhh ! ». Elle se recule d’un centimètre, une seconde pression… « Ohhhhhhhh ! ».

Elle se recule à nouveau, une troisème pression… « Ohhhhhhhh ! »
Je n’en peux plus. Chaque pression me fait m’écarter un peu plus, chaque pression me détend un peu plus l’anus, à chaque fois, j’ai peur qu’il ne rentre et je me contracte un peu… Mais non, il ne rentre pas… Je commence à me détendre… « Ohhhhhhhh ! »
Sixième pression « Ohhhhhhhh ! ». Je suis de plus en plus souple, de plus en plus détendu.

Je commence à ne plus penser à la pénétration, juste le plaisir de ce bélier, qui fait mine de vouloir rentrer mais qui se retire dès qu’il commence à m’écarter. Mon anus n’a pas le temps de se resserrer que la pression suivante arrive, jusqu’au moment où, par surprise, sans m’y attendre, elle poursuit la pression jusqu’à ce que mon anus à moitié ramolli ne s’écarte en épousant la forme de son gland.
« Oooooooohhhhhhhhhh ! »

Sa bite est rentrée toute seule, sans douleur, sans déchirement, elle avance doucement, dans un mouvement continu, sans s’arrêter. Je sens chaque centimètre de sa queue me parcourir, je sens mon ventre se remplir, je me cramponne à ses hanches, je laisse partir mon cul en arrière, jusqu’au moment de la douleur : « Rhaaaaaaaaaaa ! ». Je l’ai senti buter, freiner, je me retrouve entièrement comblé, rempli, écarté.

Elle recommence son va-et-vient. Je sens monter une vague de plaisir et mes fesses s’ouvrent complètement. Elle me prend doucement, inexorablement.
Je sens mon cul s’ouvrir, la douleur est forte et douce. Enfin elle est entièrement en moi, elle s’appuie de tout son poids sur moi et je sens son ventre sur mes fesses, ses seins me caressent le dos.
Je gémis, j’halète, je n’en peux plus. Cela m’irradie, laissant toute pudeur, j’ouvre mes jambes et me cambre au maximum, des mots m’échappent « c’est bon »,  » j’aime »,  » encore », alors elle se déchaîne, et commence à me pilonner de plus en plus vite

— Tu aimes ma bite ?
— Oui, j’adore ! Prends-moi le cul !

J’entends le claquement de ses cuisses contre mon cul tendu, je suis une chienne en chaleur, Je veux prendre le rôle de celui qui se fait baiser, qui se fait prendre, qui provoque, qui excite… je suis elle, ma douce, mon attente, mon désir… Je suis Estelle à cet instant…
Je me mets à crier, oubliant le monde autour de nous. Elle sort de moi, puis entre de nouveau, de plus en plus profond, de plus en plus fort, je supplie, je veux… Je désire… Je ne sais plus… Qu’elle me prenne.

Enfin, après un temps éternel, ses mains se crispent sur mes fesses. Elle s’immobilise et son corps se secoue de spasmes, elle se vide en moi. Je sens sa queue agitée de pulsions, je la sens jouir, c’est trop bon. Sa queue, ses couilles battent mon fondement, je m’écrase contre le mur et sens mes jambes se dérober sous moi…

Nous restons là quelques secondes, à récupérer, sa queue plaquée au fond de moi, ses seins pressés sur mon dos. Je râle toujours, elle prend ma queue dans sa main en maintenant la pression sur mon cul, elle se met à me branler très rapidement, j’explose en moins de dix secondes, par saccades, avec un cri à chaque fois.

Chaque saccade me fait faire un sursaut, chaque sursaut me fait sentir son sexe au fond de moi avec douleur, chaque douleur me fait crier et exploser à nouveau, jusqu’à ce que je n’en puisse plus et que je me torde pour qu’elle retire sa main de ma queue et son sexe de mon cul.

Elle se retire doucement et se positionne derrière moi, je reste plaqué sur le mur, gémissant encore, les mains relâchées, parcouru de sursauts et de spasmes. Ma queue pendante entre mes jambes écartées, des gouttes de sperme s’en échappant encore, mon cul encore offert, laissant paraître le trou béant de mon anus complètement dilaté. Je n’arrive pas à récupérer.

Elle décule, me retourne, tout en continuant à caresser mon gland luisant de sperme, force ma bouche, je suis sa pute, sa chienne offerte…
De longues minutes s’écoulent, elle rajuste sa robe, rentre sa queue dans son string, réarme son soutien-gorge et me sourit.

— Tu as aimé ?
— Je… n’en peux plus, dis-je dans un souffle. C’était surprenant…
— Bon, j’ai un bus qui m’attend, dit-elle.
— Mais attends !
— Chut ! À bientôt mon ange ! Et merci ! J’ai bien joui !

Je suis en train de remonter mon pantalon gluant de sperme qu’elle pousse déjà la porte, me laissant seul avec… mon mal au cul…

Je sors enfin de l’immeuble pour la voir s’engouffrer rapidement dans un bus à la destination banlieusarde. Estelle, Estelle… Au secours ! Je rêve, je viens de me faire prendre comme une salope et… Et j’ai aimé…

Décidément la Porte Champerret…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire