Histoires de sexe travesti Histoires érotiques Histoires tabous

Le footing en foret

Le footing en foret



Je pars faire un footing avec Agathe. En foret. On se fait un petit selfie avant de partir car on se trouve plutôt sexy dans notre tenue de sport.

Nous voilà donc partis pour un joging d’une petite heure de bon matin dans la foret. Il y a très peu de monde à cette heure de la journée en semaine. Au détour d’un chemin, nous croisons un petit groupe d’homme entrain de courir. A notre passage, ils nous sifflent. On rigole comme des gamines et on ne s’occupe pas d’eux. Au bout de moins d’un kilomètre, on entend derrière nous des bruits de foulées. En se retournant, nous apercevons les homme que nous avions croisé qui nous ratt****nt. Arrivé à notre hauteur, l’un d’eux nous dit :
« Alors les filles, c’est la fête au paradis ? »
On se regarde toute les deux en se demandant de quoi il veut parler. Mais il reprend :
« Ca va faire du lait caillé à balancer vos nibards comme ça ! »
Choquée de cette vulgarité, je lui réponds du tac au tac :
« Cassez vous les con avec vos p’tites bites ! »
Quelle bêtise je venais de faire. Le salop prend mon short et le tire vers le bas me faisant tomber. Agathe en voulant me ramasser se fait elle aussi baisser le short par un autre mec qui la pousse sur moi. Ils éclatent de rire de nous voir dans cette situation scabreuse. Nous voilà le cul à l’air devant ces inconnus.

«Vous avez l’air d’être chaudes comme la braise salopes ! Vous êtes déjà couchées prêtent à vous faire mettre ! »
Là c’est Agathe qui réagie :
« Pauv’ con faite pas chier salops ! »
« Mais, on se fait insulter ? Elle se prennent pour qui ces pétasses ? »
« On va vous calmer les salopes ! »
On voit que les lascars bandent déjà comme des ânes de nous voir à leurs merci les croupes à l’air. On commence sérieusement à flipper. Vous tremblez de peur. Agathe bafouille en les suppliant tremblante comme une feuille :
« Pitié.. Pitié laissez nous.. Partir ! »

Ils rigolent. Un black lance :
« Non, j’vais te montrer qui commande ici ! »
Agathe est retournée comme un fêtu de paille et le black lui arrache ses vêtement de sport. Les autres s’occupent de moi et en un rien de temps je me retrouve à poil aussi.

« Mais, lâchez nous salops ! Qu’est-ce-que vous faites ?! »
« On va vous apprendre la politesse salopes ! »
Les mecs sortent leurs queue et nous la fourre dans la bouche en s’enfonçant profond. Nous ne pouvons crier et ils commencent des vas et viens.

Les deux bras d’Agathe sont coincés dans son dos et d’un coup, le black la pourfend avec son gros dard. »Haaaa enfoiré tu fais mal salop !!! » tente-elle de dire.

Je suis stupéfaite et toujours baisée par deux mâles, je peux voir Agathe subir le même sort que moi.

Le mandrin du black s’active dans le vagin d’Agathe qui ne peux crier étouffée par la queue qui lui baise la bouche.
« Putain! Elle suces comme une vraie chienne ma pute ! »
Je n’ai pas besoin de longtemps pour sentir grossir dans ma bouche aussi un engin. Sous ma fellation son sexe prend vite des proportions intéressantes.

Mais ça pousse derrière Agathe et elle se fait mettre par derrière. Alors que je me fait sérieusement secouer, ma copine semble jeter aux orties ses dernières appréhensions. Elle se faite enfiler par les trois trous et ses yeux révulsés reflète le plaisir qu’elle prend inconsciemment. Elle a la bouche déformée par un gland énorme.
Je profite d’un changement de queue dans ma bouche pour reprendre ma respiration.

C’est Agathe qui prend les initiatives et s’empale sur le mât d’un certain Damien. Je ne suis pas enreste avec les queues qui se succèdent en moi mais je ne peux m’empêché de quitter des yeux Agathe dont la chatte, le cul et la bouche pris par d’énormes bites sont déformé de façon inimaginable.

Voyant que je suis subjugé par les saillies d’Agathe, l’un d’eux dit :
« La vieille est plus intéressé par le spectacle de sa copine que de se faire défoncer et bien on va la satisfaire cette vieille truie ! »
Il me prend par les cheveux et me traine jusqu’à un arbre pour mis attache en déchirant nos vêtements. Je tente de me débattre mais il est vraiment trop fort pour moi. Une foi immobilisée, je ne peux que suivre les événement et voir Agathe se faire défoncer durement par tous ces hommes. Nos « ébats », ont attirés des voyeurs et maintenant c’est une dizaine d’hommes qui entoure la pauvre Agathe.

Je suis impuissante attachée à l’arbre et très excité de voir Agathe se faire défoncer ainsi et emmètre des cris et des grognements de douleur, d’humiliation mais aussi d’un plaisir malsain.

Mais ils sont si nombreux autour d’Agathe qu’à un moment certains las d’attendre leur tour, viennent s’occuper de moi. La matraque qui se présente à moi est de taille moyenne. Déjà au garde à vous, il me fourre la bouche.

Ils sont tous montés comme des ânes et la vue de ces énormes chibres déclenchent chez moi une sorte de frénésie.

Agathe ne sait plus où donner de la tête. Elle est leur jouet, leur sac à foutre. Déjà les premier mecs se lâche sur elle ou en elle. Mais les queues se succèdent interminablement. Elle est devenue une poupée humaine juste là pour satisfaire le plaisir des mâles de passages.Une queue trop violemment enfoncée dans sa bouche la fait vomir. Mais ça ne fait qu’xcité un peu plus la frénésie sauvage de tous ces mâle. Ils ne sont plus des hommes mais de vraies bêtete fauve qui dévorent leur proie.

Agathe est humiliée de se faire défoncer ainsi et malgré la v******e des assauts elle a honte en se disant qu’elle prend presque du plaisir.
« Qu’elle grosse truie cette salope elle vomie mais continue à pompe mon dard comme c’est pas permis ! » Dit Souleymane.
Celui qui lui défonce le cul répond :
« Ben oui ! Comme toutes ces putes de Française ! »

Le black sent sa jouissance monter. Il décide de juter dans sa bouche. Dans râle de bête, il éjacule au fonde de sa gorge en lui ordonnant :
« Avale tout sale chienne ! »

Boubakar prend immédiatement la place. Agathe n’a même pas le temps de reprendre son souffle. Puis c’est le tour d’Ali. Les cris et les râles qui résonnent dans la foret attirent d’autres gars. Il sont si nombreux que je ne peux les compter. On me détache et des mains s’emparent de mes seins, de mon cul. Je me retrouve comme Agathe à sucer et me faire défoncer.

Agathe a les trous si distendus qu’elle se fait mettre par plusieurs queues à la foi. Ils pénètrent ensemble sa chatte et son anus. La voici enculée.et baisée en même temps par quatre queues.

Les suivants, Souleymane, Moussa, Mohamed, Koudio, Kader, Lamine, Mamadou, choisissent tous d’enculer la belle. Au grand plaisir des spectateurs, qui commentent chaque pénétration de l’anus d’Agathe.

Agathe est moi sommes que des loques couvertes de sperme. On a servi de vide couilles à je ne sais combien de mecs. On s’est faites défoncé par tout les trous durant au moins deux heures. Tous les gars présents se sont bien vidé les couilles avec deux grosses salopes.
Kader prend la parole :
« Les putes, vous voyez, vous nous aguichez avec vos tenue de sport sexy. Alors maintenant, quand vous viendrez ici faire du sport, si vous nous croisez, faudrat nous sucer sans qu’on vous le demande ! »

Les mecs s’en vont et nous laissent entièrement nues et couvertes de sperme. Nous sommes hébétées. Nous ne pouvons remettre nos affaires déchirés. Nous mettons bien une dizaine de minutes avant de reprendre tant bien que mal nos esprits. Nos mâchoires sont endolorie , nos vagins irrités et nos trou du cul reste encore ouverte et dilaté. Nous nous embrassons et malgré se gangbang démoniaque, nous reconnaissions que nous avons bien pris notre pied.

Nos jambes sont flageolantes et c’est dans le plus simple appareil que nous rejoignons la voiture avec du sperme qui coule de nos trous le long de nos cuisses. Nous espérons ne rencontrer personne. Arrivées à la maison, nous nous précipitons toutes les deux sous la douche et en regardant notre état, nous éclatons de rire. Je dis à Agathe :
«  C’est un footing qui vaut largement un marathon ! »
Pour nous détendre, nous nous caressons sous la douche.

Accaparées par nos ébats, nous n’avons pas entendu mon mari entrer. Aprés nous avoir observé nous caresser et jouir sous nos doigts, Alain saisit les hanches d’Agathe et la pénètre d’un coup. Surprise, elle pousse un crie mais même si son vagin n’en peu plus d’avoir été malmené par tant de queues, elle se lésse faire tout en me bouffant la chatte.

Rapidement Alain est pris de spasmes et en se retirant de la chatte de ma copine, il vient nous faire goûter son nectar.

Nous terminons nos ablutions ensembles dans une bonne humeur et comblées par une matinée bien remplie.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire