Je m’appelle Martin, j’ai 30 ans et suis en couple depuis 5 ans avec une femme magnifique. J’ai une certaine attirance pour les femmes plus âgées que moi, je ne sais pas si c’est parce que je trouve chez elles un goût pour le sexe plus affirmé que les femmes de mon âge. Ou si c’est leur expérience des gestes, leur sensualité travaillée, leur regard sûr et posé qui éveille mon imagination sur les moments brûlant qui nous attendent. Ou encore leurs formes plus généreuses, enrichie par la conception d’enfants, qui personnifie en elle cette recherche de fertilité que tout homme fait inconsciemment. Il s’agit certainement d’un tout qui éveille en moi ce désir brûlant de les faire jouir. Naturellement, ma compagne est plus âgée que, 6 ans exactement, mais cela ne se voit pas physiquement. Elle fait partie de ces gens qui ne font pas de sport, qui aiment profiter des apéros et fument des cigarettes et qui pourtant conservent un corps parfaitement svelte, sans une once de cellulite, profitant de mensuration à faire pâlir WeightWatcher. À contrario je suis très sportif, je ne cherche pas à sculpter mon corps mais les heures passées à courir, me battre sur un ring et m’étirer m’ont offert une silhouette agréable.
Le père de mon amie s’est remarié il y a 20 ans à une femme plus jeune que lui. Nous la nommerons Caroline. Caroline a aujourd’hui 57 ans, elle a derrière elle une carrière de danseuse. Elle est petite et menue, brune aux cheveux présentant de grandes boucles. Elle n’a jamais eu d’enfant et ses fesses sont fermes et tellement musclées qu’on remarque tout de suite leur rebondie sur cette fine silhouette. Ses seins sont naturels malgré un 90D et force une cambrure du dos qui donne à Caroline une allure charnelle. Ses lèvres sont fines et empêchent toute forme de vulgarité, ses yeux d’un bleu ciel éclaircissent son visage et lui donnent un air angélique. Mais l’attrait le plus flegmatique de Caroline est sa façon de se déplacer. Ses années de danse lui confèrent une aisance féline dans ses déplacements. Chacun de ses mouvements est doux et parfaitement contrôlé, comme un semblant de caresse. Vous aurez compris que cette femme, toujours vêtue de tailleur de marque, à la posture noble, a tout de suite possédé mes rêves les plus chauds. Sa douce voix, sa silhouette charnelle et la tendresse brûlante de son contact ont habité mes rêves me réveillant en pleine nuit, trempé de sueur et le sexe tendu à se rompre.
Un jour ma compagne m’a confié que sa mère avait quitté son père parce que la libido de ce jeune homme à l’époque ne suffisait pas à la satisfaire. Mon sang a fouetté toutes mes veines à cet instant. Je pensais au corps de Caroline qui appelait au désir charnel et qui pourtant ne devait trouver que peu de satisfaction à vivre avec cet homme platonique. Mon esprit restait embrumé plusieurs jours, essayant de comprendre cette femme au désir inassouvi, l’imaginant se masturber pour calmer ses désirs. Caroline avait un sanctuaire dédiée à l’épanouissement de sa sexualité bâtie dans les tréfonds de mon esprit. Mon beau-père travaille comme expert comptable en Algérie et n’est que très peu souvent dans son appartement à Paris, délaissant ma belle-mère à sa vie de bourgeoise. Ma compagne et moi vivons à 1 heure de train de Paris et c’est naturellement que nous lui avons proposé de passer nous voir quand elle le désirait.
C’est un jeudi qu’elle se décida pour la première fois à venir passer la soirée chez nous. Le jeudi est pour moi une journée cool, en effet je ne travaille pas l’après-midi, aussi elle proposa de prendre le train de 14h qui est moins fréquenté et où les tarifs de la première classe sont très attrayant. Je la récupérais donc à la gare alors que ma compagne ne finissait sa journée qu’à 18h. C’est assis sur le capot de ma voiture que je l’aperçu sortant de la gare. Son tailleur rose pâle, presque beige galbait soigneusement chacune de ses courbes, soulignant par une légère ombre la rondeur de ses seins. Ses talons hauts, aux dessous étrangement rouges, rehaussaient ses mollets musclés et accentuaient le rebondi de ses fesses. Je n’arrivais pas à décrocher mon regard de cette apparition divine, figé dans cet état de contemplation. Heureusement elle m’aperçus et me sorti de ma léthargie par un signe de main. Je m’avançais vers elle rapidement, tout sourire, ne dissimulant aucunement ma joie de la retrouver.
« Bonjour Caroline, ça me fait plaisir de vous voir, vous avez bien voyagé ?
– Je vois ça, quel sourire radieux, quel accueil plaisant. »
Le sourire qu’elle me fit en retour me fit fondre et j’eus peur de perdre mes mots. Fort heureusement je portais des lunettes de soleil, sans quoi mes yeux auraient sûrement trahis l’ampleur de mon émotion à cet instant. J’att**** sa valise, lui passe la main dans le dos et m’approche pour lui faire la bise. Son parfum fleuri et affirmé éveille mes sens. Elle pose une main sur mon épaule et att**** mon bras de l’autre pour m’attirer à elle. M’enhardissant de cette proximité, je prend le temps de m’approcher d’elle et appuie une bise proche de la commissure de ses lèvres. Elle m’attire à elle et je sens ses seins se presser contre ma poitrine. Ce contact électrique me donne un imperceptible frisson. Nous nous écartons en nous souriant malicieusement, c’est alors que je note un léger durillon sous l’épais tissu de son tailleur. Ma tendre belle-mère aurait-elle les tétons qui pointent ? Une simple bise de son beau-fils éveillerait-elle un certain désir ? Cette pensée me fit poussé des ailes mais je me contins et me contentai d’ouvrir galamment la porte de la voiture.
« Quelle délicatesse mon gendre, voilà qui est très agréable, fit-elle sur un ton amusé. »
Je chargeais sa valise dans le coffre et montait à mon tour.
Le trajet en voiture fut bien sage, elle me posa beaucoup de questions sur mon travail, mes nouvelles responsabilités, mes projets d’évolutions. Je m’étonnais de son intérêt qui me semblait sincère pour ma vie professionnelle. Puis je lui demandais de ses nouvelles. Elle me confiait qu’en ce moment Hubert, mon beau-père était beaucoup en Algérie, qu’elle s’inquiétait pour lui. Mais elle exprima aussi qu’elle s’ennuyait sérieusement à Paris et que cette somme de tensions dans sa vie nuisait à son sommeil. Elle se sentait exténuée nerveusement et physiquement, de plus elle ne trouvait plus tellement goût à la danse. Évidemment elle continuait à donner des cours trois soirs par semaine et que cela maintenait son équilibre mental mais qu’elle avait besoin de souffler, de faire évader son esprit et de se retrouver. Je buvais ses paroles et je senti que l’intérêt que je portais à son récit et l’empathie que je développais la touchais. Arrivé à la maison, je pris sa valise et lui donnait le bras prenant des grands airs de gentleman, sourire aux lèvres. Elle accepta mon bras, revêtant un sourire moqueur. Cette complicité naissante m’emplissait de joie.
Je la fis rentrer et montait sa valise dans la chambre d’ami. J’ouvris les robinets de la baignoire, versai rapidement quelques gouttes de préparation moussante et je descendis la retrouver. Elle m’attendait sagement, je pris son manteau et le rangeai.
« Votre maison est vraiment belle, mon cher Martin, Élise et toi avez eu bon goût sur le choix des couleurs. Je connais la maison mais pourtant à chaque fois j’ai besoin de le redire.
– Merci ! Vous savez quoi belle-maman ? Vous allez vous détendre. Nous avons trois heures devant nous avant qu’Élise ne rentre. Je vous ai fait couler un bain moussant aux sels de jasmins, alors vous allez me faire le plaisir de vous libérer de tout le stress de cette vie Parisienne. Est-ce qu’un thé à la sortie du bain vous ferait plaisir ?
– Tu es trop bon avec moi mon cher Martin, me dit-elle en fendant un sourire en coin. Mais j’accepte avec joie. »
Elle monta l’escalier, je l’entendis fouiller un instant dans sa valise puis fermer la porte de la salle de bain. Je ne l’entendais pas se déplacer, cette allure féline rend ses pas tout à fait discrets.
La savoir nue et en train de se détendre m’électrifie, j’ai l’impression de sentir vibrer dans mon ventre. Je l’attends sagement dans le canapé en lisant des publications. Au bout d’une heure elle descend l’escalier en colimaçon, vêtue d’un peignoir d’un blanc immaculé. Ses pas sont sereins et presque lents. Caroline avait dû être reine dans une autre vie, il y a de la majesté en elle. Elle s’approche de moi, elle semble parfaitement détendue. Les deux tasses de thé fument sur la table, dégageant une douce odeur de menthe fraîche, que je viens juste de cueillir dans le jardin. Je lui sourit alors qu’elle descend sont visage vers moi. Mon cœur bât fort. Elle dépose une chaste bise sur ma joue puis vient s’asseoir à l’autre bout du canapé.
« C’est fou comme le calme de la province et la douceur de ce bain me détendent. J’ai l’impression que Paris et le stress quotidien appartiennent à une autre vie. Je ne voudrais être nulle part ailleurs qu’ici à l’instant présent mon cher Martin. »
Elle soulève ses jambes et les posent délicatement sur le canapé, les pieds sur ma cuisse. J’aime sentir cette proximité. Elle laisse reposer sa tête sur l’accoudoir et ferme les yeux. Tous les traits de son visage semblent légers. Je soulève doucement son pied droit et appuie mon pouce fermement sur la plante de son pied, découvrant un muscle contracté, courbaturé. Je l’entends soupirer. Je continue mon massage, imprimant des gestes lents et puissants, sentant petit à petit ses muscles retrouver leur souplesse sous mes doigts. Je prend le temps de faire durer ce massage et au bout de quelques minutes le souffle de Caroline devient très régulier, je peux l’entendre distinctement. Se serait-elle assoupie ? Je souri, comme s’il s’agissait d’une petite victoire. Mais alors que je saisi le pieds gauche pour dispenser un traitement équitable au deuxième pieds, la jambe droite de Caroline s’écarte légèrement. Voilà un geste qui, défiant toute pudeur, laisse mon regard monter le long de ses mollets, de ses cuisses jusqu’à une zone d’ombre qui ne me laisse même pas entrevoir son sous-vêtement. Enhardi par cette sensation d’avoir découvert quelque chose sans en avoir suffisamment vu, mes doigts remontent le long de la cheville et atteignent le mollet. Ces muscles là sont aussi contractés, certainement dû au port des hauts escarpins. Il me faut quelques minutes de massage pour sentir le mollet se détendre. C’est alors que la jambe droite s’écarte légèrement à nouveau, me laissant voir un peu plus haut entre ses cuisses. Mais toujours aucun indice sur la couleur ou la texture de ce sous-vêtement que je commence à convoiter sérieusement. Les soupirs de Caroline sont toujours aussi réguliers, mes doigts, comme de petites araignées remontent sur les genoux de Caroline. À ce moment elle frémit légèrement, je me fige. L’ai-je réveillé ? Pour rien au monde je ne voudrait interrompre cet instant de douceur. Les respirations lentes et profondes reprennent. Je m’approche alors, ses pieds sont posés sur ma tige. Je ne l’avais pas remarqué, trop absorbé par mon massage mais je bande fermement. Les respirations de Caroline s’arrêtent, elle bouge doucement, pousse sur ses pieds, caressant mon membre. C’est la première fois qu’une femme caresse mon sexe avec ses pieds et je trouve ça très agréable. Mais déjà les mouvements cessent, pourtant mon sexe ne demande que la poursuite de cette caresse lubrique. J’att**** les deux pieds de Caroline et reprend la caresse, c’est agréable et je profite de cet instant. Je pense soudainement : « serais-je en train de me masturber avec les pieds de ma belle-mère ? ». Cette idée m’électrise, mais je m’interrompt pour m’approcher à nouveau de Caroline. Ses genoux sont posés sur mon entrejambe et mes genoux, mes doigts effleurent délicatement l’intérieur de ses cuisses. Cette fois c’est ses deux jambes qui s’écartent, dévoilant un sexe nu et parfaitement épilé. Cette totalement absence de sous-vêtement me noue la gorge et je n’arrive pas à décrocher mon regard de cette antre de Vénus. Je suis fasciné, captivé. À l’issu de ce tendre massage, voilà comme « la cerise ou plutôt l’abricot sur le gâteau ». Mes doigts continuent à effleurer l’intérieur des cuisses de Caroline, remontant vers ce fruit divin que je convoite tant. Je me surprend de tant de fascination, c’est comme s’il s’agissait de la première fois que je voyais le sexe d’une femme, et pourtant… Est-ce l’admiration que j’éprouve pour Caroline qui rend ce moment si unique ?
Mes doigts arrivent à quelques millimètres des lèvres de Caroline, mais je me ravise : ce contact risque fortement de la réveiller, puis-je vraiment me permettre cela ? Mais ma soif de sexe est trop grande, je ne peux m’arrêter là. J’approche mon visage du joli abricot. Je prend le temps de m’imprégner de la délicieuse odeur de ce fruit interdit. Je m’aperçois alors que ce fruit est vraiment très mouillé, qu’un petit durillon se démarque en haut du sillon. Je souffle doucement et régulièrement sur cette petite tige, mais soudainement tout le corps de Caroline se met à trembler. On dirait que je fais de l’effet à ma chère belle-maman, ne serait-ce pas un frisson qui vient de la parcourir ? Ma tête bouillonne et je n’arrive plus à réfléchir, aussi j’arrête tout effort. Je réitère le souffle une fois, puis deux et enfin trois sur le mont de Vénus de ma tendre belle-mère. Sa respiration s’intensifie. Je me risque un petit coup de langue, juste effleuré, sur le clitoris. Sa bouche s’ouvre et sa respiration s’intensifie encore. Je recommence trois souffles et un petit coup de langue. Je réitère encore, mais plus rapidement. Ses genoux se lèvent. Je recommence, mais cette fois je pose le doigt sur l’entrée trempée de son vagin. Son inspiration devient saccadée, son vagin s’ouvre et gobe mon doigt. J’appuie un peu plus ma langue. Mon sexe me fait mal tellement qu’il est tendu. J’ouvre ma ceinture et baisse mon pantalon et mon boxer pour libérer la pression. J’imprime de petits mouvements de rotation avec mon doigt à l’entrée de son vagin et avec ma langue sur son clitoris. Je sens un contact chaud sur mon membre, les pieds de Caroline son posés dessus. Mon désir monte, je ne le contrôle plus. J’aspire son clitoris le tétant tendrement. Caroline se cambre, la jouissance la prend. Ne voulant pas la laisser partir ainsi, j’enfourne deux doigts dans son vagin trempé. Je sens ses muscles serrer mes doigts par spasmes. Un léger murmure crispé sort de sa bouche grande ouverte, ses mains serrent fort le tissu du canapé. Ses yeux sont toujours fermés, elle mord sa lèvre inférieure alors que son bassin se repose par secousses sur le canapé. Je rabat les pans de son peignoir pour qu’elle retrouve toute sa chasteté, me dégage de son contact et monte à l’étage. Je n’arrive pas à entendre alors que je m’éloigne que sa respiration à retrouvé la régularité de toute à l’heure.
Arrivé à l’étage, je me rends compte de ma frustration. L’envie de sexe sauvage en moi est dévastatrice. Mon sexe n’a pas désenflé. Je m’installe nu dans la baignoire, son odeur est encore bien présente, mêlée à celle du jasmin. Je ferme les yeux et commence à me masturber vigoureusement. Malgré ma poigne et la cadence que j’impose le plaisir n’est pas à la hauteur. Ma queue réclame un autre contact que celui de ma main. Il me faut de longues minutes, perdu dans des rêves où je pilonne Caroline, avant de libérer ma lave. Pour autant je ne suis pas rassasié, ma queue reste tendue et c’est résigné que je prend une douche froide pour me calmer. Une fois l’excitation redescendue, je couvre Caroline d’un plaide doux et épais pour que sa sieste soit des plus régénératrice. Je la contemple dormir un instant, embrasse tendrement son front et monte me mettre au travail sur l’ordinateur.
Peu après 18h, Élise entre et s’annonce bien fort : « Coucou la famille ! Comment ça va ? » Je m’empresse de descendre et pose un doigt sur ma bouche alors qu’Élise me regarde. « Ta belle-mère dort ». Élise sourit et monte me rejoindre. On discute deux minutes, je lui raconte que j’ai pu récupérer Caroline sans encombre et puis que je me suis vite mis au travail pour pouvoir profiter de la soirée avec elles-deux. Je déteste lui mentir, mais que faire… Je la jette sur le lit, elle a l’air surprise mais pas mécontente. Sa robe s’est retroussée d’elle-même. Je lui enlève son string vigoureusement mais elle se redresse et m’interrompt. Assise sur le lit, elle baisse mon froc et entame une fellation. Qu’est-ce qu’elle est doué, elle m’impressionnera à chaque fois ! Pour autant mon excitation et telle qu’elle n’arrive pas à me faire jouir. Je la fait se lever, la plaque contre le mur, att**** ses hanches et la pénètre sans préavis. Elle est très humide, la fellation l’excite presque autant que moi, cette femme est vraiment parfaite. Je glisse en elle sans difficulté. Elle laisse tout de même échapper un fort soupir. Je la culbute vigoureusement, l’écrasant contre le mur. Elle laisse échapper un cri à chaque coup de burin. Je pose une main sur sa bouche pour étouffer ses bruits, elle aspire mon majeur et le mordille doucement pour se contrôler. Je croie qu’elle ne veut pas que sa belle-mère nous entende. Je libère et att**** un sein de l’autre main, malmenant son téton, l’écrasant entre deux doigts. Elle se cambre de toutes ses forces, me présentant son cul magnifique et m’offrant un angle de pénétration qui m’amène à taper le fond de son vagin. Je redouble de vigueur et sens son corps se contracter tout entier. Ses dents serrent plus fort mon majeur que je retire par réflexe. J’agrippe sa gorge et l’embrasse passionnément. Elle se dégage de mon étreinte, me plaque contre le mur et s’agenouille. Elle empoigne ma queue tendue, pose sa langue sur mon prépuce et astique vigoureusement mon manche. Elle me regarde droit dans le yeux, la bouche ouverte, prête à accueillir ma jouissance. Je sens monter cette dernière qui sort avec pression et crépit son palais et son visage par trois longues giclées. Élise sait me rassasier.
Après une douche salvatrice pour tous les deux où elle me confie qu’elle adore me sentir bestial, nous descendons ensemble et découvrons ma belle-mère en train de préparer une salade estivale. Nous mangeons tranquillement, l’ambiance est conviviale et détendue et nous sommes pris de plusieurs fous rires. Nous finissons la soirée tous les trois sur la terrasse à siroter un mojito, observant silencieusement le coucher de soleil nimbant l’horizon de rouge. Voilà une promesse d’un lendemain torride.
C’est une première histoire pour moi et je serais très friand de vos commentaires. Cette histoire c’est passée il y a prêt de deux semaines et il m’a fallu longtemps pour trouver le courage de vous la confier. Nous partons une semaine en vacance mi-juillet en Corse avec mes beau-parents, je suis très excité à cette idée. J’espère que j’aurai des choses croustillantes à vous raconter !
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