Une année, nous sommes allés mon mari et moi en vacances dans le bas de la France du côté du Cap d’Agde. Les journée se déroulaient entre bronzette et baignade. Pour l’occasion, j’avais acheté un petit bikini turquoise dont je ne détachais le haut que pour bronzer sur le ventre, histoire d’avoir le dos uniformément hâlé. Alain me dit alors :
« Retire le ! T’es ridicule avec ton haut, toutes les filles sont seins nus ici ! »
Je ronchonne un peu mais, il a raison. Je retire donc le petit bout de tissu et exhibe fièrement mon opulente poitrine. Alain admire un instant mes seins nus et en me tirant par la main me dit :
« Allez on va piquer une tête ! »
En courant sur la plage mes gros seins ballottent de droite et de gauche attirant le regard des autres mâles. Au contact de l’eau, mes tétons se dressent et deviennent dures comme de la pierre. Alain aussitôt le remarque et se met à bander comme un âne. Espiègle, je lui dit en rigolant :
« Bah alors, qu’est-ce qui t’arrive ? »
« T’es vraiment trop bandante ma chèrie ! »
J’éclate de rire et lui promet de lui faire une gâterie tout à l’heure. Nous batifolons dans l’eau une bonne demie-heure, puis retournons sur nos serviettes. En sortant de l’eau, je remarques les regards des hommes sur moi. Je le dit à Alain qui me rassure :
« Tu sais, les plages sont pleins de mateur. Ca te dérange ? » Les plages sont « Heu.. Non pas plus que ça. C’est même plutôt agréable. »
De retour au camping, nous allons prendre une douche et comme promis, je me met à pomper Alain. Puis il s’agenouille, écarta un peu mes cuisses et entreprend de me bouffer le minou. Sa langue agile se promène entre mes lèvres intimes et s’attarder sur mon clito. Sous cette divine caresse buccale, je me triture les pointes des seins en étouffant mes couinements de plaisir. Je dégouline de mouille. Alain, se relève et en me soulevant, il me prend d’un coup contre le mur humide et froid de la douche. Je suis si disponible et mouillée que son dard rentre sans difficulté dans mon fourreau. Il se met à me pistonner, alternant mouvements lents et amples et petits allers et retours rapides. Son savoir faire me fait jouir comme une folle. Dans un orgasme que je retiens pour ne pas me faire remarquer, il ressort de ma chatte en feu en me disant :
« Finis-moi avec ta bouche ! »
Excitée comme je suis, je veux boire son jus et me jette sur sa bite, la prenant toute entière dans ma bouche. Je le suce furieusement, joue avec sa bite et ses couilles bien pleines. Je lui fait une cravate de notaire et la reprend dans la bouche. Les spasmes de sa queue me préviennent de son éjaculation proche. J’ai envie de recevoir son sperme dans ma bouche. Un premier jet frappe le fond de ma gorge, j’avale tout avec grand plaisir. Mais j’ai aussi envie d’en prendre sur moi. Je la sort de ma bouche et il termine d’ éjaculer sur mon visage et mes seins. J’en ai partout même dans mes cheveux. Je reprends sa bite dans la bouche et la nettoie consciencieusement avec ma langue. Je voudrais qu’il rebande pour me sauter encore et encore. Je suis insatiable. Alain me sourit et rigole de mon enthousiasme.
« Eh beh, ça te fait de l’effet le soleil ? »
Je le regarde amoureusement et lui réponds :
« Ne t’avais-je pas dis que je m’occuperai de toi ? »
« On remet le couvert quand tu veux ! »
Alain adore quand la petite bourgeoise que je suis se transforme en chienne en chaleur avide de sexe et de sperme. Il sait que dans ces moments là, il peut me demander ce qu’il veut ou il veut.
Un matin, après l’avoir pompé, il me dit :
« C’est dommage d’être à la plage et de garder nos maillots ? Ne trouves-tu pas ? »
« Peut-être mais on ne va pas faire d’Exhibe non plus ! »
« Mais ma chérie qui te parle s’exhibe ? Il y a une plage naturiste. »
« Ha oui ? Ok, si tu veux. Elle est où ta plage ? »
« Dans la crique au bout de la plage. Et puis tu risque rien. Parait-il qu’il n’y a que des homos. »
L’après-midi, nous nous rendons sur cette fameuse plage. Il y a beaucoup d’hommes seuls et quelques couples. Le coin est tranquille. Il n’y a pas grand monde. Nous mettons nos serviette et nous nous mettons nus. Puis nous allons nous bagner. Quelle sensation agréable de ne plus avoir de tissus sur la peau et de sentir les vague chatouiller mon minou. Mon bas-ventre commence à me chaufer et d’être entourée d’autant de mecs nus me rend toute chose. En ressortant de l’eau, je demande à Alain s’il pourra me mettre de la crème solaire.
Il m’étale de la crème avec une sensualité qui me fait mouiller surtout quand il en passe sur mes fesse et glisse un doigt dans mon sillon à frôler ma rosette. Machinalement j’écarte légèrement mes cuisses et Alain comprenant le message, en profite pour me masser franchement les fesses, descendant jusqu’à la vulve par la raie, en touchant mon anus qui réagit aussitôt.Il titille mon clitoris, déjà bien énervé par ma baignade à poil et se met à me branler copieusement. Je me cambre et me pénètre de deux doigt dans ma chatte baveuse. Je gémis doucement et me laisse aller.Le va-et-vient, de ses doigts me font un effet fou. Je suis aux anges. Je me contracte un peu lorsque ses doigt me masse la rosette. Je regarde autour de nous mais les premier baigneurs sont loin. Alain me dit :
« Ne t’en fais pas ma chérie, détends-toi et laisse-moi faire ! »
Je le laisse faire bercée par le doux plaisir de ses caresses. Il tournait autour de mon anus, plongeait dans ma vulve trempée enfin, introduisit son index dans mon petit trou. Il commence alors à me pistonner l’anus. Je me met à haleter.
« Oui ….Hmmmm c’est bon, continue… »
« Ca te plaît de te faire doigter sur la plage au risque de te faire surprendre ? »
« la ferme et continue ! »
Je m’abandonne totalement et suis entrain de jouir du cul avec ses doigts. Des vagues de plaisir montent doucement en moi et je n’arrête pas de gémir. Trois doigts habillent me force agréable les fesse et je me met à mordre la serviette pour ne pas hurler mon plaisir. Je n’en peux plus et suis prise de spasme de plaisir. Je voudrais qu’il me sodomise mais c’est impossible ici. Soudain, je me rais et un orgasme intense et douloureux me prend sans que je puisse crier et l’exprimer en hurlant. Une fois mes esprits retrouvés, je giffle Alain et l’embrasse aussitôt amoureusement en le remerciant du plaisir qu’il vient de m’offrir.
« J’avais dit pas sur la plage ! »
Il rigole et me dit :
« Ose dire que ça ne t’a pas plu. »
« C’est pas la question. Mais toi tu n’a pas joui ? »
« T’inquiète, je vais me ratt****r rapidement. »
Je me rallonge sur le ventre. Quelques minutes plus tard, je sursaute lorsque j’entends un mec qui accoste mon mari.
« Salut Alain ? Mais que fais tu ici ? »
« Fred ? Putain c’est dingue de se retrouver ici ! Le monde est petit ! Michèle viens que je te présente. C’est Fred un pote d’enfance. »
J’ose pas me retourner. Voilà que je suis nue et qu’il veut me présenter à un copain de je ne sais où. Le Fred ne fait pas dans la délicatesse et lance :
« Beau cul ta copine ! »
« C’est ma femme Fred ! »
« Ha oui ? Ben.. Beau cul quand même. Elle est timide ou elle fait la gueule ? »
Je suis rouge de honte et peste contre cet imbécile qui vient troubler nos instants magiques entre amoureux.
Alain, lui est plutôt amusé de me voir en délicatesse et lui répond :
« Ben au départ on était à la plage textile. Mais je trouvais dommage que Michèle ait les fesses et les seins tout blanc alors voilà ! »
« T’as bien raison et c’est un ravissement pour les yeux. Vous logez où ? »
« Au camping des pins. »
« Ok ! Je peux rester avec vous ? »
« Tu parles ! Au contraire… Hein ma chérie ! »
Je grommelle contre cet importun qui s’installe à mes côtés et mate sans vergogne mes fesses. Mais qu’es-ce qui passe par la tête d’Alain. A ce moment je le maudit.
Fred se lève d’un coup et me dit :
« On va à l’eau Michèle ? »
« Heu… Non allez-y je reste à bronzer. »
J’avais très envie de me baigner mais m’ébattre nue devant son copain ne me branchait pas trop.
Au bout d’une demie-heure, les voilà qui reviennent en rigolant. Arrivés prés de moi, Alain me dit en éclatant de rire :
« Tu sais… Fred te trouve super bien roulée et voudrais bien te baiser ! »
Je me retourne furieuse, sans penser que je suis nue et qu’ainsi j’exhibe malgré moi mes nibards, en vociférant :
« Ca va pas bande de salops ? Vous pouvez vous la mettre sur l’oreille ! »
« Bah pourquoi tu veux pas ? Se ne serait pas la première foi que tu baise avec d’autres ! »
Pour bien faire son pote relance :
« Avec des loches et un cul comme le tient, c’est dommage de pas faire plaisir aux copains de ton mari.! »
« Il a raison chérie ! T’es à poil sur la plage, à t’exhiber devant tout le monde et tu voudrais pas qu’on te saute ? »
Je n’en crois pas mes oreilles et me remet sur le ventre en leurs disant :
« Allez vous refroidir dans l’eau. Moi j’continue ma bronzette ! »
Ils repartent en rigolant de ma rébellion et je m’endors sur le ventre, jambes écartées. En remontant de la mer, cette foi les deux hommes le font silencieusement et en profite pour mater ma chatte bien offerte à tous.ut le monde pouvait voir ma chatte. Au bout de quelques instants, Fred me dit :
« La vue est magnifique…. »
Ils rigolent et alors que je me retourne pour les envoyer paître, Alain me coupe l’herbe sous le pied avant que je ne dise quoi que se soit.
« Fred nous propose de venir chez lui plutôt que de rester au camping. »
Je fais la moue mais au fond de moi je suis ravie de coucher dans un vrai lit et faisais fi des allusion du lourdeau.
Arrivés dans sa maison, Fred nous fait rapidement visiter et nous laisse nous installer dans notre chambre.
« La salle de bain est commune aux deux chambres. Génial non ? N’es ce pas Michèle ! »
Il quitte notre chambre et Alain me serre contre lui et passe sa main sur ma chatte.
« Je m’en doutais. Tu mouille ma salope ! Au fond t’aimerai te faire mettre par mon pote ! T’as le feu au cul dis-moi ! »
Il m’entraîne sur le lit, écarte mes jambes et me dit :
« j’ai envie de toi ! »
« Oui moi aussi ! Viens ! Bouffe-moi la chatte ! »
Il ne fait pas plus longtemps attendre. Il m’écarte largement les cuisses et plongea sa tête entre le compas de mes cuisses. Il la couvre de baisers humides, passant et repassant sa langue dans le moindre de ses recoins. Il s’attarde sur mon petit bouton, le mordillant doucement. Je suis ruisselante de sueur et de mouille. Mon corps s’agite de soubresauts. Il continue de plus bel, introduisant plusieurs doigts dans ma chatte en les remuant frénétiquement. Je suis au bord de l’orgasme lorsqu’il me dit :
« J’aimerais te sauter avec Fred ! »
Dans l’état où je suis, je lui cris sans réfléchir :
« Tout ce que tu veux mais fait moi jouir ! »
On se met en 69 et il me broute divinement bien pendant que je le pompe avec gourmandise. Dans cette effervescence sexuelle, je n’entend pas Fred entrer dans la chambre. C’est quand je sens un gland se poser et pousser sur ma rosette que je réagis. Mais trop tard, sont gland vient de passer mes sphincters et s’enfonce dans mes entrailles pour entamer un ramonage d’enfer. Alain me maintient avec sa queue bien au fond de ma gorge. La surprise passée, je me régale de ces deux sexe qui m’utilisent sans précautions. Mes deux hommes ne vont pas tarder à jouir. Alain se raidit et me maintient la tête sur son pieux. Fred derrière me sodomise sauvagement et accélère la cadence. J’arrive à retirer la queue de mon mari de ma bouche et leurs cri dans un orgasme libérateur :
« Venez me jouir dessus tous les deux ! éjaculez-moi dans la bouche ! J’veux boire votre foutre ! »
Ils n’hésitent pas une seconde et je me retrouve avec deux magnifiques braquemarts à l’entrée de ma bouche. Alain éjacule le premier sur mes seins et mon visage alors que Fred crache son venin plus dans ma bouche. J’avale comme une assoiffée le sperme.
Une foi remis de nos émotions, nous prenons une douche commune.
La fin des vacances s’annoncera très sympathique, si vous voyez ce que je veux dire.
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