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Chantage à l’opticienne (8)

Chantage à l’opticienne (8)



Je ne savais pas qu’il existait des appartements si petits. Enfin appartement, disons studio…

C’est très simple, aussitôt passer la porte d’entrée, nous arrivames dans une pièce qui servait de cuisine, salon, salle à manger, bref on tendait presque le bras d’un mur à l’autre. Une chambre, un lit et une mini douche.
Ce que je vous décris ci-dessus c’est l’endroit où habitent Autilia et sa fille Rosa de 23 ans. Rosa était au chômage, elle n’était pas belle mais une poitrine de folie. La même que sa mère.

Sur l’insistance de Valérie, j’accepta finalement qu’elle puisse se venger du week end orgiaque que ma femme avait organisé à la maison.
En partant de la boutique je lui avais annoncé qu’elle avait carte blanche. Laurence sa sœur nous avait demandé si nous pouvions la raccompagner chez elle à son domicile qui était sur le chemin. J’acceptais avec plaisir et montant en arrière avec Laurence, je demandais à Valérie de bien vouloir conduire.

Laurence avait passé une dure journée, avec Mylène. Cette dernière passa sa journée à l’insulter, heureusement que Laurence avait des vêtements de rechange sinon elle aurait terminé la journée toute nue.
– Ma pauvre Laurence, qu’elle journée pour toi lui lança Valérie en regardant sa sœur dans le rétroviseur.
– Ne m’en parle pas. J’ai honte, et je me suis fait insulter pas cette pute toute la journée.
– Tu n’as rien perdue ! on te ramène à la maison ! gratos ! enfin presque en regardant Valérie dans le rétroviseur
– Quoi presque ? questionna Laurence ?
– Tu vas sucer Monsieur, suggéra Valérie ! une pipe pour le transport salope ! Et tu avales tout ! pas une goutte dans ma voiture ! Allez salope au boulot ! disait-elle en rigolant. T’es une pute ou non ? Laurence je veux t’entendre ? Ta sœur veut t’entendre ? T’es une pute ou non ?
– Oui.
– Pardon, je n’entends pas ?
– Oui
– Mais plus fort salope ! T’es une pute ?
– Oui je suis une pute !
– Plus fort sœurette !
– OUI JE SUIS UNE PUTE !
– Bien au travail et fais plaisir à Monsieur !

Laurence ouvrit son chemisier, sortit ses nichons et commencer à ouvrir ma braguette sous le regard de sa sœur.
– Nous faisons une bonne équipe ? n’est-ce pas Monsieur ? Et encore vous allez voir chez Autilia ! Vous allez vous régaler. Plus profond ta bouche salope ! caresse lui les couilles, mouille sa bite ! Alllleeezzzz ! Propose-lui tes nichons ! Voila ! Parle un peu à Monsieur, cela l’excite !
– Ma…ma pipe vous convient ? vous allez jouir ? surtout faite le dans ma bouche ! ma soeur est tellement folle si j’en laisse tomber un peu dans la voiture qu’elle est capable d’une folie !

Une fois avoir rempli sa bouche de ma bonne jute, Laurence me remercia et rentra chez elle épuisée.

C’est Autilia qui nous ouvrit la porte avec étonnement.
– Mais que faites-vous ici ?
– Tu n’avais pas dit à Monsieur que ta fille cherche un boulot, répondit Valérie. Et bien nous voici !
– Blanche Autilia répondit d’une voix tremblante : Entrez !
La fille d’Autilia était assise sur le seul mini canapé de la maison, moche mais avec de superbes nichons ! elles étaient toutes les deux en débardeur, short sandales
– Donc vous êtes Rosa , la fille d’Autilia ?
– Oui Monsieur c’est bien cela
– Et vous cherchez un job car vous êtes au chômage ?
– Oui Monsieur
– Je suis le patron de votre maman. Et j’ai peut être un job pour vous.
– Oh merci Monsieur
Autilia me regarda avec un regard à la fois souriant mais inquiet …
– Je pense qu’il n’y a rien sans rien, Monsieur ? me questionna-t-elle.
– Je pense aussi.
– Laissez-moi parler quelques minutes avec Rosa, afin que je puisse tout lui expliquer s’il vous plait.
De longues minutes passèrent depuis la chambre. J’entendis des haussements de tons puis des petits cris, puis des pleurs. Tu fais comme moi. Puis de non ! non ! puis de Tout ce qu’ils te diront ! Tout !! puis des pleurs. Puis des remaquille toi ! Allez !
Elles revinrent dans la petite pièce.
– C’est fait Monsieur, je lui expliqué toute la vérité. Et le prix à payer. Elle est…nous sommes prête.
– Rosa tu as tout compris ?
– Oui monsieur.
– Présente-moi ta mère…
– Ben, Elle s’appelle Autila, pour vous…
Elle reçut une gifle de la part de Valérie
– Mais pour qui se prend-elle cette connasse. Tu ne lui as pas appris les bonnes manières Conchita ? Je vais vous dire les choses une bonne fois pour toute. Cette nuit va être la nuit ! votre nuit ! celle des putes ! et oui des putes rosa ! Et pas la peine de pleurer ! ta mère en est une et tu vas apprendre à en devenir une, compte sur moi et sur Monsieur ! Maintenant on passe aux choses sérieuses la branlette de bienvenu pour Monsieur ! Rosa tu sors tes gros nichons de ton top et tu fais de même comme ta mère ! A genoux devant Monsieur les putes ! Rosa tu te places derrière ta mère ! Conchita tu sors délicatement la bite de Monsieur ! tu le caresse délicatement. Rosa quand la bite de Monsieur commencera à durcir tu prendras les seins de ta pute de mère et tu commenceras à le branler avec ses nichons ! Allez les putes au boulot !
Autilia n’avait pas menti, sa fille avait les mêmes nichons que sa mère ! un spectacle de folie ! elle agrippa les nichons de sa mère afin de me branler !!
– Ça va monsieur me demanda Valérie ?
– Oui tout va bien ! j’ai peut-être besoin d’une excitation supplémentaire !
– Voulez-vous que je mette nue ? que je vous donne mes seines à malaxer ? je vous suce le trou du cul ? que je baise une des filles ? je leur pisse dessus ? Dites-moi Monsieur, vos désirs sont des ordres !!
– On va commencer soft !
– Rosa tu sais que ta mère est devenue notre pute ? notre esclave sexuelle ? Elle a passé tout un week end à la maison à sa faire baiser ! Tu vas me décrire exactement comment tu imagines ta mère pendant ce week end !
– Tu as entendu grosse pute ! et n’oublies pas de le dire avec des mots cochons cela excite Monsieur au plus au point ! Et pendant ta description ta pute de mère commencera a le sucer
– Allez ! on t’écoute !
– Ben je ne sais pas Monsieur, elle a dû se déshabiller ! Puis vous sucez !
Une nouvelle gifle de Valérie arriva sur le visage de Rosa qui commença a pleurer !
– Ce n’est pas ce que l’on te demande sale pute ! On te demande de raconter une belle histoire bien cochonne afin de faire bander Monsieur ! Allez salope !
– Ma mère a dû arriver avec ses vêtements de vieille, puis elle a du se déshabiller devant vous, puis je ne sais pas moi !!
– C’est bon Valérie. Laisse tomber.
– Vous voyez les filles vous avez déçu Monsieur ! Quelle honte !
– Que voulez-vous faire Monsieur ?
– Je ne sais pas…
La sonnerie de la porte retentit. C’était ma femme. J’avais oublié que nous lui avion donné l’adresse !
– Salut la compagnie !! Oh mais c’est ma grosse pute de portugaise ! Bakalao salope ! Je raconte n’importe quoi ! c’est le seul mot de portugais que je connaisse ! Et la moche la c’est ta pute de fille ?
Elle se rapprocha de Rosa et lui malaxa les seins !
– T’es moche mais t’as de beaux nichons de Portos ! Comme ta connasse de mère ! T’as sucé mon mec déjà ou pas ? alors salope tu réponds à la dame ?
– Non pas encore Madame…
– Ben vous foutez quoi Valérie va falloir gagner tes galons ? Faut de bouger le cul Valérie ! Heureusement que je viens d’arriver !
Elle empoigna les cheveux de Rosa la contraignant à me sucer !
– Bon allez au boulot salope ! Et ta mère elle va me lécher le cul ! Au boulot les putes ! Et la Rosa tu lui fais une gorge profonde à mon mec ! Allez salope ! on y va !! Et toi la pute de mère, bien profonde la langue dans mon cul !! Allez !!
Ça va chéri ! on te fais bander ?
– Oui c’est super !!
Une ejac incroyable arriva dans le bouche de rosa ! Ma femme la tenant fermement elle avait tout avalé ! Mon épouse en profita pour allonger Autila à même le sol en écrasant bien son cul sur son visage à la limite de l’étouffement !
– J’adore ce moment ! Vas y salope , écarte mes fesses, écarte !!
– Rosa, grosse pute ! Tu mérites toi aussi de lécher des cul. Même position que ta mère !! Je vais te faire goûter à mon cul cria Valérie !

A ce moment je ne sais pas ce qu’il m’a pris. J’en avais marre ! Marre de tout ! J’ai crié Stop ! On arrête ! Je n’en pouvais plus ! une sorte de trop plein ! Tout le monde me regarda. Mon épouse se leva, s’approcha de moi et m’amena dans la chambre en fermant la porte.
– Et bien Chérie ? Je ne te reconnais plus ! Qu’est ce qui t’arrive ?
– Je ne sais pas un ras le bol ! Toujours la meme chose ! Je me sens blasé, épuisé !
– Qu’est-ce que je peux faire pour toi ? Tu veux que je t’organise un truc ? Tu veux d’autres filles ? Tu veux te reposer ? Tu veux éjaculer sur d’autres femmes ? Dis-moi ? Je suis toute à toi…
– Je ne sais pas chérie. Je veux rentrer à la maison.
– D’accord on y va !

Une fois rentré à la maison, après une bonne douche, et un bon verre de whisky je me détendais un peu. Jusqu’au moment où l’on sonna à la porte…

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