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Chap 37 : La partie de billard

Chap 37 : La partie de billard



Vendredi soir, je rentre à pied chez moi après un repas chez des amis. Sur le chemin, je passe devant le bar-tabac que je fréquente régulièrement et décide de m’arrêter prendre des clopes. En entrant dans l’établissement, je remarque que l’endroit est désert, une partie des chaises sont déjà retournées sur les tables et seule la télé accrochée au mur fait écho. J’attends 3-4 minutes devant le comptoir et Carole fait enfin son apparition en sortant des toilettes.

Carole est la patronne du bar, c’est une petite femme rousse aux cheveux frisés qui approche de la cinquantaine. On se connaît très bien depuis le temps que je fréquente les lieux et malgré notre différence d’âge, on s’entend super bien, car elle est encore jeune dans sa tête. Il lui arrive de faire des soirées avec moi et mes amis et parfois elle nous accompagne même en boîte. Bref, elle aime profiter de la vie, encore plus depuis qu’elle a divorcé.
Ce que j’aime bien chez Carole, c’est qu’elle a beaucoup d’humour, on adore se charrier et se taquiner, surtout sur le thème du sexe, car nous sommes très ouverts sur le sujet. Elle ne me l’a jamais dit formellement, mais je sais qu’elle est libertine.

Lorsque Carole s’avance pour passer derrière le comptoir pour me vendre des cigarettes, je remarque immédiatement qu’elle est beaucoup plus élégante que d’habitude. Elle, qui est la plupart du temps en pantalon-basket, porte ce soir, un débardeur bleu marine au décolleté plongeant, une mini-jupe en jean et des escarpins noirs à talons. Je la salue avant de la complimenter.
– Bonsoir Carole, bah dis donc, tu es très sexy ce soir, tu as un rencart ou quoi?
– Normalement oui, mais c’est annulé.
Elle encaisse mon paiement pour les clopes et elle m’interroge:
– Et toi, tu viens d’où comme ça, t’as pas l’air frais.
– J’étais invité chez des amis pour une bouffe, j’avoue qu’on a pas mal picolé.
– Tu ne conduis pas j’espère.
– Non, non, je rentrais à pied.
– Je peux te ramener si tu n’es pas pressé, je ferme dans 20 min, ensuite je fais le ménage et on y va?
– Oh bah je veux bien, c’est gentil. Je t’offre un verre pour te remercier.
– C’est pas de refus.

La barmaid nous sert deux verres et je lui demande curieusement:
– Bon alors, c’était avec qui ton rendez-vous?
– Un mec que j’ai rencontré le week-end dernier. Il m’a invité ce soir, mais finalement sa femme était là.
– Tu te tapes le mec des autres toi? Et la solidarité féminine?
– Rien à foutre, si un mec me plait et qu’il a envie de moi, je me le fais, qu’il soit marié ou pas, je n’ai pas de scrupule.
– Ok, et il t’a prévenu quand que ce n’était pas possible?
– Il y a deux heures environ. Ca fait chier, j’étais bien chaude en plus ce soir.
– Carole?
– Oui?
– T’es toujours chaude…
– C’est pas faux, dit-elle en rigolant.
– J’imagine que tu as tondu la pelouse pour le match?
– Évidemment, quelle question. De toute façon, je ne laisse jamais pousser très longtemps.
– Intégrale?
– Non ticket de métro.
– Je peux voir?
– Sûrement pas, petit coquin.
– En tout cas, il ne sait pas ce qu’il rate, je te le redis, mais tu es très sexy dans cette tenue, ça te va bien, tu devrais t’habiller comme ça plus souvent.
– Merci c’est gentil, tu ne dis pas ça pour me séduire, petit flatteur.
– Non, si j’avais eu l’intention de te séduire un jour, tu serais déjà passer dans mon lit.
Elle éclate de rire.
–  Hahaha!!! Quel prétentieux. Tu crois vraiment que c’est si facile de me mettre dans son lit, je ne suis pas une pute.
– Non je sais, je disais ça pour déconner.
– Oui t’en fais pas, je le sais bien. De toute façon, tu ne peux pas, tu as une chérie.
– Qui ça, Marie?
– Oui la petite blonde avec laquelle je te vois de temps en temps.
– Ce n’est pas ma copine.
– Ha bon, je croyais, vous vous entendez bien pourtant.
– C’est vrai, mais entre nous c’est juste sexuel.
– Je vois. Quel âge a-t-elle?
– 25 ans comme moi.
– C’est bien, vous avez raison de vous amusez et de profiter, la vie est si courte. Moi si j’avais su, je ne me serais jamais mariée.
– Pourquoi?
– Parce que je me suis fait chier pendant des années.
– Et maintenant?
– Bah je m’éclate et je m’amuse.
– Tu as bien raison.

Notre discussion se termine, Carole nous ressert un verre et elle me propose:
– On fait une partie de billard avant que je ferme, j’ai une revanche à prendre depuis l’autre jour.
– Si tu veux, mais tu vas encore perdre.
– Vu ton état, ça m’étonnerait.
– Ok, on fait un pari. Si tu gagnes, je m’engage à faire tout ton ménage.
– Intéressant. Et si toi tu gagnes?
– Tu me tailles une bonne pipe… Je plaisante. Si je gagnes, tu me fais moitié prix sur mes consommations pendant deux semaines.
– A choisir, je préférais ta première suggestion.
– Vraiment?
– Oui, ça m’arrange plus.
– Ok, bah va pour la pipe alors.
En une fraction de secondes, les enjeux de la partie ont réchauffé l’atmosphère et je m’imagine déjà en train de me faire pomper par la future quinquagénaire.

Les boules sont en triangle sur le tapis vert
je laisse l’honneur à mon adversaire de commencer. Elle se penche pour casser le tas avec la boule blanche et je reste scotché devant la vue de son décolleté béant, car il y a du monde au balcon. Cette vision m’émoustille et je commence à bander. Pourtant, elle ne m’a jamais attirée spécialement, mais ce soir, il y a quelque chose de différent. Le fait qu’on soit seuls, qu’elle est soi-disant chaude et prête à me sucer, l’alcool, le décolleté, bref, ça y est, j’ai envie de baiser.

Pendant les manches suivantes, je ne peux détourner mon regard de ses seins à chaque fois qu’elle se penche. Carole l’a remarqué depuis un moment et me dit:
– On dirait que mes nichons te plaisent.
– Forcément, on ne voit que ça.
– Je sais, je fais ça exprès pour te déconcentrer.
– Ton truc ne fonctionne pas avec moi, je gagne pour l’instant. Je sens déjà ta langue titiller mon gland.
– Pas si vite gros malin, la partie est loin d’être terminée.
La partie se poursuit dans une ambiance complice et chaleureuse. On se taquine et on se chauffe avec des sous-entendu un peu lourdingues. Lorsque je mets deux boules à la suite, Carole me félicite.
– Bravo, joli coup
– Merci, je suis doué pour viser dans les trous, dis-je en souriant.
Puis c’est à son tour de réaliser une belle performance.
– Bien joué, tu es forte.
– Merci, mais c’est normal, je sais très bien manier une queue et surtout des boules, dit-elle d’un sourire espiègle.
– Tu ne veux pas jouer avec les miennes ?
– Si elles sont aussi grosses que ça, c’est qu’il est temps de les vider, hihihi.
– Tu t’en occuperas quand j’aurais gagné.
– Tu vas les vider tout seul mon gars, c’est moi qui vais remporter la victoire.
Je suis de plus en plus excité et de moins en moins concentré. Je joue mal, la boule blanche ne touche aucune boule, ce qui donne deux coups de suite à Carole. Par une chance de cocu, elle arrive à rentrer ses deux dernières boules, alors qu’il m’en reste une. Elle est proche de la victoire et la turlutte en guise de lot, s’éloigne. Il me faut trouver une parade pour la déstabiliser.
Alors qu’elle est penchée sur le billard pour tenter de mettre la boule noire, je me positionne derrière elle. A l’aide du bout de ma canne, je soulève légèrement sa jupe. La patronne s’arrête net.
– Qu’est ce que tu fais, arrête.
– Je ne fais rien, je regarde simplement ce que tu portes dessous.
Elle remonte sa jupe entièrement et me montre son gros cul tout blanc.
– Je n’ai rien, voilà t’es content petit vicieux, allez laisse-moi jouer.
– Tu peux remontrer, je n’ai pas bien vu.
Carole, impudique, retrousse sa jupe sur son dos et se cambre à nouveau sur le billard pour viser la boule en écartant les cuisses.
Ses bonnes fesses disgracieuses me font bander instinctivement, je m’en approche, pose ma main dessus et je les caresse.
– Tu penses vraiment que ça va me déconcentrer et m’empêcher de jouer.
– Et si je fais ça, dis-je en glissant ma main entre ses cuisses avant de lui introduire mon majeur dans la chatte.
Surprise, elle pousse un petit cri.
– Ha, salop.
Sa minette est très humide.
– On dirait que ça t’excite de jouer au billard, en continuant de la doigter.
Elle se retourne vers moi, libérant ainsi ma main de son entrejambe, me saisit par la nuque et elle me roule une grosse galoche baveuse. Je lâche alors ma canne de billard et nous nous enlaçons dans un nouveau baiser torride. Mes mains retrouvent ses fesses sous sa jupe, les siennes défont mon pantalon et l’une d’elles se faufile dans mon boxer pour chérir mon sexe. Notre excitation augmente et plus rien ne peut nous empêcher de nous encanailler. Mais dans un sursaut de lucidité, Carole stoppe ses caresses et se presse d’aller fermer le bar.
La porte est fermée à clé, le rideau de fer est baissé et seule la lumière au dessus de billard est allumée. Carole me rejoint en retirant son haut, pendant que je commence à me déshabiller. Je suis le premier à être entièrement nu et la gérante de l’établissement me sourit en observant ma verge tendue. Elle ôte son soutif après sa jupe et j’admire avec envie ses gros seins qui pendent. Ils sont pâles, semblent lourds. Elle a de larges auréoles et des petits tétons pointus. Je les soupèse, les pétris et les tète goulûment pendant qu’elle gémit en m’astiquant habilement.
Je la fais ensuite basculer sur le billard. Elle, qui a gardé ses chaussures à talons aux pieds, s’allonge en appui sur ses coudes et écarte ses cuisses pour me montrer son ticket de métro et sa fente entrouverte et trempée. Je comprends ce qu’elle veut. J’enroule mes bras autour de ses cuisses, la tire vers moi pour la rapprocher du bord et je me penche pour lui brouter le minou. Son odeur m’enivre, un mélange de pisse, de cyprine et de transpiration dont je me délecte en léchant ses lèvres et son clitoris. Ma partenaire ronronne en me regardant faire. Je m’attarde sur son bouton gonflé pendant que 3 doigts s’activent dans son vagin à la recherche de son point G. Je les lui donne à sucer, la dame rousse se régale de ses sécrétions et me commande de la rejoindre sur le tapis vert.

Aussitôt monté, c’est Carole qui dirige les opérations. Elle me fait mettre sur le dos, m’enjambe et me maintient les poignets contre le tapis. Elle reste au dessus de moi en me souriant sans un mot.
– Qu’est ce qu’il y a?
– Rien, je te regarde, c’est la première fois que je fais ça avec un homme aussi jeune.
– Et ça te plait pour l’instant?
– Oui, tu m’excites trop.
– Toi aussi.
– Alors je vais profiter de toi.
Ses seins pendent au dessus de mon visage et elle me demande:
– Suce les encore.
Toujours cloué sur le billard, je relève la tête et gobe ses mamelons à tour de rôle pendant quelques instants, en passant ma langue sur ses tétons.
– Hum j’adore ça, dit-elle
Ses joues sont de plus en plus rouges, sa main relâche son étreinte sur mon poignet et se glisse entre ses jambes pour se saisir de ma tige qu’elle dresse à la verticale. Elle frotte mon gland contre ses lèvres, elle me fait languir, mon coeur tambourine. Carole s’empale lentement, je libère un long soupir en sentant la chaleur de son puits d’amour. Elle se redresse, ondule et entame des va-et-vient en douceur. Elle miaule à nouveau et prend mes mains qu’elle plaque fermement sur ses nichons. Je les malaxe généreusement, pince ses tétons, alors qu’elle se baise lentement en cajolant mes bourses à une main par derrière.
– Tu aimes, demande-t-elle?
– Oui, continue Carole.
– Ca te plait que je te domine?
– Oh oui, vas-y lache-toi.
– Doucement, il ne faudrait pas que tu viennes trop vite.
– Ne t’en fais pas, je vais tenir la distance.
– J’espère bien.
Carole pose mes mains sur ses cuisses et elle augmente la cadence. Elle monte et descend de plus plus vite sur ma colonne de chair en couinant de plus en plus fort.
– HAN, HAN, HAN.
Ses mamelles font le yo-yo en bondissant de haut en bas sous mes yeux ravis. Elle se couche sur moi et continue de s’agiter. Mes mains ont enfin accès à ses fesses. Je les caresse, les câline, les écarte pour chatouiller sa rondelle du bout de mon majeur. Cela la rend hystérique.

Carole se retire et se positionne à genoux entre mes cuisses. Elle prend ma queue en main et me branle rapidement avant de me sucer tout aussi vite comme une traînée. Je râle, impressionné par l’énergie qu’elle déploie pour me faire du bien. Elle alterne successivement les plaisirs. Elle me pompe, me bouffe les couilles et me branle avec une intensité rare. Son excitation est beaucoup plus forte que la mienne et je subis cette délicieuse torture en gémissant de plus en plus fort.
La patronne lèche mon gland une dernière fois et me regarde en souriant.
– Ca va, tu tiens le coup?
– Oui, oui, pas de problème.
– Tant mieux, tu vas pouvoir t’occuper de mon cul alors.
– Avec plaisir.
A quelques centimètres au dessus de ma verge décalottée, qu’elle tient toujours à la verticale, Carole déverse un flot de salive sur ma tige. Elle s’accroupie ensuite au dessus de moi, mais avant de s’asseoir sur ma queue dégoulinante de bave, la cochonne crache dans sa main et étale le liquide mousseux sur son anus. En la voyant faire, je me dis que ça va glisser tout seul. Et c’est le cas.
Accroupie face à moi, les talons plantés dans le tapis vert, la frisée se sodomise les cuisses écartées, m’exposant ainsi sa chatte ouverte. Pour moi, c’est le bonheur, je la laisse faire en la tenant par les chevilles. Elle se pourfend en profondeur, ses aller-retour augmentent progressivement, ses fesses claquent contre mes cuisses, ses seins tressautent à nouveau dans tous les sens et elle jouit de plus en plus vite.
Elle me sourit, heureuse de s’adonner à la luxure.
Je la charrie un peu.
– Tu as la forme pour une vieille.
– Ne te moque pas, je commence à avoir mal aux jambes, mais c’est tellement bon que je ne peux pas m’arrêter.
– Mets-toi à quatre pattes, je vais prendre le relais.
Elle s’exécute, se met en position en appui sur ses coudes, bien cambrée avec les fesses bien en l’air. A genoux derrière elle, la vue me surexcite et je ne peux m’empêcher de me palucher quelques instants. Carole, impatiente de poursuivre nos ébats, me demande:
– Bon alors, qu’est ce que tu fous?
– Rien, je contemple simplement le panorama.
– T’aimes mater, ça t’excite?
– Oui beaucoup, j’adore ça.
Elle écarte largement ses fesses.
– Et comme ça, c’est mieux non?
– Oh putain Carole, tu commences vraiment à me plaire.
Sans perdre une seconde, je crache sur son trou du cul et le dévore tel un ogre. Je le lèche, j’y enfonce ma langue avant de replanter mon dard entièrement jusqu’aux couilles. Je suis déchaîné. Sur le billard, je l’encule sauvagement sans interruption pendant plusieurs minutes. Ma cavalière ne peux retenir ses cris de jouissance.
– Oh oui, continue, ne t’arrêtes pas.
Mais alors qu’elle souhaite que je poursuive cette bonne sodomie, je ressens cette chaleur enivrante monter en moi, cette chaleur que je connais bien et qui m’indique que c’est bientôt la fin. Dans un dernier coup de rein, mon corps se contracte et je rugis bruyamment en éjaculant au fond de son cul. Je continue de la limer le temps que je me vide entièrement en elle.
En sortant ma bite, un filet de sperme l’accompagne et Carole encore toute excitée, se retourne et me reprend en bouche pour me nettoyer sans que j’ai eu le temps de réagir.

Après cette partie de billard mémorable, où nous avons convenu d’un match nul, nous avons bu un verre en discutant de ce qui venait de se produire. Nous étions satisfaits tous les deux, mais Carole n’a pas hésité à me dire que si un soir, je veux venir avec un ou deux copains, ça ne lui poserait pas de soucis. Puis nous avons fait le ménage tous les deux.
Carole m’a ensuite raccompagnée chez moi en voiture.
– Tu viens boire un dernier verre?
– Je ne sais pas, il y a un billard chez toi?
– Non, mais j’ai un canapé, une baignoire, un lit…
– Ok, ça me va très bien dans cet ordre.
Je la regarde un peu surpris.
– Bon, bah on n’est pas prêt d’aller se coucher alors.
– Qui t’a dit que j’avais envie de dormir…

Fin.

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