Mes résultats en philo étaient désastreux. J’avais du promettre de suivre des cours particuliers pour continuer à voir mes amis le weekend. Sur le tableau des petites annonces du lycée, mes parents avaient déniché un érudit respectable pour me servir de répétiteu . Après le coup fil pour organiser la première séance mes parents avaient été enchantés. Sans doute parce qu’il ne leur faisait rien payer. Il ne leur avait imposé qu’une seule condition. Une assiduité sans faille, tous les mercredis. Autant dire le bagne, alors que mes condisciples profitaient des beaux jours du printemps. Ils m’avaient donné l’adresse et un peu d’argent pour le transport. À 15 heures, je frappais à la porte de la maison de mon professeur dans un quartier pavillonnaire.
Un homme d’une soixantaine d’années m’ouvre la porte.
– Bonjour tu dois être Thomas ?
– Oui,
– Viens entre. On va s’installer dans mon bureau.
Je le suis dans une pièce à l’opposé de l’entrée. Le jour pénètre par une fenêtre qui donne sur un petit jardin. Le mur du fond est couvert de rayonnages qui ploient sous le poids des livres. Au milieu de la pièce, un bureau massif. Deux chaises côte à côte.
– Installes toi. Tu as amené tes cours.
Je m’assois à la place qu’il me désigne et pose mon cahier sur la table.
– bien, allons y.
Il prend mon cahier et feuillette les premières pages.
– Tu as une belle écriture.
– Merci
– Nature et culture. Qu’est-ce que tu peux m’en dire ?
Il s’assoit sur la chaise à côté de moi.
Je rassemble mes connaissances et commence un laborieux exposé. Il m’aide rapidement à aller plus loin dans mes réflexions, rebondit sur mes silences pour ouvrir d’autres perspectives. Il me donne des conseils pour étoffer mon propos.
Je suis rapidement fasciné par son érudition, sa facilité à utiliser les concepts développés en cours.
– Il est temps de faire une pause. Tu veux boire quelque chose ? un coca, un jus d’orange.
Je ne vois pas le temps passé.
– un coca, merci.
Je sirote le coca.
– on étudie la thématique de l’amour, pour finir et il sera temps de rentrer pour toi.
– oui, d’accord.
– tu as une amoureuse ?
Je manque de m’etrangler avec mon coca.
– euh, non… Je ne suis pas… enfin les filles…
– je ne voulais pas être indiscret, pardon. Un beau garçon comme toi, je pensais… que ce serait un moyen différent d’aborder la question.
Je rougis.
– Il n’y a pas de filles dans ma vie… amoureuse. Les mots se sont formés dans ma bouche sans réflexion.
Son regard se trouble. il semble sonder les profondeurs de mes pensées. Il se reprend :
– l’amour vaste question. Un philosophe ? Une citation ?
Il se rapproche de moi et lance la problématique.
Son épaule touche presque mon visage.
Il effleure mon dos pour att****r un ouvrage. Je ne tressaille même pas.
– lis ce passage.
Sa main tapote ma cuisse. Je continue de lire.
Il pose carrément sa main sur ma cuisse. Je suis surpris.
– ça te gêne pas ? ma main ?
– Non ca va. Ma voix tremble légérement. A-t-il envie de moi ? Une boule insidieuse se forme dans mon ventre.
Sa prise se raffermit sur ma jambe.
– je peux monter ma main plus haut ?
Sa question léve le doute. Il a envie de moi.
– oui, vas y
Sa main glisse sur ma cuisse pour s’épanouir sur mon entrejambe. La pression de ses doigts s’accentue. Il masse la bosse qui s’est formée.
– c’est très agréable pour moi Thomas. Enfin tu comprends.
– tu bandes ?
– Oui
– tu veux la sortir ?
– oui
– vas-y, montres la moi.
– Tu es sûr ?
– oui, montres moi ta queue.
Il retire avec empressement son pantalon et ses sous-vêtements. Sa queue apparaît à peine plus grande que la mienne. Une goutte de liqueur blanchâtre s’épanche au sommet de son gland. Il s’approche de moi.
– c’est bon d’être nu en face de toi. Tu es si beau. Je peux continuer à te caresser.
– oui.
Je tends mon entrejambe vers sa main qui s’y accroche avec passion.
De l’autre main, il att**** sa queue et la masse avec application.
Je soulève mon tee- shirt. Il y glisse ses doigts.
– ta peau est douce.
Je baisse mon pantalon et mon boxer.
il regarde ma queue que je branle avec vigueur.
– c’est beau. Je vais jouir.
Je me cabre sous ses caresses. Il emprisonne ma hanche.
Il pousse un soupir rauque. Je vois le sperme jaillir en plusieurs jets et s’écraser sur le sol.
J’ejacule sur mon ventre. Je m’affale sur le fauteuil.
– Oh, merci, Thomas. Si je peux faire quelque chose pour toi.
– J’aimerais me faire prendre.
– La semaine prochaine. On s’occupera de ton désir. Conscient.
Les jours s’étaient égrené avec une longueur monotone. J’en avais profité pour réviser les cours sur l’inconscient, le conscient et le désir en songeant au poids de son corps sur le mien. Je rêvais de ses mains habiles sur mes cuisses, mon ventre et mon sexe. Mais surtout j’avais envie de le sentir en moi et d’accompagner son orgasme au creux de mes reins.
C’est avec précipitation que je quittais le domicile familial sous l’œil surpris de ma mère.
Je n’enviais plus du tout mes copains. Je vivais des émotions bien plus intenses.
Le cœur battant je frappe à la porte de mon amant.
– bonjour Thomas, je suis très heureux de te voir. Je me suis occupé de ton désir conscient et inconscient. Et comme je veux que tu ais le meilleur, j’ai convié des assistants.
Je le regarde avec surprise. Il m’entraîne vers le salon. Deux hommes se lèvent à mon entrée.
– je te présente Pierre.
cheveux poivre et sel coupé court. Des lunettes bleues cerclent ses yeux. Mince il semble faire beaucoup de sport comme en témoigne sa poignée de main énergique.
– content de te rencontrer. Paul nous avait dit que tu étais beau. Il ne nous a pas trompé.
Je te présente Daniel.
massif, il emprisonne ma main dans sa patte gigantesque. Ses yeux sont doux. Il glisse sur moi comme une caresse.
– bonjour, Thomas. Comme tu peux le constater, c’est moi le plus vieux de l’équipe mais je suis aussi le plus expérimenté et …
– Daniel, on ne va pas tout lui dire. Son inconscient doit se mettre en branle. Voilà Thomas c’est à toi de décider.
Je les regarde tous les trois. Leur sourire doux ressemble à celui des carnassiers qui vont se repaître de la jeune biche insouciante et pourtant…
– Je suis d’accord pour essayer.
– Tu ne vas pas le regretter, on va bien s’occuper de toi.
Ils m’encadrent tous les trois pour me conduire à l’étage comme si je pouvais avoir des velléités de fuite. La chambre est spacieuse. Le sol est recouvert d’une moquette beige très épaisse.
Aussitôt dans la pièce les trois hommes se déshabillent.
Je les examine furtivement.
Pierre est mince, sec, musclé. Sa queue large est déjà à l’équerre. Daniel est impressionnant. Son ventre rond ne peut cacher une queue longue et épaisse qui a débuté son ascension. La queue de Paul pointe déjà vers le haut prête à m’empaler.
Je frissonne d’excitation.
Ils m’aident à me coucher sur la moquette et commencent à retirer mes vêtements avec une certaine de fébrilité. Je sens les mains prendrent possession de mon corps. Je ferme les yeux quelques secondes. Quelqu’un caresse mon visage. Des lèvres s’attardent sur mon ventre. Une langue lèche le creux de mon cou.
J’entends les commentaires de mes amants.
– sa peau est douce.
– il a un bon goût.
Ma joue est humide. J’ouvre les yeux. Ce que j’ai pris pour des caresses c’est le gros gland de Daniel qui suppure sa liqueur precoitale sur ma joue. J’ouvre la bouche de surprise. Il en profite pour faire glisser l’imposante colonne sur mes lèvres. Je le gratifie au passage de généreux coups de langue.
– il est gourmand, le bougre.
– il est beau.
Soudain je sens qu’on avale ma queue. L’étreinte humide me fait gémir.
– fais le pas jouir tout de suite, Paul.
– Désolé, j’en avais trop envie.
Les lèvres abandonnent ma queue pour descendre sur mes boules. Elles s’y attardent quelques secondes. Elles continuent leur périple jusqu’au cœur de mes fesses. Je sens la langue s’attarder sur mon anus, le presser de milles attentions.
– son cul est trop bon. Thomas je vais te doigter.
Je sens la pression sur mon anus augmenter. Je défaille presque d’excitation lorsque je sens le doigt de Paul s’enfoncer en moi. Je sais que c’est pour bientôt. Paul en me doigtant caresse sa queue dure abondamment lubrifiée. Il est hypnotisé par anneau qui s’ouvre à ses sollicitations profondes. Pierre caresse mon ventre en caressant sa queue raide. Nos regards se croisent. Il me sourit en montrant sa queue du menton.
– je pense que c’est bon, je vais pouvoir l’enculer. comme s’il se parlait à lui-même.
Daniel s’écarte de ma bouche avec regret.
Paul monte sur moi. Son regard est presque fiévreux. Je le vois engager d’une main sa queue entre mes fesses. Elle glisse une première fois. Mais la seconde fois, c’est la bonne. Je sens sa queue s’enfoncer en moi.
– tu lui a bien mise.
– Oui, je crois. ajoute-t-il sur un ton entendu. Ça va Thomas, heureux ?
– Oui, c’est bon.
Je ressens une pression dans mon ventre qui s’accentue à chaque coup de boutoir.
– Pour moi aussi c’est bon, Thomas.
Son visage est défiguré par le plaisir. Pierre et Daniel caressent lentement leur queue. Ils savent qu’ils prendront bientôt la place de leur ami.
– Oh, ça vient. Thomas je vais te faire goûter mon sperme.
Il sort sort prestement de mes fesses et avancent sa queue jusqu’à mes lèvres. Un cri rauque au dessus de moi. Des coulées de sperme s’éffilochent par saccades sur mon visage. J’ouvre la bouche. Plusieurs paquets visqueux se perdent au fond de ma gorge. Paul essore sa queue pour faire couler les dernières gouttes dans ma bouche. La saveur est intense.
Paul se relève.
Pierre prend aussitôt sa place entre mes cuisses.
Il s’enfonce rapidement entre mes fesses.
– oh, c’est bon. Tu es vraiment un bon coup.
J’accompagne ces mouvements de bassin si bien que je le sens loin en moi.
– lèche moi les seins.
Ma langue fin sur sa poitrine poilue.
– Oui, c’est bien comme ça.
Il prend ma bouche et dévore les lèvres pendant qu’il ramone mes fesses de plus en plus vite.
– ça y est je suis au bord. Je peux me finir dans ta bouche.
– oui, vas y.
Il s’enfonce aussitôt dans ma bouche, aussi vigoureusement que dans mon cul, et commence une série de va et viens fébriles.
Un cri rauque. Ma bouche se remplit lentement du sperme de Pierre. J’avale sa semence.
C’est au tour de Daniel et de sa longue queue.
– je vais t’ecraser si je te prends dans cette position.
Il me fait mettre à quatre pattes.
– tu as un beau cul Thomas. Je vais me régaler.
Je le sens forcer mon anneau. Il va profondément en moi. C’est douloureux. Mais je ne l’arrête pas quand il commence à me baiser.
– c’est bon Thomas. Ton petit cul est bien serré.
Il agrippe mes hanches pour me limer profondément. Il grogne. C’est a****l.
Sa queue va loin. Il me possède sans vergogne.
– Oui, c’est bon Daniel. Je vais jouir.
Le plaisir me foudroie. Je gicle sur la moquette de la chambre.
Les contractions de mon anus ont raison de DAniel. Il jouit à son tour.
– Oh, oui. Je te remplis. Sa queue se tend plusieurs fois. J’imagine les giclés de sperme rebondir sur mes parois intimes.
Je m’écroule sur le sol de la chambre. Rempli
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