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Dans un jardin public

Dans un jardin public



J’étais en visite pour quelques jours chez ma fille qui habite une ville de la première couronne de la banlieue parisienne. Il faisait beau et chaud et je décidai en ce milieu de matinée de sortir faire un tour. Je passe devant un jardin public et décide d’y faire un tour. Il n’y a pas grand monde, à peine quelques nounous avec leurs poussettes. Je m’enfonce dans ce parc et dans un endroit à l’écart, je vois de dos un couple sur un banc. Je décide de me rapprocher sans être vu et caché par un arbre, je vois maintenant ce couple de face et le spectacle valait bien le détour.

La femme, une nounou elle aussi mais le bébé qu’elle a dans une poussette landau a l’air de bien dormir, est très brune, elle a une bonne quarantaine d’années et le bas de sa robe est autour de sa taille. Ses cuisses sont largement écartées et la main de l’homme a ses doigts profondément enfoncés dans sa chatte poilue. Il a l’air de lui masser le clito avec son pouce. De son autre main, il lui malaxe les seins dont un, gros et allongé est pratiquement sorti du décolleté de sa robe. Elle, elle a une main sur la bite du gars et elle la lui branle avec vigueur en crachant dans sa main de temps en temps pour que la branlette soit plus agréable.

Ils on l’air de faire ça depuis un bon moment car soudain, le gars se fige et ej vois de gros jets blanchâtres sortir de sa bite en même temps qu’elle resserre brusquement ses cuisses sur la main du gars qui est enfouie dans sa connasse. Rapidement, le gars fourre sa bite dans son pantalon et part sans un mot à la nounou qui sans remettre de slip rabaisse sa robe sur ses jambes et remet son sein dans le corsage de sa robe. Elle se lève pour jeter un coup d’œil sur le marmot qui continue à dormir à poing fermé. Moi, la vue de cette scène m’a mis la bite au garde à vous et j’ai dû fourailler dans mon pantalon pour lui donner un peu plus de place et pour me permettre de bander plus à l’aise.

Voyant l’avantage que je peux tirer de la situation, je m’approche de la nounou et je vais m’asseoir à côté d’elle sur le banc, un peu à la même place qu’occupait le gars dont le sperme est répandu parterre. Je lui dis bonjour et elle répond à mon salut avec un accent latino-américain. Je lui montre des yeux le liquide blanchâtre sur le sol et je lui dis : « Alors, il a bien joui ? ». Elle prend un air étonné comme si elle ne comprenait pas ce que je lui dis. Je lui mime alors de la main le geste de la branlette. Elle semble mieux comprendre et j’ajoute : « On va faire la même chose ensemble » et ma main se plaque sur l’emplacement de sa chatte sans culotte mais couverte encore par sa robe.

Elle résiste à peine, pour la forme, je sens ses cuisses se détendre et s’entr’ouvrir. Je lui remonte alors le bas de sa robe, je sais qu’elle est nue en dessous et je lui rentre un doigt dans sa connasse encore toute remplie de mouille. Je commence un lent va et vient en n’oubliant de remonter jusqu’au clito. Il est gros et encore décapuchonné si bien que la nounou ne tarde pas à ouvrir très largement ses cuisses offerte à un nouveau plaisir. Moi, je n’ai pas encore sorti ma bite qui bande au maximum et je lui dis : « Je veux te baiser, demande à une autre nounou de venir garder la bébé pendant qu’on va baiser. ». Elle me dit : « Non,ce n’est pas possible, je ne connais personne et aussi, je n’ai pas beaucoup de temps ». Je continue : « Ce que tu as fait avec l’autre gars, c’est très grave, j’ai pris des photos et… ». Je n’ai pas le temps de finir qu’elle se lève et va vers un groupe de nounous qui discutent ensemble. Elle s’approche de l’une d’elle, une maghrébine, et lui parle à l’oreille. Elle revient avec une de ses collègues, plus jeune qu’elle mais avec une grosse poitrine, des cuisses épaisses et un cul rebondi et large, bref, très baisable elle aussi.

La nouvelle nounou s’assoit près de nous sur le banc après avoir placé le landau qu’elle poussait auprès de l’autre. Après un rapide bonjour et un large sourire échangé avec elle, les présentations sont faites. Si je lui avais donné la main pour la saluer, elle l’aurait sans doute un peu collante. Sans attendre, je me remets à chauffer ma nounou latino-américaine. On reprend où on en était. La nounou maghrébine tourne la tête au début mais lorsque la latino recommence à gémir, elle ne détache plus son regard de la chatte de sa copine. Quand je sors ma bite pour commencer à me branler, elle a sa main sur la fourche de sa chatte. Quand la latino commence à me branler, la maghrébine a remonté le bas de sa robe, elle a écarté sa culotte et elle a un doigt dans sa chatte.

C’est là qu’on l’abandonne pour aller vers les WC publics qui sont situés près de l’entrée du parc. On jette un rapide coup d’œil pour voir si le gardien du parc n’est pas dans les parages et elle entre la première. Je la rejoins rapidement dans la cabine la plus grande. On ferme la porte. Je lui demande de se pencher et d’offrir ses fesses à ma vue. Elle le fait et apparaît ainsi un cul magnifique de rondeur avec une splendide chatte poilue un peu plus bas. Je m’agenouille devant ce cul et je commence à lécher sa chatte qui dégouline de mouille, celle-ci ayant déjà pas collé à ses poils.

Elle est aux anges et gémit sans s’arrêter. Je lui dis de le faire un ton en dessous et du coup, elle se mord les lèvres. Rien n’est oublié par ma langue et par mes doigts, son clito qui palpite entre mes lèvres quand je le le saisis, son con qui alternativement reçois ma langue et les doigts et sa rondelle. Après avoir commencé à la lécher et l’avoir bien enduite de salive, j’y mets un doigt. Et là, surprise, il rentre hyper facilement. J’y mets deux doigts, même facilité. En y mettant un troisième doigt et en faisant des va et vient, je comprends que la dame est une adepte de la sodomie pour plus de sécurité.

Ma bite étant bien raide, je me décide de la lui mettre dans la chatte. Elle proteste un peu mais elle en a visiblement envie. Je fais quelques va et vient, sa chatte est serrée et sa mouille facilite la pénétration et la rend agréable. Les parois de son vagin me massent la bite mais je ne me laisse pas aller à jouir alors que j’en aurais bien envie. Je sors ma queue et après craché sur sa rondelle, je la pénètre. Comme je l’avais imaginé, elle rentre comme dans du beurre, tellement elle doit avoir l’habitude d’être prise par ce trou, et ma bite est tout de suite happée de moitié. Je commence à la bourrer de va et vient puissants qui manquent de nous faire nous écrouler sur le sol.

De son côté, je sais que sa connasse n’est pas vide et que ses doigts ont remplacé ma bite dans cet endroit exquis. Je crois qu’elle a dû s’en mettre trois, voire quatre car je les sens sur ma bite qui elle est dans son fion. Les parois de boyau annal me massent la bite et je ne suis pas long à venir. Je déverse les flots de ma jute épaisse et abondante dans son trou du cul pendant qu’elle aussi elle jouit de son côté.

On se relève, je la prends dans mes bras et je l’embrasse dans la bouche tellement nos langues s’entremêlent. Elle sens et elle goûte sa mouille à travers ma bouche et cela semble l’exciter encore davantage. Elle me fait un large sourire et me dit : « Merci d’avoir insister pour me baiser, c’est tellement bon !!! ». On retourne vers le banc rejoindre la nounou maghrébine. Les deux landaus sont calmes, les mouflets continuant leur dodo. Je pense prendre congé de ces dames mais la maghrébine me dit : « Et moi ? ». Je lui dis alors : « D’accord, suis moi ». Et nous nous dirigeons vers les mêmes WC publics où je viens de baiser la latino.

On rentre dans la même cabine, la plus grande et je la prends dans mes bras, je l’embrasse, je la pelote, lui soupesant les seins, longs et lourds, de belles mamelles en fait. Je lui mets la main à la chatte et je vois qu’elle est trempée de mouille. Je comprends que pendant que je baisais la latino, elle, elle se branlait un max. Je comprends mieux qu’elle m’ait demandé : « Et moi ? ». Je n’ai pas trop d’imagination et je lui dis de se pencher en avant pour que je lui bouffe la chatte et je cul. Elle le fais gentiment et moi, je mets toute l’ingéniosité de ma langue et de mes doigts pour la faire jouir.

Pas bête, la maghrébine, elle comprend qu’elle doit ranimer ma bite si elle veut en profiter. Elle m’arrête et me prend la bite qu’elle place dans sa bouche pour me faire une pipe de rêve. Sa langue tourne et retourne autour de mon gland, elle m’aspire dans sa bouche au point que je l’arrête si elle ne veut pas prendre tout de suite mon sperme dans sa bouche. Je lui demande de se pencher à nouveau et je lui mets ma bite dans sa connasse. C’est un vrai bonheur, chaud et étroit, une chatte qui me plonge dans un vrai bonheur. De ma main, je lui astique le bouton pour accélérer sa jouissance. Elle ne tarde pas à venir car je commence à sentir son con qui se contracte sur ma bite. J’ai juste le temps de sortir ma bite que mon jus de couilles se déverse sur sa rondelle ronde et plus sombre que ses fesses et commence à dégouliner sur sa chatte.

Je remonte mon pantalon. Je l’embrasse encore goulûment de toute ma langue et je lui dis : « A nous revoir un de ses jours ». Elle me réponds : «  Ce sera avec plaisir » avec un large sourire. Et je la laisse rejoindre sa collègue latino-américaine….

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