Quand mon ami Alexandre, directeur d’un foyer pour jeunes travailleurs célibataires m’a demandé d’accueillir provisoirement un agent de sécurité de la centrale atomique voisine, j’ai hésité. Faute de place dans son foyer il a insisté et m’a promis de choisir un jeune homme bien sous tout rapport. Dès qu’une chambre se libérerait au foyer, il le reprendrait. Gina, ma jeune épouse se montra encore plus réticente que moi. Je dus faire valoir l’apport financier de ce type d’hébergement temporaire. Le loyer paierait une bonne partie de nos charges de chauffage. Trois de nos quatre chambres étant libres, nous pouvions en mettre une à la disposition d’un étranger et lui donner accès à notre cuisine d’été au rez-de chaussée sans inconvénient. Enfin selon Alexandre le jeune homme travaillait régulièrement de six à quatorze heures: il ne serait jamais seul dans la maison puisque Gina travaillait de huit heures à midi.
Se présente un garçon de belle taille, aux cheveux courts et propres, très poli mais aussi très timide. Julien a entre vingt et vingt-deux ans. Il nous remercie de bien vouloir le loger, se montre content des dimensions et de l’ameublement des deux pièces, satisfait du loyer par ailleurs fixé en accord avec Alexandre et se dit tout disposé à donner un coup de main pour les travaux d’entretien de la maison ou du jardin. Gina le juge charmant et cesse ses récriminations. Bientôt elle sympathise avec l’arrivant, se fait maternelle en raison des huit ans de différence d’âge et lui offre assez régulièrement un café à 16 heures. A mon retour du travail vers 17 heures, il m’arrive de les trouver ensemble au salon, lui regardant la télévision alors que Gina repasse notre linge ou celui de Julien, désormais considéré comme membre de la famille.
Ce soir là, Gina connaît un regain de passion. Après son bain elle s’est parfumée à l’ambre, a revêtu une nuisette transparente et se montre douce, caressante, amoureuse. La bouderie qui avait accompagné l’annonce de l’arrivée d’un hôte est oubliée. Elle prend l’initiative, m’embrasse avec ferveur, se couche sur moi, me retire mon pyjama, saisit mon sexe, le caresse, le prend en bouche, le traite royalement de la langue et des lèvres. Comme par miracle je retrouve l’épouse ardente, attentionnée. La routine avait un peu émoussé les élans des premières années de mariage. Je suis heureux de constater l’influence bénéfique de la présence d’un autre mâle sous notre toit. La succion dure, je suis aspiré au fond de la gorge dans un lac de salive, pressé entre les lèvres, frotté à l’intérieur des joues. Son nez collé aux poils de mon pubis envoie sur mon ventre un souffle chaud. De la main droite elle masse la base de mon sexe pour le maintenir droit et fort.
Elle se couche sur le dos, remonte ses talons à la limite des globes de ses fesses, genoux relevés et largement écartés, offerte, vulve béante, à la pénétration. Je m’installe en elle, me repose sur le moelleux coussin de son corps puis relève mon bassin et commence l’interminable et savoureux va-et-vient qui fait monter le plaisir dans le vagin et dans le pénis. Prenant appui sur les talons elle jette son ventre à la rencontre du mien et nous restons quelques secondes suspendus et unis au maximum. Elle me fait avec tendresse et détermination un festival des positions préférées, me retient en elle au moment de la première éjaculation et des suivantes. Je nage et glisse dans mon sperme mêlé à ses sécrétions.
Nos bouches se cherchent, ouvertes, dévorantes. C’est un véritable renouveau de notre union. Les draps absorbent la transpiration. Emu par l’attitude de Gina, je réponds à tous ses élans. Vient le moment de l’épuisement, où l’on se retrouve couché sur le côté, face à face, yeux dans les yeux, souffles saccadés, heureux, apaisés.
Gina profite de ce retour au calme
– Te souviens-tu chéri de la proposition que tu m’as faite il y a environ un an? Non? Pour redonner vie à notre amour, pour fouetter nos sens tu avais suggéré que nous invitions un tiers qui m’aurait fait l’amour devant toi. Ca te revient?
– Je me souviens surtout du refus sans appel que tu m’avais opposé, me traitant de vilain obsédé et menaçant de me quitter si j’insistais. Et ce soir, après la formidable séance que nous venons de vivre, je reconnais que tu avais bien raison. Nous venons de faire l’amour de façon divine sans recourir à un intervenant. C’est tellement merveilleux que je te prie d’excuser l’idée saugrenue qui m’avait visité. Continue à m’aimer de cette façon et ce fantasme idiot ne renaîtra jamais. D’ailleurs, si tu veux te mettre à quatre pattes, je vais te prouver que tu m’inspires sans artifice, point n’est besoin d’un boute entrain.
Gina prend place de bonne grâce, croupe haute, tête sur les avant-bras allongés et présente à mon érection retrouvée la fente chaude et accueillante sous l’œil noir du trou du cul interdit.. C’est sa position préférée. Je pénètre à nouveau le sexe, m’enfonce et me retire, en un long mouvement, des chairs rose clair, je sors mon gland à la limite et plonge jusqu’à toucher le fond, mes bourses collées aux fesses de Gina. Plus j’accélère, plus elle gémit, plus elle souffle bruyamment. Son orgasme se crie, me serre et me maintient en elle. Je crains que le célibataire du rez-de-chaussée n’entende le chant d’amour de ma femme.
– Dis, ma chérie, ne crie pas si fort, tu vas émouvoir le malheureux Julien s’il t’entend clamer ton bonheur.
– Justement, j’ai quelque chose à te demander à propos de Julien. Il est jeune, célibataire et ne connaît pas encore de fille du pays. De plus, comme tu l’as déjà constaté, il est extrêmement réservé. En discutant avec lui, j’ai deviné qu’il est toujours puceau. Il rêve de trouver une petite fiancée, mais il craint de ne pas savoir s’y prendre avec une femme. C’est un cercle vicieux.
– Apparemment il s’y prend plutôt bien avec toi, s’il te fait ce genre de confidences. Ne me dis pas que tu t’es sacrifiée pour le déniaiser ou que l’idée de te charger de son initiation sexuelle ne te choquerait pas.Es-tu attirée par lui ou son pucelage t’excite-t-il au point de vouloir l’en soulager. Qu’a-t-il que n’aurait pas eu un autre homme à l’époque où j’avais si sottement exposé mon fantasme?
– Que vas-tu imaginer? Je suis ta femme et jamais je ne te tromperai. Mais en repensant à cette introduction d’un tiers dans notre couple, telle que tu l’avais suggérée naguère, je me suis dit que nous pourrions faire d’une pierre deux coups en utilisant notre pensionnaire comme partenaire de nos jeux amoureux. Si tu le voulais, je pourrais faire l’éducation sexuelle de ce brave garçon et uniquement en ta présence. Ainsi tu assisterais aux quelques leçons que je lui donnerais et tu y puiserais de l’intérêt pour moi. Tu me regarderais le prendre en main et l’amener à la jouissance et tu rêverais de connaître par moi les mêmes sensations. Il y gagnerait de l’assurance, profiterait de notre expérience et aurait plus de chance de trouver chaussure à son pied.
Ces pensées ont été longuement ruminées, Gina a recensé les arguments pour me convaincre. Ce Julien exerce sur elle une forte influence. Il est jeune, inexpérimenté, malléable à souhait. Gina a-t-elle envie de croquer du puceau pour se rajeunir? Cette fois c’est à moi de calmer son imagination bouillonnante.
– Combien m’a-t-il fallu de leçons pour apprendre à te faire l’amour? Cela se découvre progressivement. On n’a pas besoin d’avoir un professeur, un partenaire suffit! C’est naturel, sinon nous n’existerions pas. Ton puceau trouvera chaussure à son pied sans toi, s’il ne l’a pas déjà fait. Tu me sembles bien naïve. Et toi, tu aurais la triple satisfaction de me faire plaisir, de former un amoureux et de satisfaire un fantasme…. A mourir de rire. Est-ce là l’origine de ta forme présente. Aurais-tu déjà donné un premier cours ?
-En aucun cas. J’agirai avec ton accord et en ta présence, sauf peut-être pour la mise en route, afin d’épargner sa timidité au début.
– Il y a entre nous un malentendu profond. Quand je parlais de te regarder faire l’amour avec un autre homme pour réveiller mon désir, je pensais te présenter une fois un inconnu qui aurait ensuite disparu, pour me laisser la place entière. Je souhaitais voir et étudier ton comportement dans l’union avec un anonyme, en tirer une leçon pour améliorer ma façon de t’aimer. Il s’agissait de regarder copuler deuxindividus bien rodés dont l’un ne te prenait qu’une fois.
. Or Julien n’est pas un inconnu et il ne disparaîtra pas le lendemain de la séance d’apprentissage. Tu prévois une mise en route puis une ou des leçons en ma présence. Et après cette éducation sexuelle, il restera sous notre toit. Inévitablement s’établira une liaison durable, je serai cocu et je ne le supporterai pas. Ce n’est pas la même chose. Souhaites-tu te mijoter un amant à domicile? Mon fantasme n’était pas de t’offrir à un amant et de vous voir sous mon toit filer le parfait amour. Tu peux vouloir déniaiser ton puceau pour d‘autres motifs, mais pas au nom de ce fantasme ancien. Ne crois pas pouvoir m’accuser d’être à l’origine de cet élan. Assume tes pensées.
– Ne sois pas rigide d’esprit. Je ferai l’éducation de Julien et ensuite il volera de ses propres ailes. Tu auras l’excitation du spectacle. J’y trouverai certainement du plaisir pour récompense de mon dévouement et ensuite nous serons plus unis que jamais. Si tu m’aimes, tu dois chasser toute forme de soupçon de jalousie. Evidemment je n’agirai pas sans ton accord.
– J’ai reçu ce soir la preuve que le projet te donnait des ailes. Tu as été parfaite. J’espère faire le même constat au cours de l’expérience et après. Pourquoi finalement serais-je en désaccord ? Tu as le droit d’avoir toi aussi des fantasmes et d’essayer de les satisfaire. Rassure-moi : tu limiteras tes interventions en nombre, dans le temps et aux heures où je serai à la maison ? Tu considéreras Julien comme un élève et non comme un amant quelle que soit la sympathie qu’il t’inspire?
– Je te jure de ne jamais entreprendre une leçon avec lui si tu n’es pas là. Il suffira que tu me demandes d’arrêter pour que je cesse sa formation. Ca te va, tu me donnes ton accord? As-tu encore une question?
– Effectivement. La séance la plus importante à mes yeux est celle de la mise en route dont tu souhaites m’exclure pour ménager sa timidité. Je tiens à y assister. Julien a le devoir d’accepter un compromis, de faire des efforts pour vaincre sa timidité.Si vous acceptez ma présence tu pourras commencer dès demain avec ma bénédiction. Je m’engage à être un spectateur silencieux, à ne jamais intervenir. Mais je veux dire moi-même à cet heureux élu mon accord pour que tu fasses son éducation sexuelle théorique et pratique et je veux lui rappeler de vive voix ma situation privilégiée de mari et de propriétaire de la maison.
– Eh! Bien, je te remercie pour lui. Il ne sait rien de notre discussion. En quoi le propriétaire est-il intéressé?
– En cas de débordement, j’expulserais le locataire. Et tu devras assumer ta conduite.
– Ne t’inquiète pas, je respecterai les limites énoncées.
– Demain à 17 heures sois prête, en tenue excitante. Essaie de le faire venir au salon et de l‘y garder, propose lui ton aide. A mon retour du travail je vous donnerai le feu vert officiel. Julien doit savoir que j’ai donné mon consentement, donc il l’entendra de ma bouche. Pour le moment canapé et fauteuils, chaises, table, tapis devraient suffire pour accueillir vos ébats. Sois une bonne instructrice. Je veux être fier de toi et de ton enseignement. En l’absence de certificat de bonne santé, je te recommande l’usage de protection d’usage courant. Protège-toi et protège-moi. Ton angelot pourrait avoir contracté une vilaine maladie au cours d’un premier ou d’un second dépucelage.
– Non, je le crois sincère. Mais ne t’inquiète pas, le « sortez couvert » fait partie d’une éducation bien menée.
Gina me saute au cou, m’embrasse follement, cale un genou de chaque côté de mon bassin, att**** ma queue ramollie, se retourne, me reprend en bouche tout chargé des écoulements précédents et me remercie en redonnant vie à un pieu présentable. De nouveau tournée vers moi, heureuse et reconnaissante, elle me tient droit sous la chatte qui s’abaisse pour m’emprisonner et me soumettre au galop de son ventre avide. Elle me chevauche avec force et énergie et je finis par me demander si je ne viens pas de lui accorder le droit d’aimer le jeune et de le baiser à volonté avec ma bénédiction.
Quant à ce qu’elle fera pendant mes heures de travail…Saura-t-elle s’arrêter si je le demande? Julien n’est-il pas déjà son amant de cœur? Ne suis-je pas en train de creuser la tombe de notre amour? Aura-t-elle encore besoin de mon accord pour s’installer en éducatrice spécialisée à domicile pour d‘autres jeunes gens en détresse sexuelle? Il y a tant de jeunes garçons timides à rassurer. En cette époque de chômage voilà une création d’emploi toute indiquée. Gina a déjà un emploi, à mi-temps certes, mais c‘est son choix! N’ai-je pas présumé de mes forces, saurai-je étouffer les bouffées de jalousie ? Comment Gina me fera-t-elle l’amour demain ou dans six mois? Ne me préférera-t-elle pas la chair fraîche, les jeunes adultes ou les ados ?Cette mise en concurrence physique pourrait un jour tourner à mon désavantage.
C’était un fantasme. Cela devient un problème. Qui sème le vent récolte la tempête: un jour lointain j’ai émis une idée stupide, elle me revient en pleine gueule comme un boomerang. Aucun de mes arguments ne l’a convaincue: ni l’observation du bon état actuel de notre relation, ni le qualificatif « saugrenu » à propos de ma proposition, ni le rappel du recours à un inconnu et non à un familier. Gina m’a subtilement imposé son désir d’accomplir sa bonne action au profit de gueule d’ange. J’ai dû acquiescer. Son enthousiasme a bousculé mes résistances, elle semble trop y tenir pour m’entendre et accepter de renoncer à son rôle de formatrice. Si l’agneau est aussi blanc qu’elle le croit, elle pourrait l’effrayer avec trop d’ardeur. Je suis très mal à l’aise, fâché avec moi-même! De l’imaginer bourrée par le petit jeune, grande ouverte, ouvrant son sexe à deux mains pour l’accueillir en elle puis recouverte de son sperme, je perds le sommeil.
J’ai du mal à avaler que ce garçon puisse être vierge. Il est grand, beau, bien fait, intelligent, livré même malgré lui et sa prétendue timidité à la convoitise des demoiselles. Il aura su apitoyer Gina pour lui ouvrir les bras et les jambes en lui racontant une fable, une histoire autant de fois exploitée qu’il a rencontré de fleurs bleues au cœur généreux et au corps attirant. Et les bonnes âmes prises de pitié l’ont délivré de l’horrible tare du pucelage en écartant les cuisses dans un formidable élan de générosité.
Si cela se trouve, après chaque conquête, le jeune homme bien sous tout rapport renaît puceau pour recommencer son éducation par des cours pratiques innocents ! Allez dormir quand ce genre d’idée née d’un excès de reconnaissance de votre femme vous trotte dans la tête. Je pourrais admettre que ma femme ait une aventure extra conjugale, elle ne serait ni la première ni la dernière femme à chercher à étendre ses connaissances en la matière et à élargir le cercle de ses intimes. Mais je serais furieux d’apprendre qu’elle a été abusée par un godelureau et qui plus est avec ma bénédiction. Maudit soit le jour où je lui ai confié mon fantasme.
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