G : « Retournez vous assoir »
Elle s’exécute.
G : « Remonter votre jupe et écartez les cuisses que je vois votre entre jambes.
Elle hésite, puis s’exécute, et de façon très érotique, remonte sa jupe, écarte une première cuisse, puis la suivante, elle relève la tête et le regarde dans les yeux.
G : « Bien rasée, de petite lèvres, et un beau clitoris encore gonflé, vous êtes une vrais salope, n’est-ce pas, Véronique »
Elle laisse échapper un petit gémissement.
G : « Dite le moi Véronique, écoutez-vous le dire à un inconnus »
V : « Je suis une.. »
G : « je n’entends rien »
V : « JE SUIS UNE SALOPE »
G : « Alors, qu’est-ce que ça fait ? »
V : « c’est excitant ».
G : « Pardon ».
V : « C’est excitant, Monsieur ».
G : « vous avez votre collant ici ?»
V : « Oui, il est dans mon sac Monsieur »
G : « vous allez le prendre et attacher vos chevilles aux pieds de la chaise, et vous avancerez votre chatte au bord de la chaise, vous écarterez bien que je vois parfaitement ».
Elle est tremblante, et déjà surexcitée, elle saisit ses collants encore humide, prend une jambe et s’attache un cheville sur l’extérieur droit de la chaise, déchire le collant et attache son autre cheville sur l’extérieur de l’autre côté de la chaise, elle avance le bas de son corps sur le bord , se laisse allez en arrière et écarte un maximum ses cuisses, ses lèvres s’ouvrent et laisse apparaitre son clitos, elle est déjà mouillée , et des gouttes perles le long de ses grandes lèvres lisses et douce.
V : « Voici monsieur ».
G : « Caressez-vous maintenant, je vais vous regarder ».
Elle prend sa main droite et commence doucement à se caresser le sexe, elle écarte ses lèvres et laisse apparaitre son clitoris gonflés de sang, vibrant de petits spasmes au contact de ses doigts.
Sa respiration s’accélère et de petits gémissements se font entendre.
G : « c’est bien, tu commences à m’exciter, ouvre ton chemisier et enlève ton soutient gorge »
V : « Tout de suite monsieur, hummm »
Giovanni est debout devant elle, a un petit mètre du spectacle que lui offre son jouet, les jambes écartée, la poitrine gonflée, les tétons pointant au ciel.
Il s’avance d’un pas, ouvre sa braguette et sors son pénis, bien droit, dur, puissant, elle s’avance pour le prendre en bouche.
G : « tu n’oublies rien, petite salope ?»
V : « Pardon, puis je vous sucer ? »
G : « aimes-tu sucer ? »
V : « peu importe ce que j’aime monsieur, je ferais ce que vous me demanderez, mais ce seras un grand plaisir que de sentir votre queue s’enfoncer dans ma gorge ».
G : « c’est bien, tu apprends vite, tu peux me sucer, mais sans les mains, continue tes caresses, je veux sentir tes gémissement au travers de mon pénis dans ta bouche. »
Elle s’avance lentement et ouvre grand la mâchoire, le sexe de Giovanni s’engouffre dans celle-ci, elle commence de long mouvement de vas et viens avec son buste afin de lui offrir la meilleur des fellations qu’elle puisse en ce moment.
G : « tu te débrouille bien pour une petite employée de banlieue, j’ai connus des putes de luxes n’avait pas tes compétences ».
Véro quant à elle ne sait plus qui elle est, ce qu’elle est, elle n’est plus qu’un organe sexuelle, les décharges électriques que lui envoie son corps, ce gland qui vas et viens en elle, ses seins pincé maintenant par Giovanni, son clitoris en feux sous ses propres caresses, elle a perdu toute volonté, et son corps en veux encore plus, elle est complètement abandonnée à cet homme.
Il retire son sexe de sa bouche, il recule contre son bureau en se caressant le membre.
G : « Arrête maintenant ».
Elle est au bord de l’orgasme, les yeux entrouverts, la respiration courte et haletante, elle n’as pas envie d’arrêter, mais elle doit obéir encore.
Le silence est lourd, sa respiration ralentis.
G : « tu en veux encore plus n’est-ce pas»
V : « Monsieur, vous vouliez une salope, je suis votre salope, faite de moi ce que vous voulez, mais par pitié, faite moi jouir, je suis à vous, et je veux aller au bout ».
G : « très bien »
Il détache sa ceinture, de cuir noir, elle as peur.
G : « n’ai pas peur petite garce, je ne vais pas te frapper »
Il passe derrière sa chaise, lui prend les mains, les glisses derrière le dossier, et lui attache les poignets, il est à genoux derrière elle, il met sa queue entre les mains ligotée, Véro la serre et il commence un vas et viens.
Il lui agrippe les deux seins et prends entre ses doigts ses deux mamelons, lui glisse a l’oreille, tu as les tétons sensible n’est-ce pas petite garce ?
Elle n’a pas le temps de répondre qu’il pince les deux mamelons pointus, la pression traverse son corps tel une décharge électriques et instantanément, son corps se remplis de spasmes, elle se tortille sur sa chaise, victime d’un premier orgasme, elle souffle, essaie de se retenir, mais elle ne peut retenir un râle de plaisir.
La voici attaché maintenant, complètement privée de liberté de mouvement le corps entier humide.
Comme si ce n’était pas suffisant, il prend sa cravate, il s’approche d’elle, elle ouvre la bouche, pensant y accueillir son sexe toujours bien droit, mais il bloque sa tête , passe sa cravate autour de ses yeux, et l’aveugle en faisant un nœud derrière son crâne.
Elle n’entend plus rien, ou est-il, elle sait qu’il est là, il joue avec elle, elle sent son pénis sur son visage, sur ses levres, son gland sur ses seins, parfois douce, parfois de petite fessée sur la poitrine.
Cela dur qq minutes, puis plus rien, jusqu’à sentir qq choses sur sa chatte, est-ce son pénis, non , c’est trop chaud, elle comprend bien vite que c’est sa langue, elle ne résisteras pas longtemps a cette exercice , quelque coup de langue plus tard, encore un nouvelle orgasme, encore plus fort que le précèdent.
Elle est à bout, son corps est épuisé, son mental détruit, mais lui n’en as pas finis avec elle, il continue à lui caresser le sexe, son corps refuse, elle essaie de résister.
G : « ton corps n’as pas l’habitude, tu penses que c’est mal, tu vas te laisser faire, je te l’ordonne »
V : « Oui .. »
G : « il lui gifle un seins »
V : « Oui monsieur »
Le voici repartis de plus belle, avec la main maintenant, il lui met un doigt, deux, trois doigts, elle est haletante, un doigt dans le cul, deux doigt dans le cul, tout est bien trempé, ça glisse tout seul, elle n’as pas l’habitude de cela, mais dans son états, toutes ses sensation se mélange, et elle y prend un certain plaisir lorsque son clito est sollicité en même temps.
G : « Ta chatte est grand ouverte, dilatée, ton cul est bien serrer, ou pense tu que je devrais te prendre ».
V : « … je ne sais pas, monsieur »
G : « Tu le sais demande le moi, et gentiment, donne-moi envie ».
V : « j’ai peur d’avoir mal ».
G : « as-tu eu autre chose que du plaisir avec moi, demande le moi ! Et gentiment ! Donne-moi envie »
V : »… »
Il lui gifle le sein
V : « Monsieur, j’aimerais sentir votre sexe rentrer dans mon cul, je veux la sentir profondément, mon anus est prêt pour vous, je veux que vous y alliez à fond, je veux apprendre cela avec vous »
Il est à genoux devant elle, lentement, il détache une première cheville, puis la seconde, glisse les mains le long de ses jambes, lui soulève les cuisses et places ses cheville contre ses épaules, les talons de sa soumise à la hauteur de son visage, il tire encore un peu son bassin vers le bord de la chaise, prend son sexe fermement, cherche un peu, et commence à rentrer son gland avec difficulté, elle a peur, et se contracte par reflexe, il le sent.
Il prend alors son autre main, pose son pouce sur son clitos fragilisé et mouillé, et commence à tourner autour en appuyant délicatement, véronique ne contrôle plus son corps, elle sursaute, gémit de plaisir, elle se relâche, se décontracte, d’un seul coup d’un seul, sa bite rentre alors au complet dans son cul. Il peut commencer maintenant à lui limer l’arrière train, ses coups de reins tape sur sa chatte et font vibrer son clito, la douleur anale n’est plus qu’une sensation de plaisir inconnus et d’une puissance inimaginable.
Le cerveau de Véro explose, elle ne sait plus respirer, son corps entier l’as abandonné, ce n’est plus un gémissement qu’elle émet, mais des cris, entrecouper de respiration sifflante.
HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
hhhhhhhhhhhhhhhh
HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
hhhhhhhhhhhhhhhhh
HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Entre deux cris, il se retire et se redresse, il se décharge enfin sur sa poitrine, elle sent le liquide chaud couler le long de son torse, elle se sent femme, pute, salope, accomplie, elle est libre, abandonnée, puissante et merdique à la fois.
Elle essaie de reprendre doucement sa respiration, elle est figée, impuissante, nue devant cet inconnus et toujours attachée à la chaise dans son dos.
Elle entend qu’il se rhabille, qu’il prend son téléphone, appelle quelqu’un, en italien, elle ne comprend rien, elle est toujours là, nue et souillée, et il est au téléphone.
Divers Bruit autour d’elle, mais que fait-il ?
Soudainement, elle sent un baiser sur sa bouche, il l’embrasse, comme on embrasse avec passion, encore qq baiser, une dernières caresse douce sur ses seins, des bruits de pas, il s’éloigne, la porte s’ouvre, des voix à l’extérieur, des pas.
Elle s’imagine le pire, oh mon dieux, il ne va pas me laisser comme ça ici.
Des pas s’éloignent, la porte s’ouvre, d’autre pas, se rapproche d’elle, des pas différents, bruyant, elle est apeurée.
Veronique sent que l’on touche au nœud de la cravate qui cache ses yeux, quelqu’un lui hôte. Elle ouvre les yeux, mais est aveuglée par la lumière, elle ne voit rien mais entend une voix douce de femme :
Bonjour Veronique, je suis Anna, la secrétaire de Mr Bargonne, ne bouger pas je vais prendre soins de vous.
Sa vision reviens, et le visage doux d’une jeune femme souriante, douce, se voulant rassurante, la détache, lui donne un verre d’eau, et commence à l’essuyer, « venez avec moi, je vous emmène a la salle de bain » véronique se lève et voit des vêtements de grandes marques sur le bureau.
Anna : « Monsieur Bargonne m’as fait commander ces vêtements pour vous hier »
V : « Hier ? Vous faites Erreur»
Anna : « Monsieur Bargonne lit toujours les dossiers du personnel des gens qu’il va rencontrer »
V : « mais ce n’est pas possible, il ne pouvait pas savoir »
Anna : « Monsieur Bargonne as du vous le dire, un homme dans sa position obtient toujours ce qu’il veut, et il vous avait choisis hier »
FIN
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