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Soirée flexible

Soirée flexible



Lors d’un soirée bien arrosée lors d’un colloque entre collègues, mon mari n’était pas présent et j’étais la seule femme. Toute excitée par les histoires grivoises que chacun racontait, je leurs dit :
« J’ai envie de faire l’amour. Vous me plaisez tous les trois et je ne sais lequel choisir. »
Les trois hommes un peu surpris par mon intervention, me regardèrent d’un autre œil, d’autant que ma robe me mettait en valeur.
Je savais à ce moment là que j’avais capté toute leur attention. L’un d’eux brisa ce moment de silence intense.
« Mes anciennes femelles soumises s’accordent toutes à dire qu’elles n’ont jamais connu d’extases plus extraordinaire que ceux que je leur ai provoqués. »
Les deux autres éclatèrent d’un rire tonitruant. Sans me démonter, sous l’effet de l’alcool je deviens provocante en lui disant :
« Huuum et vantard de surcroît. Mais vous m’intriguez, poursuivez je vous prie !. »
Assise juste en face de lui, ma robe remontant très haut sur mes cuisses, les trois hommes n’ont d’yeux que pour mon décolleté plongeant et le haut de mes cuisses dévoilant la naissance de mes fesses. Il me sourit tentant de me jauger et reprit :
« J’ai développé une technique qui fait voltiger le clitoris en tous sens. La sensation que le petit appendice subit, la douleur passée vous comble d’une extase très particulière. Des femelles m’ont avoué avoir oublié toute retenue et dignité en atteignant le septième ciel du plaisir ! »
Je buvais ses paroles et des fourmillements dans le bas de mon ventre me prédisposaient à un désir irrépressible. Cet homme me fascinait et me faisait peur en même temps. Il était subtil et psychologue en continuant son discourt de façon à ne pas me laisser réagir.
« Le plaisir par la douleur est une chose que peux de gens on accès.  La raison de leur méconnaissance est la peur de se laisser aller. Or, aucune femme n’est jamais revenue indemne d’un tel voyage extatique. »
Comme hypnotisée, je ne mettais pas aperçu que ma main glissait doucement sur le tissu de ma culotte, caressant avec lenteur ses lèvres entrouvertes. Voyant l’effet qu’il produisait sur moi et encouragé par ses camarades, il reprit son discourt :
« L’une de mes femelles, un jour que je lui faisais la démonstration de ces stimulations éprouvât tant de plaisir, qu’elle devenait fontaine et s’en évanouit. »
Sans aucune pudeur, j’avais maintenant, devant ces trois hommes, l’index et le majeur plantés dans mon abricot trempé.. Le plaisir montait en une vague vertigineuse que n’essayais même pas de cacher, m’exhibant sans complexe.
Voyant mon état, l’un d’eux reprend et insiste :
« Vous avez entièrement raison mon ami. Le travail de la zone vaginale sont indéniablement un point incontournable pour amener une salope à l’orgasme. Mais le travail des seins de l’est pas moins ! »

J’étais porté comme dans un rêve par leurs dialogues quand soudain, un orgasme incontrôlable s’emparât de moi et dans un hurlement de louve, j’exprimais toute la tension retenue par les propos de mes trois orateurs. Je n’avais pu contenir mon plaisir plus longtemps et l’avais laissée exploser sans retenue. Le barman derrière son comptoir et les trois hommes assis devant moi n’en revenaient pas. Il s’écoula plusieurs secondes avant que, provocatrice et sereine, je reprenne le contrôle en leurs disant :
« Et bien messieurs, je vous remercie pour toutes ces belles phrases qui m’ont faites voyager au delà de mes espérances. Il ne me reste plus qu’à vous souhaitez à tous une bonne nuit. »
Je me suis levée chancelante. Mes jambes étaient en coton. En m’éloignant vers les ascenseurs, d’un pas mal assuré par l’alcool et mon orgasme dévastateur, les trois hommes me regardaient en se moquant et matant mes fesses et mon corps ondulant à chacun de mes pas.
Alors que je rentrais dans l’ascenseur, les trois hommes s’y engouffrent et me firent grands compliments de ma prestation. Je rougis de honte et de gêne, mais j’aimais leurs compliments très classe. Nous avons discuté de tout et de rien et en me rendant vers ma chambre, Il me demandèrent de leurs montrer mes talents qui sans aucun doute leurs semblaient exceptionnelles. Je n’étais pas dupe. Arrivé dans la chambre, les trois homme restèrent devant moi à m’observer. Ils ne me quittaient pas des yeux et reluquaient plus particulièrement mon décolleté et la fourchette de mes cuisses.
J’étais figée devant eux ne sachant pas trop quelle attitude adopter. Mais je savourais ces regard inquisiteurs sur mon anatomie. Je prenais conscience du pourvoir que j’exerçais sur ces trois mâles et devinais leur raideur au travers de leurs pantalons dont le tissu se tendait ostensiblement. La tension était au maximum quand l’un deux brisât ce silence :
« Michèle, On nous a raconté que tu étais d’une souplesse assez exceptionnelle. Nous serions ravis que tu nous en fasse une démonstration. »
« Avec plaisir messieurs. Mais ma tenue n’est pas adéquat pour ce genre d’exhibition. »
Aussitôt je me mordais les lèvres en pensant que mon expression « exhibition » n’était pas des plus judicieuse dans la situation dans laquelle je me trouvais et, évidemment, les trois lascars en profitèrent pour réagir :
« Mais pas de problème ma chère. Mettez-vous à l’aise ! Vos souplesse dans la tenue d’Eve ne sera pour nous que plaisirs des yeux ! »
Je craquais devant tant de compliments classieux et malgré une certaine gêne, j’eus plaisir à me dénuder devant leurs regards avides.

Une foi nue devant eux, je les ai laissé admirer ma plastique un instant. L’un d’eux me dit alors :
« Bous êtes délicieuse ma chère. Maintenant que vous n’êtes plus gênée par vos vêtements, faites-nous profiter de vos talents de souplesse. »
C’était si poliment et gentiment demandé que je commençais mes exercices d’assouplissements. Dans ma tenue, il était évident qu’aucun détail de mon intimité ne leurs était dissimulé.
Je ne pensais même plus à ma nudité et poursuivis mon spectacle sous leurs applaudissements et leurs sifflets d’admiration. Fière de leurs encouragement qui me transcendèrent, je poussais le bouchon plus loin. Mon exhibition devint d’un érotisme fou. Leurs regards sur mon corps exposé étaient si intense que j’avais presque la sensation d’être touchée par de multiples mains. Je poussais alors le vice à m’offrir totalement en écartant mes lèvres intimes et exposer sans pudeur aucune mon vagin suintant de cyprine.
Pour eux, ils prirent ma position pour une invitation. L’un deux de mit nu et tombant à genoux, il se mit à me bouffer le minou divinement bien. Agréablement surprise, je me mordis les lèvres pour ne pas gémir sous cette caresse, alors que les deux autres continuaient à mater en se masturbant. Sa langue et ses doigts très actifs étaient un pur bonheur. J’avais affaire à un expert en la matière qui savait faire monter en moi le désir.
J’ouvrais très grand les cuisses pour lui laisser le champs libre pour jouer comme il le souhaitait avec mon coquillage. Je voulais qu’il joue avec mon sexe offert. Sa respiration et la mienne s’accéléraient. Il entrât trois doigts dans mon vagin accueillant. Je ne pus réprimer alors un feulement de lionne en chaleur. Sa langue, ses doigts fouillaient mon sexe. Il me mordillait le clitoris, l’aspirait, le dévorait. Je ne voulais qu’être offerte et que ces trois hommes me prennent et disposent de moi à leurs guises. Il glissât son pouce dans mon anus et, en gémissant je tendais mon bassin à cette pénétration. Pendant ce temps, les autres aussi s’étaient mis nus. Mon bouffeur de minou entrât alors en moi, emplissant mon vagin d’un coup, sans effort et avec une énergie presque bestiale qui me convint parfaitement tant j’étais excitée et que j’attendais ce moment. Il me baisait en agrippant ses mains à mes hanches. Dans ma position extrême, ses va-et-vient étaient profond. Mon sexe se contractais sur son membre et je sentais mon plaisir monter et l’orgasme proche. Mais sans prévenir, il change de trou et me dilate de son gros engin mon petit trou si offert. Je lâchais un cri, autant de surprise que de douleur mais son gros boudin me défonçait déjà activement. Je lui mordis l’épaule pour ne pas hurler. Sous la morsure, il accélérât encore. Il me prenait comme une bête. Je savais qu’il allait venir. Ça y était, son sexe au fond de mes fesses se contractât et dans un grognement de bête, il explosât en moi.

Il restât en moi quelques instants. Alors que nous reprenions notre souffle, ses amis voulurent également leurs part du gâteau et l’écartèrent de moi pour me prendre la bouche et la chatte, sans me laisser un moment de répit. J’eus à ce moment un orgasme énorme, presque douloureux qui surpris même mes mâles pourtant si expérimentés dans la jouissance féminine. C’est à cet instant qu’ils décidèrent de me prendre en sandwich. J’étais bien incapable de leurs refuser ce plaisir et il me remplirent bien profondément les deux orifices qui leurs étaient offert si généreusement. Ils accordèrent leurs rythme et les va-et-viens reprirent à une cadence effrénée. J’avais la sensation que mon esprit s’était détaché de mon enveloppe charnelle tant l’instant était d’une intensité extraordinaire.
Mes deux fornicateurs ne tinrent plus très longtemps à se régime là et dans un élan tonitruant, ils se retirèrent de moi et m’aspergèrent de leur précieuse liqueur. Toujours aussi gentlemen, ils me remercièrent de tant d’attentions et repartirent fêter le bon coup que je leurs avais offert. Restant couverte de sperme dans cette chambre, me remettant de cette folie, je décidais d’envoyer un SMS à mon mari en pensant à ce qu’il me réserverait à mon retour. J’espérais qu’il serait excité et qu’il me punirait à la hauteur de ma « trahison ».

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