HISTOIRE DU NET
Ce n’est que l’année suivante que j’ai revu Laetitia. Elle avait changé d’université, mais avait gardé des attaches amicales et dès qu’elle le pouvait, revenait voir ses amis. C’est lors d’une soirée chez un couple d’amis que l’on s’est revu.
Mathieu et Julie étaient étudiants comme nous et sortaient ensemble depuis la seconde. Ils s’entendaient tellement bien qu’ils avaient décidé de prendre un appartement en commun.
Ce soir-là on devait être près d’une quinzaine dans le petit F2, tous réunis dans le salon, la musique à fond, l’alcool à foison sur la table (chacun avait amené son pack de bière ou sa bouteille de whisky), bref, on ne manquait de rien. J’étais en train de discuter avec 2 copains, le verre à la main, quand j’aperçus une petite brune qui me regardait en souriant. Mon esprit fit « tilt »: c’était Laetitia. Je délaissais mes 2 compagnons et m’approchais d’elle. On se fit la bise. Cela faisait donc presque un an que je ne l’avais pas revu. On parla des études, des cursus que nous suivions et de fil en aiguille, sans nous en apercevoir, la soirée défila sans que nous ne nous quittions. Elle me parla de Sophie, son amie avec qui nous avions couché ensemble elle et moi lors d’une soirée étudiante pareille à celle-ci. Sophie aussi avait changé de fac, je ne la voyais plus non plus. Et bien entendu, on parla de cette fameuse partie dans le lit de Sophie (voir chapitre précédent). On en avait jamais reparlé Laetitia et moi. On avait repris le cours normal de nos vies. C’était avec Sophie que j’avais entretenu un semblant de relation basé sur le cul et puis 3 mois après, à la fin des examens, chacun et chacune avait pris une route différente.
Il devait être 1 heure du matin quand on s’aperçut que l’appartement s’était vidé. Nous n’étions plus que 4: Mathieu et Julie, propriétaires des lieux et Laetitia et moi. Tous les autres étaient partis poursuivre la soirée en boîte. Mathieu et Julie se dévoraient mutuellement la bouche. Mathieu pelotait sa copine qui semblait bien atteinte par l’alcool et n’était pas gênée que l’on soit là, Laetitia et moi. Quant à nous, nous poursuivions notre discussion et nos rires, assis sur le sol dans un coin de la pièce. C’est alors que le couple se leva et partit s’enfermer dans la chambre sans se soucier de nous, sans un mot. Laetitia et moi comprîmes ce qui allait se passer. On en profita pour prendre place dans le canapé, occupé juste avant par les 2 amoureux. Malgré la porte fermée, certains bruits filtraient: le sommier qui craque et surtout les cris de Julie.
Puis, je décidai moi aussi de tenter ma chance. Le souvenir de Laetitia nue l’an passé et notre rapport de quelques minutes m’excitait. Je voulus regoûter au plaisir de son corps. J’approchai ma bouche de la sienne et l’on s’embrassa, puis je passais mes mains sur ses cuisses rondes, au travers de son jean, les remontant vers son t-shirt que je lui enlevai très vite. La voilà en soutien gorge devant moi. Elle le dégrafa et me présenta ses 2 petits seins, pas très gros que je me dépêchai de gober et lécher. Laetitia dit d’une voix douce:
« – Cette fois tu es pour moi seule. »
J’embrassai son ventre et descendis vers l’entre cuisse toujours emprisonné dans le pantalon qu’elle ne tarda pas à enlever en même temps que son string. Laetitia était nue sur le canapé. Je la fis se coucher, écarta ses jambes et la léchais. On entendait les cris de Julie auxquels vinrent se mêler les miaulements de Laetitia qui s’abandonnait à moi, sous le travail de ma langue qui léchait son bouton, tandis que mes doigts caressaient sa fente mouillée. J’enlevais à mon tour mes vêtements. Laetitia s’était assise et prit mon sexe dressé pour le fourrer dans sa bouche. Elle me fit une fellation digne d’une pro (encore que je n’ai jamais eu l’honneur de me faire sucer par une professionnelle), faisant jouer sa langue sur le gland tandis qu’elle me caressait les bourses d’une main et de me branlait de l’autre.
Laetitia se positionna à 4 pattes, sur la moquette pour que je la prenne. Mais un problème nous interrompit: Pas de préservatif. On se regarda emmerdés par ce problème, mais on a fini par en rire. Je dis en plaisantant:
« – Je peux aller demander à Mathieu s’il lui en reste une pour moi. »
Laetitia rit. Les cris de Julie continuaient.
« – Elle en a de la chance elle. » Lâcha ma partenaire entre 2 rires.
On décida d’aller chez moi. J’habitais à 10 minutes à pied. Une fois rhabillés, on sortit de l’appartement, tandis que nos 2 hôtes s’envoyaient toujours en l’air. Nous, cela attendrait encore un peu. Arrivés dans mon studio, je me dépêchais de déplier mon clic clac, puis on recommença à s’embrasser. Ni une ni deux, nous voilà nus sur mon lit de fortune. On reprit les préliminaires quelques minutes, sous forme d’un 69. Couché sur le dos, je me faisais sucer, tandis que je passais la langue dans la fente vaginale de Laetitia, qui se crispait petit à petit. Un orgasme pointa le bout de son nez.
« – Haaaaaaaa ! Tu m’a fait jouir Charles.
– C’est une bonne chose. »
Puis je pris la boîte de capotes dans un tiroir proche du lit et habillais ma verge qui attendait d’entrer en action. Laetitia se remit à 4 pattes, sur le sol, et cette fois je pus m’introduire en elle, sans mal tellement elle était trempée et excitée. J’entrais et sortais de son ventre, ses cris résonnaient dans le studio (pourvu que les voisins n’entendent pas). Mes mains se saisirent de ses tétons alors que je continuais le mouvement de pénétration.
« – C’est bon ce que tu fais! Han! Han! Han! »
Puis je m’assis sur une chaise et elle vint s’asseoir sur moi. Empalée sur ma queue, on s’embrassait à pleine bouche. Mes mains tenaient et pressaient ses fesses. Puis ma bite finit par cracher et remplir le latex.
On s’embrassa encore avant de se coucher sous les draps puis on s’endormit. Le lendemain matin on a prit notre douche ensemble. Sans capote cette fois, j’ai baisé son anus. C’était notre première fois à tous les 2. Elle eut un orgasme anal, qui résonna dans la salle de bain.
Laetitia et moi somme restés ensemble pendant 3 ans. D’une simple partie de baise d’un soir, on était tombés amoureux. Ce fut une belle relation avant qu’elle ne parte aux Etats-Unis pour finir ses études. C’est là que nous avons rompu.
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