ENTRETIEN D’EMBAUCHE (souvenirs du passé)
En cet après-midi d’automne il fait un peu froid et le vent souffle assez fort.
Avec mon amie Martine, nous sommes installées dans un bar de la ville pour boire une boisson chaude.
Deux jeunes femmes boivent un café assises à la table derrière moi et leur conversation est très intéressante.
Elle parlent d’un entretien d’embauche que l’une d’elle prénommée Anaïs vient de passer dans une agence d’assurances très connue.
La postulante est outrée, le directeur qui l’a reçue, après avoir à peine lu son CV, s’est concentré sur son physique et sans gêne lui a fait une proposition déplacée lui faisant comprendre qu’en écartant les cuisses elle avait de grandes chances d’avoir le poste sinon elle pouvait chercher un emploi ailleurs.
Elle a demandé à réfléchir, le directeur lui a donné un délai mais s’est montré très pressant concernant la réponse lui disant qu’elle n’est pas seule à postuler et que la première qui se décidera aura le poste.
Nous l’entendons dire qu’elle galère car étant sans emploi elle doit nourrir deux enfants en bas âge alors que le père a disparu il y a quelques mois sans laisser de traces.
Martine connaît la jeune femme qui d’après elle jouit d’une excellente réputation et réside dans un immeuble ou mon amie se rend souvent pour rendre visite à une de ses soeurs.
Aimant bien les défis et touchées par l’histoire de cette jeune fille, après en avoir parlé un bon moment avec mon amie, nous décidons de voir si ce qu’elle raconte est vrai et dans ce cas d’agir.
Après bien des discussions et délires nous mettons au point un plan d’action et comme chacune de nous deux veut en être l’actrice qui passera en premier à l’action nous tirons à la courte-paille, le sort m’est favorable.
Avec Martine nous nous concoctons chacune un CV bidon attestant de nos capacités pour l’emploi vacant.
Je me rends dans l’agence ou je m’adresse à une secrétaire et au vu des documents présentés j’obtiens rapidement un rendez-vous.
Peu de temps après c’est au tour de Martine de se présenter dans l’agence avec son CV.
Le jour dit je soigne mon maquillage et ma tenue afin de mettre certains atouts en valeur ce qui n’est pas difficile à 28 ans.
Je choisis mes vêtements en fonction de ce que je compte faire.
Chemisier blanc seyant, jupe rouge courte qui fait ressortir mes fesses et montre une partie de mes cuisses, bas noirs et chaussures à talons assortis à la jupe.
Je vais à mon rendez-vous accompagnée de mon amie, je gare ma voiture au plus près de l’agence d’assurances, je laisse dedans mon sac à main et mon blouson puis j’étale une serviette de toilette sur le siège pour protéger celui-ci des taches si notre plan marche.
J’entre dans l’agence, plusieurs employées s’affairent assises derrière leurs bureaux.
Je suis assise depuis cinq minutes quand mon amie Martine y pénètre, elle doit être reçue peu après moi par le directeur.
Après un peu d’attente je suis reçue par le directeur, un homme en costume, grassouillet avec une bonne calvitie qui porte des lunettes.
Il n’est pas du tout attirant.
Au lieu de me recevoir assis à son bureau il m’invite à m’installer dans un fauteuil, lui s’assoit en face de moi de l’autre côté d’une table basse.
Bien joué de sa part, ma jupe remonte beaucoup car en m’asseyant je m’enfonce dans l’assise du fauteuil et il mate sans vergogne mes cuisses et surtout mon entre-jambes, sans gêne j’écarte celles-ci pour que sa vue sur mon string rouge soit encore meilleure.
Il jette un coup d’oeil rapide à mon CV.
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Pour ce qui est de la formation et de l’expérience pour ce travail je ne me suis pas assez étalée sur mon CV mais vu mon physique j’ai d’autres atouts dont je dois me servir.
Comme il est attiré par le sexe féminin je dévie la conversation sur ce sujet.
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Mon sourire et mon air de salope parlent pour moi.
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Je sais qu’il comprends parfaitement de quoi je parle.
<<à la même chose que vous, quand on veut absolument un emploi il faut mettre les atouts de son côté. Je suis sure que vous me comprenez et je suis prête à satisfaire vos exigences même de caractère plus intime>>.
Ses yeux brillent et à voir sa tête je constate qu’il a du mal à se contenir.
Nous discutons pendant un moment, c’est surtout moi qui parle orientant avec insistance la conversation sur le sexe.
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J’écarte encore plus les jambes. J’ai l’impression que ses yeux qui fixent ce que je montre sans pudeur vont sortir de leur orbite.
Je constate à la bosse qui déforme son pantalon qu’il a une belle érection.
Il reste un moment sans parler puis arrive à bredouiller quelques phrases, une femme qui prend l’initiative le déroute.
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Il me regarde stupéfait n’étant pas habitué à autant d’audace.
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Je décide de changer de stratégie par rapport à ce qui était prévu, à savoir en relation avec Martine se plaindre à deux auprès des responsables de la société d’assurance des exigences malhonnêtes à caractère sexuel de la part du directeur de l’agence locale.
Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir.
Je me lève, je déboutonne mon chemisier et en fait sortir les pans qui étaient rentrés dans ma jupe.
Je déplace mon soutien-gorge et mets mes seins à l’air.
Comme j’ai mis une jupe boutonnée sur le devant, je la déboutonne complètement sauf le bouton du haut qui la fait tenir à ma taille.
Au lieu de retirer mon string normalement je le déchire (j’avais intentionnellement bien affaiblies les coutures avant de le mettre) avant de l’enlever et de le poser sur le bureau.
Je prends le directeur par la main pour qu’il se lève et je l’attire près du bureau, en face de la porte et me colle contre lui bien décidée à ne pas lui laisser l’initiative.
Je l’aide à retirer sa veste puis je desserre sa cravate.
Je pose mon visage contre son cou et je m’applique à laisser des traces de rouge à lèvres sur son col de chemise espérant que sa femme le remarquera quand il rentrera chez lui ou quand elle lavera le vêtement.
Je déboutonne sa chemise.
Je dégrafe sa ceinture puis baisse le zip et défais le bouton du pantalon qui tombe à ses pieds, je baisse son caleçon.
J’ai devant moi sa queue qui bien qu’étant un bon morceau ne me paraît plus très en forme, certainement du à sa surprise devant mon comportement.
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Ce qu’il fait comme un automate, il met ses mains partout sur moi sans se fixer à un endroit.
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Rapidement sa verge que je caresse puis masturbe grossit pour arriver à une belle érection.
Je me colle contre lui et j’écarte les jambes.
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Son envie est trop forte, il est incapable de penser.
Il plie un peu les jambes pour être à la bonne hauteur.
Sa grosse queue butte contre mon sexe, trop nerveux il est incapable de me pénétrer.
Je l’aide, avec une main je tiens sa verge et la place à l’entrée de mon intimité.
Les jambes un peu pliées et les mains cramponnées à mes fesses il pousse avec le poids de son corps.
Son gros membre pénètre difficilement dans mon intimité, c’est normal je l’ai lavée avec une bonne dose de citron avant de m’habiller.
La pénétration est un peu douloureuse pendant que le pénis en coulissant à l’intérieur repousse les chairs de ma chatte.
Les bras passés autour de sa taille je me laisse faire pendant qu’il donne des coups de reins pour faire aller et venir son membre dans mon ventre.
Rapidement la queue coulisse de plus en plus facilement dans mon fourreau.
Il est maintenant très excité par la situation, il ne tient pas longtemps et ne cherche pas à faire durer le coït.
Sa grosse queue grossit encore dans ma chatte et des soubresauts l’agitent pendant que le visage déformé par un rictus il se serre contre moi et que des jets de sperme frappent le fond de mon vagin.
J’ai l’impression qui n’en finit pas de se vider.
Il m’a gratifié d’une bonne quantité de semence.
Prestement je me recule et avec les doigts je récupère du sperme qui coule de mon intimité que j’applique sur mes lèvres et mon menton.
J’att**** mon string que j’avais posé sur le bureau, je me précipite vers la porte et sors du bureau telle une furie en criant.
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Le sperme coule de mon vagin et tache le sol.
Les employées stupéfaites me regardent, elles restent bouche bée et les yeux écarquillés.
Leurs regards se portent d’abord sur moi et mon désordre vestimentaire puis vers le bureau de leur responsable qu’elles aperçoivent dans une tenue très débraillée, sans pantalon et le sexe à l’air.
Je rajuste ma tenue et laisse tomber sur le sol mon string déchiré.
Avant de sortir de l’agence je m’exclame:
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Evidemment, une fois que je suis dehors, Martine l’air outré se lève de sa chaise et dit:
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Elle ramasse mon string et le montre aux employées.
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Elle sort rapidement de l’agence.
Martine me rejoint et me reproche d’avoir délaissé le plan élaboré ensemble pour faire cavalier seul.
Je me rends avec elle à l’hôpital pour me faire examiner prétextant que j’ai été prise sans mon consentement.
Des indices sont relevés: présence de sperme dans mon vagin et traces de lésions (dues au fait que la grosse queue n’a pas facilement pénétré dans mon intimité resserrée par le lavage au citron).
Je quitte l’établissement avec un certificat médical attestant des symptômes d’une agression.
Quelques heures plus tard mon téléphone sonne, je reconnais tout de suite la voix du directeur de l’agence d’assurances.
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Je lui indique un bar ou on pourra parler tranquillement puis nous nous mettons d’accord pour le jour et l’heure du rendez-vous.
Il est exact au rendez-vous mais son attitude montre qu’il est très nerveux.
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<<à vous de voir si vous ne voulez pas perdre votre emploi et votre famille>>.
Il reste silencieux pendant un moment.
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<<à cause de vous je ne peux plus rester dans cette agence car les employées ont assisté à votre numéro>>.
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Il me quitte la tête basse.
Quelques jours plus tard, par un coup de téléphone, le directeur m’apprend que la dénommée Anaïs a signé un CDI, il veut être sur que l’affaire s’arrête là.
Je lui dis que je vais m’assurer de la véracité de ses dires et je l’assure qu’il n’y aura pas de suites s’il continue à tenir ses engagements.
Il me demande une preuve écrite que ce n’était qu’un coup monté mais je lui rétorque qu’il n’en est pas question et qu’il devra se contenter de ma parole.
Le coup de bluff a été très éfficace, avec mon amie Martine c’est célébration au champagne.
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