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Une soirée pour se réveiller !

Une soirée pour se réveiller !



« Putain, mais oublie la, MERDE ! »

Sans doute L’avis le plus « cash » qu’on m’a donné depuis que je me suis séparé.
Quasiment 2 ans que ma vie sentimentale et sexuelle est entre parenthèses parce que Nadia est partie.
Elle m’a dit qu’elle avait besoin de tracer son chemin, se découvrir elle-même, mais qu’on pourrait peut être se retrouver un jour.
J’ai souffert, je me suis senti pendant 6 mois comme un poisson hors de l’eau, un sommeil bouleversé, un monde qui s’effondre.
Mais vous savez quoi ? On s’habitue à tout, à l’horreur de la guerre, à la maladie, …
Alors une simple rupture, c’est rien du tout ! No k**ding.
J’ai fini par retrouver une certaine forme d’indépendance, réorganiser ma vie, m’investir dans de nouveaux loisirs, sortir entre copains …
Néanmoins, elle m’avait laissé entendre qu’elle reviendrait.
Alors je suis resté seul, à l’attendre.

Et un soir, on s’est organisé un petit apéro dînatoire avec Flo, sur les quais du Rhône.
C’est une ancienne collègue de bureau. Elle n’est restée que quelques mois, mais on avait bien sympathisé : Une certaine vision du monde, des goûts communs et notre age nous rapprochant dans ce bureau peuplé de quinquas qui nous prenaient pour des « petits jeunes ».
En plus elle a un caractère heureux, elle est toujours souriante.
Une de ces personnes « solaires » qui m’attirent comme, un aimant attire la limaille.
Détail qui reste gravé dans ma mémoire encore aujourd’hui : Elle portait souvent au bureau des petites ballerines noires splendides brodées de fils colorés brillants. Je n’ai pas de fétiche particulier sur les pieds, mais je l’avais juste trouvée élégante avec ces chaussures.

Ce soir là, point de ballerines : Un petit haut a bretelles, un bas de jogging en coton, baskets, à la cool.
Physiquement (puisque je sais que vous n’attendez que ça !), Florence à de magnifiques cheveux longs, lisses et châtains, une silhouette avantageuse, gracile, un brin gironde, à l’opposée de ces gravures de mode des podiums, sophistiquées et factices.
Elle a une poitrine moyenne, des hanches épanouies sans être trop larges, un physique harmonieux et que beaucoup de femmes envieraient, je pense.
C’est une jeune femme, simple, réelle, rieuse et pleine de vie, que j’ai en face de moi.
Elle me parle à cœur ouvert, ses yeux noisettes se détachant sur ses quelques taches de rousseur pour se river dans les miens.
En tous cas, une personne objectivement très séduisante et désirable.
A l’époque où nous bossions ensemble, j’étais encore en couple, donc je n’avais même pas essayé de la regarder comme une partenaire potentielle, et le soir de notre apéro, j’étais trop obnubilé par mon ex compagne pour y prêter attention. (IMBÉCILE !)

En plus, l’objectif était de passer une soirée à refaire le monde, à se donner des nouvelles.
Je n’avais sincèrement aucune arrière-pensées.
J’étais à des millénaires de m’imaginer comment ça allait finir !

On sort les chips, les tomates cerise et la bouteille de rosé sur une jolie nappe étendue sur la pelouse.
On se donne les nouvelles habituelles, boulots, projets, on parle un peu famille (une nouveauté, j’ai appris qu’elle avait un frangin, je lui ai parlé des miens, …).
Notre repas fini, et la bouteille de rosé s’étant mystérieusement évaporée, nous décidons d’aller continuer nos discussions et nos libations sur la terrasse d’une péniche.

Sur notre petite table, devant une bouteille de punch La discussion finit par dériver sur des sujets plus persos, sur nos vies sentimentales (L’alcool aidant beaucoup !).
Elle est sans attache, ne veut pas s’engager, le monde actuel l’inquiétant beaucoup trop pour essayer de construire quelque chose.
Mais ce constat anxiogène ne semble pas l’empêcher de sourire.
J’aime bien son sourire.
En plus elle est maintenant un peu pompette (moi aussi) et du coup elle sourit encore plus, de ce que j’appelle un sourire « Canaille », un sourire tout sauf innocent, que peut avoir votre meilleure pote quand vous vous apprêtez à faire des conneries, votre sœur quand elle biatche sur ses potes, ou votre meuf qui vous a préparé une surprise à la maison.
Je découvre qu’elle est vachement plus libérée que je m’y attendais.
A ce stade de mon histoire, vous devez vous dire qu’il y avait baleine sous gravier, et pourtant, rien n’avait été anticipé, sans rire.

***

On finit bien sur par aborder ma vie intime.
Elle sait depuis quelques temps déjà que mon couple à volé en éclat, et c’est après avoir appris les dernières péripéties, et vu que je m’entêtais à attendre le retour de Nadia, qu’elle me lâche cette bombe :
« Putain, mais oublie la, MERDE ! »
Ouch.
« T’es un mec mignon, gentil, et ça me fait chier de voir que tu perds ton temps en attendant qu’elle revienne.
Si elle devait revenir, elle serait déjà revenue, Greg.
Alors oublie là, et passe à autre chose. C’est MORT. »

Il me faut quelques secondes pour digérer ça, mais au fond, elle ne fait que dire tout haut ce que je sais depuis le début.
L’être humain aime s’enfermer dans des rôles qui le réconfortent. Je ne fais pas exception à la règle.
Je m’entête, mais elle n’en démord pas et maintient son point de vue.
L’idée finit quand même par faire son bonhomme de chemin, surtout face à une Flo qui s’est décidé à mener une vie libre de toute attache et de toute illusion, lucide, pleinement conscience que nous pouvons tout perdre à tout moment.

Le point ou tout bascule dans la soirée et quand elle me fait signe de m’approcher, comme pour me dire quelque chose à voix basse. Je me penche sur le coté de la table, elle aussi, et … ses lèvres viennent se déposer sur les miennes de manière autoritaire, avant qu’elle se redresse et s’adosse à son siège.

C’est le moment précis ou quelque chose s’est réveillé en moi, un électrochoc.
Moi qui tenait à mon idéal galvaudé de fidélité, je venais de passer outre la promesse (que je ne m’étais faite au final qu’à moi !).
J’ai peur de ce que nos regards vont pouvoir se dire en se rencontrant de nouveau, et si je suis un peu perdu, Flo affiche un sourire goguenard, pas gênée pour deux sous.
Elle m’a bien trèèèès bien cerné avec le temps, et Je pense que c’était son objectif : Me secouer pour me faire avancer puisque j’étais au point mort.
(Moins d’un an après cette soirée, je rencontrerai celle qui deviendra ma femme, et la mère de mes enfants, donc aujourd’hui, je dois la remercier.)

– Alors, ca t’a réveillé un peu ? Te fais pas de films, tu ne m’intéresses pas, mais tu m’énerves avec tes principes idiots.
– Je ne sais pas trop quoi en penser …
– Rien, j’avais juste envie de t’embrasser. mais (sourire jusqu’aux oreilles) tu n’auras rien d’autre de ma part ce soir.

Le discours se poursuit sur cette lancée.
on parle de choses et d’autres, on confronte nos visions des choses : Mon coté romanesque, suranné, un peu ringard, et son coté vivant, bouillant, organique, réel.
C’est tantôt une discussion amicale, tantôt une discussion a double sens potentiel, avec un rentre dedans subtil, qui me déstabilise.
Je ne me suis jamais retrouvé devant une fille qui souffle le chaud et le froid comme ça, me provoquant, me lançant des œillades puis douchant mes attentes avec un discours mettant des distances.
La teneur exacte des échanges m’échappera sans doute à jamais, évaporée avec les effluves du rhum que nous avons siroté.

C’est vers une heure du matin que le serveur s’approche un peu mal à l’aise pour nous demander timidement de partir car il ferme.
Il doit se dégager de notre table une tension sexuelle à faire sauter tous les bouchons de champagne à 10 km à la ronde, aux vues du mal qu’il a à venir nous interrompre.
Flo le rassure tout de suite : « Pas de soucis, monsieur, il doit me ramener dans mon lit ! »
[GNAAAAAA!!!! *Se mord le poing*]

Le retour s’est fait sur mon vélo, passablement éméchés.
On rigole, on parle trop fort dans les rues désertes, mais la trajet me permet de dessaouler juste ce qu’il faut.
Je suis bien, j’ai une bombe sexuelle derrière moi qui se fait reconduire comme une princesse chez elle.

Après quelques kilomètres pendant lesquels ma comparse, ses jolies fesses juchées sur le porte bagage de mon vélo, a largement profité de sa position pour balader ses mains de partout sur mes abdos, et mon torse (et mes tétons … Gniii !!!) nous arrivons devant son immeuble.

Le jeu du chat et de la souris se poursuit. Ma brunette s’étire langoureusement comme une chatte et soupire :
– Hummmm !!!! je ne sais pas trop ce que je vais faire. je n’ai pas sommeil.
– Tu veux qu’on poursuive notre soirée chez toi ?
– Pourquoi ? t’as pas d’idée derrière la tête, hein ? Il n’y aura rien entre nous.

A moitié excédé, à moitié surexcité, à moitié amusé (oui, ca fait trois moitié, mais je vous emm… ! :p ) Je me lance alors :
« Mais à quoi tu joues à la fin, Florence ? Enfin, peu importe. Si tu as envie que je monte, pas de problème, j’aime passer du temps en ta compagnie.
Si tu as envie qu’on boive un thé ensemble et qu’on continue de discuter, ok, si tu as envie de plus, ok, si tu as envie que je parte, je pars.
mais dis moi, parce que là, je ne sais pas sur quel pied danser ! »
Je m’esclaffe, embarrassé mais riant aussi un peu.
C’est une situation inédite pour moi.

Je n’ai pas envie que ça s’arrête, depuis qu’elle m’a embrassé furtivement, mon cœur bat fort, comme s’il n’avait pas battu pour de vrai depuis des années (Et à n’en pas douter, c’était le but de Flo) mais j’ai senti que si je restais planté comme une souche sans me bouger le cul, rien n’allait se passer, d’où ma sortie.

« Viens. »

***

J’accroche ma bécane à la rampe de son escalier, et nous montons.
Elle me tire par le col de mon T-shirt, et le coté un peu cavalier du geste m’échappe totalement.
J’aime les femmes fortes, avec du caractère, et je pense avoir fait preuve de suffisamment de répondant pour la faire réagir.

Au premier, elle lache mon t-shirt, sort ses clés et ouvre sa porte.
Elle pénètre dans son Hall, allume la lumière et me tient la porte pour entrer.

C’est quand je passe devant elle qu’elle m’att**** la nuque et écrase brièvement ses lèvres douces et sèches sur les miennes avant de refermer là porte.
J’ai ouvert mes bras pour l’enlacer mais elle les repousse :
« Je t’ai dit que tu pouvais me prendre dans tes bras ? la cuisine est par là. »
Toujours ce sourire « garce ». (mais c’est un terme affectueux pour moi, une garce étant pour moi un bel idéal féminin : Celui de la femme sure d’elle, maitresse de sa barque, et épanouie. ❤️ )

Putain, à ce moment j’ai tellement envie d’elle ! (Et j’ai oublié jusqu’à l’existence de mon ex !)
Elle me fait sortir deux tasses et des sachets de thé pendant qu’elle met de l’eau à chauffer.
Pendant que l’eau chauffe, on se détaille du regard, à la lumière crue de son plafonnier, en parlant bouquins, ciné, comme si de rien n’était.

C’est surement à celui qui perdra patience : qui craquera ?
Mais ma petite pote, je me tiens depuis 1 an et demi à une vie monacale, tu peux pas test !

Dans le salon, les silences sont entrecoupés de lampées de thé brûlant et de considérations sur les différents magasins de thé de la ville, le tout sans se quitter du regard.
Ses yeux ambrés m’hypnotisent, et l’infusion qui descend dans mon estomac me parait bien tiède comparée au liquide brulant qui court dans mes veines.
Si quelqu’un passait entre ses yeux et les miens, il y a fort a parier que ses vêtements prendraient feu.

Elle pose sa tasse sur la table basse :
– Je reviens, je passe par la salle de bain.
– pas de soucis. Où sont tes toilettes ?
– Là.

Je passe rapidement au toilettes, me lave les mains et vais finir ma tasse sur le canapé.
Je détaille distraitement son salon, surexcité, impatient à l’idée de ce qui va se passer ensuite.
ET, au bout d’un moment (5 minutes ? 15 ? aucune idée) sa voix retentit :
« Greg ? Ici. »
Et le bon chienchien accourt.

Je suis devant la porte de sa salle de bain :
– oui ?
– Entre et ferme la porte derrière toi.

(WOH-PUT… ! Ça y est ! Ca décolle !)
Je m’exécute, pour voir sa tête dépasser du rideau de douche.
– Ça te dirait de me mater ?
– Pardon ?!?
– T’as pas vu de vraie fille nue devant toi depuis un moment, ça me fait de la peine … [ben tiens ! Fais moi ta fausse ingénue !]Tu as interdiction formelle de me toucher, mais je veux que tu me mates. Et puis ça m’amuse d’imaginer l’état de ton caleçon dans cette situation.
Et bordel de merde, elle a raison !

Je me sens très vite à l’étroit dans mon jeans lorsqu’elle tire son rideau et me dévoile sa torride poitrine nue, couvertes de perles d’eau.
Deux petites poires au tétons menus, dressés.
Mon regard descend sur sa fine toison, et sur ses jolies jambes fuselées qu’elle sèche rapidement avec sa serviette.

(A ce moment là, J’imagine que ce que je ressens est comparable a ce que ressent un jeune puceau devant sa première conquête)
Elle s’approche de moi, ses tétons prêts d’effleurer mon torse.
son visage proche du mien, ses lèvres assez près pour que je sente son souffle sur les miennes, elle glisse doucement :
– alors, ce que tu vois te plait ? t’es dans quel état entre les jambes ?
– Ben je ne sais pas si tu as envie d’en faire quelque chose, mais c’est chauffé à blanc.

(non, elle n’y touche même pas : Un regard furtif, à peine. GRRRR !!!)

Elle a dans le même temps noué sa serviette autour de la taille.
Elle pose ses mains sur mes épaules, nous fait pivoter pour que je me retrouve entre elle et le bac à douche.
– Bon, par contre, on doit égaliser les scores. A Poil !
– Hein ?
– Je dois te faire un dessin ? Je veux te voir nu ! Montre moi ton cul et ta bite.
Puis je te laisserai te rafraîchir, et ensuite me rejoindre dans le salon.

Je me déshabille alors devant elle.
Je ne me sens nullement gêné, son regard mi-clos, son grand sourire prédateur, sa respiration rapide, tout m’indique qu’elle ADORE cette situation.
Elle passe sa langue sur ses lèvres, tout ce que je ressens c’est une excitation de dingue de faire ça devant une fille qui était une simple copine il y a encore quelques heures, une ancienne collègue à qui j’avais expliqué comment marchait la photocopieuse.
Mon t-shirt, mon jeans puis enfin mon caleçon, tout y passe.
Mes vêtements volent dans la pièce, je libère ma queue dressée.
Mes bourses me font un peu mal tellement je suis excité, mais c’est sensation est tellement bonne …
Elle scrute méthodiquement tout ce qu’elle voit, laisse échapper un ronronnement appréciateur, puis me lâche : « Je t’attends dans le salon. »
Je me glisse sous la douche, me savonne pour faire partir la sueur causée par la chaleur de cette soirée orageuse et mon effort en pédalant.
Je n’arrive pas à débander tellement je suis excité.

***

sorti de la douche, j’avise une autre serviette sur le portant, je m’en sers pour me sécher, puis rejoins Florence dans le salon.
Je n’ai pas pris la peine de me couvrir, je devine que ca ne va pas être nécessaire.
Elle a laissé tomber sa serviette pour s’allonger complètement nue sur son canapé, les pieds vers moi. J’ai une vue plongeante sur ses fesses.
Elle tourne la tête, me voit dans l’encadrement de la porte et m’arrête :
– Stop !

Je marque un temps.

– La vue te plait ?
– A ton avis ?
– Réponds.
– Tu as un cul digne d’un ange.
Rire moqueur.
– Tu t’es cru dans « L’Education Sentimentale » ?
– C’est juste une manière plus soutenue de dire que t’as un cul plus rafraichissant qu’un sorbet en Août.
– Ah ! Je préfère ça. Du coup, t’as le droit de me masser le dos, et si ça me plait je te laisserai continuer par mon cul alors.
Mais dans mon lit, là on ne va pas être bien.

C’est vrai, son canapé est court, et il y a de gros accoudoirs.

Elle passe une porte, et nous nous retrouvons dans sa chambre.
Elle allume sa lampe de chevet au moment où j’éteins son salon et ferme la porte de la chambre.
Je suis dans la chambre à coucher d’une ancienne collègue de boulot, bandante au possible, on est nus tous les deux et elle est présentement en train de s’allonger pour que je lui masse le dos suffisamment bien pour avoir le droit de lui pétrir son joli petit cul.

Je me demande comment je n’ai pas encore une couille qui a éclaté.

je ne sais pas combien de temps je lui ai massé le dos, mais je sais que je m’étais placé de manière à avoir mon chibre dans sa raie.
à chaque mouvement un peu appuyé, il y faisait des allers-retours.
Ça devait lui plaire puisque sa respiration devenait forte et rapide à ce moment là.

Mes mains on fini par descendre et s’occuper de ses petites fesses sans qu’un mot ne soit échangé.
De là, j’ai reculé, écarté ses jambes pour que ma langue se mette à lui lécher le minou, tandis qu’elle étreignait violemment son oreiller en gémissant.
Son sexe était une vraie fontaine, elle était au moins aussi excité que moi.

Au bout d’un certain temps à glisser ma langue dans sa fente et à suçoter son clito, elle a fini par se redresser, choper une capote dans sa commode avant de me pousser en arrière.

J’ai fini avec la capote sur ma queue, et Florence, elle a fini sur et autour de ladite capote.
Ça n’a pas duré très longtemps avant qu’elle ne se mette à crier, son orgasme la secouant de spasmes.
Une de ces jouissances violentes et incontrôlables, comme un tremblement de terre.

Elle s’est effondrée un moment sur moi, puis à doucement fini par se redresser :
« T’as pas joui ? »
Denégation de la tête, du genre « je gère », mais en fait, ca a été TRES compliqué de ne pas exploser en elle.
Elle se rembrunit.
– Pourquoi ? Je te plais pas ?
– Mais non ! j’ai juste taché de me retenir pour te faire jouir, c’est tout !

Son visage s’illumine une nouvelle fois de ce joli sourire.
Elle me fait tourner en bourrique, et je ne marche pas, je cours.

– Bon, comment je te finis ? Je veux que tu te souviennes de cette soirée comme de la meilleure partie de baise de ta vie.
– hmmmmm …. ta bouche ?

Je suggère plus que timidement la chose.

– Et sans capote je présume ? Comme tous les gars un peu beaufs, tu dois être au paroxysme de l’extase lorsque tu repeins la glotte de ta partenaire ?
Le ton un peu méprisant me donne envie de me cacher sous le lit, et je sens que je rougis comme une pivoine.
Enième éclat de rire.
– Putain Greg, arrête de flipper ! (elle arrache la capote, la jette derrière elle, se met à me pomper vigoureusement) T’as plutôt intérêt à me noyer avec …(bruits de bouche)… ton foutre …(bruits de bouche)… sinon je te mords au sang !

Vu les borborygmes qu’elle a poussé alors que l’orgasme me faisait m’arquebouter pour mieux m’enfoncer en elle (et aussi un peu l’étouffer la pauvre!) je pense qu’elle a eu ce qu’elle voulait.

***

Je ne sais pas combien de temps il s’est écoulé avant que j’émerge et que je sois capable d’accommoder pour replonger mes yeux dans les siens.
Elle avait posé la tête sur mon ventre, et me caressait le torse.
Elle me sourit.
– On se met au lit ma belle ?
– Oui. Mais je t’ai dit : Te fais pas de films. j’avais juste envie que tu redécouvres que la vie t’attend.
– D’accord.
Elle me fait un bisou sur la joue.
– T’as encore toute la vie devant toi Greg, et tu as tout un tas de filles qui seraient ravies de te courir après, alors profite un peu, d’accord ?
– Ok. merci Florence.
Long échange de sourires.

– Bon ok, on est pas ensemble, mais vu ce qu’on vient de faire, on peut bien dormir l’un dans les bras de l’autre, en se faisant un calin, non ?
– D’acc.

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