Cela fait bientôt 8 mois que je viens d’emménager dans cet appartement.
Des femmes, j’en ai vu, j’en ai aimé.
Laissez moi en décrire certaines dont une qui me trotte en tête désormais.
Celle qui m’a brisé le cœur… ma dulcinée d’un temps.
L’amour, je lui ai fait autant que je le pouvais.
Elle n’avait pas un corps parfait, elle le savait. Elle était rousse et ça, mis à part moi, elle ne l’acceptait pas. Mais je lui ai donné ce que j’avais de mieux.
Elle était plus petite que moi, ses reins supportaient mes mains qui l’entouraient. Dans ses fesses, plus volumineuses qu’elle ne pouvait accepter, elle ne me permettaient pas d’y entrer.
Elle avait des seins juste ce qu’il en faut, pour les tenir, les malaxer, les lécher… Sa petite chatte étroite me satisfaisait.
Quand on faisait l’amour, j’étais le maitre, vu sa petite taille, c’est moi qui la manipulait, qui lui disait comment se mettre.
Néanmoins, je n’étais pas celui qu’elle aimait et ce que je lui ai donné (appelons ça fidélité), elle ne l’a pas accepté.
Seul, j’ai décidé de me reprendre en main, je suis jeune, je peux encore faire des merveilles.
C’est à mon travail que je l’ai vu. Blonde, taille moyenne et des courbes comme on n’en voit plus. Des petites lunettes modernes, un ensemble très sexy à chaque journée qui passe.
Derrière son air de sainte nitouche, j’ai remarqué avec autant d’aisance elle parvenait à me satisfaire. Sa langue était douce et habile, ses gestes étaient adroits et elle savait comment faire pour me faire atteindre l’extase.
Les caresses dans le dos, les mains dans les cheveux quand je la léchais, tout ça, montrait comment ça lui plaisait.
Travail, vie perso… ça ne peut pas fonctionner, et ça, on le savait que ça ne pouvait pas durer. On est toujours ami, rien de plus.
Libre de toute contrainte, je me suis dit que le net était une bonne solution.
Je l’ai donc rencontrée. Au départ, c’était l’opposé de ce que j’imaginais. Elle avait moins de forme que dans mes rêves, mais un regard qu’on oublie pas des yeux qui « sentent le sexe ».
Je lui ai sauté dessus à la première rencontre, je l’avoue. Et elle avait cette expérience qui m’a fait paraitre pour un puceau contrairement à elle.
Elle n’hésitait pas à me regarder droit dans les yeux quand elle me suçait.
Mieux que ça, elle n’a pas hésité à avaler mon essence royale.
Rien n’était tabou avec elle. Je ne savais d’ailleurs pas qu’on pouvait être plus excité que moi. J’avais l’impression qu’elle vidait un tube de lubrifiant à chaque fois que je la voyais. Aucun lieu n’était interdit, cinéma, rue, bar…
Fellation, facial, anal, tout y passait… mais je sentais que quelque chose ne tournait pas rond.
Comme une corde autours de mon cou ses exploits au lit n’étaient pas sans idée derrière la tête. A plusieurs reprises, l’amour exclusif elle cherchait. Même une simple amie, elle n’acceptait pas, c’est donc moi qui ai cassé.
La prochaine femme, je ne peux vous la décrire.
En fait, c’est étrange, mais je ne l’ai même jamais vu.
Je vis dans un immeuble, vide de tout occupant… sauf deux appartements.
Le mien et celui d’une femme.
J’entends régulièrement ses talons dans l’escalier.
Il s’agit d’une femme assez jeune, vu la rapidité des pas.
Elle ne doit pas être frêle, ni grosse, toujours par rapport à cette ouïe.
Ses talons claquent tels des chaussures de marques.
Je l’imagine vêtue telle une secrétaire.
Je n’ai pas entendu d’homme lui faire l’amour… ou alors elle est très discrète, vu l’épaisseur des murs, c’est impossible.
Que dois je faire?
La croiser et lui dire que j’ai envie d’elle, sans l’avoir vu auparavant? Ce serait amusant..
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