Nouvelle étudiant j’étais à la recherche d’une chambre dans une région éloignée. Faisant mes démarches sur le tard. Pour en trouver une convenable à 275 dollars le mois. La dame vivant seule qui à la dernière minute. Décida d’en changer le prix. Augmentant celui ci de 55 dollars. Un peu insulté par la situation mais quand même conscient qu’elle était ma toute dernière option enviable. Acceptant de lui payer quand même la somme pour ainsi aménager chez elle trois semaines plus tard. Vivant dans un sous sol bien aménagé avec toutes les commodités requises. Faisant la connaissance d’un colocataire plus jeune que moi de 6 ans. J’étais à ce moment âgé de 25 années. Discutant au rez de chaussez avec Carmen ma logeuse. Un peu frustré de devoir payer plus cher pour logis. La dame parfaitement consciente de la situation. Me disant qu’il n’y avait pas d’amis en affaire. Et que je pouvais aller en chercher une autre ailleurs si je le voulais. Me disant dans ma tête…
Moi – Hummm…Alors je devrai réellement payer 330 dollars par mois…Peut-être quand me mettant aux vieilles…Je pourrais récolter un peu plus d’argent…Et même la fourrer comme une chienne…
Tentant de séduire la vieille madame de 67 ans aux jours suivant. Un peu étonnée au début par mon attitude. Mais totalement consciente de mes parades de séductions. Elle ne semblait pas indifférente à mes avances. Y allant de quelques petits soupirs nerveux. Analysant qu’elle devait mouiller de la chatte lorsque je venais l’aborder. Toujours bien mise en ma présence. À chaque fois que je la regardais avec mon regard intense et plongeant. Elle devait se sentir de plus en plus sexy. Humectant son léger parfum subtil depuis quelques jours. Portant majoritairement des vêtements fleuris et noir. Châtaine aux yeux bruns portant des lunettes. Veuve depuis 6 ans avec une grosse poitrine tombante. Mince et un peu plus petite que moi mesurant 5 pieds 4 pouces. Avec un visage de madame terne et déplaisante. La sentant disponible et un peu surprise de se faire charmer par un jeune homme qu’elle connaissait à peine. Dix jours à lui tourner autour Carmen décidant finalement d’emboîter le pas avec moi…
Carmen – Alors…T’as envie de me sauter…
Moi – Enfin…Oui…Si vous voulez…Mais ce ne sera pas gratuit par contre…
Carmen – Ah…Bon…À cause de l’augmentation de 55 dollars je suppose…
Moi – Exactement…
Carmen – Alors…Combien tu veux…
Moi – 15 dollars envers chaque assouvissement…
Carmen – Ah…Bon…Je m’attendais à plus cher…Et pour ton jeune coloc…
Moi – On a juste à attendre qu’il soit pas là…
Carmen – Ah…Alors…Il est absent pour la journée…On y vas…
Fourrant la madame à pleine vitesse dans son lit dans la position de la levrette. Moyennement chaude et passablement frigide. Quoi que sa vulve était poilue et assez sèche à la pénétration au début. Elle avait par contre la moule bien baveuse et totalement trempée une fois bien stimulée. Des sons de pénétrations mouillées résonnant dans toute la pièce. Caressant son corps à la peau pâle et flasque de madame qui ne sortait pas souvent. Carmen gémissant tout bas avec son fessier bien cambré dans les airs. Ma tige entrant et sortant dans son antre chaud et humide.Un peu de cyprine coulant vers l’intérieur de ses cuisses. Éjaculant dans sa fente en saccade. La madame se retirant pour aller chercher son 15 dollars dans sa sacoche. Me disant…Tu repasses quand tu veux…C’est la première fois que je couche avec l’un de mes jeunes logeurs…
Fourrant la vieille dame frigide à chacune des absences de mon colocataire. Couinant tout bas comme une truie. Se faisant toujours discrète lors de nos nombreuses occasions de nous accoupler. Devenant de plus en plus chaude et émotionnellement disponible. Variant du missionnaire à la levrette à chaque fois. La madame qui préférait se faire dominer rudement. J’avais adoré la prendre par en arrière sur sa table de cuisine. Son torse affalé sur le meuble de bois. Avec ses jambes élevées bien droites en milieu d’interaction. L’ébat perdurant en moyenne de 15 à 20 minutes. Délaissant les préliminaires à sa demande. Pouvant lui doigter et lui goûter la chatte un instant. Chacune de mes pénétrations étaient toujours assez sèche en début d’hostilité. Ma tige coulissant comme dans du beurre dans sa fente. Une fois la dame entreprise adéquatement…
Carmen – A tu encore envies de venir fourrer ta vieille cochonne…
Ajouter un commentaire