Sherazade court, tourne devant moi au milieu des flocons de neige qui retombent de nouveau sur Paris. Elle rit aux éclats de me voir chargé comme un bourricot de tout ses achats de l’après midi. Si je tenais l’inventeur des soldes, je lui…Grrr !
Je galère encore un peu pour ouvrir le coffre de la voiture, devant le regard amusé de ma belle.
Ses joues et le bout de son nez sont tout rouge, mordu par le froid polaire de cette fin d’hivers.
Elle sautille en se frottant les mains.
« Vous m’offrez un chocolat chaud ? »
Comment lui refuser quelque chose ?
Je lui indique une brasserie un peu plus loin. Elle s’accroche à mon bras pour ne pas glisser. Elle le sert fort contre elle et je sens son sein gauche s’écraser sur mon biceps.
Nous passons devant un chantier. Sur un grand panneau il est indiqué que s’ouvrira prochainement une galerie marchande avec plus de quatre vingt boutiques. En lisant cela le regard de la future cliente s’illumine. Bon ! Message reçu, nous serons présent pour l’inauguration.
C’est la fin de la journée et les ouvriers rangent leurs matériels pour le week-end.
Un black, charpenté comme une armoire normande, casque vissé sur la tête, nettoie une pelle sous un robinet.
« Le pauvre, il doit être gelé ! »
« Oui, c’est vrai. Ce n’est pas un métier facile. Viens, allons lui demander quand seront finis les travaux. »
C’est elle qui lui demande. Il y a encore quelque mois elle n’aurait pas osé, écrasée qu’elle était par une timidité maladive. Je suis heureux de la voir ainsi évoluer.
« Bonjour monsieur. Les travaux vont durer encore longtemps ? »
Il lui répond avec un magnifique accent africain :
« Ho oui, mamzelle. Vous voyez, il va y avoir cinq étages au dessus de là. »
« Ben vous n’avez pas fini d’avoir froid ! »
L’homme sourit laissant entrevoir une dentition parfaite, d’un blanc éclatant.
Je la regarde entamer la discussion avec ce gars. J’aime le contraste de cet homme noir, blanchi par la poussière du ciment et elle, emmitouflée dans son manteau de fourrure.
« Bon courage et dépêchez vous de rentrer chez vous, vous mettre au chaud. »
« Chez moi ? C’est ici, chez moi. »
Il lui indique des baraques de chantier immenses, grandes comme des containers, empilées les unes sur les autres.
Elle semble sidérée et ça amuse beaucoup l’ouvrier.
« Vous savez, nous avons tout le confort. Cuisines, douches et tout le reste. Alors c’est bien.»
Elle ne semble pas convaincue.
« Mais vos femmes, vos enfants, vos famille ? »
« Ils sont au pays. Moi, je leurs envoie de l’argent. Si tout va bien, j’irais les voir l’année prochaine. »
Elle a touché une corde sensible et le visage de l’homme, jusqu’ici souriant et enjoué, se ferme.
Mais il se reprend rapidement et avec un large sourire, il avoue se consoler en cuisinant des plats de chez lui.
« Je n’ai jamais mangé africain. Ce doit être délicieux. »
« Bien sur que c’est bon. Haha ! Je peux vous faire goutter, si vous voulez ? »
« C’est vrai ? »
« Oui, bien sûr ! Venez à dix neuf heures trente. Les chefs de chantier seront partis. Je vous ferais rentrer. Je vais vous préparer un plat typique avec du poulet et du choux, ok ? »
Elle se tourne vers moi pour recevoir mon approbation puis elle lui répond :
« Ok, dix neuf heures trente. »
« Si je ne suis pas là, demandez Angolo. C’est mon prénom. En africain ça veut dire, le puissant. »
Bien installée au fond de la brasserie, devant son chocolat chaud, Sherazade semble rêveuse.
« Ca va ? Tu sembles ailleurs. »
« Hein ? Ha oui, non ! Excusez-moi. Je pensais à cet homme, Angolo. »
« Et ? »
« Et rien. Je me demandais juste combien ils pouvaient être dans chaque baraquement. Pure curiosité. »
Elle finit sa tasse et je la reconduis chez elle.
« Je passe te prendre à dix neuf heures. Sois ponctuelle. »
Je la regarde disparaitre dans le hall de son immeuble, encombrée de ses sacs.
Bien qu’elle me l’est souvent demandé, j’ai toujours refusé de monter chez elle, afin de préserver son intimité, son jardin secret.
Cette fille est étonnante et imprévisible. Je doute de sa soi disante curiosité. Je pense plutôt qu’elle se prépare mentalement à passer une bonne soirée avec de nouveaux « amis ».
Bien sûr, elle arrive avec cinq minutes de retard.
Sur la route, je la trouve très nerveuse, mais concentrée. Entre son col de fourrure et son bonnet enfoncé jusqu’aux oreilles, je ne distingue que son nez et ses yeux. Elle fixe droit devant elle, dans le vague. Elle ne cesse d’enlever ses gants, puis de les remettre.
Je ne veux pas interrompre sa méditation et je ne dis rien.
Il fait maintenant nuit noir. Les baraquement sont éclairés par des projecteurs et se découpent sur le chantier éteint.
Angolo est là, devant la porte principale.
Habillé en civil, c’est un autre homme, très élégant. Chaussure classe, jean, pull noir qui fait ressortir une grosse chaine en or qui pend autour de son cou.
Son accueil est chaleureux. Il a déposé des cartons jusqu’à la porte de la salle de restauration, pour que Sherazade ne salisse pas ses bottes dans la boue. Cette attention la touche et elle lui donne un bisou sur la joue pour le remercier.
« Entrez vite, il fait froid. »
C’est une salle tout en longueur avec des placards et une table immense. Plusieurs hommes assis sur des chaises pliantes en métal, se lèvent à l’entrée de Sherazade, pour la saluer.
Dans un coin, deux vielles cuisinières à gaz réchauffent de grandes marmites. Une odeur exquise s’en dégage.
Sherazade s’en approche.
« Non, non ! C’est une surprise. Vous verrez tout à l’heure. Donnez-moi vos manteaux, je vais les accrocher. »
Je trouve que c’est une très bonne idée car ici, il fait très chaud.
Je retire mon blouson et le remet à Angolo.
Sherazade, ôte son bonnet et libère ses longs cheveux bruns. Puis elle défait les boutons de son manteau de fourrure.
C’est étrange, mais dans son regard, je perçois une gêne, une hésitation.
Angolo, en maitre de maison attentionné, l’aide à quitter son manteau et sa beauté rayonnante nous inonde.
Elle porte un col roulé noir en coton. Il colle à sa peau et ne cache pas que ses seins sont libres. Sa jupe plissée, noire également, est si courte qu’elle passe au dessus de la table. Ses bottes se prolonge par des bas qui s’arrêtent à mi cuisse, laissant une grande partie de ses cuisses à l’air. Sa peau contraste avec le sombre de ses vêtements.
Belle et sexy à souhait, elle ne peut pas laisser de marbre et je comprends maintenant son hésitation. Ainsi vêtue, elle sait que tous les regards vont se porter sur elle et sur ses jambes en particulier.
Elle rougie et s’accroche à mon bras.
Angolo nous explique qu’ils se sont cotisés pour nous acheter deux bouteilles de bon vin, car eux, ne boivent pas d’alcool. Puis il installe Sherazade en bout de table, sur une vraie chaise garnie de coussins. Angolo se place face à moi pour faciliter notre conversation.
Tous les yeux sont rivés sur les formes délicieuses que dessine le col roulé. Bien qu’elle joue sa puritaine, je sais Sherazade aux anges.
Les types, pour la plupart africains et quelques maghrébins, sont aux petits soins pour nous. Ou pour être plus précis, pour elle. Son verre sitôt vide se rempli, moi, je dois me servir ou demander du pain. Pas elle. Elle s’en amuse et se moque de moi discrètement en me regardant à chaque petite attention donnée.
Angolo est très bon cuisinier et son plat est excellent. Mais Sherazade passe plus de temps à regarder les ouvriers que son assiette.
Alors que celui-ci se lève pour aller chercher le fromage, elle pose sa main sur la mienne.
« Jean, je n’en peux plus ! »
« Ben… laisse ton assiette. Je ne pense pas qu’il t’en veuille. »
« Mais non ! Ce n’est pas ça… C’est… »
Je manque de m’étrangler. Je viens de comprendre.
Elle ne peut pas rester au milieu d’un groupe d’hommes très longtemps, sans disjoncter. C’est son problème,… si problème il y a.
« Heuu ! Tu as vu, ils sont nombreux !? »
« À peine plus qu’au sauna. Non ? »
« Tu sais, ce sont des hommes réputés pour être bien montés, de plus ils ne voient pas souvent de femmes, ils vont te détruire ma chérie. »
« Je m’en sens capable. »
« Je te le déconseille. De plus, imagine que ton attitude leurs déplaisent. »
« Ca, ça m’étonnerait. Ils me déshabillent du regard depuis notre arrivée. Hihihi ! »
« Qu’est ce qui vous amuse autant ? »
C’est Angolo qui apporte le plateau de fromage. Lily ne me laisse pas le temps de prendre la parole.
« J’suis un peu pompette et j’ai envie de faire la fête, de danser. Mais mon ami dit que ce n’est pas bien. »
Aussitôt, un homme d’une trentaine d’années, Marocain je pense, se lève et va vers un gros lecteur de cassettes, et s’adressant à Sherazade :
« La musique arabe ! Tu aime la musique arabe ? La danse de chez nous ? »
« Heu, oui, hihihi ! J’adore. »
« Viens, on danse alors. »
Elle se lève et vient vers moi. Elle dépose un baiser sur ma joue et me glisse au creux de l’oreille :
« C’est parti ! »
Je n’ai rien contre, mais il faut bien avouer que les danses maghrébine sont souvent équivoques.
Il ne faudra pas longtemps à Sherazade pour retrouver le son de ses origines. Elle se trémousse comme une vraie danseuse du ventre. Elle y trouve très vite son intérêt et s’approche du jeune homme le ventre en avant jusqu’à frôler le sien.
J’ignore si elle s’en est aperçue, mais le pantalon de celui-ci devient trop étroit pour contenir son émotion. Il contourne la reine de Saba et plaque sa protubérance contre ses fesses, tout en continuant de danser.
Ca la fait rire. Elle se dégage et avec la souplesse d’un félin, profite d’une chaise vide pour grimper sur la table.
Angolo vient me voir.
« Votre amie est très gentille et très belle, mais elle va rendre fou mes compagnons. Ils ne vont pas la respecter encore très longtemps et je ne veux pas de problèmes. »
« Tu n’auras pas de problèmes, je te l’assure. Elle est heureuse d’être là pour vous. »
Sherazade ondule toujours et son déhanché en fait baver plus d’un.
Des mains se sont agrippées à ses chevilles, ses mollets.
Ayant maintenant une vue dégagée sur l’entre jambe de la coquine, les esprits s’échauffent.
« Angolo, Angolo ! Viens vite ! Viens voir ! La salope est cul nu ! »
Interrogateur, il me regarde.
« Ne t’inquiète pas mon ami, vas-y et amusez-vous bien. »
Il me sourit et se mêle au groupe qui se presse devant la table.
L’apercevant, elle lui fait signe de la rejoindre sur la table. Encouragé par ses amis, un peu intimidé, il monte et se place face à elle.
La salope danse comme une déesse des sables, monte et descend en frôlant le corps d’athlètes.
Puis à moitié accroupie, elle fait glisser l’énorme bosse qui déforme le jean d’Angolo, entre ses seins. Tout en continuant à presser sa poitrine contre lui, elle se redresse. Maintenant face à face, il se noie dans son regard de braise et craque.
Il la ceinture d’un bras et empoigne sa poitrine de l’autre. Sous les cris d’encouragements de ses amis, il pétrit les seins durcit par l’envie à tour de rôle.
Sherazade monte et descend une jambe contre la cuisse d’Angolo. Ca rend fou les types qui peuvent ainsi apercevoir le cul de la salope. Mais, ils veulent plus, beaucoup plus.
Angolo glisse ses mains sous le pull de coton.
Des applaudissements, des sifflets qui doivent s’entendre jusqu’au coin de la rue, accueillent les seins qui viennent de se libérer de leur carcan. Ils semblent bien frêles entre les mains puissantes de l’africain.
Sherazade ferme les yeux et se mord la lèvre inférieur. C’est le signal de sa proche transe.
Elle ne danse plus. Ses mains descendent la fermeture éclair du jeans et plongent dans l’ouverture.
Le silence se fait jusqu’à l’extraction du membre.
« ANGOLO ! ANGOLO ! ANGOLO ! »
Dans un état d’excitation inouï, fiévreux, les hommes encouragent leur ami. Mais c’est elle qui s’y colle.
Elle se laisse tomber à genoux. Elle jauge le pieu d’ébène en le caressant amoureusement. Ses yeux, tout ronds d’étonnement, découvrent un membre hors norme, tendu, fier et provocateur.
Elle tourne son visage vers moi et me sourit tendrement. Elle vient de comprendre ce que je voulais dire quand je lui disais « bien montés ».
Sa bouche gourmande commence par faire connaissance avec le gland chocolat, tandis que son corps de nouveau accessible, est reprit d’assaut par de nombreuses mains. Certaines malaxent ses seins, caressent son ventre et d’autre après avoir doucement écarté ses cuisses et remonté sa jupe à la ceinture, fouillent et découvrent l’intimité chaude et humide de Sherazade.
Les doigts, sur et dans son vagin, attise le feu qui brule déjà en elle.
Après avoir poussé un « Ouiiii ! » feutré, elle laisse la queue prendre possession de sa bouche.
Maladroitement elle tente d’en prendre le plus possible, jusqu’à presque en vomir.
Angolo, prévenant, lui maintient la tête et baise sa bouche avec précaution.
Le spectacle est magnifique.
Des dizaines de mains brunes ou mates glissent sur son corps. Sa peau semble plus blanche, plus fragile.
Le colosse se raidit et agrippe la chevelure de sa bienfaitrice.
« Oui ! Vas-y ! Continu ! Continu ! Harggg ! »
Sentant la délivrance proche, Sherazade accélère le mouvement, alternant ses succions avec quelques secondes de masturbation frénétique.
« Prend tout ! Prend tous salope ! Ouiiiii ! »
Je la vois avaler, encore et encore. Il semble que la quantité déversée soit proportionnelle à la taille du membre.
Trop plein oblige, sa bouche laisse échapper, de longs filets de foutre qui viennent glisser sur sa poitrine.
Elle se caresse le visage avec l’engin encore baveux, tout en étalant le jus sur ses seins.
« Viens là, putain, que je te baise ! »
C’est son compagnon de danse, fou de désir et d’envie, qui tape du plat de la main sur le bord de la table.
Elle s’assoit, se tourne vers lui et tout en passant sa langue sur ses lèvres, sautille sur ses fesses jusqu’en bordure de table. Là, jambes écartées, elle pose ses pieds sur des chaises et s’allonge en restant redressée sur ses avant bras.
« Viens ! Baise-moi ! Prend moi fort ! »
Le jeune arabe ne se le fait pas dire deux fois. Il approche et colle son gland turgescent contre la fente lisse et baveuse.
Sherazade n’en perd pas une miette et regarde le sexe s’enfoncer et disparaitre en elle.
Après quelques coups de butoir gentiment donnés, le mouvement s’accélère, tout comme la respiration de la belle. Juste à la regarder, on peut observer son plaisir monter. Sa bouche s’ouvre et pousse de petits cris de plaisir. Sa tête se penche en arrière, faisant bouger sa crinière brune à chaque assaut.
Deux types se sont placé de chaque coté d’elle, à genoux sur la table et se masturbe tout en caressant, le ventre et les seins poisseux de la putain. Un autre debout, juste derrière elle se branle également, au dessus de sa jolie frimousse.
« Rhooo ! Tu la sens ma queue ? Putain ! Tu la sens ? »
« Mouiiii ! Défonce ma chatte ! Tape fort ! Ouiii ! »
« Rhinnnn ! Rhinnnn ! Rhinnnn ! »
Il la pénètre encore trois fois avec de violents coups de reins et s’immobilise.
« Donne-moi ton jus ! Donne le moi ! viteee ! »
« Tiens ! Je vais te remplir à ras bord, poufiasse ! »
Il se cramponne aux cuisses de la belle et dans un ultime effort sonne la charge finale.
Ses couilles frappent si fort le cul de la chienne qu’on peut l’entendre sans dresser l’oreille.
Il se rend dans un râle bestial accompagné par les plaintes de bonheur de sa partenaire.
Sitôt écarté, sitôt remplacé.
C’est un grand black fluet qui se présente entre les jambes de la gourmande. Il a le regard sombre et sévère qui a pour effet de flanquer un grand frisson à la pute. C’est avec un accent à couper au couteau et sur un ton agressif qu’il déclare :
« Moi, c’est ton cul qu’il me faut ! Lève les jambes que je t’encule ! »
Joignant le geste à la parole, il lève les jambes et les fait reposer sur ses épaules.
Elle entrevoit son dard effilé, pas trop épais. Il le fait glisser sur sa fente collante. Elle peut ainsi jauger la taille démesurée de l’engin. Nullement impressionnée, elle provoque le type.
« Houuuuu ! Ouiiiii ! Encule-moi vite ! Fait moi jouir du cul ! Ouiiii ! Défonce-moi ! »
Je peux voir la queue s’enfoncer lentement dans l’orifice encore et encore. Arrivé au bout du bout, il tente malgré tout de gagner encore quelques millimètre en poussant violemment son bassin en avant. Ca a pour effet d’arracher des petit cris à la tendre et douce enculée brune.
Devant tant de luxure et de stupre, un des types à genoux explose et libère son plaisir. La liqueur chaude gicle sur les seins gracieux et sur la main qui les caressait.
Le malheureux compère, contrarié et semble t’il légèrement dégouté, s’empresse de faire disparaitre l’outrance en frottant le liquide poisseux sur les lèvres de la bouche entrouverte qui pousse des « Haaaa ! » de satisfaction à chaque fois que le sexe qui la sodomise, vient en buté dans son fondement.
Une main se pose sur le vagin libre. Il le caresse, le frotte, le pénètre de quelques doigts et s’occupe ensuite du clito gonflé. Roulé, frotté, étiré, celui ci multiplie le plaisir de Sherazade qui tombe dans une série d’orgasmes à répétition.
Une onde bouillante semble lui remplir encore le cul, tandis que l’homme debout déverse sa purée blanche sur le visage de la coquine.
Le rectum dégagé, son coquillage est remplit de nouveau.
Les hommes se succèdent.
Son corps se couvre lentement de liqueurs blanches. Les positions se succèdent. Les coudes, les genoux rougissent. Les yeux souillés piquent et font pleurer le maquillage. Les cheveux deviennent collants et poisseux. Pourtant, elle continue à donner le maximum d’elle-même. Elle enchaine les jouissances, les orgasmes. Elle s’occupe des plus timides, des plus vieux aussi et personne n’échappe à sa soif de sexe.
Le local se vide peu à peu. Seuls quelques hommes gourmands sont encore là pour se vider dans un dernier épuisement. Angolo, « le puissant » aussi, il lui donnera le coup de grâce en la sodomisant une dernière fois de toute sa vigueur.
Je rentre la voiture sur le chantier et charge ce qu’il reste de Sherazade. Meurtrie, épuisée, elle s’effondre dans un profond sommeil à peine assise dans la voiture.
Pour la première fois, j’accepte de monter chez elle.
Je découvre un petit appartement gentiment décoré dans des tons pastels. Il lui ressemble.
Je l’aide à se déshabiller et la nettoie sous une douche bien chaude. Je fais glisser le savon sur ses courbes que je connais bien maintenant, mais qui continuent à me rendre fou de désir.
Les cheveux propres et séchés, je l’allonge dans son lit et la couvre.
Je m’apprête à partir.
« Non ! S’il vous plait, restez. Ne me laissez pas seule. »
Nu, je me couche près d’elle. Elle pose sa tête dans le creux de mon épaule et je commence à caresser avec tendresse sa poitrine. Je descend ma main et constate que sa petite chatte est de nouveau trempée.
Mon sexe collé à sa cuisse, ne restera pas sage très longtemps…
Ajouter un commentaire