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Job d’été

Job d’été



Hisoire vrai.
J’avais trouvé du travail dans une grande surface pour les vacances. Le directeur avait la quarantaine bien tassé et avait la renommée d’être un vieux vicelard Il se faisait les caissières dans les vestiaires ou les réserves. J’étais arrivée de bonne heure et Le patron venait juste d’ouvrir le magasin.

« Bonjour Monsieur, je suis Michèle, j’ai postulé pour le job d’été. »

Tout en lui tendant ma lettre de motivation. Le directeur s’assit à son bureau et me laissât debout le temps qu’il lise la lettre avec un réel intérêt.

« Bien jeune fille allez au vestiaire, mettez une blouse. A oui. Une petite règle dans mon établissement. Pour éviter les vols, vous ne devez être qu’en sous vêtement sous la blouse. Quand vous serez en tenue, vous irez nettoyer les toilettes. »

J’avais commencé par les toilettes femmes mais à 18 ans et très timide, je n’avais osée nettoyer les toilettes des hommes. Le patron en faisant sont inspection devint furieux de voir que je ne m’étais pas occupé du local masculin. Il me prit par le col de ma blouse, et m’entraînât dans les toilettes des hommes. Deux boutons de la blouse en sautèrent dévoilant mon décolleté.

« Vous croyez que je vous paye pour faire le boulot à moitié ? »

J’avais trébuché et j’étais comme une conne par terre devant ce vieux vicieux à m’excusez timidement.

« Heu non Monsieur. Mais c’est gênant de nettoyer les toilettes des hommes pour moi Monsieur. »

« Je t’en foutrais des minaudage comme çà. T’as jamais vu le loup ma parole ! »

Il devint plus doux tout à coup en voyant mon profond décolleté.
« Bon c’est simple, vu que votre travail n’est pas à la hauteur, j’ai 2 solution. 1 , je vous vire. 2, je me dédommage en nature. »

Je ne compris pas de suite ce que mon employeur voulait dire par là !. Mais sans me laisser le temps de réfléchir, il s’emparât d’un de mes seins en me disant :

« Tu vas donner de ta personne puisque tu es incapable de travailler correctement ! »

Joignant le geste à la parole, il terminât d’arracher les boutons de ma blouse et je me retrouvais en string et soutif devant ses yeux d’obsédé. J’étais tétanisée et choquée. Sa main malmenait fermement ma poitrine. Je tentais maladroitement de le repousser mais lutter contre ce gaillard était peine perdue.

Il continua à malaxer mes seins fermement. Je lui envoyais une gifle mais il me répondit en m’en retournant une.

« Ok ! Tu veux jouer à ce jeux là ! »

Après quelques minutes de lutte, il prit mon soutien-gorge et le remontât brutalement au-dessus de ma poitrine. Il tirât si fort que l’attache se brisât. Pris de folie, il m’arrachât le string.

Le seul sous vêtement qui me restait encore était mes bas noirs. Le salopard écarta mes cuisses en me disant :

« J’adore ta petite chatte et tes gros nibards de salope ! T’es encore vierge pétasse ? »

Tout en pleurnichant je tentais mollement de le repousser . Il allait obtenir ce qu’il souhaitait le vieux vicieux.

Impuissante, les cuisses écartées et la chatte offerte, il se plaqua contre moi. Il descendit son pantalon puis son caleçon.

« Tu vas voir salope comment çà vas être bon de sentir une grosse queue dans ta chatte. »

Mon patron pris sa queue et me pénétra d’un coup d’un seul. Il le fit sans mal car malgré moi ma chatte était trempée.

« Laisse toi faire sans résister petite salope ! J’vais t’faire connaître le 7éme ciel »

Ses va et viens étaient brutaux. Il me bourrât ainsi pendant cinq bonnes minutes. Je devenais docile et malgré moi le plaisir montait. Je ne pus réprimer un gémissement. Il se retirât de ma chatte. Il me retournât et mit à 4 pattes. Là, profitant de ma soumission, il positionna sa queue à l’entrée de mon anus.

Encore sous l’effet de ma baise forcée, j’offrais sans pudeur ma rondelle juvénile à la pénétration de ce vicelard. Le patron crachat sur mon petit trou et poussât inexorablement sa queue forçant ma rosette.

Au moment où son gland forçât le passage, je hurlais de douleur en me cambrant.

Il commençât alors à me limer en s’agrippant à mes seins. Il me labourât le cul comme un forcené n’écoutant pas mes plaintes.

Puis le vicieux sortit de mes fesses endolories et me fourrât sa queue dans la bouche en me prenant par les cheveux.
« Suces moi à fond salope ! »

Je n’avais pris que la bite d’un copain dans ma bouche à cette époque et je n’avais jamais pris de sperme dans la bouche. Je le pris dans ma bouche mais sans expériences, je le suçais plutôt mal. Pour me corriger, il me pinçât un sein.

Il poussât un grognement et pour m’humilier, il éjaculât sur ma bouche, ma figure et mes seins.

Satisfait, il me regardât pleurnicher recroquevillée dans un coin des toilettes souillées de son sperme.

« Tu as toute une éducation à faire salope ! Ici, je te sauterais quand je voudrais ok ? Si t’es pas contente tu peux filer de suite. Si tu restes, je t’utiliserais pour faire des gestes commerciaux, je ferais ainsi plaisir à mes clients privilégiés. »

Tout en me parlant de mon nouveau travail, il remit sa main entre mes cuisses pour y voir ma réaction. Je me laissais faire et il appuyât sa caresse sur mon clito en répétant :

« Oui quand je voudrais, je te ferais baiser. Tu m’appartiens dès à présent. Pour ton salaire, tu paieras de ton corps quand je le souhaiterais, avec n’importe qui et n’importe où. »

Il s’assoie à côté de moi et empaume fermement un sein en me donnant un dernier ordre.

« Dans mon magasin, tu ne porteras que ta blouse de telle façon à ce que tu sois disponible à tout moment ! C’est compris salope ? »

Ahuris par ce que j’entendais, je répondis un oui timide et honteux.

J’avais besoin de cet argent et, soumise, je travaillais donc nue sous ma blouse.

Quelques jours plus tard, alors que le patron ne m’avait plus agressé, il m’offrit à deux clients insatisfaits d’un produit. Ce soir-là, je fus prise par les deux mecs en même temps sous le regard attentif du boss.

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« Claquez lui le cul en même temps elle aime çà la salope ! »

Les sévices durèrent tout le mois. Ensuite, quand il avait besoin de moi, il me téléphonait pour m’utiliser au magasin. Il faut dire que malgré ma honte et les humiliations, j’étais largement payé et je commençais un prendre un certain plaisir pervers à la situation.

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