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L echafauudage( trouve sur le net)

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Ce fut bien la première fois que je me lançais dans des aventures aussi scabreuses, Eric, mon fils était encore un bébé dans son berceau et George mon mari, un jeune cadre très en vue dans son entreprise. Il avait plus de cheveux et je ne connaissais pas encore François son supérieur qu’il ne m’avait pas encore été présenté.

Et moi me direz vous? Hé bien j’étais bien plus jeune aussi, j’avais vingt quatre ans précisément. Je crois pouvoir dire que j’étais belle, en tout cas j’avais remarqué que j’attirais quelques regards sur ma personne, ceci depuis mes quatorze ans, mais bon, c’est une autre histoire.

J’avais accouché trois mois plus tôt et j’étais encore en congé de maternité, heureuse d’avoir eue ce bébé qui remplissait mes journées, mais qui me laissait quand même pas mal de temps libre puisqu’il dormait beaucoup. En ce temps la, nous habitions à Paris, une petite rue du quinzième. Le quartier était populaire et bon enfant, j’aimais me promener dans les marchés, croiser du monde et aussi quelques regards appuyés. Depuis quelques temps, le syndic de l’immeuble, avait entrepris de vouloir ravaler l’immeuble, arriva un jour ou un avis fut affiché dans le hall nous précisant que le lundi suivant un échafaudage serait mis en place devant la façade et que les travaux commenceraient en même temps.

Donc le lundi, un amas de tube d’acier fut déposé devant chez nous et des ouvriers commencèrent à dresser l’échafaudage. Je les entendais depuis l’appartement, s’interpelant dans un français approximatif mais qui constituait leur seul langage de communication. Visiblement ces trois la venaient de pays différents, il y avait le traditionnel maghrébin, mais aussi un type à la chevelure noire et brillante, pakistanais ou indien, mais bien vite je me rendis compte qu’il était pakistanais. Le dernier qui semblait être le chef était français, et tout ce petit monde se mis bien vite au travail.

La fenêtre de mon salon se trouva barrée par un enchevêtrement de tubes qui me faisait penser que j’avais été mise en prison. J’entendais dehors la voix forte des hommes au travail tandis que j’allaitais Eric. Ce fut d’ailleurs à une de ces occasions où j’avais le sein sorti de mon soutien gorge d’allaitement que j’entrevis une ombre qui me regardait derrière le rideau léger de ma baie vitrée.

J’étais un peu naïve surement, car je souris à cette ombre en pensant qu’il regardait une scène fort touchante d’une mère allaitant son fils.

Et puis les choses sont devenues comme une espèce de rituel, ils avaient noté les moments de la journée que je passais à allaiter et je crois qu’ils se donnaient rendez vous devant ma fenêtre à ces moments la. Des moments touchants d’intimité entre une maman et son bébé. J’étais un peu exhibitionniste je dois le dire et c’est avec une certaine délectation que j’ouvrais mon corsage pour défaire le zip de mon soutien gorge qui donnait accès au téton. Puis je prenais Eric dans mes bras et je lui offrais mon sein à téter. Trois paires d’yeux me mataient derrière le rideau fermé, et au bout de trois jours, je décidais de laisser une petite ouverture dans le rideau et leur permettre ainsi de voir pleinement la jeune maman allaiter son enfant.

Il faut dire que j’avais une fierté personnelle, la grossesse avait fait gonfler mes nichons, moi si fière de ma poitrine avant même de me marier, je faisais alors un 90C, je me retrouvais avec deux tailles de soutien gorge en plus. J’avais acheté ce soutien gorge d’allaitement dans la taille de 90E pour être à l’aise. Ma poitrine se tenait fort bien à cette époque, aucun signe de fléchissement et j’avais des tétons qui pointaient au ciel. Une si jolie poitrine n’avait sans doute pas échappé à mes admirateurs qui se pressaient devant ma fenêtre. Cela me valait quelques sifflets quand je sortais faire mes courses, mais je ne m’en offusquais pas car je n’étais pas la seule à être sifflée, je fus même un peu choquée de voir que ma voisine du second étage, une vénérable dame de 78 ans était elle aussi sifflée par les trois peintres. Il faut dire que cette dame quoique âgée, avait encore cette coquetterie qui la poussait à bien s’habiller, se maquiller pour sortir faire ses courses. Je la savais veuve depuis plus de dix ans, mais elle continuait à s’entretenir fort bien et elle aurait pus donner des leçons à des femmes bien plus jeunes.

Un matin que je sortais faire mes commissions dans le quartier, je croisais le jeune pakistanais dans le hall de l’immeuble, il touillais la peinture avant de la monter dans les échafaudages. Quand il me vit, son regard s’éclaira d’un grand sourire, il me dit bonjour et ajouta dans un français plus qu’approximatif « vous, nichons très bandants! »

Je rougis et je m’enfuis bien vite.

Au retour je croisais madame Félicité, ma voisine du second à qui je racontais en riant mon aventure. C’est la qu’elle me dit que elle aussi avait essuyé ce genre de compliment graveleux. Comme je m’étonnais, elle me fit comprendre qu’au fond elle s’en sentait flattée et que cela venait un peu égailler sa solitude. Je la regardais mieux, je vis son maquillage soigné, son rouge à lèvres et je compris alors que madame Félicité loin de se sentir vieille, avait à cœur de vouloir encore plaire. Une femme assez petite, franchement ronde mais qui usait d’artifices pour se maintenir et mettre en valeur les rondeurs dont dame nature l’avait dotée.

Cela me fit sourire, finalement elle était fort sympathique madame Félicité et je me disais qu’au fond, elle avait bien le droit à la coquetterie.

Après cet épisode, je n’ouvrais plus mes rideaux du tout et je vis les trois silhouettes s’agiter derrière mes vitres. Ils me faisaient signe mais j’ignorais leurs gestes. Quand je sortis la fois suivante, ce fut l’arabe que je croisais en bas de l’immeuble, « Pourquoi toi fermer rideaux? me demanda-t-il avec un empressement, Hussen et compagnons veulent regarder joli madame. »

Encore une fois je fuyais en rougissant.

Cependant à la tétée suivante, je laissais mes rideaux disjoints et les trois têtes m’apparurent rigolardes pendant que je dégrafais mon corsage.

Et je me pris au jeu, j’étais jeune mais sans doute aussi un peu salope, un coté salope que je commençais à cultiver. J’ouvrais mon corsage avec plus de volupté, faisant trainer mes doigts sur ma poitrine, regardant en coin mes trois mateurs qui regardaient bouche bée comment mes doigts fins se glissaient dans l’échancrure du col de mon chemisier, comment je jouais avec les boutons avant de faire sauter le premier obstacle, puis le second etc… Quand l’ouverture était suffisante, je dévoilais mes seins en écartant les pans du corsage et mes doigts glissaient sur mon soutien gorge pour trouver le zip que je tirais avec une lenteur calculée tout en regardant la mince fente des rideaux derrière laquelle je voyais trois paires d’yeux qui brillaient. Je tirais lentement sur le zip et je libérais un nichon de sa prison de fin coton. Je sentais la tension monter au delà du rideau, ils s’agitaient, j’entendais les commentaires, ils m’encourageaient, je percevais leur enthousiasme. Je faisais mine de ne pas les entendre et je me penchais pour prendre Eric dans son couffin, et le tenant tendrement dans mes bras, je lui présentais mon sein. De temps en temps je jetais un regard vers le baise vitrée, ils étaient toujours la, ils ne disaient plus rien, ils mataient.

Le manège a duré tout le temps des travaux, sans doute le planning en a-t-il été un peu bousculé. Mais le rite entre nous établissait une sorte de rituel auquel je me prêtais sans réticence. Quand je sortais, je trouvais toujours l’un des trois qui venait me faire un compliment du genre salace sur mes nichons, en me demandant davantage bien entendu. Je rougissais et je fuyais, sentant bien un brin d’excitation monter dans mon ventre et apporter à mon entrecuisse cette chaleur humide que je connaissais si bien. Et, le croirez vous, j’étais tenté de leur offrir davantage.

Je continuais donc mon petit jeu, dangereux et pervers à la fois, le rite était toujours le même vers dix heures du matin, à l’heure du casse croute, ils venaient me contempler à travers une fenêtre de moins en moins close. J’ouvrais le rideau suffisamment pour qu’ils puissent voir tout à leur aise mon petit rituel de déshabillage. J’entendais des commentaires élogieux sur ma poitrine, des « encore, encore! » et des « on veut voir les deux en même temps! » Mon excitation montait tout comme le leur, d’autant que Eric en tétant mon sein, en excitait la pointe.

Parfois j’en devenais toute haletante, excitée et ma culotte se mouillait peu à peu. J’éprouvais le besoin d’écarter un peu les cuisses, histoire de refroidir cette chaleur moite et malsaine qui montaient de mon intimité. La encore il y eu des encouragements, et donc, mes cuisses s’en trouvèrent plus ouvertes encore.

Le jour suivant, je décidais d’accéder à leur demande, et tandis que Eric tétait goulument mon sein droit, je découvrais le gauche, offrant mon téton dardé et dur aux regards concupiscant des trois peintres. Ils se pressaient contre la vitre pour mieux voir, ils restaient la un peu bouche bé devant mon sein emprisonné dans un soutien gorge qui leur livrait juste la vue de mon téton dénudé. Auparavant, j’avais pris soin de raccourcir un peu les bretelles et de remonter ainsi ma poitrine. Mon téton pointait au ciel, Eric tirait goulument sur l’autre nichon, ses petites mâchoires, heureusement sans dents, pinçaient régulièrement le téton excité tandis qu’il aspirait et que sa langue finissait de m’exciter définitivement et que mes cuisses se disjoignaient peu à peu. J’avais devant moi les trois visages qui ne disaient plus rien et regardaient d’un air grave.

Lequel a-t-il pris l’initiative? Je ne n’en sais rien, mais tout à coup j’ai vu jaillir un sexe d’un pantalon et une main rude s’est mise à le tripoter. J’ai vu le sexe enfler entre les doigts épais, couverts de tache de peinture. Le sexe bandait et son propriétaire s’est mis à le masturber devant mes yeux. Très vite est apparu un second et enfin le troisième a aussi sorti sa bite et les trois se branlaient devant ma fenêtre tout en matant la tété d’Eric qui n’était plus aussi innocente et touchante. La scène fit monter ma propre émotion, mes cuisses s’ouvraient largement maintenant et comme ils me montraient leurs bites tendues, j’exhibais le fond de ma culotte, montrant bien à quel point elles était humide à l’entre jambes.

C’est ainsi que j’ai eue mon premier orgasme. J’ai senti monter un désir imparable qui m’a emporté comme une vague. J’ai mordu mes lèvres, j’ai sursauté dans le canapé en poussant une longue plainte tout en écartant bien les cuisses et sans pouvoir empêcher ma main libre de s’aventurer sur mon slip pour masser doucement ma fente. Les trois regards se sont écarquillés et dans les trente secondes qui ont suivi j’ai vu des jets de sperme qui jaillissaient de leurs membres et venaient s’écraser contre la vitre. Les trois liquides blancs se sont mis à dégouliner lentement sur la vitre, ils formaient des ruisseaux qui ont fini par se rejoindre et couler plus vite vers les bas de la baie vitrée.

Fascinée, je regardais le manège, le jus qui coulait en une rivière de plus en plus grosse au fur et à mesure que les ruisseaux venaient peu à peu alimenter le torrent.

Eric a produit un rot. J’ai sursauté et je suis revenu à la réalité. Les trois visages se sont éclipsés et j’ai remis de l’ordre dans ma tenue.

Quand je suis sortie pour faire les courses, j’ai trouvé l’inévitable Hussen dans le hall. Il me guettait et il s’est précipité à ma rencontre: « Bon, bon! Très bon de voir madame donner nichon à bébé! Demain tu laisses fenêtre ouverte, nous veut voir ça mieux, plus près! »

Tout cela débité dans un souffle alors je sentais son corps musclé de travailleur si près de moi et l’odeur forte de la sueur qui émanait de tout ses pores, cela était tellement enivrant. J’en ai frémi malgré l’empressement qu’il mettait à me coller.

J’ai fait mes courses et de retour à la maison, je me trouvais nerveuse, impossible de fixer mon attention sur quoi que ce soit. Je tournais en rond toute la journée et seule la tétée de l’après midi arrivait à me calmer, alors que Eric me suçait le téton avec délectation, je me laissais aller aux frissons, et fermant les yeux ma main libre disparaissait sous ma jupe et je me masturbais pour retrouver un semblant de calme après avoir joui tandis que Eric finissait de se gorger de mon lait.

Le lendemain ma tension n’était pas retombée, j’étais plus nerveuse encore alors que l’heure de la tétée approchait. C’était aussi l’heure du casse croute des ouvriers sur leur échafaudage, je le savais, et tournant en rond je n’arrivais pas à me déterminer, devais-je laisser cette fenêtre ouverte? Devais-je détourner complètement mon attention de ces hommes qui campaient devant ma fenêtre? Je n’arrivais pas à me déterminer.

Allant de la fenêtre au canapé, je ne saurais dire quand j’ai légèrement ouvert le battant de la porte fenêtre. L’Ai-je fait en conscience ou bien alors mon instinct de femelle a fait le travail? Je ne saurais le dire encore aujourd’hui.

Il n’empêche que lorsque je sortais Eric de son couffin, ils étaient la derrière le rideau mal tiré, leurs trois têtes qui guettaient le moment où j’ouvrirais mon corsage, sans doute plus que nécessaire, dévoilant mon soutien gorge qui tendait mes seins gonflés de lait. J’ai défait le bonnet droit pour libérer le téton et je l’ai offert à mon fils qui s’est mis à me téter avec ardeur. Je gardais mon regard penché sur lui, évitant de lever les yeux vers les trois visages attentifs derrière les carreaux. Il n’y avait pas un mot entre eux, ils mataient c’est tout, et cela a duré tout le temps de la tétée. Et puis Eric m’a fait savoir qu’il était rassasié en rejetant mon sein. Rapidement il a fait son rot et je l’ai reposé dans le couffin pour une sieste jusqu’à la prochaine tétée.

C’est à ce moment que j’ai entendu glisser la porte fenêtre qui s’est ouverte. J’ai levé les yeux et les trois ouvriers ont pénétré dans l’appartement. Je n’avais pas eu le temps de couvrir mon sein et la surprise de les voir au milieu de mon salon me paralysait. Ils mataient mon sein dénudé, le téton qui luisait encore de la salive d’Eric et du reste de lait qu’il avait pompé.

Ils se sont avancé vers moi, en me tenant les bras, ils m’ont fait rassoir sur le canapé. Hussen s’est assis à ma droite et le pakistanais à ma gauche. Le troisième restait debout. Hussen a levé la main vers mon sein dénudé et a commencé à palper la masse douce de mon nichon. De son coté, le pakistanais a défait le rabat du bonnet gauche et il a dénudé à son tour mon téton, tout en me palpant le sein. Je ne bougeais plus, le souffle court, nerveuse, je les regardais faire sans pouvoir réagir. Le troisième homme devant moi se massait nerveusement le pantalon au niveau de sa braguette, je pouvais me rendre compte à quel point il bandait et je commençais à percevoir l’étendue de mon imprudence. Il était clair que je ne pourrais résister au désir de ces trois hommes, d’autant plus que les deux autres se sont penchés en même temps sur ma poitrine pour prendre mes seins en bouche. La sensation soudaine d’avoir deux bouches se renfermant sur mes tétons m’a fait gémir. Leurs langues agaçaient mes pointes qu’ils devaient sentir se tendre entre leurs lèvres et durcir inexorablement. J’ai fermé les yeux tandis qu’un long frisson parcourait mon échine. J’ai sentis deux mains sur mes genoux et qui les forçaient. Ne pouvant résister, j’ai cédé et mes genoux se sont écartés. Les mains ont insisté et je me suis trouvée les cuisses largement ouvertes. Puis ce fut un souffle fiévreux sur mes cuisses et une bouche qui les parcourait, très près de l’aine, et puis sur ma culotte qu’il reniflait. Des doigts se sont glissé sous la fine dentelle, la ramenant plus près de ses narines, et puis en tirant plus fort, j’ai sentis ma culotte glisser sur mes fesses et mes cuisses. Une langue agile est venue se joindre aux deux autres bouches qui me tétaient avec une vigueur que je ne connaissais pas avec Eric. Je me suis dit qu’ils allaient me vider de mon lait alors que mon fils en avait besoin.

J’ai gémi encore quand la langue s’est insinuée entre mes lèvres intimes et a ouvert ma fente débordante de cyprine. Il a goulument tété mon sexe mais la, il pouvait me sucer autant qu’il le voulait. Il ne s’en est d’ailleurs pas privé, glissant sa langue aussi loin qu’il le pouvait pour boire ma mouille.

J’ai senti ses mains sur mes fesses qu’il a tiré au bord du canapé. Encore une fois j’ai laissé faire et je me suis retrouvée bien affalée, les nichons pompés par deux bouches avides tandis que j’ai soudain senti mon sexe écartelé et qu’une poussée propulsait en mon ventre un membre qu’il avait du sortir pendant qu’il me léchait. J’aurais voulu protester, j’ai bien essayé de gigoter du bassin, mais l’homme me tenait fermement et poussait son avantage. Je me suis cambrée en sentant son sexe envahir mes chairs et se planter au fond de moi. Il a pu me prendre aussi loin qu’il le pouvait, mon accouchement n’était pas si lointain, trois mois seulement et les chairs mon vagin étaient encore relâchées.

Il s’est mis à me besogner le ventre en ahanant, je sentais sa bite coulisser avec facilité entre les parois trempées de mon vagin. Son affaire a été rapide, cinq minutes peut être avant qu’il ne se laisse aller dans un rugissement prolongé, le temps d’une éjaculation violente et abondante.

Après, il laissa sa place au pakistanais tandis qu’il me présentait encore son sexe à ma bouche, à genoux sur le canapé il me prit le menton dans sa main calleuse et il me força à tourner la tête et prendre sa bite en bouche. Elle avait le gout de ma chatte, je le pompais sans retenue tandis que le pakistanais me baratait le vagin, noyé du sperme du précédent. Je le sentais me donner des coups furieux qui me faisaient mal au ventre. Je gémissais et il prit mes gémissements pour de la jouissance, je me tortillais sous lui et il ne tarda pas à lâcher sa semence tout au fond de mon ventre.

Ce fut Hussen qui prit son tour, propulsant en moi une bite deux fois plus épaisse que celle de Georges. Je pompais les deux autres en alternance, et j’avais en bouche le gout de ma propre cyprine que je léchais voluptueusement. Hussen s’acharnait sur moi, ses reins solides activaient une bite tendue et grossie par le désir sauvage de baiser une bourgeoise. Je l’ai senti se raidir, il a planté au plus profond de mon ventre le gland violacé de son membre et il a rugi son plaisir en laissant les spasmes et les tressaillements envahir son corps. Sa bite s’est mise à cracher des flots de sperme retenus depuis des mois passés sans une femme. Et quand il a fini de se vider dans mon ventre, je sentais encore les tressaillements furieux du sexe encore dur.

Lui aussi a voulu que je lui fasse une fellation, les autres étaient à peu près assagis quand je me suis penché sur l’impressionnant membre qu’il me tendait. Cette fois le gout de ma cyprine était mélangée au gout du sperme des trois ouvriers qui m’avaient si violemment et si furieusement baisée. J’ai bien ouvert la bouche, il le fallait pour accueillir cet engin presque aussi gros que mon bras. Je l’ai sucé et il a eu un second orgasme. Il s’est laissé aller dans ma gorge et son jus a dégouliné en moi.

Aussi rapidement qu’ils avaient surgi, ils se sont éclipsé en clin d’œil. Je suis restée dans le salon, assise au bord du canapé, les cuisses encore ouvertes, la jupe roulée autour de ma taille, la culotte autour d’une cheville, les seins sortis du soutien gorge d’allaitement.

J’ai lentement tourné mon regard vers le couffin où Eric dormait tandis qu’un remord et une honte sans fond est venu me submerger.

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