Dans le chapitre précédent je vous racontais comment à 35 ans je m’étais acheté une belle maison situé dans le sud-ouest des Yvelines dans une petite impasse. Ma voisine d’environ 25 ans mon aînée m’avait fait succomber à ses charmes. La première fois que je m’étais rendu chez elle nous avions déjeuné, mais surtout nous avions fait l’amour de façon peu commune. Diane avait pris un dessus psychologique sur moi en m’imposant de me travestir si je voulais lui faire l’amour; j’aurais tout accepté pour cela. Je ne m’étais pas fait prier et c’est ainsi que vêtu d’une robe moulante sculptante, d’un collant fendu et d’un tanga; que je l’ai honorée pour la première fois. J’ai découvert les bienfaits de la féminisation avant de faire l’amour à une femme, c’était vraiment très efficace. J’étais là encore emboîté en elle, je venais de me vider dans ses entrailles et nous savourions ce petit moment de calme. Après avoir repris nos esprits mon sexe est sorti du sien et Diane a caché mon sexe qui avait rétréci dans mon tanga; maintenant il rentrait à nouveau dedans.
Une fois debout Diane m’a débarrassé de ma robe sculptante en lycra au profit d’une robe très longue fine et douce. En un après-midi elle avait fait de moi un étalon soumis, une chienne obéissante et offerte; en un après-midi elle pouvait exiger de moi ce qu’elle voulait, elle faisait ce qu’elle voulait de moi; j’étais devenue sa chose sexuelle. Déjà qu’elle me parlait au féminin, ses propos laissaient supposer que ce n’était qu’un avant-goût. Maintenant elle me laissait entendre que bientôt je n’arriverai plus me passer des tenues féminines, elle me disait surtout que si je voulais revenir chez elle ce serait impérativement en femme. J’étais en train de réaliser qu’elle m’avait mis l’eau à la bouche et que maintenant ne pourrai plus me passer de ces prestations sexuelles et que cela se ferait sous certaines conditions, les siennes. Déjà avant de sortir de la chambre elle m’a donné à enfiler des escarpins rouge vernis avec des talons de 7 ou 8 cm c’était la première fois que j’en mettais bien évidemment.
Elle rigolait à me voir marcher avec ce manque d’assurance et maintenant régulièrement elle venait me coller des mains au cul surtout dans la raie. La première fois j’ai rouspété mais au bout d’une demi-heure je finissais par trouver ça très agréable que de sentir son majeur venir se faufiler entre mes deux fesses. À midi j’étais arrivé chez elle pour déjeuner en relation de bon voisinage à 18h elle avait fait de moi sa soumise; pour mon plus grand plaisir, à ma plus grande surprise. Nous étions maintenant redescendu au rez-de-chaussée et vu la sensibilité de mon petit cul elle m’a carrément fait baisser contre le dossier du canapé. Elle m’a soulevé ma douce et longue robe, elle est venue me faire une feuille de rose; ce n’était pas la première fois que j’avais le droit à une telle prestation, mais c’était la première fois dans de telles conditions. En un instant mon érection était revenue, mais surtout quand sa langue cherchait à s’introduire dans mon petit cul; j’en arrivais à pousser des petits cris pas vraiment masculins.
Après plusieurs de mes petits cris, elle m’a dit que mon petit cul appelait la bite; que devais-je comprendre dans de tels propos. À force de tirer sur mon petit trou et de chercher à introduire sa langue; cette dernière a fini par rentrer et là j’ai commencé à pousser des cris de fou. Moi qui à midi était venu faire plus ample connaissance avec ma voisine; elle était en train de me rentrer sa langue dans mon anus, elle avait fait de moi un travelo qui réclamait du sexe. J’aime beaucoup ce que j’étais en train de vivre, le pire c’est que j’en réclamais encore plus. Elle m’a laissé un instant plié en deux contre le dossier du canapé, je n’ai pas trop vu ce avec quoi elle était revenue. Par contre j’ai vite compris quand elle m’a collé un gros collier en cuir autour du cou, attaché à une laisse; elle m’a fait enfiler de très longs gants qui montaient au-delà des coudes et surtout je l’ai vu harnacher d’un gode à ceinture.
Il ne fallait pas être un génie pour comprendre que j’allais passer à la casserole, à ma grande surprise je n’attendais que ça. En moins d’une demi-heure elle avait fait de moi une pute qu’elle était sur le point de sodomiser. Elle est venue s’agenouiller sur le canapé, pour me donner le sexe en silicone à sucer; me maintenant fermement par la laisse, elle dirigeait parfaitement les opérations. Diane était une dominatrice, maîtresse dans son art. Je me suis donc exécuté et c’est ainsi que pour la première fois, bien que factice, j’avais un sexe dans la bouche. Elle m’a surtout demandé à ce que je dépose le plus possible de salive dessus, elle m’expliquait en même temps que plus il y aurait de salive mieux ça passerait ensuite. Quand elle a estimé que c’était bon elle est repassée de l’autre côté du canapé pour venir se positionner à l’entrée de mon petit trou. J’étais conscient depuis quelques instants de ce qui allait m’arriver et je la sentais déjà commencé à forcer l’entrée de mon intimité.
Ça y est c’était fait maintenant aux yeux de ma voisine j’allais devenir un enculé au moins au sens propre. Finalement ce n’est pas si désagréable que de se faire visiter le conduit par un sexe factice. Là en l’occurrence c’était surtout le côté amour-propre qui en prenait un coup car c’est une femme qui était en train de m’honorer par derrière. Il était évident que désormais Diane ne me regarderait plus comme avant; que ce soit dans la rue ou dans le jardin quand je serai en train de l’épier. Quand elle est arrivée au fond de moi elle m’a avoué qu’elle était persuadée que j’avais du potentiel, les petits cris de plaisir que je poussais en étaient la preuve. Elle s’est ensuite accrochée à mes hanches, comme un homme l’aurait fait pour sa partenaire; elle a commencé à aller et venir au fond de moi. Dans ma tête, j’étais en train de me dire que finalement c’était vraiment commode que je sois sur des escarpins, cela lui permettait de mieux me prendre par-derrière. Le plus beau c’est que moi j’étais de plus en plus demandeur, que j’en voulais toujours plus et que mon petit cul partait à la rencontre de son gode dépuceleur. J’étais en train de m’étonner quant à mon comportement qui n’avait rien d’un hétéro que je suis.
Diane était en train de se déchaîner, je recevais des claques sur les fesses; j’ai même découvert qu’elle avait une cravache que j’ai senti claquer sur mes fesses à plusieurs reprises. Je peux vous dire que quand on voyait cette dame dans la vie de tous les jours, on n’aurait pas supposé une seconde ce qu’elle était capable de faire au niveau sexuel. Elle passait plutôt pour une dame respectable, une dame fréquentable, une dame à qui l’on aurait donné le bon Dieu sans concession. J’étais en train de découvrir sa face cachée et en fin de compte, elle n’était pas pour me déplaire. Finalement, à force de va-et-vient, à force de caresses, à force de claques sur les fesses, à force de coups de cravache; à mon grand étonnement j’ai réussi à prendre mon pied et à éjaculer sans toucher à mon sexe, c’était vraiment une première et surtout une surprise pour moi.
Quand je me suis retournée pour regarder Diane je la sentais dominatrice mais surtout je la sentais contente de m’avoir vaincu. Elle savait que désormais je serai sa femelle, sa femelle à sa merci, à la merci de tous ses caprices; ses caprices dont je ne connaissais pas les limites. Sur la formidable comtoise qui était face à moi, dont le l’énorme balancier avait quelque chose d’hypnotisant, je pouvais constater qu’il était déjà 19h et que cette journée allait être à marquer d’une pierre blanche avec tout ce que je venais de vivre. Diane, toujours dans son accoutrement de dominatrice, était partie chercher du sopalin pour nettoyer toute la semence que j’avais balancée sur le dos du canapé et sur ma douce robe. Diane m’a pris par la main pour que nous descendions à la cave elle était redevenue une femme fréquentable par tous. Elle est partie chercher mes vêtements qui était en train de sécher dans le jardin j’ai tout récupéré intact exceptée peut-être la chemise qui avait la marque de la corde à linge dans sa largeur mais vous allez dire que je chipote.
Par contre à ma grande surprise elle a mis tous mes vêtements dans un sac à main et elle m’a dit que j’allais rentrer chez moi en femme. Je me rassurais quelque part en me disant que la plus grande partie du trajet allait être chez elle et que je n’aurai qu’une trentaine de mètres à faire dans la rue. Il fallait juste que je croise les doigts pour que je ne croise personne, mais en même temps vers 20h, même si il fait encore jour en été; beaucoup de gens sont chez eux et ne traînent pas dans la rue, c’est le cas dans notre petite impasse. J’ai le droit à un roulage de pelle en règle avant de partir, puis je suis parti avec mon sac à main totalement habillé en gonzesse. J’avais quand même tout d’une pute qui rentrait d’une nuit de travail. .. Quelque part j’étais assez content de moi car j’avais réussi à maîtriser l’équilibre sur mes hauts escarpins. Pendant que je marchais avec mes petites fesses au frais Je sentais surtout mon petit trou qui était un peu distendu quand même.
Je me disais quand même que j’avais eu de la chance aujourd’hui, bien que j’ai perdu mon pucelage anal sans que cela soit prévu; j’avais surtout réussi à faire l’amour à ma voisine pour mon plus grand plaisir et le sien accessoirement. J’étais soulagé j’avais réussi à rentrer à la maison sans que personne ne me voit et à ma grande surprise je ne me suis pas dépêcher de me changer j’ai passé toute la soirée en femme chez moi en prenant grand plaisir à faire en sorte que chacun de mes pas soient sonores, claquent sur le sol. À défaut d’avoir quelqu’un pour me caresser, je me caressais tout seul; je découvrais le plaisir d’une caresse à travers du lycra, à travers de la viscose, à travers des collants satinés. Peut-être ressentais-je ce qu’une femme peut ressentir quand elle est ainsi vêtue; il n’y a pas à dire, celle qui était en moi appréciait. Bref la moindre de mes caresses provoquait en moi une excitation cérébrale, mais surtout réveillait mon sexe sans arrêt. Devant la télé je prenais grand plaisir à croiser mes jambes pour en sentir le frottement, je me sentais vraiment une femelle bonne à baiser.
Après ce que je venais de vivre dans la journée si je puis dire, j’avais encore le feu au cul; j’avais beaucoup apprécié le traitement que m’avait infligé Diane. J’avais vraiment l’impression que cela avait réveillé en moi une femme qui sommeillait profondément mais qui n’avait pas projet de se rendormir tout de suite au moins pour ce soir. Vers 23h j’ai fini par aller me coucher toujours avec mon érection et je n’ai pas pu me retenir de me faire un petit plaisir dans toute cette douceur. Quand je me suis couché et surtout quand j’ai éteint la lumière j’ai immédiatement reçu un sms de Diane. Cette dernière me traitait de grosse cochonne en me disant que je me couchais en femme. Je lui ai demandé comment elle a su que j’étais habillé en femme pour me coucher, elle m’a répondu qu’elle en était sûre c’était obligé. Décidément j’étais prévisible à ses yeux, j’avais l’impression qu’elle contrôlait la femme qu’elle venait de réveiller en moi. Elle m’a dit qu’elle comptait sur moi pour que je me fasse un petit plaisir avant de m’endormir car elle était sûre que je penserai à elle.
Dans le lit, rapidement je me suis retrouvé avec mon deuxième cerveau en main et le faisant monter et descendre. Bien évidemment comme elle l’avait prévu je n’ai pas cessé de penser à elle pendant que je me faisais ma petite gâterie. Je me caressais mes zones érogènes et à travers la douceur de mes vêtements, cela me faisait le plus grand bien. Que ce soit mes tétons, ma poitrine, mes flancs, l’intérieur de mes cuisses et même entre mes fesses; toutes ces parties de mon corps appelaient à un peu d’attention dans mes caresses. Je n’ai pas été bien long à éjaculer dans la douceur de mes vêtements féminins, je me suis endormi en quelques instants ensuite, la tête dans les nuages. Cela va sans dire que cette nuit-là, je ne fis que des rêves érotiques où était présente Diane. Je me suis aussi interrogé dans mes rêves pourquoi j’aimais à ce point être en femme et traité comme telle.
En espérant que ce second chapitre vous ait plu.
Bisous à vous
Ajouter un commentaire