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La Contrôleuse

La Contrôleuse



L’histoire qui va suivre n’est que pur fantasme construit autour d’un fait réel.

Il est 10h00 quand Sophie se lève pour se préparer à aller au boulot. En ce jeudi de juin il fait beau et la chaleur commence déjà à monter.

Elle prend son petit déjeuner et file à la douche, pour ensuite réfléchir à quels sous-vêtements mettre. Il va faire chaud aujourd’hui alors c’est parti pour des trucs légers, un string à dentelle et un soutien-gorge du même type.

Pour la tenue pas besoin de réfléchir elle a un uniforme (jupe ou pantalon et polo ou chemise).

Elle se regarde dans le miroir et elle voit comme tous les jours une jeune femme de 25 ans brune de 1m72, 60 kg accompagné d’un 85B en forme de poires avec des aréoles disons plus développés que la moyenne. Comme toujours elle se trouve pas mal.

Sophie regarde une dernière fois son uniforme de contrôleuse (pantalon et polo) de la SNCF et se dit « Ok impeccable »

Direction le boulot et en train bien évidemment.

Le trajet de chez elle à l’agence dure 45 minutes, il y a du monde comme à chaque fois et beaucoup de «bouseux ou de SDF» comme elle aime se dire dans la tête.

Oui, Sophie a une réputation de petite bourgeoise prétentieuse et un petit peu raciste. Il faut dire qu’elle vient d’une famille où le papa est militaire, donc jamais là, et la maman, secrétaire juridique, rien d’extraordinaire. Elle a eu une éducation de princesse qui la faite devenir un peu pétasse.

Un homme occupe sa vie depuis maintenant 7 ans. David, 27 ans, Agent de la sûreté ferroviaire, est un gentil garçon bien bâti avec une carrure qui impressionne les délinquants. Mais il a aussi un petit défaut et petit c’est le mot pour désigner la chose qu’il a entre les jambes. C’est le premier et l’unique amour de Sophie qui n’a connu que ce sexe et n’a donc aucun moyen de comparaison hormis la fois où, à 14 ans, elle a vu le sexe de son papa sous la douche. Et il faut qu’elle avoue qu’elle ne jouis jamais quand son petit ami la baise

Arrivée a son lieu de travail notre jeune Sophie est prête à faire respecter la loi avec sa machine à PV et à ne rien laisser passer surtout si ce sont de jeunes étrangers.

L’air hautain, elle dit bonjour aux collègues, prend un café et regarde sa zone de mission.

« Ha fait chier ! »

« Que t’arrive t’il princesse? » dit un de ses collègues.

« Je me tape le train des merdes avec les blaireaux »

« Ah oui le 866912 , il y a eu pas mal de fraudes dessus et d’incivilités.»

« Oui bah, je vais m’en occuper de ces merdeux de branleurs. »

Sur ces mots elle prend sa machine et direction le train.

Arrivée à la gare principal, elle rejoint le quai du train pour prévenir le conducteur de sa présence.

« Salut. Ah.. C’est toi JP aujourd’hui !»

JP est un vieux conducteur de 50 ans bedonnant au regard pervers. Elle ne l’aime pas car elle a toujours l’impression qu’il la déshabille des yeux. Mais bon elle n’a pas le choix. Et elle saura le calmer sèchement s’il le faut.

« Salut princesse ! Oui aujourd’hui je suis ton humble conducteur. Et si tu as besoin de t’asseoir sur mes genoux, n’hésite pas ! AhAhAh… »

« Super, toujours aussi drôle tes blagues…. »

Le trajet du train en question dure 1h45. Il traverse beaucoup de petits villages de bouseux ou de banlieues. Généralement tous les contrôleurs évitent cette ligne ou alors ne contrôlent personne et restent enfermés dans la cabine.

Mais Sophie n’a que trois mois de boite et elle n’est pas là pour laisser ces déchets de la société prendre le train gratuitement. Elle est fière de son travail et elle compte bien faire appliquer les règles dans son train.

Le début de trajet démarre fort avec déjà 6 PV en 15 min. Elle adore ce sentiment de puissance où elle peut verbaliser et humilier de simples voyageurs. D’ailleurs, ça se voit sur son visage. Les gens la détestent et parfois des insultes fusent discrètement « Pouffiasse, salope….»

Après une heure de trajet le train arrive dans les dernières 45 minutes. Un groupe de six individus grimpe à un arrêt, musique à fond, cigarettes. Sophie est prévenue par le centre d’appel que des gens dans son train se plaignent de ce groupe.

Elle remonte le train bien décidée à verbaliser cette bande de petits cons. Elle se dit qu’ils vont devoir se tenir à carreau sinon ils vont apprendre à la connaître.

Arrivé dans le wagon, la fumée la prend à la gorge et la musique est très forte. La plupart des gens ont changé de voiture, juste deux ou trois personnes tiennent bon. Le groupe de voyous s’étale sur une zone de 2 X 4 sièges .

Déterminée et remontée, elle s’approche d’eux et dit d’une voix sèche :

« Bonjour messieurs ! je vais vous demander vos titres de transport et de couper la musique ainsi que d’éteindre vos cigarettes. »

« Wesh les mecs ! regardez la pouffiasse, elle est pas mal dans son uniforme ! »

Sophie est surprise de cette réponse car elle n’a pas l’habitude qu’on lui réponde ainsi. Mais elle ne se démonte pas pour autant.

« Je ne suis pas une pouffiasse, attention à ce que vous dites ! Maintenant montrez-moi vos titres de transport. »

La bande rigole et l’un des gars dit :

« Ok ma belle ; je te montre mon titre de transport si tu me montre tes nichons. »

« Vous vous prenez pour qui ? Je vais devoir vous verbaliser si vous n’avez pas de bi… »

Soudain, une main vient de tâter son cul derrière elle. Sophie se retourne, rouge de colère.

« Espèce de gros porc, je t’interdis de me toucher le cul. Je… »

CLAC !

Une grosse claque venu d’un gars derrière elle s’abat sur son cul ce qui la fait sursauter de douleur. Elle se retourne telle une girouette. Mais avant même qu’elle ait le temps d’ouvrir la bouche, un des gars du groupe lui crie :

« Écoute moi bien la pétasse ! Ici c’est chez nous, c’est pas toi qui fais la loi ! Alors tu vas être bien sage et nous faire plaisir,»

Dans un sursaut de bravoure et de fierté, Sophie prend son téléphone et commence à composer le numéro de la sûreté ferroviaire. Mais avant d’avoir fini de taper le numéro, une grosse gifle lui chauffe le visage et la fait tomber sur les genoux d’un des voyous.

Et avant qu’elle puisse réagir, le mec sur qui elle est tombée lui att**** les bras pour la retenir alors que le chef du groupe saisit le bas de son polo et le lui relève sur le visage, laissant ainsi apparaître son soutien-gorge en dentelle. Sophie, avec le vêtement relevé, ne voit rien, elle ne peut qu’entendre.

« Putain les mecs regardez moi ça! La petite pétasse met de la dentelle. »

Elle sent une grosse main se poser sur son sein gauche alors elle tente de se débattre, mais en vain . Elle croit reconnaître le bruit d’un couteau que l’on ouvre. Et bientôt, la main sur son sein tire sur le soutif et elle sent qu’on le coupe pour dévoiler sa poitrine.

Quand ses seins sont complètement exposés, les sifflets et les remarques vulgaires se font entendre dans le wagon.

« Bordel regardez-moi ces nichons! Ils sont vachement en pointe !»

« Oui et regarde ces aréoles, elles sont super larges, la vache »

« j’ai bien envie d’en voir plus ! pas vous les mecs ? »

La réponse ne se fait pas attendre. C’est un brouhaha de oui et de rigolade. Les derniers voyageurs qui avaient tenu le coup changent de voiture dans la peur du même sort. Après tout, qu’elle se débrouille cette contrôleuse prétentieuse.

Sophie, les bras toujours maintenus et les seins à l’air avec le polo sur la tête ne peut que subir cette humiliation. Malgré sa fierté, elle commence à avoir peur. Elle est bien tenue et ne peut pas se débattre pour s’échapper.

Une main vient dégrafer le bouton de son pantalon. D’un geste brusque, celui-ci est tiré vers le bas sur ses chevilles. Son beau string dentelle voit le jour. Et en parlant de jour, la dentelle de son sous-vêtement est bien aérée ce qui donne un aperçu de sa chatte toute lisse en dessous. Les jambes de la jeune femme sont relevées sans ménagement sur elle-même, ce qui la met dans une position inconfortable. Dans cette situation une petite lèvre dépasse du string et ses fesses s’ouvrent également pour laisser voir la ficelle du string qui coupe son anus en deux.

CLAC !

Une claque vient tomber sur le cul de la belle qui pousse un cri étouffé par le polo .

CLAC

Une deuxième.

Les rires accompagnent le bruit de la fessée et les pleurs de Sophie.

« Putain tu es bonne la pétasse ! Regardez les gars, une babine se fait la malle du string mdr »

Sophie est en larmes sous le polo. Elle est vraiment effrayée maintenant. Elle se demande pourquoi elle? Pourquoi?

Le string subit le même drame que le soutien-gorge, le couteau vient le sectionner. L’individu à l’arme blanche tire sur le tissu pour le retirer. Et là, surprise ! Un filet de mouille relie la chatte de Sophie au string .

« Merde la chienne est trempée !»

« Non, tu déconnes !? »

« Non regardez, elle est toute gluante. Elle mouille.»

Quand elle entend ces mots Sophie n’en revient pas. Pourquoi son corps la trahit ? Elle n’a jamais été autant humiliée et effrayée de sa vie. Et son corps régit en faisant mouiller sa chatte.

Elle entend le bruit des téléphones qui prennent des photos sous tous les angles et surtout de sa chatte trempée.

Pendant cette période, qui semble durer des heures pour Sophie, alors qu’il n’est question que de quelques minutes, un des mecs du groupe fouille le téléphone de la contrôleuse et prend les numéros de téléphone de tous les contacts. Puis Sophie est balancée au sol, cul et seins à l’air.

Alors qu’elle sanglote, une claque s’abat sur le sein droit. La douleur la fait crier.

« Les mecs j’ai une idée ! »

« Vas-y on t’écoute! »

«Et si nous la faisions chanter un peu ? Histoire que l’on s’amuse un peu avec cette pétasse ? »

« Oui mais comment ? Elle va sûrement aller voir les flics.»

« Non je ne pense pas, j’ai récupéré tous les numéros de son téléphone, ainsi que des mails et des adresses. Elle va être très gentille avec nous si elle ne veut pas que les photos d’elle à poil dans le train avec des jeunes et la chatte trempée soient envoyés à tous ses contacts. »

« Putain mec tu es trop intelligent. Tu as entendu salope ? Maintenant tu vas être sage et très docile avec nous. »

Sophie, toujours au sol et tenant son sein droit encore endolori, ne peut répondre. Elle reste par terre, prostrée, au milieu du couloir du train, en train de se demander comment sortir de cette situation.

Les six jeunes se lèvent d’un seul coup et sortent à la station où le train vient de s’arrêter. Difficilement Sophie se relève, remonte son pantalon et descend son polo. Elle est encore sous le choc. Son pauvre soutien-gorge et son string sont sur le sol complètement foutus.

Mais ce qui la choque le plus, c’est une tâche de mouille sur le sol. Cette vision l’humilie et la rende horriblement honteuse. Pourquoi a-t-elle réagi ainsi ?

Sortant de sa torpeur, les joues toujours rouge de honte, elle remonte le train qui vient de repartir de la station jusqu’à la cabine du conducteur.

JP toujours dans la grande finesse, mais sans savoir ce qui vient d’arriver à la jeune femme, lui demande

« Alors ma belle, tu as fait de belles rencontres? Tu sais qu’il y a de la place sur mes genoux pour tes belles fesses.

Sophie ne pense même pas à l’engueuler. Elle ne dit pas un mot de tout le trajet en pensant à l’enfer dans lequel elle vient de tomber. Que va-t-il lui arriver ? Que vont faire les jeunes voyous ?

Merci à Trouchard pour la réécriture et la correction

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