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La panne pour l’auto stopeuse

La panne pour l’auto stopeuse



Ma petite femelle, ou ma petite chienne, c’est un des surnoms que me donne parfois mon homme.

J’aime quand il m’appelle ainsi. J’aime le sexe sous toutes ces formes et je pense ne pas avoir de tabou. Je suis d’un tempérament curieux et toujours prête et ouverte à toute expériences. J’adore aussi raconter des aventures sexuelles. Parfois c’est totalement inventé et d’autres fois juste romancé.. Si mes récits vous plaisent et que vous me le faites savoir de manière un peu détaillée, il y aura de nombreux épisodes. Hommes, femmes, couples, tout dépend de vous. Moi, j’ai très envie de vous faire partager mes bonheurs.
Il y a trois ans maintenant, je passais la journée avec deux copines. Ma voiture tombée en panne, je décide de rentrer en auto-stop.

Il va bientôt faire nuit et ce serait cool qu’une voitures s’arrête. Une voiture s’arrête. J’aurais préféré une Porshe, mais c’est une deeuche pourrie. Je vais pas faire la difficile.

Le chauffeur est plutôt du genre costaud, rugbyman. C’est pas pour me déplaire. Au bout d’un quart d’heure, sa voiture tombe en panne. Je me dis :
« C’est pas possible ! Y va pas m’faire l’coup d’la panne ? »
Non, c’est vraiment une panne. C’est pas mon jour de chance. Il me dit :
« Restez dans la voiture. Je vais couper par la plage pour aller chercher de l’aide au village. »
Je n’ai pas envie de rester seule, d’autant que la nuit tombe alors je lui propose :
« Je peux venir avec vous ? »
« Si vous voulez ! » Me répond-il.
Cette promenade à la tombée de la nuit avec ce grand gaillard n’est pas pour me déplaire. Lors du trajet, dans la pénombre naissante, je trébuche et je m’étale dans une plaque d’eau de mer. Lorsque je me relève, je suis toute trempée et ma tenue légère est devenue transparente.

Il reste un instant à me regarder admirant la transparence de ma robe d’été qui ne cache pas grand chose de mon anatomie. Je lui dis d’un ton équivoque :
« Vous n’avez pas honte de me mater comme ça? »
Presque gêné, il me répond :
« Désolé mais c’est difficile de faire autrement. »
Je rougie légèrement et continuons notre périple en longeant la plage. Je suis certaine que je l’excite. Mes sandales dans une main, et ma robe mouillée collée sur mes fesses doivent être très appétissantes.

Au bout de la plage, un petit sentier escarpé mène au village. Courtois, l’homme me dit :
« Passez devant comme ça, si vous glissez, je pourrais vous retenir. »
Je commence l’ascension, mais je sens son regard sur mes fesses.

Une certaine tension sexuelle m’envahit. J’escalade une énorme marche se qui laisse entrevoir à cette inconnu une partie de mes fesses.

Je m’arrête pour souffler un peu. Il se tient au dessous de moi et doit avoir une vu imprenable sur mon intimité. Pour casser mon trouble, je lui lance :
«  Pff ! Ça grimpe dur ! On peut faire une pause ? »
« Avec plaisir ! Au faite moi c’est Jean et vous ? »
« Michèle ! La vue est vraiment extraordinaire ! Ne trouvez-vous pas ?» lui répondis-je en me tournant vers la mer où un merveilleux coucher de soleil teinte de rose la surface des flots.
« Heu… Oui oui à tout point de vue d’ailleurs ! »

Je me rends compte qu’en me répondant, c’est pas le coucher de soleil qu’il admire. Sur un ton faussement agacé, je lui dit :
« Je parlais du coucher de soleil ! Et de la plage ! »
Mais, espiègle, je continue de regarder le coucher de soleil en le laissant me mater. J’écarte même légèrement mes jambes. Il doit penser que je suis une petite allumeuse.

« On continue ? » Lui dis-je.
Sans attendre sa réponse, je reprends l’ascension, jouant avec ses nerfs. Quelques minutes après, nouvel arrêt. Je souffle en prenant appui sur mes cuisses présentant une vue qui doit être imprenable sur mes seins.

« Vous le faite exprès pour m’allumer ? » Me demande-t-il.
« Heu non pourquoi ? »
« Vous êtes dans un endroit désert avec un inconnu et vous êtes quasiment nue ! »
Je fais la mijaurée et là je vois cet home qui descend sa braguette. Je ne dis rien et reste figée à le regarder sortir une bite déjà bien rigide. Je reste admirative et n’ai qu’une envie c’est la prendre dans ma bouche. Rien que savoir qu’il bande pour moi, me fait mouiller. Jean me dit alors :
« Qu’attendez vous pour goûter à mon sucre d’orge ? »
Il ne faut pas me le dire deux fois et je me rue presque sur son mebre si gentillement offert.

Le ton change et il se met à me complimenter de façon plutôt grivoise et j’aime ça.
« Oui, oui, salope, tu suces bien ! C’est vrai que t’es bonne ! Bouffe-moi bien la queue petite chienne ! »

Je me sens belle et forte. Sa bite est superbe. Je le suce avec toute mon expérience et j’ai une envie folle de le sentir éjaculer dans ma bouche. Je tente une gorge profonde et mon nez s’enfonce dans sa toison pubienne.

Je sens enfin sous ma langue les soubresaut prémisse de son éjaculation. Dans un râle de bête blessée, son sperme inonde ma bouche. Je l’avale puis en lui souriant, je me relève.

Je lui tourne le dos et me cambre lui faisant ainsi comprendre que maintenant c’est à son tour de me faire jouir avec sa langue. Je n’ai pas besoin de lui parler et il commence à me brouter le minou. Ses lèvres sont douces, sa bouche est chaude sur mon sexe salé et accueillant.

Il aspire ma chatte dans sa bouche, glisse sa langue en moi, remonte ma fente, excite mon bouton d’amour. Il écarte mes fesses pour me faire une feuille de rose. Il est trop bon. Je me retiens de jouir tout de suite. Je voudrais que ça dure toute la nuit.
D’un ton dominateur, au moment où je vais jouir, il m’ordonne :
« A quatre pattes salope! Cambre ton cul de pute !»
J’aime ce genre d’ordres brefs de mâles qui savent ce qu’ils veulent. Obéissante, je lui offre mon intimité juteuse.

Il introduit deux doigts profond dans mon abricot en me branlant de plus en plus rapidement et de plus en plus fort. Je commence à gémir de plaisir. Tout à coup, il change d’orifice. Sans me laisser le temps de réagir, il enfonce deux doigts, lubrifiés par ma cyprine, dans mon petit trou. Ce manège le fait rebander et il remplace ses doigts par sa grosse queue. Il me sodomise puissamment.

Je me met à accompagner ses vas et viens. Je hurle un orgasme profond qui me submerge. Cet orgasme m’anéantit et je lui demande d’arrêter de me limer le cul. Mais il n’en a pas l’intention. Sa queue plantée entre mes fesses en feu, il me bourre en me pétrissant les seins. Ses coups de reins se font toujours plus violents, toujours plus profonds. Puis, il s’enfonce au plus profond de mon fondement pour exploser en moi.

Après avoir recouvré nos esprits, nous reprenons sans mot dire notre quête vers le village. Une petite heure plus tard, nous trouvons un dépanneur. Avant de se quitter, nous échangeons nos téléphones en lui soufflant :
« Merci pour tout !; A bientôt j’espère. »

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