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La roue de secours 2

La roue de secours 2



Une erreur de programmation de mon G.P.S. doublé d’une crevaison mon précipité dans les bras de la bande à Abdou un grand noir bien monté et chef de sa bande de potes, je suis couverte de sperme, mais j’aime.

• Tony dégage le bureau, je vais la prendre, je sens qu’elle attend ça avec envie cette salope, qu’elle est ton nom !
• Tu viens de le dire, je garde mon nom pour moi, appelle-moi « Salope » ça me va bien.
• Tu aimes ce que l’on te fait.

J’entends un grand bruit, Tony a dû balancer tout ce qu’il y avait sur le bureau, je profite d’avoir une main libre pour passer mes doigts sur mes yeux et récupérer une partie de ma vision.
Par la faute de Georges, mon mari, Abdou fait de moi une traînée et je dois reconnaître que j’apprécie, quand ma voiture a crevé tous à l’heure, j’étais loin d’imaginer que je me trouverais saisi comme un vulgaire sac de chiffons et placé sur la largeur d’un meuble en fer.
Quand mon corps le touche, je frissonne, je vois pour la première fois le visage du quatrième homme, ou Yvon est revenu ou il a un jumeau, même dégaine, même crasse sur lui, dire que j’ai pompé un être aussi abject en y prenant du plaisir.

• Albert laisse la chatte de notre amie Salope, elle m’est réservée, pour vous sa bouche et ses mains sont à votre disposition, vous pourrez dire que votre chef est sympa, j’aurais pu tout garder pour moi, ouvre ta bouche.

Je suis placé sur ce qui est une table aussi crade que son ou ses propriétaires, ma tête dépasse et j’ai légèrement mal à la cassure de mon cou sur l’arête en métal, je vois Albert s’approcher et plonger son sexe dans la bouche, je le sens passer ma glotte, pour la première fois, je sens qu’il glisse dans ma trachée, je sens ses couilles venir taper mon nez.
J’ai envie de crier, mais j’en suis bien incapable tellement le sexe est proche de mes cordes vocales.

• Tu vois, tu trouves ton plaisir Albert, elle semble apprécier les gorges profondes, je vois ton sexe qui entre jusqu’au fond de sa gorge.

J’apprends que je viens de faire une gorge profonde en même temps qu’une grosse langue râpeuse vient écarter mes grandes lèvres, Abdou a commencé à se servir de son droit de cuisage, il a bien raison, j’apprends que depuis que j’ai été défloré par mon mari, on peut jouir.

Certes, quand il me fait l’amour, je ressens un léger frisson, mais rien de comparable à la sensation de mon corps à la limite d’éclater et que dire du moment où son sexe entre en moi me coupant en deux tellement ma chatte s’écarte.

• Vas-y patron, elle en veut, Albert laisse-moi la place, je bande à mort regardé tous les trois.

C’est Tony qui écarte Albert avant qu’il ait rempli ma bouche de son sperme, il arrivait à l’apogée de son envie et ce sont à nouveau mes yeux qu’il me ferme.
C’est à ce moment que mes oreilles étant opérationnelles, que j’entends une voiture s’arrêter.

• Bande de salopards, vous m’envoyez réparer le pneu de madame et pendant ce temps vous la baiser, frérot, tu aurais pu m’en laisser un petit morceau.

En même temps, Tony décharge me remplissant une nouvelle fois la bouche de son sperme.

• Tiens, tu es là Adrien !
• Oui, Abdou, j’ai rencontré Yvon à la station, il m’a dit que vous aviez coincé une bourge et qu’il espérait qu’il irait se la faire, je vois que vous avez pris de l’avance, je peux en avoir un morceau.
• Bien sur, Adrien, Tony vient de s’épancher dans sa bouche, la place est libre.
• Comme d’habitude Abdou, tu te réserves le morceau de choix avec sa chatte, merde.

Aveugle, j’entends sans voir, une main nettoie mes yeux me permettant une nouvelle fois de retrouver ma vision, le garçon appelé Adrien, je le connais bien, c’est l’un des employés communaux travaillant dans notre mairie.
Le sexe qui me remplit me fait partir, je hurle de plaisir quand une boule éclate dans mon ventre.

• Abdou, c’est Bénédict, la femme de Georges, notre maire qui m’a viré, il y a un mois que tu laboures avec ta grosse queue, elle semble apprécier, tu te rends compte, dans notre commune avec sa copine Roselyne, elles sont considérées comme des pimbêches inaccessibles.
Si je m’attendais.
• Je te préviens Adrien, si tu fais des misères à cette femme, tu auras affaire à moi, tu risques de te retrouver dispersé aux quatre coins de la ville.
Me faire la femme du maire de … ce gros con.
Yvon, tu mets ta bite dans la bouche de la dame, je t’interdis de rouler une pelle à ma gonzesse.

Merci mon bel étalon noir, autant j’ai aimé quand on m’a fait une gorge profonde ayant aucune envie de vomir, mais la bouche fétide s’approchant de moi m’aurait fait dégueuler.
Merci aussi d’avoir caché le nom de la ville où mon mari est maire conservant mon anonymat pour les habitants de notre ville lisant les histoires sur le site H.D.S.
Deux fois encore, ma bouche est remplie, Adrien et Yvon prenant leur part de la salope qui a accepté de se faire sauter par ces cinq mecs, pendant tout ce temps semblant long, sauf pas pour moi tellement c’est bon et surtout quand Abdou m’envoie des giclées de sperme au fond de mon vagin qui apprécie et qui éclate une nouvelle fois.

• Les mecs, assez rigolés, regardés la dame, elle a son compte, remonter lui sa roue, Yvon conduit là jusqu’à ton auge pour qu’elle se nettoie, je tiens à garder son amitié, il serait con que son gros enculé de mari sache que sa femme est une belle cochonne.

En me disant ça, il me redresse et malgré le sperme de ses copains qui macule ma bouche et mon visage, il m’embrasse.

• Que fais-tu demain après-midi ?
• Je vais avec Marie-Chantal, pardon Roselyne, faire les boutiques que mon mari m’a empêché de faire aujourd’hui en m’envoyant à la préfecture.
• J’aimerais te revoir.
• Ce sera dur, que dira Roselyne, si elle vient tous rapporter.
• Quand on a commencé à te faire voir la bande de voyous que nous sommes, tu étais prête à crier au viol ?
• Un peu, j’avais peur de vous.
• Et maintenant ?
• Tu as raison, je viendrais, je vais penser à toi toute la nuit.
• Les gars, je vous ai trouvé une chatte pour demain après midi, vous vous comporterez en gentleman avec elle, si vous savez y faire, vous allez passer de bons moments.
• Merci patron.

C’est ainsi que je me fais une toilette sommaire, je m’habile, j’embrasse interminablement mon homme, en rentrant je conduisis une main sur le volant, l’autre sur ma chatte qui ruisselle d’avoir été remplie comme jamais.
Je dépose les papiers dans la boîte de la préfecture, car les employés sont rentrés chez eux.
Quand j’arrive chez moi, j’enguirlande Georges pour la voiture sans roue de secours, je me permets même de lui dire que c’est Adrien, son ancien employé communal que j’ai eu la chance de rencontrer par hasard qui m’a dépanné.
Je viens de finir ma douche quand George souhaite me sauter sur la table de la cuisine, que nous arrive-t-il, nous devenons fous.
Je suis rempli de la jouissance du sperme de mon amant, je suis sauvé par mon portable qui sonne, c’est Marie-Chantal qui me rappelle.

• As-tu eu mon message trop tard, aucun problème, que fais-tu demain ?

Elle accepte d’aller en ville, bien sûr, je me garde bien de lui dire la surprise qui l’attend, bien que je sois légèrement anxieuse.
Ce que Georges n’a pas eu dans la cuisine, il le prend dans notre lit, je dois me mordre la lèvre pour apparaître la femme habituelle, ma séance avec Abdou et ses copains ont dû ouvrir en moi des coins inconnus de mon cerveau.
Incroyable, j’ai honte en recevant le sexe de mon mari, ce qui est naturel, j’ai l’impression de tromper mon amant, mais Abdou a fait de moi une pute, je me laisse aller et je jouis autant que cette après-midi.

• Ma chérie, que t’est-il arrivé hier soir, je t’ai senti jouir plus que d’ordinaire ?
• C’est toi qui m’inspires, avec un peu de chance, tu vas faire de moi une mère.
• Tu as raison, il est temps que nous ayons cet enfant, je vois que tu as fait le deuil du malheur qui nous a frappés.
Je te laisse, j’ai rendez-vous à mon bureau, dans la matinée je vais voir si nous avons l’adresse pour retrouver cet Adrien qui t’a aidé, je l’avais pris pour un fainéant, je me suis peut-être trompé, Marc cherche un chauffeur si la place est libre, je vais lui demander de lui proposer.

Je le vois partir un brin ironique de ma part, même s’il ne m’a pas pris la chatte, les quantités de sperme que ma cavité buccale a reçu de sa part fait de lui l’un de mes amants.
Pour ma part, j’appelle Roselyne pour confirmation que cet après-midi ,elle est bien disponible pour me servir d’alibi et qu’elle aussi s’amuse beaucoup avec les autres gars.

• Bénédict, ta voix est bizarre, il t’est arrivé quelque chose hier après-midi.
• Ça ce peu, mais tu verras tout à l’heure, je ne t’en dis pas plus, je vais te faire une surprise.
• J’adore les surprises 14 heures !
• Non, 13 heures, nous devons aller jusqu’à la ville.
• Pour acheter des fringues, pourquoi pas ici ?
• Tu verras, c’est une surprise, je te dis.

Pour une surprise, ça va être une surprise, du moins je l’espère…

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