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La visite médicale

La visite médicale



La salle d’attente du cabinet médical était comble. Lilly avait trouvé un siège minuscule, coincé entre deux autres patients, une dame à l’aspect revêche et un jeune garçon dont les yeux brillaient de fièvre. Le mois de novembre approchait et les premiers froids avaient commencé à produire leurs effets sur les organismes les plus fragiles.
Fort heureusement pour elle, Lilly se portait comme un charme. Elle n’était en consultation que pour une banale visite de contrôle mais jetait néanmoins des regards inquiets vers les autres patients qui toussaient, espérant que les bactéries expulsées auraient le bon goût de ne pas migrer jusqu’à elle.
Elle aurait volontiers cédé sa place pour attendre dans le couloir mais une terrible envie d’uriner la clouait à sa chaise de plastique. Depuis 20mn, elle serrait les cuisses dans l’espoir que son tour arrive et qu’elle puisse soulager sa vessie dans les toilettes du bureau médical.
Pour couronner le tout, les radiateurs de la petite pièce où s’entassait une dizaine de personne tournaient à plein régime. Sous sa jupe, Lilly sentait ses cuisses devenir moites et un filet de sueur commençait à perler entre les globes laiteux de son opulente poitrine.
Et cet homme qui ne la quittait pas des yeux…
Assis face à elle, il semblait la détailler de la tête aux pieds. De ses cheveux bruns et bouclés qui cascadaient sur sa nuque, il descendait pour vriller un regard d’azur dans ses yeux avant de poursuivre son exploration vers la bouche entrouverte puis la poitrine. Il s’attardait longuement sur la masse des seins que peinait à contenir un chemisier écru dont l’échancrure laissait entrevoir un soutien-gorge de dentelle blanche. Son regard glissait vers le ventre de Lilly qu’elle sentit s’animer de papillons.
L’homme n’était pas spécialement beau. La cinquantaine légèrement bedonnante, les tempes grisonnantes, il avait l’allure d’un cadre moyen dont la banalité du quotidien commençait à lui voûter les épaules. Mais il avait dans le regard une ombre mystérieuse qui le rendait terriblement excitant. Lilly sentait que cet homme avait l’habitude de se faire obéir, que ce soit par ses subalternes ou, commençait-elle à s’imaginer, par ses conquêtes.
N’eut été le terrible inconfort de son envie d’uriner, elle aurait volontiers entamé un jeu de séduction érotique en croisant et décroisant les jambes pour le laisser fantasmer sur les trésors qu’elle nichait entre ses cuisses.
Il ne semblait d’ailleurs n’attendre que cela car son regard s’était planté au niveau des genoux. En même temps, il avait glissé sa main sur le haut de sa cuisse dans l’indifférence des autres patients qui feuilletaient de vieux magazines. Dans un hoquet de surprise, Lilly aperçut la protubérance qui déformait le haut du pantalon. C’est qu’il semblait bien équipé le bougre !
L’homme plongea à nouveaux ses regards dans les yeux de Lilly. Il semblait muettement lui demander d’accéder à ses désirs. Pire, la jeune femme avait même l’impression qu’il le lui ordonnait. Elle fit semblant de se pencher vers la table basse pour y prendre une revue. Ce faisant, elle dévoila plus largement la vallée qui séparait ses seins tout en écartant les cuisses.
Lilly sentit les regards de l’homme plonger dans ces endroits moites de transpiration. Elle l’imaginait prendre ses seins à pleines mains pour les soupeser, écarter ses cuisses plus largement pour approcher sa bouche de son sexe. A cette seule évocation, elle sentit un liquide sourdre de sa chatte et tapisser le fond de sa culotte. « Je suis en train de me faire reluquer et de mouiller », songea-t-elle en fermant brièvement les yeux.
Quand elle les rouvrit, elle s’aperçut que l’homme en face d’elle continuait de scruter l’intérieur de ses cuisses qu’elle avait gardées écartées. L’excitation commençait à gonfler les lèvres de son sexe à présent détrempé. Elle sentait son clitoris se dresser et frotter contre le tissu de sa culotte. Cette délicieuse irritation parcourait ses cuisses et son ventre de frissons.
Lilly écarta plus largement les cuisses pour que l’homme en face d’elle puisse voir sa culotte maculée d’une auréole humide. Elle le vit appuyer plus fermement la main sur la bosse de son sexe à travers le pantalon et en parcourir la longueur d’un index négligent.
Des idées salaces lui faisaient tourner la tête. Elle s’imaginait appuyée des deux mains contre le mur de la salle d’attente, jupe retroussée sur les hanches et culotte aux chevilles. Derrière elle, l’homme écartait les lobes de ses fesses, dévoilant la rosette plissée de l’anus, se mettant à genoux pour humer les relents iodés de sa chatte. Elle l’imaginait tendre la langue vers les replis baveux et la vriller sans plus de préliminaires dans son vagin. Elle s’imaginait tendre la croupe, saisir ses fesses à deux mains et les pousser vers le visage inconnu pour s’y enfouisse plus profondément. Elle le sentait déjà se relever, défaire sa ceinture et baisser son pantalon pour prendre sa queue. Elle s’entendait le supplier de la lui mettre, de la prendre ici et de la faire jouir…
« Mademoiselle K… ? »
Lilly rouvrit les yeux et vit la femme médecin la regarder. Ecarlate, elle se leva pour la suivre vers le cabinet médical tout en se retournant pour jeter un dernier regard à l’homme qui détaillait sa croupe.
Parvenue dans le bureau médical, elle referma la porte et s’appuya brièvement contre le chambranle.
« Ça ne va pas mademoiselle ? » demanda le médecin
« Ce n’est rien. Une fièvre passagère sans doute », répondit Lilly
« Nous allons voir cela. Déshabillez-vous et installez-vous sur la table d’examen. »
Lilly fit rouler sa jupe sur ses jambes, déboutonna son chemisier et dégrafât son soutien-gorge pour les poser sur le dossier d’une chaise. Seulement vêtue de sa culotte, elle demanda la permission d’utiliser le cabinet de toilettes attenant à la salle d’examen.
« Dans une minute, je dois vous ausculter d’abord », lui répondit la femme qui détaillait le dossier médical de sa patiente sur l’écran de son ordinateur. Lilly la détailla. Ce n’tait pas son médecin habituel mais une jeune remplaçante, sans doute tout juste sortie de fac de médecine. Ses cheveux coupés en carré court encadraient un visage d’un ovale parfait. Le nez à peine retroussé était surmonté de lunette d’écaille qui soulignaient de grands yeux verts.
Sa silhouette était particulièrement ronde et elle tentait de camoufler ses larges courbes sous une ample robe multicolore qui lui donnait un look « summer of love ». Elle amplifiait encore cette impression en caressant de la main un grand collier de perles de verre coloré qui reposait entre ses seins.
Lilly s’étendit sur la table d’examen en espérant obtenir rapidement la permission d’aller se soulager. La femme médecin s’approcha d’elle, prit un stéthoscope et le posa sur le thorax. Elle écouta en plusieurs endroits puis demanda à Lilly de se redresser. Le stéthoscope se posa sur son dos : « Inspirez et expirez par la bouche ! » Les instructions étaient sèches, professionnelles. « Restez assise, je vais vous faire une palpation mammaire. »
La jeune femme prit les seins de Lilly, les soupesa et apprécia les contours et la fermeté. Ses doigts passèrent longuement sur la peau granuleuse des aréoles avant de saisir les tétons entre le pouce et l’index. Elle les pinça légèrement et Lilly sentit sa bouche devenir sèche et son regard se voiler.
L’auscultation prenait une tournure pour le moins inattendue, pensa-t-elle en sentant des élans de désir lui parcourir à nouveau les reins. Elle était hyper sensible des seins et ce simple attouchement suffisait à raviver son excitation. La femme médecin sembla percevoir l’émoi qui gagnait Lilly. Ses mains se firent à la fois plus douces et plus fermes. Ses ongles gratouillaient la pointe durcie des tétons et Lilly ne pu s’empêcher de gémir doucement en rougissant jusqu’à la racine des cheveux.
La doctoresse fit à nouveau s’étendre Lilly puis lui glissa les pieds dans des étriers qui se déployaient de part et d’autre de la table d’examen. Dans cette position, elle avait l’impression d’être une grenouille sur le dos. Mais ce qui la gênait le plus, c’était sa vessie gonflée comme une outre et qui menaçait de déverser son trop plein à même le sol du bureau médical.
Elle supplia le médecin de la laisser aller aux toilettes mais celle-ci se montra intransigeante. « Détendez-vous, ce sera fini dans une minute et vous pourrez aller vous soulager ! » Ce faisant, elle posa sa main sur le bas-ventre, à la lisière de la culotte. Ses yeux étaient rivés sur l’entrecuisse de Lilly. Le tissu qui recouvrait son sexe était auréolé d’une large tâche d’humidité et la jeune femme fut mortifiée à l’idée que la doctoresse puisse ainsi contempler son trouble.
« Vous avez très envie n’est-ce pas ? » Demanda-t-elle ?
Sans trop savoir si c’était de jouir ou d’uriner, Lilly répondit d’un « oui » timide. La main appuya plus fermement sur son bas-ventre et elle sentit des doigts s’immiscer sous l’élastique de la culotte. Le fin tissu de dentelle roula sur ses hanches, dévoilant un pubis recouvert d’un fin duvet. Chevilles emprisonnées entre les étriers et cuisses largement ouvertes, Lilly se sentait nue et vulnérable mais aussi terriblement excitée.
Ses bras reposaient le long de la table d’examen et elle sentait le ventre rebondi de la doctoresse appuyer contre sa main. Une douce chaleur irradiait ses doigts et presqu’involontairement elle les remua pour sentir la peau du médecin à travers le fin tissu de la robe. La pression se fit plus forte contre sa main tandis
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Les yeux entrouverts, elle vit le visage de la doctoresse s’approcher du sien et sa bouche se coller à la sienne. Elle accepta ce baiser et lui fit l’offrande de sa langue en gémissant sous les doigts qui lui fouillaient le sexe. « Mets ta main toi aussi, touche-moi ! » Entendit-elle.
En même temps, la doctoresse releva son ample jupe et posa un pied sur le rebord de la table d’examen. Les doigts de Lilly sentirent la peau fine des cuisses, qu’elle parcourut timidement, remontant doucement jusqu’à leur naissance. Elle se revit adolescente, avec sa meilleure amie dans les toilettes du lycée, quand elles se masturbaient mutuellement, masquant l’odeur âcre d’urine sous le parfum de leurs sécrétions.
Lilly tendit le ventre vers les doigts qui la fouillaient et qui avaient fini par s’insinuer dans son vagin. Elle le sentit s’animer d’une vie propre et convulser comme un boa avalant sa proie. Son envie de pisser était devenue presqu’insoutenable mais la vague de jouissance qui menaçait de la submerger lui faisait perdre toute raison. Elle poussa un cri rauque lorsqu’un doigt vint se poser sur la pastille de son anus pour le forcer doucement.
Incapable de réfréner son désir, elle parcouru les derniers centimètres qui la séparaient de la chatte du médecin et, avec effarement, sentit immédiatement les lèvres humides et poisseuse sous ses doigts. La doctoresse ne portait pas de culotte…
Lilly écrasa son pouce sur le clitoris gonflé tandis que le bas-ventre du médecin ondulait. Quelque chose de mouillé coula dans sa main et elle réprima l’envie d’y goûter. « Continue, tu vas me faire jouir », gémit la femme qui accéléra le mouvement de ses doigts dans la chatte de Lilly. Le cabinet médical bruissait de clapotis et de gémissements de plus en plus aigus. Un lourd parfum de sexe remplissait l’atmosphère. Les deux femmes s’embrassaient furieusement, animées du seul désir de faire jouir l’autre.
Ce fut Lilly qui s’arc-bouta la première dans un orgasme ravageur. Les pieds bloqués dans les étriers et reposant seulement de la tête sur le matelas de mousse, elle poussa un long cri rauque tandis qu’un flot d’urine et de mouille éclaboussait la main de la doctoresse et se répandait au sol.
Cette dernière emprisonnât violemment la main de Lilly entre ses cuisses et s’agita de soubresauts incontrôlés en criant « Oh la petite vicieuse ! » Tout en jouissant, elle fit coulisser rapidement son doigt dans le cul de Lilly pour prolonger son orgasme dans une délicieuse agonie.
Le souffle court, les deux femmes se regardèrent un peu penaudes mais le professionnalisme de la femme médecin reprit rapidement le dessus. Rajustant ses lunettes sur son nez, elle dit : « Je vois que vos fonctions naturelles sont en parfaite santé si ce n’est un léger problème d’incontinence. Je vais vous prescrire un nouveau rendez-vous la semaine prochaine et nous regarderons cela plus en détail… »
En aidant Lilly à se remettre sur pieds, elle lui enleva sa culotte et la porta à son nez pour en humer les lourds effluves. « Je vais la garder si vous n’y voyez pas d’inconvénient… »
Non seulement Lilly n’y voyait pas d’inconvénient mais elle se surprit à humer ses propres doigts encore poisseux. En vrillant ses regards dans ceux de la doctoresse, elle suça son index en répondant : « j’aurai des horaires de travail assez tardifs la semaine prochaine. Faites-moi passer en dernier, nous aurons le temps d’approfondir cet examen… »

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