Je me souviens de tout, je me souviens de nous.
Je me souviens de cette merveilleuse soirée imprévue.
Les 2 prochaines semaines vont être coriaces car nous allons passer nos examens et nous n’aurons pas beaucoup de temps pour nous. Entre les révisions, le stress et la fatigue, notre libido risque d’en prendre un coup.
Mais ce dimanche matin là, nous n’y pensons pas encore. Nous avons fait la grasse matinée et ce sommeil réparateur va nous booster pour la journée. Nous faisons quelques câlins sous la couette et très vite ça dé****. On se positionne en 69 et on se fait du bien mutuellement. Nos langues badigeonnent nos sexes de salive. Tu bouillonnes lorsque mon index se fourre dans ton troufion.
– Embroches-moi, j’ai envie de sentir ta bite.
Sans me faire prier, je te prends en levrette en massant ta rondelle du pouce, que j’insère par moment. Un orgasme foudroyant te déchire et mon membre turgescent fait pleuvoir les milliers de spermatozoïdes sur tes fesses et ta raie.
Il fait très bon en ce jour de fin mai et après une douche bien méritée, nous décidons de rester nus . Nous prenons un savoureux petit déjeuner, jus d’orange, bol de lait et céréales chocolatées et un thé à la menthe. Le plein de vitamines est fait.
La fenêtre de la cuisine entrouverte laisse filtrer un courant d’air. Un frisson te parcourt, te donnant la chair de poule et faisant pointer tes tétons affriolants. Ton regard aguicheur me laisse deviner que tu as envie d’un autre câlin. J’en ai très envie aussi. Je te serre contre moi, on s’embrasse, nos langues s’enroulent, je gobe tes mamelons, suce tes tétines, mon gros machin se déploie, telle une antenne télescopique et rebelote, nous voilà en train de forniquer sur l’évier dans lequel se sont entassés verres et bols.
Dans l’après-midi, une sieste crapuleuse, qui a pris ici tout son sens. Préliminaires et sodomie riment avec extraordinaire et harmonie. Le temps défile à une vitesse, il est déjà 18h et je te propose une petite sortie resto et ciné. On se prépare tranquillement, tu t’habilles sexy comme souvent. Ensemble string et soutif rose et robe noire courte qui épouse parfaitement tes formes. A tes pieds de belles chaussures noires à talons.
Je t’emmène dans une petite pizzeria. Ensemble, assis face à face au milieu de la salle, nous commandons un apéritif. Kir pétillant pour toi et whisky-coca pour moi. Nous dégustons ensuite une pizza. Tu as choisi une campagnarde et je prend une calzone. Le tout est accompagné d’une bonne bouteille de rosé.
Soudain quatre hommes font leur entrée et te matent vulgairement en passant devant notre table. Je devine facilement ce qu’ils peuvent se dire. Tu es pompette et ça te désinhibe de savoir que tu es désirée. Tu as retiré une chaussure et tu me fais du pied. J’ai à nouveau envie de toi et pour te provoquer:
– Chiche de retirer tes sous-vêtements?
Avant le dessert, tu te lèves pour aller aux toilettes. Lorsque tu reviens, toute l’assistance peut voir que tu pointes sous ta robe, mais tu ne prêtes aucune attention aux regards. Il n’y a qu’à moi que tu veux plaire. Tu me souris, fière d’avoir relever mon défi, tu passes derrière moi, glisses ton string et ton soutif dans chaque poche de mon blouson et tu m’embrasses sur la joue en me chuchotant:
– Je suis toute mouillée…
Tu sais comment me rendre fou et durant la fin du repas, notre jeu se séduction se poursuit.
L’addition réglée, petite marche digestive jusqu’au cinéma pour aller voir « mission impossible 3 ». A notre entrée dans la salle, nous remarquons qu’il y a peu de monde. L’idée d’un certain fantasme me guide à trouver deux places bien isolées. Les lumières s’éteignent et le traditionnel générique nous pète les tympans. Main dans la main, doigts croisés, ta tête posée sur mon épaule, on s’embrasse par moments comme deux ados à leur premier rendez-vous. Ta robe légèrement remontée, je regarde tes cuisses et je frissonne, sachant que tu n’as rien dessous.
Dans un baiser langoureux, ma main se faufile sous ton jupon et je caresse ta chatte du bout des doigts.
– Que fais-tu mon cœur?
– Je vérifie si tu mouilles toujours.
– Arrêtes, pas ici quand-même.
– Je suis super excité, je bande comme un dingue, tu ne voudrais pas me faire une petite gâterie?
Tu caresses la bosse de mon pantalon:
– Hum, c’est vrai que tu es en grande forme, je vais arranger ça.
Tu regardes autour de nous, pour vérifier si on nous observe, la voie est libre. Tu descends ma braguette et tu sors ma matraque, raide comme un piquet. Tu me branlotes docilement, en remontant ta jupe au dessus de ton fessier. Tu écartes ta fourche pour me laisser admirer ta minette humide qui scintille au rythme des images sur l’immense toile. J’humecte mes doigts de salive et je cajole ton fri-fri, de-même que ton petit bourgeon. Ta main rejoint la mienne et tu m’aide à te doigter. Tu lèves ta jambes pour poser ton talon nu sur le bord du fauteuil. Cela me facilite l’accès à ton puits juteux car tu es plus ouverte et mon majeur s’enfonce plus profondément en toi. Tu as des spasmes et tu halètes de plus en plus. Je sens tes lèvres se poser sur mon gland qui transpire, puis tu engloutis mon sexe complètement dans ta bouche. Je pose ma main sur ta tête, tu me fais beaucoup de bien. La situation nous surexcite car nous savons que l’on peut se faire surprendre à n’importe quel moment.
Les bruits de succion sont de moins en moins discrets, mais tant pis, on ne se soucie plus de l’environnement qui nous entoure. Tu es si absorbée par le plaisir que tu te pénètres l’anus avec ton majeur tout en me suçant de plus en plus vite. La délivrance est là et je jouis en silence dans ta bouche. Je suis au nirvana en sentant que tu avales mon jus salé en aspirant mon gland encore contracté.
Tu as replacé ta robe correctement, j’ai rangé mon attirail et on a regardé la fin du film. Notre complicité coquine s’est encore accentuée.
À la sortie de la séance, nous restons un moment sur le parking du cinéma pour fumer une cigarette avant de rentrer, quand soudain un couple nous interpelle:
– Alors les petits coquins, le film était bien?
Je n’ose répondre un peu mal à l’aise, mais toi tu ne te démontes pas:
– Oui, c’était très sympa, avec un large sourire.
Tu m’avoues que depuis le début tu savais qu’ils nous observaient. J’ai compris ce soir là que l’exhibition ne te dérangeait pas.
A suivre…
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