Contexte :
Le père d’Émilie et d’Éric, jeune veuf, s’est mis en ménage avec Sophie. Cette situation a été très mal acceptée par les deux adolescents. Un jour, Eric a eu l’idée de faire chanter Sophie qui est devenue son esclave, Émilie s’est mêlée au jeu et du coup, la vie familiale est devenue plus calme au plus grand bonheur de leur père qui, bien sûr, ignore tout des jeux malsains mêlant domination et i****te.
Mon père est super fana de football,
Ma sœur a eu l’idée de lui offrir un casque pour qu’il puisse écouter ses matchs sans être dérangé, ça nous donne des libertés avec Sophie, on peut s’amuser avec elle pendant qu’il regarde ses matchs.
Quand papa allume la télé pour regarder le match, nous lui signifions que nous allons aider Sophie pour qu’il le regarde tranquillement.
Celle-ci qui a pris sa douche après sa séance de gymnastique, est déjà en chemise de nuit tout à fait quelconque, ni trop courte, ni transparente, papa est là. Pendant que Sophie, penchée, range la vaisselle dans le lave-vaisselle, j’en profite pour glisser mes mains sous la chemise de nuit et tire sur sa culotte, elle n’a pas le temps de réagir que celle-ci est déjà sur ses genoux. Elle essaie bien de la remonter mais je lui tape doucement sur les mains signifiant mon désaccord. Elle n’a pas d’autre choix que de la laisser tomber à ses pieds où je la ramasse. Émilie revenant de la salle à manger avec quelques couverts, je lui montre mon trophée. Elle sourit.
Émilie: Vas y, tripote là un peu, je vais chercher le reste et toi Sophie fait un peu de bruit pour montrer que tu ranges les couverts
donc comme l’a dit Émilie, je continue à tripoter Sophie, glissant mes mains le long de ses cuisses, palpant ses fesses, glissant un doigt le long de sa chatte, tout ceci pendant qu’elle est toujours penchée au dessus du lave vaisselle, elle écarte d’ailleurs de plus en plus ses cuisses me laissant un accès à son intimité. J’en profite d’ailleurs pour m’agenouiller derrière elle et lui lécher la chatte. Elle adore ça mais je ne le fais pas trop souvent, c’est elle mon esclave. Quand Émilie rentre dans la cuisine, elle voit le spectacle, Sophie penchée sur le lave vaisselle, jambes tendues et bien écartées en train de gémir de plaisir et moi, agenouillé derrière en train de la lécher.
Émilie : Eh bien, on ne se gêne pas, regarde moi cette salope, ça te plaît de te faire lécher la chatte ?
Sophie : Oh oui Mademoiselle, c’est trop bon,
Émilie : tu préfères un homme ou une femme ?
Sophie : Les deux, c’est bon
elle se rapproche du groupe que nous formons, redresse Sophie, je me relève aussi, Émilie se colle contre elle, prend ses fesses à deux mains et joue avec, moi, je me colle dans le dos de Sophie, glisse une main entre les deux et vais chercher la chatte de Sophie, comme elles sont à peu près de la même taille et très serrées l’une contre l’autre, le pubis d’Émilie est pratiquement collé contre le dos de ma main. Émilie écarte les fesses de Sophie pour que je puisse me frotter entre, puis frotte son clito sur mon poignet pendant que je branle Sophie, elle commence à me branler de sa main droite et de la gauche va chercher l’anus de Sophie pour y introduire son majeur, Sophie gémit de plus en plus.
Émilie : ça te plaît salope, te faire branler la chatte et enculer en même temps, je suis sure que tu aimerais avoir des bites dans tous tes trous en même temps
Sophie : oh non, mademoiselle, ça doit faire mal
Émilie : les salopes dans ton genre doivent aimer ça, il faudra qu’on essaye un jour
Sophie : oh mademoiselle,
mais tout en niant, on sent que Sophie prend de plus en plus de plaisir à subir nos assauts, Émilie sentant que ma bite est bien dure, la positionne à l’entrée de l’anus de Sophie tout en écartant l’autre fesse, Sophie n’a pas le temps de réagir avant qu’elle ne donne un petit coup de reins sur ma main, du coup Sophie a un léger mouvement de recul et vient s’empaler sur ma bite, l’enfonçant de moitié dans son cul,
Émilie : maintenant que c’est rentré, plus qu’à continuer, ma belle enculée
je m’enfonce lentement et effectue des va-vient lents puis de plus en plus rapides tout en continuant à branler le clitoris de Sophie et je sens bien le pubis d’Émilie qui se frotte de plus en plus fort contre mon poignet, après ce traitement, Sophie est prête à jouir, elle est secouée de spasmes et quand son cul se contracte sur ma bite, je lui envoie la purée,
Émilie : elle a bien jouit notre salope maison, hein salope que tu as pris ton pied ?
Sophie : Oui, Mademoiselle, j’ai bien joui
Émilie : maintenant tu vas aller vider ton cul, puis nous rejoindre dans la salle de bains nettoyer la bite de grand frère, tu ne crois pas que c’est moi qui vais le faire ?
Sophie : Oh non mademoiselle, je vais nettoyer la bite de Monsieur, bien sûr
Émilie : bon va vider ton cul et n’en mets pas partout
je me retire, Sophie glisse une main entre ses cuisses pour retenir le sperme qui coule de son cul, pendant ce temps :
Émilie : Moi, je n’ai rien eu, grand frère, j’ai la chatte en feu, quand la salope t’aura nettoyé et redonné un peu de vigueur on ira dans ta chambre
nous nous rendons dans la salle de bains, Sophie nous rejoint rapidement,
Émilie : allez salope, nettoie la bite et bien parce qu’après il faudra que tu la suces,
Sophie fait la moue,
Émilie : oui, parce que toi tu as joui et pas moi, alors tu vas faire rebander grand frère pour qu’il puisse me donner du plaisir à moi aussi, compris ?
Sophie : Oui, Mademoiselle, je comprend
Émilie : et tu as intérêt parce qu’autrement la prochaine fois, c’est moi qui passe avant et tu te démerderas avec tes envies
je rentre sous la douche, Sophie me suit, elle me mouille, puis savonne sur tout le corps, avec des gestes très doux, elle s’attarde sur mon sexe, le savonne bien partout, me rince de haut en bas, puis s’agenouille et me suce tout en me branlant,
Émilie :elle sait y faire notre salope, on dirait qu’elle a fait ça toute sa vie sucer des bites,
Sophie : oh non Mademoiselle c’est Monsieur qui m’a obligé à le sucer avant je ne le faisais jamais
Émilie : tais toi et suce salope,
Sophie continue son action et mon sexe reprend un peu de vigueur,
Émilie : bon, nous, on va aller baiser dans la chambre de grand frère, pendant ce temps, tu vas aller faire profiter papa de tes talents de pute à pipes, ne va pas trop vite, on a envie de voir tes exploits mais en attendant j’ai vraiment besoin d’une bite
Sophie : bien Mademoiselle,
nous montons rapidement dans la chambre, Émilie m’allonge sur le lit et vient s’empaler sur moi, elle était vraiment super excitée, il ne lui faut que quelques minutes avant de hurler de jouissance, heureusement que la télé est suffisamment forte pour qu’ils n’entendent rien depuis la salle à manger
Émilie : bon, grand frère on va voir comment notre salope se débrouille ?
Éric : Ok, mais doucement, faut pas que papa soupçonne notre présence,
bientôt la mi-temps, nous avançons à pas de loup vers la porte de la salle à manger, Sophie se lève et vient chercher une bière pour papa, elle nous voit, on lui fait un petit signe assez vulgaire, puis elle retourne à ses cotés, la mi-temps arrive, papa boit sa bière, elle s’appuie contre son l’épaule, nous voyons à son attitude qu’elle est en train de le branler, puis elle s’agenouille devant lui, on comprend assez vite en voyant papa s’agiter que ça lui plaît, quand papa jouit, elle recueille son jus dans un mouchoir, la sainte nitouche lui laisse encore croire qu’elle n’aime pas le goût du sperme, quand la mi-temps est finie, elle se retire pour lui laisser voir la fin du match, nous nous éclipsons, retour dans nos chambres respectives, demain sera un autre jour.
Ajouter un commentaire