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Cette aventure m’est arrivée il y a de ça plusieurs années, mais aujourd’hui, trente ans plus tard, j’en garde encore un souvenir ému. J’aimerais vous la narrer afin de la revivre encore une fois et, peut-être, y retrouver mes émois d’antan.
A cette époque, je venais de fêter mon vingt-deuxième anniversaire et, malgré quelques liaisons amoureuses vite terminées, je n’étais pas un foudre de guerre en ce qui concernait le sexe : en fait je n’en connaissais pas vraiment grand-chose, comme j’allais m’en rendre compte ce jour-là, et découvrir une nouvelle face de la sexualité féminine.
Depuis un an j’avais monté mon entreprise de dépannage rapide en plomberie : entreprise qui ne marchait pas trop mal. Ce jour-là donc, un coup de téléphone d’une femme à la voix angoissée m’appela d’urgence à son secours et me propulsa par les rues de la ville… Equipé de mon nécessaire pour la réparation d’une fuite d’eau, je me retrouvai très vite devant la porte d’entrée d’une superbe résidence bourgeoise située en plein centre ville. Sur une plaque de cuivre ouvragée plusieurs noms se suivaient. Je repérai assez vite celui de ma cliente : Madame Antoinette de Saint Simon.
Une noble, pensai-je, quelque peu intimidé, en me présentant à l’interphone. Comment cette descendance de la noblesse française allait-elle accueillir un simple plombier issu de la classe ouvrière ? Lorsqu’une voix chaude et agréable m’invita à monter au troisième étage je me sentis légèrement rassuré. Curieux de mettre un visage sur cette voix pleine de charme qui n’avait rien de hautain, comme je l’avais craint, j’empruntai l’ascenseur qui me monta rapidement à l’étage désiré. Là, à peine sorti de la cabine, avant même que j’essaye de me diriger vers l’une des trois portes palières, l’une d’elles s’entrebâilla, m’invitant à avancer dans sa direction. Je m’approchai, ma mallette de dépannage à la main, désireux de voir à quoi pouvait ressembler cette dame de haut lignage dont la voix m’avait si chaleureusement accueilli à l’interphone.
La porte s’ouvrit entièrement sur une silhouette vêtue d’un peignoir en soie de couleur parme, orné de diverses fleurs et retenu à la taille par une large ceinture, de soie également. La femme qui me souriait chaleureusement avait certainement dépassé la cinquantaine, elle devait même être plus près des soixante que des cinquante. Ses cheveux bruns noués en un chignon parfait qui s’ornaient de quelques fils gris et les minuscules rides qui sillonnaient son front, comme celles qui se formaient à la jointure de ses lèvres lorsqu’elle souriait, l’attestait sûrement. Mais son visage rond aux joues pleines et dodues lui donnait un air poupon qui la rajeunissait. Derrière des lunettes aux larges branches, ses yeux bleus lumineux brillaient d’un éclat malicieux, prouvant chez elle une joie de vivre et une certaine jeunesse d’esprit.
Grande et légèrement enveloppée, sans être vraiment grosse, la femme qui me faisait face avait gardé un charme certain. Les généreuses proéminences qui déformaient le vêtement à hauteur de la poitrine attirèrent irrésistiblement mon regard. Comme beaucoup d’homme j’avais toujours, et cela depuis ma puberté, été attiré par les femmes aux fortes poitrines. Et d’après ce que le peignoir me révélait, ma cliente devait être abondamment fournie de ce coté-là. Victime de mes vieux démons sexuels, je me pris à imaginer le volume et la forme de cette opulente poitrine, plus mis en valeur que cachés, par le peignoir saillant. Ne se doutant certainement pas de mon intérêt pour les abondants fruits de sa poitrine, la quinquagénaire pivota sur elle-même :
– Suivez-moi, s’il vous plait, me murmura-t-elle… Que je vous conduise jusqu’au lieu du sinistre.
Pendant que je suivais mon hôtesse, mes yeux furent automatiquement attirés par les fortes rotondités qui roulaient d’une manière toute sensuelle devant moi. Le spectacle des hanches rebondies qui ondulaient doucement, et de la croupe épanouie que le léger tissu du peignoir dessinait avec une extrême précision, me procura un instant de pur plaisir. Malgré son âge, la femme dégageait une réelle sensualité et au fond de moi je dus reconnaître qu’elle était encore fort désirable.
Les yeux fixés sur les masses charnues qui tanguaient agréablement devant moi et que la soie légère dessinait avec une précision érotique, un certain désir que je ne pus refréner envahit mon esprit. J’éprouvais soudainement le désir pervers de pouvoir contempler ce corps de quinquagénaire qui se dessinait si nettement sous le léger vêtement qui le recouvrait. A vingt deux ans, mes préférences en type féminin allaient plutôt aux jeunes femmes de mon âge, et même s’il m’était arrivé de fantasmer quelquefois sur des femmes un peu plus mûres, jamais encore je n’avais éprouvé une quelconque envie sexuelle pour une quinquagénaire qui aurait presque pu être ma mère…
Arrivés dans la salle de bain carrelée du sol au plafond, la femme, inconsciente du trouble pervers qu’elle avait créé dans mon esprit, me montra l’objet de ses soucis. L’eau gouttait de dessous le lavabo dans une bassine à moitié pleine.
– Dès que je m’en suis aperçue, j’ai fermé l’arrivée d’eau, me prévint-elle.
– Vous avez bien fait, la complimentai-je.
Déposant ma caisse à outils, je repoussai la bassine avant de m’étendre sur le dos à même le sol afin de découvrir l’origine de la fuite avant de la réparer.
– Cela ne vous ennuie pas si je reste à regarder ce que vous faites ?
Encore une cliente « emmerdante » pensai-je, qui ne va cesser de me questionner sur ce que je fais, et peut-être même critiquer tout ce que je vais faire… Ne pouvant refuser (le client à toujours raison !) je maugréai :
– Je vous en prie…
Comme si elle avait lu dans mes pensées, la quinquagénaire ajouta :
– N’ayez aucune crainte, je ne vais pas vous ennuyez dans votre travail… Mais c’est si agréable pour une femme seule d’avoir de la compagnie… Surtout celle d’un beau jeune homme…
Surpris par la dernière phrase, et surtout par le ton sur laquelle la femme l’avait prononcée, je jetai un coup d’œil interrogatif en direction de ma déconcertante cliente. Cette dernière s’était commodément assise sur le bidet qui faisait face au lavabo sous lequel j’étais couché, les jambes de chaque coté de la cuvette de faïence, inconsciente que du fait de sa position son peignoir s’était largement écarté de chaque coté de ses genoux ronds. Vu ma position allongée sur le dos j’eus alors une vision panoramique sur la naissance de deux cuisses blanches et charnues, sillonnées par quelques fines rayures bleutées, mais qui me parurent extrêmement affriolantes au regard de l’âge de leur propriétaire.
Etrangement troublé par ce tableau charnel, je m’empressai de me concentrer sur mon travail, alors que la femme continuait.
– C’est quand même agréable d’avoir un homme à la maison !… Etes-vous marié ?
– Non pas encore…
– Moi, je l’ai été trois fois… mon troisième mari était même descendant d’un Baron du second Empire… Et aujourd’hui je me retrouve seule… Vous ne pouvez-vous imaginer combien la solitude est dure à vivre… Les soirées surtout sont longues… et même les nuits…
Je demeurais ébahi. Que cachaient les assertions que me distillait la quinquagénaire ?
– Vous devriez trouver un… compagnon, tentai-je de répondre, essayant d’entrer dans le jeu de la femme, curieux de savoir jusqu’où celle-ci oserait aller dans ses confidences intimes.
– J’y ai pensé, mais à mon âge qui voulez-vous qui veuille de moi… Si je dois prendre pour compagnon un homme plus âgé que moi, il va falloir que je supporte ses grimaces toute la journée et j’ai bien peur qu’il ne sache, le soir venu, me contenter…
Madame la Baronne s’exprimait sans gêne ni pudeur et, à l’écouter me parler de ses aspirations sexuelles, tout en me concentrant sur mon boulot, j’éprouvais un amusement certain. Qu’une femme de cet âge puisse encore éprouver des désirs sexuels me surprenait grandement. Et m’imaginer cette quinquagénaire frustrée sexuellement, obligée peut-être de se caresser, de se branler, seule le soir dans son lit, telle une adolescente perturbée, fit naître en moi un surprenant désir.
– Je dois vous choquer, continua la femme… Quel âge avez-vous ?
– Vingt-deux ans madame.
– Ah ! Où sont mes vingt ans !… Je suis certaine que vous vous imaginez qu’à mon âge on n’a plus de désirs sexuels… Eh bien détrompez-vous… C’est ce que je pensais moi aussi dans ma jeunesse mais aujourd’hui, à cinquante cinq ans, je peux vous avouer que j’éprouve encore ces envies… surtout le soir… et c’est ce qui est le plus dur à supporter dans la solitude.
– Et comment calmez-vous alors ces… besoins ? questionnai-je, éprouvant un plaisir pervers à pousser la quinquagénaire à des confidences plus intimes.
– Eh bien, ce n’est pas à vous que j’apprendrais qu’il existe maintenant des… ustensiles plutôt bien réussis pour femmes seules… en plus de certains légumes… Mais, croyez-moi, rien ne remplacera jamais un véritable sexe masculin…
Le désir que j’avais commencé à ressentir quelques instants plus tôt s’accentuait insensiblement à mesure que se déroulait ce dialogue libertin…
Le joint défectueux enfin changé, je me redressai péniblement en prévenant :
– Voila, c’est réparé, vos ennuis sont terminés.
– Si vous pouviez dire vrai, me répondit la femme, pour qui la fuite d’eau n’était pas pour l’instant son souci majeur.
Comme je m’étais redressé, je me retrouvais assis à même le sol, face au bidet de faïence sur lequel était toujours assise ma déconcertante cliente. Là, la première chose que je remarquai fut la position de la quinquagénaire. Intentionnellement où pas, cette dernière avait élargi l’angle de ses jambes, et son peignoir s’étant un peu plus ouvert, je pouvais maintenant contempler les trois quarts de ses cuisses charnues. Seul l’intersection de ses jambes, où se nichait ce sexe qui me faisait soudain fantasmer, m’était encore cachée. Le spectacle de cette chair blanche, tentante, offerte sans vergogne à mon regard ne fit qu’accroître encore le désir qui m’habitait. Sans que je ne puisse l’en empêcher, je sentis mon sexe se dilater au bas de mon ventre, se redresser, doubler de volume.
Aussi incroyable que cela paraisse, je me mettais à bander aux évocations égrillardes d’une vieille femme que les sens travaillaient !
Nonobstant l’énorme différence d’âge qui me séparait de cette luxurieuse mamie qui s’offrait aussi impudiquement, la tentation de plonger mon visage dans son intimité secrète, de humer les émanations capiteuses qui devaient sourdre de son sexe, certainement privé d’hommages depuis longtemps, m’envahit. Madame la Baronne ne devait rien ignorer du spectacle lubrique qu’elle m’offrait et son immobilité trahissait son consentement à mes regards salaces.
Poussé par ce désir extravagant que la quinquagénaire avait allumé dans mes entrailles, j’osai alors poser mes deux mains sur les genoux ronds qui s’offraient si complaisamment à ma vue. Alors que je m’attendais à sentir sous mes paumes une chair sèche et molle, je fus étonnamment surpris en constatant combien la peau que je frôlais était douce au toucher et n’avait rien à envier en velouté aux jambes des femmes bien plus jeunes.
Etonné quand même par la passivité de ma victime et par son silence soudain, je remontai mon regard jusqu’à son visage. Ce que je découvris alors, me stupéfia. La quinquagénaire m’apparut comme transfigurée. Derrière ses lunettes, ses yeux bleus avaient pris un éclat particulier et me fixaient avec une supplication d’une telle intensité que je sentis ma gorge se nouer. Ses lèvres étaient entrouvertes sur un souffle précipité ; ses narines me semblèrent plus dilatées, comme après un orgasme. Sa poitrine, qui me sembla avoir augmenter de volume, se soulevait vivement au rythme de sa respiration saccadée, gonflant outrageusement le devant de son peignoir… Son regard et même son silence m’encourageaient à poursuivre mes attouchements.
C’est alors avec un plaisir évident que je laissai glisser mes mains le long des jambes frémissantes, me grisant de la tiédeur qui s’en dégageait. Lentement j’avançai mes mains sur les cuisses parcourues de longs frémissements, les agaçant encore davantage par de légers frôlements de mes dix doigts. Aussitôt j’entendis le souffle saccadé de ma compagne s’accélérer, comme si la malheureuse manquait soudainement d’oxygène pour respirer convenablement.
Sans hâte, réfrénant mes pulsions lubriques, je continuais d’agacer la chair parcourue de tressaillements. Désirant amplifier encore le désir qui faisait haleter ma victime au-dessus de moi, je m’ingéniais à frôler, effleurer la chair frissonnante des cuisses depuis les genoux jusqu’à la limite que m’autorisait le peignoir chiffonné, me contraignant à ne pas dépasser cette limite.
Cependant dans mon slip, ma verge se trouvait de plus en plus à l’étroit. Ma compagne si volubile, quelques instants plus tôt, était devenue étrangement silencieuse tout à coup. Seule sa respiration saccadée perturbait le silence de la salle d’eau. Je pouvais voir ses hanches s’agiter nerveusement, son bas-ventre s’avancer dans ma direction en une invite sans équivoque. Je continuai, imperturbable, mon pervers manège pendant encore quelques minutes, laissant mes doigts courir sur toute la surface interne des cuisses qui vibraient de plus en plus intensément. Aux mouvements de plus en plus désordonnés de la quinquagénaire installée sur son bidet, telle une amazone sur sa monture, je sus que j’avais atteint l’objectif que je m’étais imposé.
Jugeant ma compagne suffisamment excitée, et l’étant moi-même autant qu’elle, je décidai alors de pousser plus avant mes palpations érotiques. Avec une espèce d’ivresse sensuelle, je remontai lentement mes mains le long de la chair frissonnante. Graduellement, pour jouir au maximum de ce moment privilégié de la découverte de ce sexe nouveau. Le cœur battant, aussi ému que lors de ma première aventure sexuelle à l’age de seize ans, je repoussai le peignoir qui me cachait encore cet entrecuisse convoité. Le léger vêtement s’écarta de lui-même, tel le rideau d’une scène de théâtre avant une représentation.
Le spectacle qui s’offrit alors à ma vue me surprit si fortement que je demeurai un instant incapable de faire le moindre mouvement. Le bas-ventre de la quinquagénaire était protégé par une culotte blanche qui avait dû être à la mode au temps de la jeunesse de sa propriétaire. Tout en dentelle d’une finesse extrême, le sous-vêtement d’un autre âge ceinturait les hanches épanouies, masquant le nombril et descendant jusqu’à mi-cuisses qu’il enserrait par un large élastique orné de petites fleurs roses. On était loin des strings portés par les jeunes filles d’aujourd’hui. Madame la Baronne portait une culotte qui avait dû appartenir à son aïeul…
Seule une large tache plus sombre, au niveau du pubis, assombrissait la dentelle et me renseignait sur la pilosité abondante de ma compagne. Dépité par une lingerie aussi hermétique qui faisait comme un barrage infranchissable à mon exploration sexuelle, je tâchai d’apaiser ma déception en forçant les cuisses de la quinquagénaire à s’écarter au maximum afin d’approcher mon visage de ce pubis convoité.
Comprenant mes intentions, et désirant peut-être encore plus que moi ce genre d’attouchement, ma sensuelle complice s’installa plus commodément sur son siège de faïence afin de me faciliter la tâche. Lançant ses bras derrière elle pour s’appuyer des deux mains au bidet qu’elle chevauchait, elle projeta ainsi son bas-ventre en direction de mon visage, en une invite complice et impatiente. Dans ce mouvement plein d’une fébrilité érotique, la quinquagénaire m’offrit en toute impudeur la vision de son entrecuisse et de nouveau je demeurai ébahi devant ce que mes yeux découvraient. Cette culotte du début du siècle qui m’avait paru aussi hermétique qu’une ceinture de chasteté du moyen âge, s’ornait dans son entrejambe d’une longue ouverture bordée d’un fin liseré rose. De cette brèche dans les dentelles, un luxurieux buisson noir avec quelques bouclettes grises s’échappait, si abondant, si touffu, qu’il masquait entièrement les grandes lèvres de la fente sexuelle nichées en son centre. Je restai quelque peu étonné par la différence de teinte entre les poils pubiens très brun et la chevelure, qui tirait plutôt sur le gris, de cette femme qui s’offrait maintenant avec une impudeur totale à mes regards.
Un indéfini émoi m’envoûta. Découvrir cet entrecuisse hirsute, à l’état naturel, alors que la mode poussait les femmes et même les jeunes filles à se raser le pubis, me ravissait au point que je demeurai un long moment à le contempler. Un sexe féminin rasé, perdait pour moi tout son mystère, donc une grande partie de son attrait.
Me découvrant alors des instincts d’explorateur, de découvreur de sites oubliés, je débroussaillai de mes doigts cette futaie depuis longtemps abandonnée et redevenue à l’état sauvage. Dans ma poitrine, mon cœur battait aussi intensément que lors de mes premiers attouchements sexuels. Un murmure langoureux me parvint aux oreilles :
– Oh oui !… Fouillez-moi !
La quinquagénaire qui me semblait comblée par mes grivoises initiatives m’encourageait à m’aventurer plus avant dans sa forêt vierge. A l’aide de mes pouces je repoussai les bouclettes emmêlées, découvrant enfin les grandes lèvres gonflées d’une vulve épanouie. Saisissant les larges babines sexuelles congestionnées, je les séparai l’une de l’autre afin de découvrir cette grotte charnelle depuis longtemps oubliée. De cette caverne aux chairs cramoisies, une rosée luisante suintait des parois.
Comme je m’apprêtais à venir goûter à cette liqueur qui sourdait des tréfonds du vagin que mes attouchements avaient ramené à la vie, la quinquagénaire, encore plus impatiente que moi, avide de retrouver ce baiser subtil que son sexe n’avait certainement pas connu depuis longtemps, m’agrippa la nuque d’une main décidée pour attirer mon visage contre sa chatte affolée :
– Broutez-moi le minou ! grogna-t-elle, léchez-moi la chatte !…
Malgré le désir impérieux qui lui torturait le bas-ventre, Madame la Baronne n’avait cure d’oublier son rang, même pour m’encourager à poursuivre mes avances sexuelles. Le fait de me faire vouvoyer par ma partenaire me surprenait énormément tout en m’apportant un surplus de plaisir. Le nez plaqué de force dans l’abondante toison, je me grisais des effluves épicés qui se dégageaient de la chatte avide. Les lèvres collées à celles largement écartées de la vulve dégoulinante, je m’évertuais à plonger ma langue au plus profond du puits féminin, recueillant avec délice le subtil nectar qui sourdait des profondeurs du vagin en fusion.
Sous mon exploration linguale, la quinquagénaire fut soudain prise d’une frénésie irraisonnée. Telle une danseuse orientale elle agita furieusement son bas-ventre, lança violemment sa féminité ruisselante au devant de ma bouche, m’englua les lèvres et le menton de sa liqueur au goût acre.
– Oh oui !… Bouffez-moi la chatte ! Enfoncez bien votre langue au fond…
Devant ce soudain déchaînement charnel dû à une impatience et à une frustration sexuelle longtemps refoulée, je bloquai les hanches agitées de mouvements convulsifs, forçant la femme à s’immobiliser :
– Arrête de bouger, si tu veux que je te broute, conseillai-je, employant le tutoiement afin d’imposer ma loi de mâle à celle que je considérais comme une bourgeoise…
Surprise par mon tutoiement soudain, madame la Baronne s’immobilisa, comme soudainement statufiée. Allait-elle me repousser d’entre ses cuisses et se priver d’un plaisir qu’elle devait espérer ? Elle comprit sans doute que si elle voulait encore une fois éprouver cette jouissance, qu’elle n’avait certainement plus connue depuis longtemps, elle devait se soumettre à mes initiatives et me laisser mener les ébats à ma guise. Elle m’implora d’une petite voix geignarde :
– Lèche-moi bien la chatte… Ça fait si longtemps que l’on ne me l’a fait…
Vaincue, Antoinette de Saint Simon abandonnait enfin son rang pour se comporter comme n’importe quelle femme travaillée par son sexe, qu’elle soit Baronne ou prolétaire.
Lâchant alors les hanches enfin figées, je pinçai délicatement les grandes lèvres sexuelles juteuses afin de les écarter le plus largement possible, m’ouvrant ainsi l’accès au vagin ruisselant d’une mouille luisante. Pressé de goûter à cette liqueur abondante qui suintait à profusion des parois charnelles, je collai avec une espèce d’avidité, ma bouche contre cette cavité béante dans laquelle j’enfonçai une langue gourmande. Alors, tel un chiot assoiffé, je lapai le breuvage au bouquet acidulé qui sourdait des tréfonds du sexe féminin en ébullition, tout en léchant longuement les replis vulvaires frémissants, encouragé verbalement par la Baronne complice :
– Oh mon chéri, comme tu me fais mouiller… Ça me dégouline entre les fesses… Je suis trempée !
En effet, de la vulve dilatée, un véritable torrent de cyprine s’échappait, m’engluant copieusement la bouche et le menton. Jamais je n’avais, lors de mes différentes aventures amoureuses, connu de femmes aux épanchements vaginaux aussi importants. Ma langue ne tarda pas à barboter dans un océan de mouille brûlante.
La main féminine, toujours accrochée à ma chevelure se fit plus pressante sur ma nuque, me forçant à enfoncer un peu plus ma bouche et mon nez dans la longue fente élargie. Le pubis, comme animé d’une vie propre, s’animait par petits soubresauts rythmés, se projetant au devant de ma bouche active. Au dessus de moi, les gémissements voluptueux d’Antoinette devenaient de plus en plus prononcés.
Voulant reprendre mon souffle et examiner le visage de ma victime, afin d’y découvrir les stigmates du plaisir, je relevai la tête du sexe féminin bouillonnant. Dans ce mouvement mon menton heurta durement la partie supérieure de la longue fente congestionnée. Sous ce choc involontaire, Antoinette tressauta violemment tandis qu’un gémissement insistant s’échappait de sa gorge. Comprenant que cette réaction soudaine était due au heurt de mon menton avec le haut de la vulve que je venais d’abandonner, je reportai mon regard sur l’endroit du choc. Je demeurai ébahi devant la particularité de ce que je découvrais. Cette quinquagénaire n’en finissait pas de me stupéfier. Après son étrange culotte d’un autre âge, sa toison extrêmement luxuriante qui lui tapissait tout le pubis et l’entrejambe, ses reflux vaginaux abondants, voila qu’elle me dévoilait un clitoris d’une grosseur peu commune. Devant mes yeux médusés, une véritable petite bite se dressait hors de son capuchon formé par les petites lèvres distendues. Bien que sachant par oui-dire que certaines femmes possédaient un clitoris extrêmement développé, jamais il ne m’était arrivé d’en contempler un d’aussi près. La tirade de « Cyrano de Bergerac » me revint en mémoire : « C’est un roc ! … C’est un pic ! … ». Ce gros bouton de chair cramoisi était d’une obscénité extrême.
Pris d’un désir pervers, je saisis cette excroissance sanguine entre le pouce et l’index pour, tout en la pinçant délicatement, la faire rouler entre mes doigts refermés. Bien que m’attendant à une réaction de ma victime, le violent soubresaut qui ébranla cette dernière me surprit par sa virulence. Dans un élan de tout son bas-ventre elle lança son sexe ruisselant au-devant de mes doigts :
– Oh oui ! … Encore ! … C’est merveilleux ! … Plus fort ! …
Puisqu’elle me le demandait avec une telle exaltation, une telle véhémence, je m’exécutai de bonne grâce, éprouvant moi-même un indicible plaisir à manipuler cette excroissance charnelle démesurée. Serrant fortement mes doigts sur le bouton émergeant de son nid velouté, j’entrepris de le rouler entre le pouce et l’index pour la plus grande satisfaction de ma bienheureuse victime qui agita son bas-ventre en des bonds désordonnés. Une longue litanie s’échappa alors de sa gorge, faite de :
– Oui… Encore… Oh oui… Ouuuiii… C’est bon… Oui, ouuii…
Ces plaintes érotiques, véritable mélopée sexuelle ne fit qu’accentuer le désir qui m’habitait. Dans mon slip, ma virilité tendue à l’extrême depuis un long moment déjà, devenait douloureuse.
Levant mon regard en direction du visage de la quinquagénaire, je découvris un spectacle d’une rare sensualité. Cette dernière avait rejeté la tête en arrière, et telle une chienne en chaleur appelant le mâle, les yeux clos, elle poussait de longues plaintes amoureuses. De ses deux mains crochetées sur les gibbosités qui déformaient le devant de son peignoir, elle se pressait fiévreusement les seins à travers le tissu de son vêtement, les pétrissant et les malaxant sauvagement.
Le visage, de cette femme de cinquante ans, ravagé par la jouissance avait quelque chose d’émouvant. Une certaine tendresse pour cette quinquagénaire qui redécouvrait la volupté après certainement de longues années d’abstinence m’envahit. Le plaisir l’illuminait toute, la rendant soudainement plus belle, plus désirable malgré son âge avancé.
Désirant goûter à ce fruit charnel qui avait si soudainement mûri et émergé tel un diablotin de son nid sexuel, je me penchai entre les cuisses largement écartées de la Baronne impudiquement offerte. Grisé par le fumet épicé qui s’échappait de la vulve enfiévrée, je refermai mes lèvres autour du berlingot dilaté pour le sucer lentement, avec une gourmandise sensuelle. Un gémissement prolongé m’informa du plaisir que ma compagne éprouvait à mon bécot érotique. Dans le même temps une main volontaire s’agrippait solidement à ma nuque et me forçait à écraser mon visage contre le pubis broussailleux et agité de soubresauts.
– Oh oui ! … Suce mon gros bout, m’implora ma bienheureuse victime.
Sans me faire prier, le désirant en fait autant qu’elle, je me saisis des grandes lèvres sexuelles gonflées par un afflux de désir. Les pinçant délicatement je les écartai largement l’une de l’autre afin de dégager le merveilleux bouton d’amour qui m’apparut dans toute sa splendeur : boursouflé, congestionné, luisant d’une humidité onctueuse. Alors, d’une langue agile, j’entrepris de lécher ce prodigieux berlingot, arrachant aussitôt moult gémissements à ma volcanique partenaire. Le menton frottant par alternance la faille sexuelle béante et débordante de son abondante liqueur amoureuse, je lustrai longuement le prodigieux clitoris du bout de ma langue, éprouvant un indicible bonheur à ouïr les gémissements de plaisir que mes attouchements linguaux arrachaient à la quinquagénaire.
Songeant avec mansuétude que celle qui se contorsionnait sur son trône de faïence n’avait certainement pas dû connaître ce genre de caresse depuis bien longtemps, je décidai de refouler mon propre désir, pourtant bien réel, pour me concentrer sur celui de ma compagne. Prenant tout mon temps et y mettant tout mon savoir, je m’appliquais consciencieusement à amener Madame la Baronne à l’orgasme qu’elle espérait.
J’aspirai entre mes lèvres le clitoris sensibilisé pour le mordiller doucement mais avec suffisamment de fermeté. Au moment où mes dents se refermèrent sur son bouton de chair dilaté, Antoinette tressauta violemment en poussant un véritable râle de volupté, tandis que ses doigts se plantaient furieusement dans ma nuque. Je compris immédiatement que je venais de découvrir le point faible de ma sensuelle compagne. Mais, quand même surpris par cette violente réaction, je relâchai mon mordillement :
– Oh non, continue, gémit la quinquagénaire ! … C’est si bon ! … Je t’en prie, continue, m’implora-t-elle.
Puisque Madame la Baronne me faisait l’honneur de me demander ce type de service avec tant de ferveur je m’exécutai de bonne grâce. Saisissant à nouveau le volumineux clito empourpré entre mes lèvres, je repris mes mordillements, accentuant même mes pincements, puisque Antoinette de Saint Simon avait l’air de particulièrement apprécier ce genre d’attouchement. Chaque morsure infligée à son merveilleux bouton d’amour sensibilisé arrachait un cri perçant à la quinquagénaire ; cri où le plaisir et la douleur se mêlaient intimement, alors que tout son corps, comme s’il avait été traversé par un fort courant électrique s’arquait intensément. La lumière se fit dans mon esprit : ma sensuelle compagne éprouvait, comme cela arrivait chez certains individus, un surplus de volupté dans la douleur. Je m’acharnai alors sur le clitoris enflammé. Les plaintes de ravissement de ma bienheureuse victime ne tardèrent pas à se transformer en petits cris, puis en véritables râles tandis que le bas-ventre, parcouru de frémissements à fleur de peau, bondissait à la rencontre de ma bouche, d’une manière désordonnée.
Comprenant que ma volcanique partenaire arrivait enfin au seuil de la jouissance, je décidai de l’aider à atteindre cet orgasme après lequel elle courait depuis si longtemps. Pour cela, sans cesser de lui mâchouiller le clito irrité, je glissai deux doigts dans sa fente béante et abondamment trempée par une liqueur tiède et sirupeuse. Là, je ne pus que constater que Madame la Baronne avait dû, du temps de sa jeunesse avoir abondamment pratiqué les jeux amoureux, tant elle était incroyablement élargie. Décidément cette quinquagénaire avait le don de me surprendre. Mes deux doigts accolés avaient glissé dans la longue faille sexuelle sans rencontrer la moindre gêne ni la moindre résistance. La femme qui haletait au-dessus de moi, possédait un vagin aux dimensions démesurées… Surpris par la facilité avec laquelle j’avais pénétré dans cette vulve impressionnante je décidai alors de joindre un troisième doigt à ceux déjà enfouis dans cette chatte considérablement dilatée. Mon annulaire vint rejoindre mon index et mon majeur, avec lesquels je fouillai déjà le sexe dilaté et ruisselant de mouille, tentant d’apporter un surplus de plaisir à ma compagne.
Au bout de quelques va-et-vient à l’intérieur du vagin brûlant, je me rendis compte que les grandes lèvres de la vulve distendue pouvait encore admettre mon auriculaire, tant cet orifice me paraissait spacieux. Pour exécuter cette nouvelle introduction, je dus forcer quelque peu, mais rapidement je me retrouvai avec ma main droite pratiquement entièrement enfoncée dans la chatte effroyablement dilatée. Seul mon pouce demeurait hors de la cavité spongieuse. C’est alors que la quinquagénaire, dans un long râle inhumain m’encouragea à la forcer plus profondément :
– Oui ! Défonce-moi ! … N’ai aucune crainte… J’aime trop ça ! Oui ! Bien à fond… Humm, comme c’est bon ! … Continue ! C’est divin… Il y a si longtemps…
Antoinette avait largement écarté ses larges cuisses, s’écartelant au maximum afin de me faciliter la monstrueuse pénétration qui semblait la ravir. De mes quatre doigts accolés je pistonnais donc allégrement le vagin de plus en plus détrempé, tandis que de mon pouce j’écrasais le clitoris protubérant à chaque pénétration de ma main dans la faille sexuelle.
Je n’eus pas à attendre longtemps pour enfin être récompensé de mes efforts. Une longue plainte s’échappa soudain de la gorge de ma compagne et résonna dans la salle d’eau : plainte de femelle comblée sexuellement ! Au comble de la volupté Antoinette de Saint Simon se convulsa en un spasme violent qui lui rejeta le corps en arrière. Tétanisée, elle demeura ainsi quelques instants, transformée en statue, alors que ses cuisses s’étaient resserrées sur mon poignet, me bloquant la main dans un étau charnel.
Enfin, au bout de cinq à six minutes, ma victime reprit progressivement ses esprits. Haletante, elle se redressa lentement sur son bidet qui depuis le début lui avait servi de siège, puis comme une poupée de son, elle se laissa tomber en avant, posant son front sur mon épaule.
– Merci, me chuchota-t-elle… C’était merveilleux… Il y avait si longtemps qu’un homme ne m’avait fait jouir… Tu es un amour…
Comme elle s’était décidée à desserrer ses cuisses, je retirai délicatement ma main de son sexe gluant. Aussitôt elle me saisit le poignet pour amener ma main jusqu’à son visage, et ouvrant une bouche gourmande, elle aspira mes doigts pour les sucer avec une avidité gloutonne, recueillant sur sa langue sa liqueur intime.
– C’est bon ? plaisantai-je en me redressant, les genoux douloureux.
– Humm, c’est délicieux… Peut-être un peu trop salé…
– J’en sais quelque chose, j’en ai eu ma ration, continuai-je…
– J’avais tellement envie… Il y a bien longtemps que je n’avais éprouvé autant de plaisir…
– Tu as bien joui, demandai-je ?
Je posais cette question afin de forcer cette bourgeoise à accepter les termes plus crus que ceux qu’elle devait certainement avoir eu l’habitude d’employer. J’en éprouvais même un certain plaisir pervers.
– Oui… J’ai énormément… joui, me répliqua Antoinette en me souriant d’un air complice, acceptant de me répondre dans mon langage.
– C’était aussi bon que lorsque tu te branles ? continuai-je, lancé dans mon délire pervers.
– C’était différent… Tu es un véritable artiste mon chéri… Tu sais, tu ne vas peut-être pas me croire, mais tu es le premier homme qui me touche depuis le décès de mon mari… cela fait maintenant trois ans… Trois ans sans homme, tu ne peux t’imaginer combien c’est dur… Quand je t’ai vu, je ne sais ce qui s’est passé en moi, mais j’ai immédiatement compris que je ne pourrai te résister si l’envie te prenait de me… manquer de respect…
L’expression me fit sourire, alors qu’Antoinette continuait d’une voix câline :
– Tu m’as vraiment gâtée, tu sais… Comment puis-je te remercier ?
Quelle question ! Lui montrant le devant de mon pantalon déformé par une bosse significative, je lui proposai :
– Tu pourrais peut-être me calmer ! …
– Tu veux bien ? s’exclama-t-elle avec la mine réjouie d’une gamine découvrant ses cadeaux au pied du sapin de Noël.
Lui saisissant la main droite je la posai sur la protubérance que faisait mon membre gonflé :
– Regarde dans l’état que tu m’as mis !
– Oh, c’est moi qui ai fait ça ? feignit de s’étonner Antoinette en pressant tendrement la protubérance qui déformait ma braguette… Je peux voir ?
Terriblement excité, je déboutonnai rapidement mon pantalon que je laissai tomber à mes pieds apparaissant en slip aux yeux curieux de la quinquagénaire.
– Qu’est-ce que tu me caches là, minauda Antoinette en frôlant d’un doigt indiscret la bosse significative qui gonflait le devant de mon sous-vêtement.
– Si tu veux le savoir, tu devras le découvrir par toi-même ! l’invitai-je par jeu érotique.
Impatiente de découvrir ce membre que je lui refusais, la quinquagénaire agrippa mon slip qu’elle fit glisser promptement le long de mes cuisses :
– Mon Dieu quel morceau ! s’exclama-t-elle en découvrant ma virilité gonflée et dressée tel un pal orgueilleux.
– Elle te plait ma queue ? demandai-je, prenant un pervers plaisir à choquer cette Baronne qui n’avait certainement pas été habituée à ce genre d’expression.
– Il faudrait être difficile pour ne pas… la trouver appétissante… Tu es formidablement… monté… Et crois-moi, je sais de quoi je parle… Dans ma vie j’ai eu l’occasion de contempler de nombreux membres… Le tien surclasse de beaucoup un bon nombre de ceux que j’ai pu tenir en main…
– Tu peux le toucher, insistai-je impatient… Il ne va pas te mordre !
– Me mordre, certainement pas, mais me cracher sa sève, peut-être bien, tenta de plaisanter Antoinette.
Alors que je m’attendais à ce que ma partenaire, privée de sexe depuis plus de trois ans, se jette telle une affamée sexuelle sur cette virilité que je lui présentais, il n’en fut rien. Pareille à une dévote, la Baronne se saisit de ma queue frémissante qu’elle enferma au creux de ses deux mains, comme elle l’aurait fait d’un cierge destiné à un saint Apôtre. D’un léger mouvement de ses doigts, elle frôla alors ma colonne de chair ; caresse suave mais particulièrement grisante du fait de mon excitation. Pareil à un vol de papillon, les doigts féminins effleurèrent le dôme ultra sensible de mon gland turgide avant de redescendre, légers et aériens, jusqu’à la base de ma tige érigée qu’ils griffèrent délicatement, avant de s’activer sur mes couilles gonflées qu’ils pincèrent précautionneusement.
Jamais aucune des différentes petites amies que j’avais eues ne m’avaient caressé de la sorte. Ces attouchements légers et délicats n’en demeuraient pas moins fort sensuels et réussissaient à mettre mes sens à rude épreuve, déclenchant d’incontrôlables frémissements dans mon membre et mon bas-ventre. Grâce à ses différents effleurements savamment pimentés, la sagace quinquagénaire réussit à accentuer le désir qui m’habitait, au point que j’éprouvai le besoin urgent de bénéficier d’une caresse plus sensuelle, plus perverse peut-être. Je ne pouvais plus me contenter de ces câlineries terriblement affolantes que me prodiguait ma subtile partenaire. Lui saisissant la tête je l’attirai en direction de mon bas-ventre :
– Suce-moi ! Lui commandai-je.
Nullement choquée par ma demande particulièrement salace, Madame la Baronne me laissa lui diriger le visage jusqu’à mon sexe orgueilleusement dressé. Avec un petit gloussement de ravissement elle avala mon gland volumineux d’une bouche gourmande, tout en refermant sa main autour de ma queue frémissante.
Alors commença pour moi une fellation d’une extrême lascivité. Je me trouvais en présence d’une véritable experte dans l’art de sucer un homme. Mettant certainement tout son savoir érotique acquis au cours de ses nombreuses années de pratique, la quinquagénaire m’amena avec une habileté diabolique, au paroxysme du plaisir. Avec un art subtil, elle faisait coulisser ses lèvres épaisses le long de la partie supérieure de ma verge raidie, de façon à n’aspirer dans sa bouche moite que mon gland congestionné. Pareille à une gamine gourmande, la délurée Baronne suçait l’extrémité de ma verge, comme elle l’aurait fait d’un berlingot fourré, insistant particulièrement sur le filet ultra sensible de mon bourgeon dilaté. De temps à autre, elle cessait sa fellation pour me lécher l’extrémité du gland d’une langue habile, sinon espiègle.
En amante aguerrie aux jeux de l’amour, Antoinette savait deviner, aux convulsions perceptibles qui agitaient mon membre, le moment critique où approchant de la béatitude je risquais de me libérer de ma semence. Aussitôt elle stoppait alors ses affolantes caresses et refermait farouchement ses doigts autour de ma verge prête à exploser, la pressant, l’étranglant, afin de stopper l’éjaculation annoncée.
– C’est bon ? Tu aimes ? me demanda-t-elle dans un sourire complice.
– C’est divin, tu es véritablement une experte dans l’art de la pipe ! Jamais je n’ai été pompé de la sorte…
– C’est vrai ? Je n’ai pas trop perdu… la main ? Il y a bien longtemps que je n’avais eu un tel morceau dans la bouche…
Décidément, Madame la Baronne se refusait à prononcer, même dans ces moments-là, des mots étrangers à son vocabulaire recherché.
Tout en me fixant d’un regard brillant de lubricité, elle avait desserré sa pression autour de mon membre momentanément calmé. Telle une dévote en prière, elle maintenait ma verge entre ses deux paumes réunies en un geste de piété. Insensiblement, comme par inadvertance, tout en sachant perfidement ce qu’elle faisait et ce que sa nouvelle caresse allait me procurer, elle frotta ses deux mains l’une contre l’autre, roulant ma queue entre elles. … Le désir qui s’était quelque peu calmé durant cet échange verbal afflua de nouveau dans mon sexe si savoureusement pétri. A me faire ainsi tripoter, j’éprouvais le désir de participer activement à cette joute érotique. Jamais je n’avais pu rester inactif lors de mes ébats amoureux, il me fallait dans ces moments là, occuper mes mains, procurer à ma partenaire du moment une réplique du plaisir qu’elle me distillait. Je saisis alors l’encolure du peignoir de ma sensuelle compagne et le repoussai sur les épaules rondes.
– Montre-moi tes nichons ! Exigeai-je, utilisant à dessein un terme que la Baronne se refusait à employer.
Avec un sourire complice, cette dernière me laissa écarter son vêtement, sans pour autant cesser le voluptueux pétrissage qu’elle faisait subir à ma queue raide et aussi dure qu’une barre de fer. Le peignoir écarté me conforta dans ce que j’avais quelque peu deviné depuis le début. Aucun soutien-gorge ne venait soutenir une paire de seins d’une dimension peu commune. La quinquagénaire possédait des mamelles énormes. Elle devait certainement, pensai-je excité, porter des soutiens-gorge taille quatre-vingt quinze, bonnets C ou D. C’était la première fois que je pouvais contempler une poitrine féminine aussi affriolante dans sa démesure.
Admiratif, je contemplai longuement ces extraordinaires appas mammaires qui s’offraient à ma vue : deux outres à la chair laiteuse, à la surface parsemée de quelques taches de sons, et sur lesquelles couraient de fines veinules bleutées. Deux larges rosaces, encore étonnamment roses, d’où émergeaient deux tétons que le désir gonflait outrageusement, venaient recouvrir les extrémités des opulents nichons.
Devant ma passivité à contempler sa fabuleuse poitrine offerte à ma convoitise, Antoinette me tira de mon extase :
– Ils sont trop gros !
– Pas du tout, la rassurai-je. Je les trouve magnifiques !
– Ne dis pas ça ! Ils ont été beaux… mais en vieillissant, ils ont perdu de leur arrogance… regarde comme ils tombent… Si tu les avais connus du temps de ma jeunesse, continua-t-elle dans un soupir.
– Je suis sûr qu’ils ont dû faire perdre la tête à de nombreux hommes.
Et comme pour mieux me montrer à quoi pouvait ressembler son opulente poitrine quelques années auparavant, la quinquagénaire lâcha mon membre pour empoigner ses imposantes mamelles qu’elle releva, à l’aide de ses paumes en coupe, afin de leur donner encore plus de volume.
– Voila à quoi ils ressemblaient du temps de leur splendeur, insista Antoinette.
Terriblement émoustillé, je ne pouvais détacher mes yeux de ces masses charnelles que leur propriétaire pressait presque tendrement. Victime de ma luxure, je commandai d’une voix que le désir enrouait :
– Caresse-toi les seins !
Me fixant d’un regard fiévreux, et un sourire salace au coin des lèvres, Antoinette pressa tendrement ses seins volumineux l’un contre l’autre, tout en prenant soin de bien me montrer ses tétons fièrement érigés au centre de leurs aréoles boursouflées.
– Comme ça, me murmura-t-elle ?
– Oui ! .. Continue ! Pince-toi les bouts ! …
– Humm !
Tout en fixant, médusé, les doigts féminins qui trituraient sensuellement les deux bourgeons de chair fièrement érigés, j’avais distraitement empoigné ma verge tendue et d’un mouvement machinal de la main je me branlais lentement.
Nous restâmes quelques minutes ainsi face à face à nous observer, prenant un même plaisir à épier les gestes et les émois de l’autre. Cependant peu à peu, je remarquai un changement dans l’expression de ma complice. Ses traits semblèrent se figer, sa bouche s’entrouvrit sur un souffle plus prononcé, plus précipité, son regard se fixa plus particulièrement sur les mouvements de ma main le long de ma verge tendue dans sa direction. Une étrange lueur accentua l’éclat de ses yeux derrière le verre de ses lunettes. La sensuelle Baronne semblait prendre un extraordinaire plaisir à me voir me masturber !
– J’ai l’impression que tu aimes voir un homme se branler, lui lançai-je. Ça à l’air de drôlement te plaire ce que je fais !
– Oh oui ! marmonna Antoinette. Tu ne peux savoir combien ça m’excite ! …
– Si, je m’en rends compte… comment ça ce fait ?
Et pour affoler davantage la quinquagénaire dont le visage avait pris une teinte cramoisie, et la pousser aux confidences, j’accélérai les mouvements de va-et-vient de ma main le long de mon membre viril. Le regard exalté, fixant avec une convoitise gourmande mon gland congestionné, qui suivant le mouvement rythmé de ma main, apparaissait et disparaissait tour à tour, Antoinette commença d’une voix étrangement enrouée :
– Il faut te dire qu’à l’époque mes parents habitaient une immense maison bourgeoise et que nous avions de nombreux domestiques… Or un jour, je devais avoir seize ans, j’ai surpris le fils de notre gouvernante qui s’amusait à soulever la jupe de ma sœur, qui se défendait comme elle pouvait…
– Quel âge avait ta sœur ?
– A cette époque, comme elle est ma cadette de quatre ans, elle devait avoir douze ans…
– Et ce garçon ?
– Oh lui, il était plus vieux que moi, il devait avoir dans les dix-sept ans… Je suppose qu’il n’aurait jamais osé quoi que ce soit avec moi.
– Et tu le regrettes, ironisai-je.
– Que tu es bête… Non, mais en tant que fils de domestique, il ne pouvait se permettre n’importe quoi, et il le savait.
– Vu l’âge de ta sœur, c’était plus facile ?
– Certainement, tandis qu’avec moi, il devait se montrer plus craintif… C’est peut-être à cause de ça que ce jour là je me suis conduite comme ça…
– Raconte !
– Oui, mais tu me promets que lorsque tu vas jouir, tu… déchargeras … sur mes seins ?
– Je te le promets, acquiesçai-je, alors qu’en fait j’avais songé lui fourrer ma queue dans la bouche au moment opportun… Je te promets de t’asperger les nichons avec mon sperme…
– Oh oui… Bon je reprends… J’ai réussi sans trop de mal à délivrer ma sœur, qui a filé tout de suite, des assiduités du garnement. Puis j’ai menacé ce polisson d’aller tout raconter à mes parents… Inutile de te dire que Lucien, c’est comme cela qu’il se nommait, se trouva fort bouleversé et effrayé par ma menace, sachant très bien qu’il risquait une sévère punition de la part de mon père et peut-être le licenciement de ses parents… Il me supplia de ne rien dire, me proposant d’accepter tout ce que je voudrais…
– La bonne aubaine !
– Comme tu le dis !
– Alors, insistai-je devant la gêne soudain de ma narratrice. Que lui as-tu demandé ? insistai-je, me doutant quelque peu de la suite.
– Je… je lui ai demandé de me montrer sa quéquette…
– Eh bien, rien que ça ! Tu avais déjà un sacré tempérament ! …
– Heu, oui. Une seule chose comptait à ce moment là, voir enfin le sexe d’un garçon. Car imagine qu’à cette époque les filles de seize ans ne connaissaient rien au sexe, ce n’était pas comme aujourd’hui… J’étais évidemment encore vierge…
– Alors ?
– Tout heureux d’échapper au châtiment paternel, Lucien n’a fait aucune difficulté pour baisser son short et exhiber son sexe. Aujourd’hui, je pense qu’il a dû s’exécuter avec un certain plaisir…
Tout en prêtant une oreille attentive aux confidences de la quinquagénaire, je me branlai avec plus de vigueur, pressé soudain de me libérer, d’atteindre la délivrance. Le regard toujours fixé sur l’extrémité de ma bite, Antoinette s’était tue, tout occupée à surveiller cette décharge qu’elle attendait.
– Continue ! la pressai-je.
Sans lâcher ma verge des yeux, elle reprit d’une voix sourde :
– Lorsque j’ai découvert ce morceau de chair qui pendouillait au bas du ventre du garçon, j’ai été incroyablement déçue…
– Déçue ?
– En effet, au lycée les grandes en parlaient avec un air tellement gourmand, qu’en voyant ce bout de chair rachitique je me suis demandé ce qu’elles pouvaient bien trouver de captivant à ce que je découvrais… Je crois que c’est ça qui a tout déclenché…
– Comment ça ?
– Certainement vexé par ma mine désappointée, Lucien s’est saisi de sa petite queue et s’est mis à l’agiter vivement… comme toi maintenant…
– Comme ça ? ai-je renchéri en avançant d’un pas afin de me branler vigoureusement à quelques centimètres du visage de la quinquagénaire.
– Oh arrête, gémit Antoinette… Si tu continues comme ça je ne pourrai jamais finir de t’expliquer… Je suis tellement excitée…
Abandonnant l’un de ses seins qu’elle malaxait de plus en plus passionnément depuis le début de sa confession, la sensuelle mamie glissa sa main gauche entre ses cuisses écartées. Je ne pouvais voir ce qu’elle y faisait, mais il n’était pas difficile de deviner à quoi elle s’activait.
– C’est bon, je m’arrête, mais dépêche-toi de terminer car je sens que je ne vais pas tarder à tout lâcher…
– Attends un peu, j’ai presque fini… Et n’oublie pas que tu m’as promis de jouir sur mes seins… Donc, Lucien a commencé à se branler. Immédiatement, j’ai vu ce petit tuyau se gonfler, grandir, prendre du volume… Je n’en revenais pas. En quelques minutes, ce sexe qui m’avait si déçue avait pris des dimensions extraordinaires… Jamais je n’aurai cru cela possible…
– Abrège, grognai-je soudain. Je sens que ça vient…
– Moi aussi mon chéri… Retiens-toi, j’ai presque fini… Muette d’étonnement, j’ai regardé Lucien se branler sans émettre la moindre réflexion… Je comprenais que j’assistais à quelque chose de prodigieux… Les paroles des grandes du lycée me revenaient en mémoire… Et plus le garçon s’asticotait le membre, plus je sentais une étrange chaleur se propager dans mon bas-ventre et une humidité suinter de ma petite chatte et mouiller ma culotte…
Il était temps que Antoinette achève son récit, car j’avais de plus en plus de mal à contenir mon éjaculation. J’aurais dû cesser de me masturber, mais je m’en sentais incapable, excité comme je l’étais.
– Quand il a joui, quand j’ai vu pour la première fois ces jets blanchâtres jaillir de sa bite j’ai bien cru m’évanouir. Un spasme violent m’a saisi et j’ai inondé ma culotte… Ce n’est que plus tard que j’ai compris que j’avais eu un orgasme, que j’avais….. Oh Mon Dieu ! … Je jouis…. Aaahhhh…
A se remémorer ses souvenirs tout en se masturbant et les seins et le clito, Antoinette n’avait pu terminer son récit, la jouissance l’avait saisi, sans qu’elle ne puisse la contrôler.
Je n’avais plus de raison de me retenir. Dans un grognement jaillissant du plus profond de mes entrailles, je lâchais ma semence… Le premier jet, épais et puissant alla s’écraser sur le haut du sein gauche de la quinquagénaire qui s’exclama d’une voix enjouée :
– Oh oui ! … Encore !
La seconde giclée, aussi consistante que la première, après une parfaite parabole atterrit dans le profond sillon séparant les lourdes mamelles, dans lequel il s’infiltra. Puis les autres salves, décochées en rafale de moins en moins intenses, finirent de souiller les énormes seins blanchâtres. Chaque émission de sperme était accueillie de la part d’Antoinette, par un gloussement de délectation.
– Encore… Oh encore ! ne cessait-elle de réclamer.
Cependant à bout de munitions, je cessai mes bordées de sperme en direction de la poitrine que la quinquagénaire m’offrait généreusement. Haletant, reprenant doucement mes esprits, je contemplais le fascinant spectacle de ces seins blancs que leur propriétaire avait relâchés et qui, suivant la pesanteur mis en évidence par le célèbre Isaac Newton, s’étaient mollement avachis. L’air béat, Antoinette examinait les longs sillons blanchâtres qui souillaient la chair de ses énormes mamelles.
M’approchant du visage extatique de la quinquagénaire, je l’empoignai par son chignon :
– Suce-moi ! ordonnai-je… Nettoie-moi la queue !
Sans se faire prier, Antoinette ouvrit largement sa bouche aux lèvres gonflées entre lesquelles je m’empressai d’introduire ma verge encore bouffie. Avec un borborygme de satisfaction, madame la Baronne aspira mon gland pour le sucer et le lécher consciencieusement tout en étalant de ses paumes, mon sperme gluant, sur ses lourds nichons.
Quand enfin, au bout de deux minutes, je libérai sa bouche de ma queue revenue à des dimensions plus raisonnables, Antoinette s’empressa de porter ses mains maculées par ma semence poisseuses à ses lèvres :
– Tu en avais une sacrée réserve, me sourit-elle… Regarde-moi ça, j’en ai plein les seins… C’est toujours aussi abondant lorsque tu jouis ou bien il y a longtemps que tu ne t’étais pas vidé les couilles ?
Sans attendre ma réponse, qui d’ailleurs ne l’intéressait que moyennement, Antoinette saisit à deux mains son sein gauche, légèrement plus gros que le droit, et le soulevant, l’approcha de son visage qu’elle avait penché. Alors d’une langue agile, elle entreprit de lécher le sperme qui maculait son mamelon. Méticuleusement elle nettoya son sein de ma semence, avant de le relâcher pour faire subir le même traitement à la mamelle droite.
– C’est bon, demandai-je malicieux ?
– Huumm, c’est savoureux… Ton jus a un goût délicieux… Il y a si longtemps que je n’ai dégusté pareil nectar…Tu es sûr qu’il ne t’en reste pas encore un petit peu ?
– Ce serait avec plaisir que je t’en offrirais encore, mais je suis déjà en retard pour mon prochain rendez-vous… Encore heureux que ce ne soit pas trop loin d’ici.
– Alors je te laisse aller, m’accorda Antoinette en arrangeant son peignoir sur son opulente poitrine…. Mais si tu es dans le coin à midi, viens déjeuner avec moi, et peut-être que tu auras le temps de m’offrir une nouvelle ration…
Je quittai la sensuelle quinquagénaire, ravi de ma matinée, et en me promettant de venir la rejoindre dès mon second chantier terminé….
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