Histoires de baise Histoires érotiques au travail Premières histoires de sexe

Un Week end de désir – Chapitre 2 : D&e

Un Week end de désir – Chapitre 2 : D&e



A peine le moment où ce délicieux souvenir du jour où elle s’était découvert des talents dans l’éjaculation féminine fut remémoré, toujours sur le chemin du retour et à l’instar du moment qui a suivi la jouissance de ce souvenir, Emmy se senti soudainement vidée. Mais ce n’était pas une jouissance comme elle avait ressenti dans son passé, ni même dû à la fatigue de la marche, son appartement étant désormais visible sous la lumière des lampadaires et de la lune.
Emmy venait de craquer et s’effondra en pleurs dans la ruelle à côté de chez elle. Mais malgré le grondement de sa tristesse, la nuit restait immobile. Même le vent ne répondait à son appel de détresse.

Non loin de là, un homme, était en pleine promenenade de nuit. Extrêmement timide, il n’aimait pas trop être vu et encore moins en plein jour.
C’est sur son chemin du retour vers chez lui, qu’il entendit des pleurs. Mais pas n’importe lesquels, ceux du désespoir. Pensant que quelqu’un pouvait être en danger, il ravala sa timidité, pris son courage à deux mains et alla voir ce qu’il se passait.
C’est alors qu’il découvrit Emmy, le dos appuyé contre mur d’un immeuble et sur ses genoux, complètement en pleurs. Malgré ses difficultés pour parler à la gente féminine, il décida de lui demander ce qui n’allait pas.
« Que se passe-t-il ? » s’exclama-t-il. « Vous avez mal quelque part ? », ajouta-t-il juste après.
Mais le silence ne fut que sa seule réponse.
Ne pouvant laisser une demoiselle dans un tel état toute seule, il insista : « Si vous ne me dites pas ce qui se passe, je ne peux pas vous aider. Je ne supporte pas de voir une fille pleurer. »
Se laissant convaincre, Emmy lui répondit en larmes :
« Personne ne m’aime ! Je n’attire plus personne ! Plus personne ne me désire ! Je suis devenue moche ! »
« Allons, allons », répondit-il à ces exclamations qui lui semblaient surréelles, « Ne dites pas de bêtises ! Vous êtes ravissante ! »
Emmy commencait à être appaisée par ces paroles, mais n’était pas sûr que l’homme ne lui disait pas cela dans l’unique but de se débarasser d’elle : « C’est vrai ? Vous trouvez ? »
« Bien évidemment ! », rétorqua l’homme oubliant même qu’il était timide. « Vous êtes extrêmement belle, et je suis sûr que si vous vous arrêtiez de pleurer, vous seriez encore plus belle ! Les filles sont plus jolies quand elles sourient ! »
Emmy se sentait plus calme, mais pas soulagée. Elle était toujours seule et n’avait personne avec qui partager son désir. Tout en séchant ses larmes du revers de sa main, elle lui dit : « Vous devez dire cela à toutes les filles ! »
– « Croyez-le ou non, mais je ne parle que rarement aux personnes. Mon désir d’accourir pour soulager la détresse de quelqu’un a été ici plus fort que ma timidité. En temps normal, je ne vous aurai jamais adressé la parole. Vous êtes trop jolie pour moi, je ne suis ni svelte, ni particulièrement musclé, j’ai un peu trop de poids, je ne suis pas spécialement beau et je ne suis qu’un sujet de moqueries pour les autres car je ne partage pas les mêmes intérêts. Mais cela ne veut pas dire que je ne vous trouve pas ravissante ! Juste que je n’oserai jamais vous aborder pensant que vous allez m’envoyer paître ou encore vous imaginant déjà avoir un petit ami qui m’enverrait aux roses. Sur une échelle de 1 à 10 des filles jolies, je vous donnerai 25 ! Au moins ! »

Emmy, remercia l’homme de ce compliment, mais cela ne réglait pas son problème ! Elle observa son sauveur qui lui paraissait être en fin de vingtaine, voire peut-être aux débuts de sa trentaine et lui dit : « Tu sais, tu n’es pas aussi moche que tu ne le penses ?! Tu es même plutôt mignon ! »
– « Comment ? » rétorqua l’homme, surpris.
– « Et je ne dis pas cela parce que je suis en manque de sexe ! Tu es assez gentil et mignon pour attirer quelqu’un de bien ! », ajouta-t-elle. Puis sans laisser la réponse arriver, elle enchaîna de plus en plus cruement à commencer par : « J’ai envie de ta queue, maintenant ! Je veux que tu me défonces ! Comme jamais tu n’as défoncé les trous de quelqu’un ! »
L’homme timidement répondit : « Ca ne serait pas bien difficile, je n’ai encore jamais embrassé une fille et encore moins fait l’amour… ».
Emmy, surprise, et tout en s’approchant de l’homme lui dit : « Justement, je fantasmais d’être la première partenaire d’un homme. Tu vas assouvir un de mes fantasmes ! »
L’homme toujours hésitant, sa timidité ayant repris le dessus : « Mais on ne se connaît pas, je ne connais même pas votre nom, et je ne veux pas abuser de votre état de faiblesse… »
Emmy coupa l’homme, tout en devenant de plus en plus autoritaire et excitée : « Les noms importe peu, mais la locataire du bas s’appelle Emmy et elle veut que tu l’émoustille ! » Accompagnant ses paroles, Emmy, debout et appuyée contre le mur, leva sa jupe puis écarta sa culotte sur le côté tout en écartant ses jambes et se caressant légèrement le sexe.
« Viens me bouffer la chatte, et ensuite, je te rendrait la pareille au point que tu auras l’impression d’être au paradis ! Je vois ta queue se durcir sous ton pantalon ! Tu en as envie, viens, n’aies pas peur ! »
L’homme, malgré son sexe partant, restait encore hésitant. Mais Emmy le traîna de son bras libre vers elle, et il se retrouvèrent collés corps contre corps, la délicieuse poitrine d’Emmy toute dure d’excitation venant sceller les négociations.
Comme si l’univers leur donnait sa bénédiction, la pluie se mis à tomber brusquement alors que le ciel était entièrement dégagé il y a à peine 1 minute. La pluie battante venait mouiller les vêtements légers d’Emmy, laissant entrevoir des seins fermes et tout excités.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire