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Tu es sûr, mon chéri, que ça ne te dérange pas, he

Tu es sûr, mon chéri, que ça ne te dérange pas, he



Auteur : Paulo

Aujourd’hui, on est jeudi. C’est le jour où Rafik vient baiser ma femme.

Ma femme, Yvonne, que j’aime, est très grande, avec des petites épaules et des seins assez gros et lourds. Par contre, elle a un fessier large et rebondi, une véritable croupe. Elle a la peau très blanche, laiteuse. À quarante-cinq ans, elle est magnifique, mais elle ne le sait pas, ou plutôt elle s’en fout. Elle s’habille de façon pratique, un chemisier fermé jusqu’au dernier bouton, une jupe aux mollets.

Elle est très organisée et la maison est toujours très bien tenue. On mange, on dort à heures fixes. Notre vie est bien réglée, on est heureux. Les enfants sont grands et ont quitté le foyer depuis longtemps.

Moi, mon problème de toujours, c’est que je bande mou. Le lundi dans la chambre à coucher, c’est toujours la même chose. Après son émission, « Question pour un champion », c’est l’heure. Elle se rend dans la chambre en me regardant avec un sourire convenu. Elle se déshabille et plie soigneusement ses vêtements. Une fois nue, elle passe sa robe de chambre rose molletonnée. Elle s’assied au bord du lit et retire sa montre qu’elle pose sur le napperon de la table de nuit. Je m’approche et elle me branle un petit peu. Des fois, elle profite de ce moment pour me rappeler, tout en me masturbant mécaniquement, que demain il ne faudra pas oublier d’étendre le linge ou d’aller aux courses.

Après, elle ouvre sa robe de chambre, elle s’allonge sur le dos et relève ses jambes tout en écartant ses cuisses. Au bord du lit, tout son fessier est accessible. Il n’y a plus qu’à. Elle me regarde et me fait un petit sourire avec un regard qu’elle voudrait coquin. Comme pour dire, voilà, je suis prête, tu peux venir. Je m’approche et je lui mets ma bite molle dans la chatte. Je fais des allers-retours. De temps en temps, elle me dit sur un ton neutre :

— Oh oui, c’est bon, vas-y !

Des fois aussi, tout en se grattant l’oreille, elle dit : « ouh, ouh, j’aime ça, continue ». Ma bite semble bien trop petite et bien trop molle pour sa chatte. Des fois, ma bite ressort et vient s’écraser mollement contre son sexe, mais il semble qu’elle ne s’en rende pas compte, elle continue « ouh, ouh, j’aime ça, c’est bon ». Je vois bien qu’elle dit ça pour m’encourager. Je continue tant bien que mal mes mouvements de va-et-vient, une main posée sur un de ses seins. Et puis, à un moment, je jouis. Elle se relève, me fait un bisou. Voilà, c’est fait. Elle passe par la salle de bain avant de s’occuper du repas qu’elle a pris soin de mettre à cuire avant nos ébats.

C’est comme ça depuis que nous sommes mariés.

Quand elle se lève et part, je regarde sa croupe sous sa robe de chambre et je me dis qu’elle mérite mieux que moi concernant la baise.

Mais bon, on est heureux.

Pourtant un jour, après l’amour, je lui dis comme ça :

— Tu savais que certains hommes font venir d’autres hommes chez eux pour satisfaire leurs épouses.

Elle m’a répondu :

— Mais qu’est-ce que tu racontes, je n’en ai pas besoin. Tu me satisfais très bien.

Un bisou pour me rassurer avant d’ajouter :

— Et puis à mon âge, je ne vois pas qui en aurait envie.

Quelques jours plus tard, assis à la terrasse d’un café où j’ai mes habitudes, je vois, à la table voisine, un jeune que j’ai croisé plusieurs fois à la bibliothèque municipale. Il se prend la tête avec la serveuse, car il lui manque vingt centimes pour payer son café. Ça m’énerve, alors je sors une pièce et lui tends. Il me remercie. Je lui propose de venir à ma table et on discute de choses et d’autres. Il s’appelle Rafik. Je le revois souvent à ce même café, du coup on se voit presque régulièrement. Peu à peu, j’en viens à lui parler de ma vie sexuelle pour lui faire comprendre que dans un couple, avec l’âge, la routine s’installe, mais que ce n’est pas pour ça qu’on est malheureux. Je lui ai montré une photo d’Yvonne qu’il a regardée assez longuement. Il n’a pas fait de commentaires. Je lui ai demandé comment il la trouvait. Il m’a dit qu’il la trouvait très jolie.

En rentrant, j’ai dit à Yvonne que j’avais montré sa photo à Rafik. Je lui ai aussi dit, en plaisantant, que d’après moi, il aurait bien gardé la photo pour s’en servir le soir dans son lit. Elle m’a regardé un peu choquée, mais sans trop quoi penser.

Je lui ai dit que c’était un beau gars, mais trop timide pour espérer avoir une petite copine avant longtemps, et tout en plaisantant j’ai ajouté :

— Toi qui es si charitable, voilà une bonne occasion pour faire une bonne action.

Ma plaisanterie ne lui a pas du tout plu !

Mais une semaine plus tard, je rentrai du café, elle me dit :

— Alors ton Rafik, tu le vois toujours ? Il a fini par trouver une copine, j’espère.
— Je ne crois pas, il est plutôt timide et intello. Ça n’aide pas.
— Tu devrais l’inviter à la maison, le pauvre.
— Comment ça, qu’est-ce que tu veux dire ?
— Eh bien, j’ai réfléchi à ce que tu m’as dit la dernière fois et je sais que tu le trouves sympa et j’ai de la peine pour lui.
— Tu veux dire que tu serais prête à lui offrir ton corps ?
— Juste une fois, pour rendre service. Il verrait comment une vraie femme fait l’amour.

La semaine d’après, avec difficulté, j’en ai parlé à Rafik. Il a juste dit d’accord, sans plus. On a convenu d’un rendez-vous chez moi le jeudi à 14 heures.

J’ai dit à Yvonne :

— C’est bon, Rafik vient jeudi à 14 heures.
— Mais tu es complètement fou, je disais ça pour rire, tu te rends compte, j’ai quarante-cinq ans, j’ai passé l’âge depuis longtemps ! Vraiment tu exagères. Tant pis pour toi, tu l’auras voulu !

Elle était vraiment fâchée.

Le jeudi, ma femme avait quand même préparé au salon, un petit thé avec des petits gâteaux. Des petites tasses en porcelaine de la grand-mère, des petites cuillères et une pince à sucre. Le tout sur un plateau.

À 14 heures pile, on sonne à la porte. C’est Rafik. Il est en costume trop grand pour lui, il a un bouquet de fleurs qu’il a dû cueillir lui-même, il a l’air un peu niais. Je l’emmène au salon. Ma femme est assise sur le sofa. Elle est en jupe et chemisier comme d’habitude. Elle se tient droite, les genoux serrés. Elle a mis du rouge à lèvres. Ce qu’elle ne fait jamais ! Il est trop rouge et mal mis. Elle se lève et ils se serrent la main. Il dit : « bonjour, madame ». On dirait un entretien d’embauche.

Il s’assoit sur le bord d’un siège. Je m’assieds sur un autre siège. Ma femme retourne sur le sofa. On boit le thé, personne ne sait quoi dire, tout le monde est gêné.

Ma femme finit par dire pour rompre ce silence pesant :

— Alors comme ça, vous faites des études de médecine ?
— Oui, répond simplement Rafik.
— J’espère que vous faites bien vos devoirs, dit-elle avec un petit rire nerveux. Hi Hi Hi !

Rafik ne répond pas. Il me regarde comme s’il ne comprenait pas.

Ma femme, un peu exaspérée, dit en se levant :

— Bon, je vais dans la chambre.

Rafik et moi la suivons peu après dans la chambre.

En entrant, je n’en reviens pas : ma femme est allongée sur sa robe de chambre, ses grosses cuisses relevées et écartées, sa chatte avec tous ses poils, ses grosses fesses, ses gros seins blancs qui pendent de part et d’autre de son buste. Les yeux simplement ouverts vers le plafond. Elle attend.

Rafik est lui aussi étonné. Ses yeux deviennent brillants et restent rivés sur la chatte de madame. Il se déshabille lentement, le regard ne fixant rien d’autre que le cul de ma femme. Il est petit et maigrichon, mais musclé. Il bande comme un taureau. Il une bite droite, fine et surtout dure et rigide comme de l’acier. Il s’approche de ma femme, se met dans l’axe et pose ses mains sur ses genoux.

Ma femme redresse la tête pour me dire :

— Tu es sûr, mon chéri, que ça ne te dérange pas, hein ?

Je n’arrive pas à répondre. Je lui renvoie un sourire crispé.

Rafik lui caresse d’abord les genoux en les écartant encore, puis il passe ses mains à l’intérieur de ses cuisses en descendant jusqu’à sa chatte, écartant encore les cuisses d’Yvonne. Il semble jauger ma femme du regard. Il passe son index entre les lèvres de sa chatte. Elle semble surprise par ce geste. Je l’entends dire d’un ton monotone, comme avec moi, le regard toujours vers le plafond, « Oh oui, c’est bon ! Oh oui, c’est bon ! ».

Rafik place ses mains à plat de part et d’autre du sexe de ma femme et lui écarte doucement les lèvres. Il approche son sexe de son ouverture. Il présente son gland. Lentement, il enfonce, il enfonce encore, il l’enfile. Dans le même temps, ma femme change d’expression, elle est interloquée, elle devient toute rouge, elle ne respire plus, ses mains sont crispées sur les draps, on dirait qu’elle va perdre connaissance. La bite de Rafik est maintenant entièrement enfoncée dans ma femme, il pousse encore. Elle finit par lâcher son souffle dans un râle non maîtrisé. Elle est toute rouge, les yeux fermés.

Rafik commence alors un travail soigné. Il la lime d’abord par de longs et lents va-et-vient, en maintenant les jambes d’Yvonne relevées de façon indécente. Madame D est méthodique, Rafik la baise donc méthodiquement. Il l’enfonce complètement à chaque fois. Il savoure, il en profite. Puis il accélère un peu le mouvement. Il s’accroche à Yvonne en la tenant par la croupe. Il la baise bien. Yvonne ne sait plus comment respirer. Il accélère encore le rythme. À chaque coup, elle laisse s’échapper un petit cri incongru. Il est en train de la défoncer. Chaque coup claque les fesses de ma femme. Il pilonne, j’entends maintenant floc-floc à chaque coup. Elle est en train de mouiller comme jamais. Ça coule littéralement. Il la ramène violemment contre lui à chaque fois pour mieux lui en mettre. Yvonne semble secouée comme une marionnette, à chaque coup, ses seins ballottent. Déconcertée, elle ne retient plus ses cris qui résonnent dans toute la maison. Elle est abandonnée.

La situation me semble irréelle : ma femme baisée par un jeune !

À un moment, je comprends qu’elle est en train de jouir. Rafik maintient la cadence, on dirait un sportif de haut niveau. Elle est tendue, les mains toujours accrochées aux draps. Elle est toute rouge et grimaçante, ses yeux sont fermés et elle bloque sa respiration qu’elle finit par relâcher par une expiration sonore. Il la pilonne comme jamais. Il att**** ses seins volumineux et les malaxe avidement. Pourquoi s’en priverait-il ? Il lui malaxe aussi fermement les fesses pour être sûr que ce n’est pas un rêve. Il revient sur ses seins. Il a sa bite dans la chatte de madame D, il est en train de la défoncer soigneusement et elle a l’air de bien en profiter.

Rafik commence le sprint final. Il n’est plus un homme, il est une bite. Cette fois, il ne pense qu’à lui, ma femme est là pour le satisfaire, il est en train de lui exploser la chatte. Yvonne semble défaillir, elle ne sait plus comment crier, elle émet seulement un court cri à chaque coup de bite, elle est dans un orgasme permanent. Enfin c’est la jouissance ! Rafik ne se retient pas, il jouit dans un râle sonore et puissant. Il enfonce quelques coups supplémentaires avant de se retirer en reprenant son souffle.

Yvonne reste à sa place, elle aussi reprend son souffle, mais aussi ses esprits. Rafik et moi sortons. Il se rhabille. Il est tout souriant, il me remercie beaucoup. On se serre la main. Il prend un biscuit avant de repartir.

Après quelque temps, ma femme sort de la chambre. Elle est en robe de chambre. Elle est surprise, mais contente de voir que Rafik est déjà parti. Elle ne dit rien, elle ne me regarde pas, elle est gênée, un peu honteuse. Sans rien dire pendant plus d’une heure, chacun dans ses pensées. Je suis sorti faire un tour. Quand je suis rentré, j’ai fait un bisou à ma femme, tout était redevenu normal.

Le lundi suivant, après Question pour un champion, elle est tout de suite allée dans la chambre. Quand je l’ai rejointe, elle était déjà prête au bord du lit. Cette fois, elle tient ses yeux fermés, et elle ne dit rien, elle semble concentrée. Je suis parvenu à l’enfiler malgré ma bite toujours un peu molle. Bizarrement, ce lundi-là, elle mouillait. Elle était vraiment très excitée, sa chatte toute mouillée mouille mon sexe et mon bas-ventre. Ma bite est toute moite, elle se perd et se plie contre son sexe ouvert et plus que moite, c’est presque pitoyable. Je m’y perds. Je finis par jouir lamentablement dans les poils de sa chatte. Elle se redresse et se lève d’un mouvement. Elle gagne la salle de bain sans un mot.

La semaine suivante, elle me dit comme ça :

— Alors, tu vois toujours ton Rafik ?
— Ben oui, on se voit au café comme d’habitude.
— Ah. Et il va bien, j’espère ?
— Oui, il va bien, mais à chaque fois, il me tanne, il veut encore venir te voir. Je lui avais pourtant bien précisé que tu n’avais accepté que pour une seule et unique fois.
— C’est vrai ? Le pauvre garçon, il ne doit pas avoir la vie facile. Il n’a pas de copine et avec ses études de médecine, il ne doit pas avoir beaucoup de distractions. Je m’en veux un peu de le faire souffrir.

Puis, un instant plus tard :

— Écoute, si tu es d’accord, dis-lui de venir jeudi prochain, je lui expliquerai de vive voix que je suis une femme mariée, qu’il ne faut plus qu’il y pense !

Le jeudi à 14 heures, Rafik est venu.

À 14 h 15, ma femme, les jambes relevées sur le sofa du salon, était en train de se faire troncher par Rafik en émettant des grands cris outrés. Rafik est vraiment persuasif.

Depuis, c’est devenu un rendez-vous hebdomadaire : le jeudi, Rafik vient baiser ma femme.

Un jour, je dis comme ça à Yvonne.

— Tu ne sais pas ce que m’a dit Rafik ? Il m’a dit qu’il aimerait bien t’enculer ?

Elle me dit :

— Alors ça, il manque pas de toupet, tu te rends compte, tu me vois faire ça ? Non vraiment, il exagère. Comment peut-il imaginer ça ? Il manquerait plus que ça.

Le lundi soir pourtant alors que je la prenais mollement, elle s’est soudain retournée, s’est agenouillée par terre, le buste sur le lit, la tête dans l’oreiller sans rien dire. Elle s’est cambrée, sa croupe offerte. Je n’ai pas compris tout de suite. J’ai écarté ses deux fesses, elle n’a rien dit, j’ai vu son petit trou du cul rose. Elle arrivait, je ne sais comment, à le faire palpiter, comme un signal qui répétait « Encule-moi, encule-moi ! ». Je me suis approché, j’ai essayé plusieurs fois de rentrer mon sexe dans son trou serré. Impossible, je bandai trop mollement, mon sexe se pliait et s’écrasait lamentablement. Elle a fini par se lever visiblement contrariée et est partie dans la salle d’eau : c’est sûr, elle était énervée !

Quand elle est revenue, déjà habillée, elle s’était calmée et m’a demandé de l’excuser. Je lui ai dit que j’étais vraiment désolé, que j’aurai voulu lui faire ce qu’elle voulait, mais…

Avec un peu de réticence, j’ai fini par dire :

— Tu pourras essayer avec Rafik si tu veux.

Le jeudi suivant, Rafik était en train de prendre ma femme par la chatte comme d’habitude. À un moment, elle s’est dégagée, elle s’est retournée et s’est retrouvée en levrette au bord du lit. Elle m’a regardé, elle semblait un peu honteuse, mais décidée. Rafik, surpris, a eu un moment d’hésitation. Puis, comme moi, il a écarté lentement ses deux fesses avec ses deux mains. Yvonne s’est alors concentrée pour faire palpiter son petit trou rose tout en me regardant sans expression. Le signal était clair. Rafik ne s’est pas précipité, il a profité un moment de ce spectacle, hypnotisé par le cul de ma femme qui suppliait.

Il a ensuite agi en expert : le voilà qui passe sa main sur sa chatte en ramenant le plus de mouille possible sur son anus, plusieurs fois. À chaque fois, son index masse son anus qui semble se décontracter de plus en plus. Ma femme s’applique en relevant bien son cul. Un éclair de défi passe dans ses yeux qui me fixent. Rafik att**** fermement les hanches d’Yvonne et présente sa bite devant l’anus. Elle est sur les coudes le cul relevé, offert. Ses deux seins pendent et ses tétons frôlent la robe de chambre. Il pousse doucement, ça rentre facilement lentement. Yvonne est toujours concentrée, elle souffle pour maîtriser la douleur. Yvonne prend conscience qu’elle a une bite dans le cul alors que son mari est là qui regarde, c’est la bite d’un jeune avec qui elle n’a échangé que quelques mots. Elle qui a quarante-cinq ans !

Rafik commence alors par coulisser lentement. La douleur et la honte se transforment doucement en un fourmillement dans son anus. Elle finit par se persuader que finalement, elle ne fait pas vraiment quelque chose de mal. Au fur et à mesure qu’elle se détend, Rafik lui met des mouvements de plus en plus amples, son sexe rentre dans son cul, centimètre par centimètre et ressort, centimètre par centimètre. Puis en gardant l’amplitude, il augmente la cadence. Ses couilles tapent régulièrement contre la chatte mouillée de ma femme. Il est maintenant en train de lui ramoner le cul sans retenue, on dirait une machine. Ça rentre, ça coulisse, ça tape, ça claque, ça crie. Les seins de ma femme ballottent dans tous les sens et les tétons gonflés frottent contre les draps. Sa chatte dégouline de mouille. Il l’att**** maintenant par les hanches et assure ses appuis sur ses pieds. Il continue de lui défoncer le cul avec cette fois plus de v******e. Mais cela n’a pas l’air de déplaire à Yvonne au contraire ! Elle serre les dents et crie à chaque coup. Elle semble même participer activement en s’empalant en rythme.

Ma femme en train de se faire enculer comme il faut par un petit jeune. Qui l’eût cru ? C’est à ce moment qu’elle se retourne vers moi et, tout en se prenant la bite de Rafik dans le cul, elle me demande en ahanant :

— Tu es… han ! sûr mon chéri… han ! que ça… anh ! te dérange pas ? Oumf !

Encore cette fois, je lui réponds par un sourire crispé. Elle décide que c’est une approbation et se reconcentre sur sa première sodomie. Son trou du cul est maintenant bien dilaté. Rafik lui écarte les fesses de façon obscène, elle ne dit rien, elle aime ça. Ses grosses fesses sont bien écartées, elle se cambre encore plus, la honte a complètement disparu. Elle est une femme.

Je contemple la scène. Madame D dans sa chambre rose. Entourée de fragiles bibelots posés sur les étagères. Elle en train de se faire enculer par un jeune.

Qui, demain en la voyant pousser son caddie au supermarché pourra se douter que son anus est encore tout endolori ? Que madame D aime la sodomie bestiale ?

Accroché à son cul et ses fesses de femme mûre, Rafik semble encore plus petit et maigrichon. Mais il a une énergie et une force incroyable. Il lui bourre le cul. Ma femme et lui s’agitent frénétiquement. Il la défonce et elle en jouit. Après quelques brèves minutes, c’est la fin, il crie sa jouissance dans un spasme. Une fois de plus, il est heureux et fier. Ma femme reprend lentement ses esprits.

Quand je m’approche, elle est souriante, heureuse et reconnaissante.

FIN

A propos de l'auteur

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