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Petits jobs et blowjobs

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Adolescent, comme beaucoup, je faisais des petits boulots durant les vacances d’été, c’était le début des années 90.
Un jour, ma tante m’a proposé de repeindre l’appartement d’une de ses amies qui emménageait seule après une séparation. L’amie en question m’a donné rendez vous un lundi matin et je me souviens qu’il faisait chaud et que je suis arrivé en retard.

L’appartement était grand, ancien et vide, et quand je suis arrivé avec une heure de retard l’amie de ma tante m’a sèchement fait comprendre que si je voulais être payé, il fallait que je sois là à l’heure et qu’elle commandait. Elle avait acheté la peinture, du plastique pour protéger le parquet, des rouleaux et une échelle et elle avait même amener un sac de vieux habits pour peindre. Elle a pris la peine de m’expliquer en trois minutes ce qui allait de soi: repeindre tout en blanc. Puis elle est partie travailler.
J’ai mis les plastiques, les scotchs, et j’ai enfilé un pantalon et une chemise trop grande que j’avais trouvé dans le sac et j’ai commencé à peindre. En début d’après midi, elle revient inspecter mon travail, satisfaite elle me propose de faire une petite pause et sort une bouteille de champagne de son sac! Je la regarde pour la première fois et m’aperçoit que c’est une belle femme brune et élancée elle me dit son nom: Béatrice. Elle fait sauter le bouchon et sert le champagne dans des gobelets en plastique. Lorsque nous trinquons à son nouvel appartement, j’ai de la peine a soutenir son regard, elle laisse une trace de rouge-à-lèvres sur le rebord du goblet. Un frisson érotique me traverse et je fais tout mon possible pour ne pas laisser transparaître cette émotion.
Je retourne à ma peinture et quelques minutes plus tard elle arrive pour me donner un coup de main, elle s’était changée et avait enfilé un short fait avec un jeans coupé court et un vieux t-shirt serré qui laissait apparaître les bretelles de son soutien-gorge en relief. Je m’occupais du plafond et elle des boiseries.
Nous discutions, elle me posais des questions sur moi, sur ma vie et je sentais qu’elle s’amusait de ma pudeur adolescente. En fait, elle m’irradiait érotiquement. Dans le courant de l’après-midi je remarquais qu’elle avait ôté son soutien gorge et me concentrer sur la peinture devenais de plus plus difficile. A un moment elle simula un faut mouvement et se répandis de la peinture sur le t-shirt… Elle l’enleva devant moi en riant, je n’avais jamais vu d’aussi beaux seins. En tentant de s’enlever la peinture, elle ne fit que l’étaler. Je suis certain qu’elle avait remarqué la bosse qui s’était formée dans mon pantalon, finalement elle parti se doucher et quand elle revint elle m’annonça que la journée était finie. Elle me regarda me changer en souriant tandis que je tentais de dissimuler mon éréction insistante. Puis je suis rentré chez moi et me suis masturbé deux fois de suite.

Le lendemain, je suis arrivé à l’heure. Lorsqu’elle m’ouvrit la porte, elle avait de nouveau son short court et une blouse légère qui tenait avec deux boutons, je remarquais tout de suite qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. J’ai tout de suite compris que l’énergie sensuelle dans laquelle nous nous étions quittés avait diparu. Dans la cuisine il y avait un ouvrier qui installait la machine à laver. Le type était un peu plus vieux que moi, métisse, portait un marcel qui moulait son corps musclé et il transpirait; ce qui me semblait normal pour avoir porté seul une machine à laver. Je dois reconnaître que en comparaison, avec mes restes d’acné et ma maladresse adolescente, nous ne jouions pas dans la même catégorie. Résigné, j’ai pris mes pinceaux et suis allé mettre la deuxième couche.
Quelques minutes plus tard, je constatai que l’appartement était soudainement devenu silencieux. Puis en tendant l’oreille, je remarquai que quelques bruits, des sons de tissus et des inspirations. Je mis le rouleau dans le bac et jetais un oeil dans l’entrebaillement de la porte de la cuisine. Le type était assis sur la table de la cuisine, sa tête et le haut de son corps étaient cachés par le mur, Béatrice était a genou absorbée, les yeux fermés, et tenait dans sa main un sex spéctaculaire, noir et musculeux. Lorsqu’elle approcha son visage pour essayer de le mettre dans sa bouche, je constatais qu’il mesurait en tout cas un fois et demie son visage. Elle commença a le sucer tout en continuant à le caresser. Elle remontait lentement sa langue depuis les testicules jusqu’au gland, pendant un temps qui me semblait extrêmement long, puis elle absorba le gland dans sa bouche, je pense qu’elle se rendait compte du caractère exceptionnel de l’objet et qu’elle le savourait particulièrement. A ce moment elle s’aperçut de ma présence et recommença le mouvement une dizaine de fois en me regardant dans les yeux, un défi?. Evidement, je bandais comme un fou, pour relever le défi, j’ai commencé à me branler doucement pendant qu’elle continuait à sucer l’Apollon noir en me regardant, le temps s’est perdu. Sans doute attiré par son regard, l’Apollon noir passa sa tête par la porte et me vis également. J’ai hésité à partir mais son sourire m’a fait comprendre que le spectacle ne faisait que commencer. Sans aucune hésitation, il retourna Béatrice et baissa son short, il la fit se mettre à quatre pattes et s’apprêta à la prendre en levrette, tous deux me regardaient au moment où il la pénétra, Béatrice baissa le regard et son visage se crispa, lui me regardais dans les yeux. Une bête, un dominateur, j’éjaculai à ce moment et senti qu’il se moquait de moi. Puis doucement il commença à bouger le bassin, doucement sans douter une seule seconde, sa main retenait Béatrice par les épaules, elle n’avait toujours pas ouvert les yeux. A chaque coup de rein, elle gémissait avec un mélange de repentir et je crois, de plaisir. Au bout d’une minute seulement, elle a eu un orgasme, elle a ouvert les yeux, s’est souvenu de ma présence et m’a soutenu le regard tandis qu’Apollon augmentait la cadence. Deuxième orgasme de Béatrice, je bandais de nouveau.
Apollon se détacha de Béatrice et la poussa vers moi. Elle m’embrassa, me passa la main sur le sex en guise de bienvenue et reprit sa position de levrette et je tentais de faire aussi bien que ce dont je venais d’être le témoin. Sa vulve était bouillant et très dilatée, je ne sentais pas grand chose à part la chaleur et l’humidité et les poils rasés qui me piquaient, je mordais sa nuque comme le font les animaux. Apollon nous observait avec son sourire de prédateur, il approcha son engin de la bouche de Béatrice tout en le tenant dans sa main puis s’en servit comme d’une matraque et donna quelque tapes sonores sur son visage en frôlant le mien. Un sex comme le sien c’est fait pour décider, pour commander, pour dominer; lui le savait et nous, nous en rendions compte, je crois qu’une grande part du plaisir qu’il prenait était de sentir les effets de ce pouvoir sur nous. Par surprise, il enfonça son sex dans ma bouche, et je n’ai rien pu faire, il tenait fermement ma tête à deux mains et je n’ai eu d’autre option que de me résoudre à honorer la bête. Jamais, je n’avais imaginé que ça m’arriverai, ses yeux était percant et c’était très spécial de sentir autant de puissance cogner au fond de ma gorge,mais je crois que l’objet en valait l’expérience; je fermai les yeux et perdis pied je suis venu dans Béatrice, la bouche pleine. Puis elle ma rejoint et nous avons sucé le type à deux en s’alternant, soumis, impressionnés, en silence jusqu’à ce qu’il nous éjacule dessus. Puis il s’est reboutonné, à pris sa boîte à outils et est parti. Nous sommes restés couchés sur la bâche en plastique, pleins de peinture quelques minutes puis nous nous sommes senti un peu mal à l’aise. L’après-midi était déjà bien avancé, nous avons continuer de peindre sans parler. Je ne suis pas retourné le lendemain.

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