À leur réveil, Rosalie et Elena constatèrent qu’elles se trouvaient toujours dans la planque de Jimmy et de ses compères. Ceux-ci étaient restés auprès d’elles durant tout le temps où elles étaient endormies.
— Eh bien, les filles ! On aime faire la grasse matinée, à ce que je vois. Bon, passons. Mes amis et moi avons quelques infos pour vous. Hier soir, on a suivi un bourgeois qui nous semblait un peu suspect.
Elena, en bonne journaliste, voulait ne laisser aucune notion au hasard.
— Qu’entendez-vous par «suspect» ?
— Le genre de type bien habillé qui passe sur notre territoire avec sa grosse bagnole, ça la fout un peu bizarre. Donc, on l’a suivi. Il s’est arrêté devant une lourde porte de métal pas loin d’ici. Il est sorti de sa caisse et il a frappé à la porte. Un type genre videur de broîte de nuit lui a ouvert et lui a demandé un mot de passe. Et le bourgeois a répondu : Wonderporn. Il a pu rentrer. On a attendu un peu et frappé à la porte. Le videur nous a demandé le mot de passe. On l’a donné et il nous a laissés rentrer.
— D’accord mais quel rapport avec John Stone ?
— On va y arriver, poupée. Dès qu’on est rentrés, on a voulu savoir qui était le boss du coin. On a monté un escalier et on est arrivé devant un bureau. Il y avait un nom sur la porte : Jo Nesthon. On a voulu savoir qui était ce type. C’est là qu’on s’est rendus compte que si on changeait l’ordre des lettres, on pouvait écrire John Stone.
— Bon, je sais maintenant que John Stone dirige un salon qui a l’air de lui rapporter beaucoup d’argent mais est-ce que vous êtes tombés sur autre chose ?
— Oui, poupée, on a réussi à trouver dix kilos de cocaïne dans la cave. On en a fait une photo.
— Merci, les gars ! Beau travail ! Mais il faut encore découvrir d’où provient cette drogue. Cette mission est pour moi. En tant que femme, je peux me faire passer pour une candidate à un poste dans la broîte. Comme ça, je pourrai te donner toutes les informations dont tu as besoin pour ton dossier, Rosalie.
— Très bien, on fait comme ça. Les gars, emmenez-la au salon mais soyez discrets.
— Pas de problème, poupée !
Les cinq hommes guidèrent Elena jusqu’au salon qu’ils avaient découvert. Arrivés à une certaine distance de l’endroit, ils laissèrent Elena poursuivre seule. La jeune journaliste frappa à la porte et un homme aux larges épaules, lui semblant être le videur, lui ouvrit.
— Mot de passe ?
— Wonderporn.
Le videur la laissa entrer et lui demanda la raison de sa venue.
— J’ai entendu dire par des amis que vous cherchiez des femmes pour vous servir d’hôtesses. Je suis bien au bon endroit ?
— Oui, Mademoiselle. Je vais contacter mon patron pour lui dire qu’il a une nouvelle candidate à voir.
Le videur appuya sur le bouton d’un talkie-walkie et annonça la venue d’Elena dans le micro. Une voix lui répondit d’amener la jeune femme jusqu’à son bureau.
L’homme guida Elena à travers un escalier jusqu’à une porte abritant un bureau. Sur la porte figurait le nom indiqué par son contact : Jo Nesthon.
Le videur frappa à la porte et une voix grave lui répondit d’entrer. Il ouvrit la porte et invita la jeune journaliste à pénétrer dans le bureau.
Lorsqu’Elena fut entrée dans la pièce, la porte se referma. En face d’Elena, un homme était assis sur une chaise pivotante, le dossier tourné en direction de sa visiteuse. L’homme fit pivoter sa chaise de 180 degrés, faisant face à la jeune femme.
À cet instant, elle ne douta plus : en face d’elle, comme l’avait suggéré son contact, se tenait John Stone.
— Asseyez-vous seulement, Mademoiselle.
Elena prit place en face du milliardaire.
— J’ai eu vent de votre candidature, Mademoiselle. Mais avant tout, j’aimerais savoir pourquoi une belle femme comme vous souhaite travailler dans un lieu comme celui-ci.
— Eh bien, disons que ma beauté m’a valu de faire quelques expériences. J’ai vraiment aimé faire ces expériences. C’est pourquoi je souhaite travailler dans votre entreprise.
— C’est un schéma plausible. De plus, vous me semblez tout à fait intéressante. Mais avant de vous embaucher, je dois vous demander de remplir ce questionnaire au sujet des prestations que vous souhaitez offrir ou non aux clients. Je tiens également à vous préciser que chaque prestation est filmée dans le but d’offrir un petit souvenir à nos clients. Vous pourrez également choisir si vous autorisez ou non les clients à mettre les vidéos en ligne. Avez-vous des questions ?
Elena secoua la tête et John Stone lui remit le questionnaire. La jeune femme le remplit en prenant bien soin de cocher «non» à la ligne «Mise en ligne des vidéos» afin de ne pas risquer de compromettre sa carrière de journaliste.
Le milliardaire lut le questionnaire rempli par Elena et lui sourit.
— Je vois que vous accordez un certain nombre de faveurs. Vérifions d’abord si vous les donnez bien.
John Stone défit la fermeture éclair de son pantalon et fit glisser le vêtement au sol. Elena comprit de suite qu’il lui fallait compter sur ses talents sexuels pour pouvoir continuer son enquête.
La jeune femme se déshabilla rapidement et s’agenouilla devant le milliardaire qui arborait déjà une verge turgescente à la vue du corps dénudé de la journaliste. Celle-ci s’agenouilla devant lui et se mit à le masturber en le regardant vicieusement dans les yeux.
— Hum… Vous avez une belle queue, boss. Quelle chance j’ai de pouvoir la sucer !
Sur ces mots, Elena mit le sexe de John Stone en bouche et fit coulisser ses lèvres sur toute sa longueur en prenant soin de lui malaxer délicatement les testicules.
Après quelques minutes de ce traitement, le milliardaire ordonna à Elena de recracher sa verge et d’appuyer ses mains contre un mur. La jeune femme obéit avec un plaisir feint à l’injonction. John Stone se positionna ensuite derrière elle et enfonça sa verge dans son fessier. Lorsqu’il se fut bien introduit dans le petit trou de la journaliste, John Stone se mit à la sodomiser avec force, la faisant hurler de plaisir.
— Oh oui ! J’aime avoir votre queue dans le cul ! Oh oui, baisez-moi !
Pour ajouter de la sincérité à cette provocation purement théâtrale, Elena se caressa la chatte avec une frénésie feinte. Ce manège eut rapidement effet sur son partenaire : en moins de quelques instants, il se retira de son fessier et lui ordonna de s’agenouiller devant lui, la bouche ouverte, pour recevoir sa semence.
Dans un râle de plaisir, John Stone macula de sperme le visage, la bouche et la poitrine de la jeune femme. Celle-ci se nettoya de ses mains et porta la semence de son partenaire à sa bouche en lui jetant un regard concupiscent.
— C’était parfait, Mademoiselle !
— Ça veut dire que je suis engagée comme hôtesse ?
— Mieux que ça ! Je vous embauche comme mon hôtesse personnelle !
— C’est un honneur, boss ! J’accepte votre offre.
— Parfait ! Maintenant, regardons un peu ce que font vos collègues.
John Stone alluma la télévision de son bureau et plusieurs salles apparurent à l’écran. Dans chacune de ces salles, une hôtesse se livrait à des ébats passionnés avec un client.
Le milliardaire invita Elena à s’assoir sur ses genoux et tout en caressant chacun le corps de l’autre, l’hôtesse et son patron savourèrent les avant-premières qu’ils regardaient.
La jeune journaliste ne pouvait espérer mieux : être l’hôtesse personnelle de John Stone lui permettait de mener son enquête beaucoup plus facilement. Il ne lui restait plus maintenant qu’à déterminer la provenance de la drogue cachée dans la cave.
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