Etudiant, je partais à la fac pour plusieurs semaines, et je ne revenais à mon domicile (chez ma tante Mado) qu’occasionnellement. Ce jour là, chargé comme un baudet (linge sale oblige), je rentrai chez ma tante…
Devant la maison il y avait une camionnette d’électricien. En effet Mado faisait refaire une partie de l’installation électrique. Donc j’entrais dans la maison par derrière, dans la buanderie. Pas de bruit… Quand j’entendis des soupirs qui venaient du salon…
J’avançais à pas de loup, je glissais un œil dans le salon, dissimulé par la porte.
Mado, ma tante, embrassait un homme en tenue de travail. L’électricien ! Un homme de 35-40 ans qui faisait courir ses mains sur le corps pulpeux de Mado. Celle-ci avait l’air d’être à son affaire ! Elle portait une robe noire moulante et décolletée, et des escarpins. Ses gros seins semblaient vouloir s’échapper du décolleté…
L’électricien l’avait enlacée en posant ses mains sur ses fesses au travers de sa robe moulante. Il malaxait maintenant fermement les fesses de ma tante en relevant progressivement sa robe. Cela fit apparaître la dentelle de ses bas.
— Tu veux que je te baise, hein ma grosse cochonne !
— Oui j’ai envie.
— Tu mouilles déjà j’en suis sûr, lui dit-il en la regardant droit dans les yeux.
Elle ne répondit pas mais la main de l’homme s’était insinuée entre ses fesses. Il ramena sa main devant le visage de Mado en ajoutant :
— Bien sûr que tu mouilles, tu es trempée, ma salope !
— Oui, j’ai trop envie de toi !
— Je vais m’occuper de toi, n’aie pas peur ! Tu veux du cul, je vais t’en donner !
Il poussa ma tante en avant, la plaçant à genoux sur le canapé le torse sur le dossier, son cul bien relevé. Il releva sa robe. Sonia était à quatre pattes en bas et talons aiguilles en train de se faire malaxer les fesses par cet homme .
— Hummm.
— C’est bon, hein, ma petite bourgeoise ?
— Oui !
— Je prends mon temps. Je vais encore te faire mouiller rien qu’en te massant les fesses. T’as un beau gros cul de salope. Tu veux un doigt dans ta fente ?
— Mmmm.
Il s’était placé à hauteur de son cul et insérait doucement un doigt dans sa chatte. J’étais tétanisé et totalement excité ! Mon sexe s’était durci. À voir ma tante train de se faire doigter en levrette par un inconnu et excité comme à la vision d’un film porno. Une sensation étrange de colère et d’excitation. L’électricien s’était mis torse nu. Il était assez musclé. Il claqua à nouveau le cul de Mado.
— Hummm, gémit elle.
— Garce, tu en veux !
— Ouiii, dit-elle suppliante. Claque-moi mon gros pétard.
Il activait maintenant deux doigts dans sa chatte trempée. Elle ondulait sous ses caresses. Il faisait durer son plaisir. Pendant au moins dix minutes il alterna un puis deux doigts. Puis lui léchait le sexe puis la caressait à nouveau.
— Hummmm.
— Tu veux ma queue, salope ?
— Oui je la veux !
Il la retourna, dégrafa son jean et sortit son sexe rapidement. Mado l’avala avidement. Elle paraissait totalement hystérique. Elle suçait goulûment ce sexe turgescent et lui malaxant les couilles.
— Tu es une grande suceuse de bite ! Continue, vas-y ! Ne t’arrête pas ! Quelle grosse pute.L’encourageait-il.
Comment était-ce possible ? Ma tante se faisait traiter comme la dernière des putes, se faisait insulter et dominer par un électricien ! Et elle aimait ça ! Et plus il l’insultait plus elle était excitée.
— Retourne-toi, lui dit-il, je vais te mettre un doigt dans le cul. Tu aimes ça, hein ?
– Oui. Vas-y encule mon gros cul !
Tata lui obéit immédiatement et se replaça en levrette sur le canapé. Il lui écartait les fesses. Il enfonça alors un doigt dans son anus.
— C’est bon, hein ma cochonne ?
— Ouiii !
— Tu veux combien de doigts dans ton cul ?
— Ce que tu veux ! Fais-moi ce que tu veux !
— Bien sûr je vais t’enculer ! À fond je vais te la mettre, mais je prends mon temps, je te dilate le cul. Enculée !
Pendant encore quelques minutes il lui lécha l’anus, lui enfonçant alternativement un puis deux doigts dans le cul et dans la chatte. Il faisait durer. Il tenait sa proie. Elle haletait, tremblait, se tortillait sous ses caresses.
— Maintenant je vais te baiser, lui dit-il.
Il enfonça son sexe doucement, très lentement, dans la chatte de ma tante. Le corps de Mado s’était raidi. Elle cessa de respirer puis poussa un gémissement interminable. Il allait et venait; elle suivait la cadence.
– Vicieux, tu y vas en force. Tu as de la chance, j’aime ça. De toute manière, il faut bien me préparer à recevoir ton beau zizi. Ouvre-moi en grand !
-Tiens ma grosse cochonne, prends-la ma queue.
-Oui oui oui ! Oh cochon, tu me trais les seins, tu me tire dessus. C’est bon, mais n’oublie pas de me bourrer. Je veux que tu me foutes bien au fond… Vas-y, vas-y, nique-moi à fond !
-Putain les gros nibards, ils bougent bien !
– Viens, viens, inonde-moi, souille-moi avec ton bon jus ! … Balance tout sur! Je veux que tu craches ton foutre maintenant! Ah, vas-y! , vas-y!
Il accéléra, elle hurla. Sa jouissance était totale, elle s’effondra sur le côté. Il se retira un instant.
— J’en ai pas fini avec toi, lui dit-il, je t’ai promis de t’enculer et je sais que tu ne refuses jamais une bite dans ton cul.
— Laisse-moi souffler, salaud !
— Rien du tout ! Mets-toi en levrette, sale pute !
J’étais assommé ! Ma tante traitée de sale pute ! Tous ces mots crus, toutes ces grossièretés jetées à la face de Mado. Et elle en redemandait !
Elle se replaça obéissante et soumise en levrette. Il cracha sur son cul puis enfonça sa queue doucement dans son anus. Il avait une bite assez fine mais longue ! Mado se figea un instant puis à nouveau ondula du cul.
— Salope, tu aimes te faire enculer ! Réponds-moi, salope, réponds quand je te parle !
— Oui.
— Oui quoi ?
— Oui, j’aime me faire enculer, dit-elle d’une petite voix.
— Encore ! Répète-le encore plus fort, dit-il d’un ton autoritaire.
— Oui, j’aime me faire enculer ! Oui, encule-moi, salaud ! Baise-moi !
— Voila, c’est comme ça que je te veux !
– Hmmm, hmmm… Elle est bonne ta pine! Baise-moi bien à fond avec ton gros manche! Nique-moi, nique-moi.
– …
– Vas-y, je veux que tu jouisses en moi. Ne t’arrête pas. Vas-y plus vite, plus fort
– Ah, han ,han. Il la défonçait à grands coups de bite.
– Vas-y, mets-m’en encore !
– Bouge salope ! Bouge ! Remue ton gros cul sur ma queue. Empale toi.
-Salaud, c’est bon ce que tu me fais, continue.
• – Vas-y, bouge. Ca te plait hein ?
-Ah!!!, tu es au fond … Dieu que tu es long…. Cela fait longtemps que je n’ai pas été comblée aussi profondément par la queue d’un homme…
Ouh ! La menteuse ! Quand j’étais là il faut dire que je m’occupais bien d’elle, lui tétant ses gros nibards, la baisant régulièrement… Mais le fait que je sois absent avait du créer un manque de bite pour elle. Donc l’électricien !
Devant le spectacle, je me branlais vigoureusement… J’explosai enfin… De longues saccades de sperme. Jouissance longue et puissante.
Dans le salon…
Il la labourait brutalement. Elle jouissait à répétition ; elle hurlait en se tortillant. Il se cambra et grogna en jouissant au fond de son œillet. Ils s’affaissèrent soudés. Il se retira… Mado resta immobile, savourant son orgasme. Rapidement, il se redressa et se rhabilla. Elle reprit un peu ses esprits. Elle se recoiffa maladroitement.
— À mardi prochain ?…Pour finir « les travaux » !!! Lui lança-t-il en faisant un clin d’œil.
— À mardi, dit-elle à voix basse. Elle semblait honteuse…
combien poure te baiser écri moi