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Trouvé sur le net : Masturbation avec maman

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C’était un après-midi de novembre. J’étais revenu un peu plus tôt à la maison que prévu. Comme à mon habitude, je passai par la porte de derrière. Je devais, apparemment, ne pas être très bruyant, puisqu’en arrivant dans le salon, je surpris ma mère, pantalon et culotte baissés, devant un film porno. Elle était à moitié allongée, portait un top blanc et avait décidé de laisser pendre ses longs cheveux bruns.

En me voyant, ma mère poussa un cri. Surpris moi aussi et des plus gênés, je baissai les yeux pendant qu’elle remontait tout de suite sa culotte et fermait les jambes. Elle me demanda ce que je faisais là, je lui répondis qu’un de mes professeurs était absent ce jour-là et je ne pus m’empêcher de rire de la situation. Ma mère était embarrassée, toute rouge, elle était désolée et s’excusait. Elle ne savait plus où se mettre, je lui dis donc que tout allait bien, que ce n’était pas un drame, que tout le monde le faisait de toute façon. Je pense qu’elle fut un peu rassurée.

Dans le saisissement de la situation, elle avait oublié d’éteindre la télé et je ne pus m’empêcher de regarder quel genre de porno elle regardait. Il s’agissait d’un vieux film, sûrement des années 80 ou 90, une vieille VHS qu’elle avait dû garder. Quand elle le remarqua, elle éteignit de suite la télé. Cela me fit rire, ce n’est pas tous les jours qu’on surprend sa mère en train de faire « une bêtise ». Je la rassurai encore un peu, en lui expliquant que cela n’avait rien de grave, que c’était sain, surtout que cela faisait un moment qu’elle n’avait plus connu d’hommes – mon père étant décédé 10 ans plus tôt, lorsque j’avais 9 ans.

Avant de partir pour monter dans ma chambre, je lui dis que si elle le voulait, je pouvais lui prêter quelques films de temps à autre, on en fait des beaucoup mieux de nos jours. Elle prit ça sur le ton de la rigolade et me fit signe de m’en aller, mais je lui dis avant de quitter la pièce que j’étais sérieux, qu’il n’y avait aucun souci. Les traits de son visage changèrent ; je pense qu’elle considérait la chose.

Et j’avais raison, puisque quelques semaines plus tard, ma mère vint toquer à ma porte, timidement, toujours avec ses petites joues rouges, caractéristiques de quand elle est gênée.

« Tu te rappelles quand…, commença-t-elle, tu te rappelles quand tu m’as surpris en train de…, enfin, tu sais quoi !
– Quand tu te masturbais joyeusement dans notre salon ? La taquinai-je, elle baissa la tête, honteuse.
– Oui…, tu m’avais dit que tu pouvais m’avoir des vidéos…, est-ce que c’est toujours le cas ? »

Je lui gravai alors deux DVD que je remplis de vidéos pornos en tous genres, celles que j’avais appréciées le plus et que j’avais gardées. Bizarrement, j’espérais qu’elles plaisent aussi à ma mère, j’avais envie, pour je ne sais quelle raison, qu’elle se fasse plaisir un peu grâce à moi.

Et puis…, plus rien, au moins pendant un moment. Je lui avais demandé, au dîner, si les films que je lui avais choisis lui plaisaient et elle m’affirma que c’était le cas. Elle prit même plaisir à me raconter quelle scène lui avait particulièrement fait de l’effet : celle où une jolie rousse se faisait prendre en levrette sur un lit à baldaquin et où l’homme lui tirait subitement les cheveux en arrière, la faisant gémir bruyamment dans sa soumission. Cela m’avait étonné que ma mère en parle si ouvertement, cela me fit même un peu bizarre d’imaginer ma mère appréciant la soumission. On essaye souvent d’éviter d’imaginer sa mère comme une personne sexuelle, et pourtant…

Un peu plus tard, je crois que c’était deux mois après le premier évènement, je l’ai de nouveau surprise en train de se masturber, toujours dans le salon. Elle fut encore étonnée de me voir et cette fois-ci, éteignit la télé en premier, mais ne remonta pas tout de suite sa culotte, parce que j’eus le temps de lui dire, cachant la vue avec ma main, qu’il n’y avait pas de souci, qu’elle pouvait continuer et que je montais directement dans ma chambre. Elle fut surprise par mon geste, hésita un instant, mais en montant les escaliers je pus entendre qu’elle avait rallumé la télévision.

Il faut me comprendre : ma mère, Lucie, 39 ans, n’a pas connu d’hommes – du moins, pas que je sache – depuis la mort de mon père. On en avait déjà discuté auparavant, elle m’avait expliqué qu’une relation avec un autre homme ne la tentait plus, le souvenir de mon paternel était trop fort et que cela ne la dérangeait pas du tout. Alors je n’allais tout de même pas abréger le peu de plaisir sexuel qu’elle avait.

Un beau jour, lorsque j’étais dans ma chambre, travaillant sur un de mes cours, ma mère m’appela au rez-de-chaussée. Le film qu’elle voulait regarder ne se lançait pas, me dit-elle alors. En cherchant un peu, je trouvai rapidement la solution au problème et le film porno commença à l’écran. Sauf que cette fois, au lieu de remonter dans ma chambre, afin de m’assurer que le problème n’allait pas revenir, je décidai de rester un peu. Je m’assis dans le fauteuil, plutôt à l’écart de ma mère.
Elle avait choisi, sans le savoir, un de mes films préférés, à propos d’une femme d’âge mûr et de ses aventures sexuelles avec des jeunots. Ma mère me dit alors, en rigolant :

« Je ne savais pas que tu aimais les femmes plus âgées ! »

Je rougis et ne savais plus où me mettre, j’hésitai même à partir. Surtout que l’excitation commençait à se faire sentir, mon cœur battait de plus en plus fort, j’avais chaud et cela commençait à me serrer dans le pantalon. Je voulus bouger mon sexe dans une position plus confortable, ma mère me regarda à ce moment et crut probablement que je voulais me masturber, je sortis alors tout de suite la main de mon caleçon et fit semblant de ne pas avoir croisé son regard. Elle me dit alors quelque chose qui me surprit beaucoup :

« Tu sais… si tu veux te caresser…, tu peux ! Cela ne me dérange pas, c’est ton film après tout, je ne vais pas t’empêcher de le regarder ! Je ne regarderai pas et tu ne me regarderas pas… ! »

J’hésitais, mais la scène passa à un gros plan de l’actrice qui suçait goulûment l’homme, elle lui dit, en anglais, qu’il pouvait l’appeler maman s’il voulait. Je ne savais pas si ma mère avait compris, mais moi, cela me fit bander encore plus. Je lui répondis :

« Tu es sûr que ça ne te dérange pas ?
– Non, vas-y ! Il n’y a pas de souci ! »

Je me touchai, d’abord, au travers de mon pantalon. Mais j’avais une telle érection que cela me faisait mal. Je décidai alors, pris par l’excitation, de me lancer et de sortir mon sexe. Du coin de l’œil, j’avais pu voir que ma mère avait jeté un bref coup d’œil à ce que je faisais, puis elle s’efforça de ne regarder que la télévision.

J’étais terriblement excité, je ne sais pas trop pourquoi, ce n’était pas tant le film porno, que j’avais vu trop de fois, c’était le fait de me masturber là, devant ma mère, j’étais comme un petit garçon tout fier de montrer sans honte son zizi tout dur à sa maman. Je n’étais pourtant pas attiré par ma mère, mais j’aurais voulu qu’elle le regarde, qu’elle fût impressionnée par la taille du sexe de son garçon qui était devenu homme. Je suppose qu’il y a quelque chose de freudien là-dedans. Il n’empêche que j’étais terriblement excité, cela me prenait au ventre. Tellement que je n’ai pas tenu longtemps, mon sexe en main, avant d’atteindre l’orgasme. Comme je n’étais pas préparé et n’avais pas de mouchoirs sous la main, et surtout étant trop pris par la jouissance, j’éjaculai abondamment devant moi, sur le sol.
Ma mère, en entendant le bruit des gouttes de mon sperme s’étaler sur le carrelage, ne put s’empêcher de regarder de mon côté, je crus même la voir accélérer le mouvement de sa main dans sa culotte, mais je fis semblant de ne rien voir.

Bizarrement, après coup, je ne ressentais aucune honte. Il y eut bien le moment un peu nul où j’ai dû nettoyer le sol de mon sperme devant ma mère. Mais à part ça, je me sentais plutôt bien. Je pensais que ce ne serait jamais le cas, mais j’avais même envie de recommencer.

Mais je me trompais puisque ma mère, à peine quelques jours plus tard, entra de nouveau dans ma chambre pour me dire cette fois qu’elle allait regarder une de mes vidéos et me demanda si je voulais la rejoindre. Évidemment, j’ai tout de suite accepté.

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