« histoire basée sur des faits réels »
Je travaille dans une société sur Paris qui m’offre le luxe de pouvoir m’entrainer entre 12h et 14h tout les jours.
D’abord seul, une communauté d’adepte se mirent à intégrer le groupe.
Intriguer par la motivation et la régularité des membres, mon manager (nous l’appellerons Sandrine) profita de ne pas avoir de réunion et décida de nous rejoindre pour une séance ce jour là.
Sandrine est une femme de la quarantaine, très bien entretenue, très jolie et assez autoritaire et prude
La séance était intense et longue… et tous se précipitèrent pour accéder aux douches qui étaient mixte et en nombre limitée. Je profitais du chemin du retour à la boite pour échanger avec Sandrine de quelques dossiers.
En arrivant, il n’y avait plus personnes aux douches, nous allons chacun dans notre coin occuper une douche.
15 min plus tard, j’avais terminé et je m’apprêtais à partir quand en sortant de ma douche, je vis ma manager nu.
Elle pensait être seul et ne s’était pas aperçu que j’étais encore ici, je tentais de refermer discrètement ma porte pour pouvoir la prévenir que je sortais, de sorte qu’elle prenne ses dispositions mais elle m’aperçu …
Très pudique, elle se mit rapidement une serviette autour d’elle et s’excusa de sa tenue.
– « ce n’est rien, je pensais aussi être seul, je vais te laisser et on se rejoint après ? »
– » ça marche »
– « tu veux que je te prenne quelque chose à manger sur le chemin ? »
– « oui prends moi, une salade, attends je te donne les sous »
en se penchant pour récupérer son portefeuille, elle laissa entrevoir ses magnifiques fesses bien ferme et bien ronde et sa petite chatte pas tout à fait sèche. En se retournant elle pris conscience qu’elle n’avait pas encore mit sa culotte et espérait que je ne le vis pas.
Je détournai rapidement la tête faisant mime de n’avoir rien vu mais ma queue à travers mon pantalon me trahissait …
– « je ferai bien d’y aller » lui dis je
– « attends, prends ce qu’il te faut, c’est dans mon sac »
en allant dans son vestiaire, elle ferma d’un coup la porte derrière nous et me regarda fixement, puis lentement elle se baissa vers son sac et remonta son cul le long de ma cuisse…
Là ma queue gonfla tellement qu’elle commençait à me tirer. Là Sandrine se mit à m’attirer vers elle en me tenant par la queue et commença à se doigter tandis qu’elle me baissait mon pantalon.
Moi j’étais comme paralysé, encore surpris par la scène surréaliste qui était en train de se passer… je lui dis
– » tu ne voulais pas que j’aille te chercher à manger ? on est déjà en retard… »
– « justement, laisses toi faire, aujourd’hui j’ai envie d’autre chose … »
et elle se mit à me sucer, en enfonçant lentement ma queue dans sa bouche tout en me regardant. D’abord géné, je ressentais l’excitation de me faire sucer, qui plus est par ma manager qui me menait la vie dure et je décidais de profiter de l’occasion pour reprendre le dessus.
Je lui saisis la tête puis me mit à lui faire des va et viens dans la gorge comme si c’était sa chatte. Plus ses bruits d’aspirations se faisaient entendre et plus je tapais fort dans sa gorge » sluurp , sluuurp ». De la bave coulait de sa bouche sur ma queue et le long de son corps sur ses beaux seins.
Ayant peur de lui faire mal, je décidais de me retirer mais elle me saisit la main contre son crâne et poussa ma queue à travers sa gorge pour se faire une gorge profonde.
Je n’en pouvais plus, dans l’excitation, je commençais à lui mettre des doigts dans le cul puis je saisis son rouge à lèvre dans son sac pour le lui enfoncer pendant que je la doigtais et que je sentais mes doigts trempés par sa mouille chaude et blanche …
en entendant ses gémissements et voyant sa mouille, je voulais la lécher absolument, alors je me retirai de sa bouche difficilement car elle ne voulait plus la lacher et je la retournais à quatre pattes, les mains sur le sol de la belle douche italienne et là je commençais à lui lécher la chatte, puis l’anus… là elle commençait à se toucher
– « j’en peux plus, je veux que tu me la rentres maintenant, dans chaque trou, je veux pouvoir la sentir »
puis elle écarta son cul » tu peux commencer par là si tu veux, tu me diras si je l’ai bien exercé tout à l’heure au sport » dis elle en souriant avec son air coquin !
là , la voyant comme une vrai chienne, je me mis à lui rentrer ma verge dans son cul pour la baiser le plus fort possible
– « vas y , j’aime quand tu me défonces le cul comme ça , continue ! cria t’elle en me tenant si fort que je sentais ses ongles dans mes jambes
elle continuait de me narguer « vas y, je suis sur que tu peux plus que ça , fais moi mal putin »
je ne l’avais jamais vu aussi excité et je ne pensais même pas qu’elle puisse être aussi vulgaire… je me mis à la tenir fermement par les hanches et à lui mettre des gros coups de reins. Ca claquait fort !!
Pris dans l’excitation, je lui pinçais les seins et lui mit une claque sur le cul tellement forte, qu’elle résonna dans tout les vestiaires.
Ses fesses étaient rouge et elle me criait » c’est ça que je veux, ya personne continues ! fais ce que tu n’oserais pas faire à ta femme ! »
puis… d’un coup… alors que je continuais de lui baiser son petit cul sérré, je senti un jet me couler dessus …
Elle était tellement détendu qu’elle s’était pissé dessus sans s’en apercevoir…
S’apercevant de la scène, elle s’est senti soudain très géné de la situation et se remetta la serviette autour d’elle en me disant « je suis désolé, c’était pas voulu… qu’est ce que j’ai fait … »
je ne lui répondis pas. Je lui retire sa serviette et je commence à lui lécher la chatte encore coulante …
Elle me regarda et compris que comme elle je n’avais pas de tabou et elle me dit :
– » pour me faire pardonner, je vais te sucer jusqu’à ce que tu me pisses dessus, je veux avoir ton foutre et ta pisse sur moi !
ceci ne tarda pas, d’abord une éjaculation qu’elle tenta d’avaler sans perdre une goutte puis elle s’enfila à nouveau son rouge à lèvre dans le cul tout en continuant de me sucer et de me lécher le bout du gland pour me donner envie de lui pisser dessus…
– » je pense que ce ne sera pas ma dernière séance avec toi » me dit elle avant de retourner se laver …
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