Toc , toc , toc ! Je frappe à la porte de chez Corine . » C’est Jean-Wilfrid , tu peux m’ouvrir , s’il te plait ! » . » Oui , j’arrive ! » . Corine m’ouvre la porte , c’est une fort jolie blonde qui a un copain étudiant comme elle , je les ai vu ensemble , une fois . Elle ouvre : » Bonjour Jean-Wilfrid , entre , je t’en prie » . » Merci » , lui répondis-je . » Je suis venu avec une bouteille de rhum de 75 cl , car ma mère m’a dit que cela ne se faisait pas si je ne vous amenais rien ! » . » C’est un rhum antillais de marque Baobab , une spécialité locale ; quand à moi je suis venu avec ma petite clef à molette dont je ne me sers pas souvent , mais qui m’apporte toujours une grande satisfaction lorsque je l’utilise . » . » J’ai également apporté 2,3 joints de 18 , pour en changer un avec celui qui est défectueux ! » . » Aaaah , tu es trop cool , je te laisse travailler . Merci pour la bouteille ! » . 10 mn plus tard j’avais fini d’effectuer la réparation de son robinet qui fuyait , il suffisait juste de dévisser , de soulever le la tige centrale et de changer le joint qui était à bout de course . » Voilà , c’est fait . Tu peux remettre l’arrivée d’eau ! » . » Ok , me dit-elle , j’essaie pour voir si ta réparation marche . » . Le robinet ne fuyait plus et l’eau était à un bon débit . » Bon ben je vais vous laisser , je vous souhaite une bonne journée . » . » Oh , tu peux boire un verre avec nous si tu veux , tu l’as bien mérité … » . » Aaaah , pourquoi pas , je veux bien . » . Quelqu’un sortit de la petite salle de bain , c’était Marie-Jo , resplendissante , comme d’habitude . » Mhpf … Bonjour Jean-Wilfrid , je vous ai entendu de la salle de bain , c’est très gentil de votre part d’être venu réparer le robinet , merci ! » . » De rien , content que ça vous ait fait plaisir » . Corine prit la parole : » j’ai proposé d’offrir un verre à Jean-Wilfrid , il a accepté » . » Assis toi , me dit-elle , en désignant une chaise de son petit living , je vais préparer trois collations à la cuisine » . Marie-Jo s’assit sur le divan , en me souriant . » Dites Jean-Wilfrid , puis-je vous poser une question , je ne vous vois jamais parler à une fille , puis-je savoir pourquoi ? » . » Je suis complexé , lui répondis-je , je suis assez fluet et je porte de grosses lunettes malheureusement , les filles ne s’intéressent pas à moi » . » Ah , je vois » , répondit-elle . Corine revint de la cuisine avec deux verres , Marie-Jo , va chercher le troisième , s’il te plait » . » Tout de suite Corine » . Nous commencions à tremper nos lèvres dans nos verres respectifs et le liquide coulait au fond de ma gorge et me donnait un peu chaud . » Ça marche vos études ? » , leur demandais-je . » Très bien » , me dirent-elles . Corine mit de la musique , oxygène de J.M Jarre . Cinq minutes plus tard , j’avais presque fini mon verre lorsque Marie-Jo me demanda : » Tu es libre cet après-midi , nous allons à la plage , tu veux venir avec nous ? « . Je réfléchis pendant quelques secondes : » Ah , j’aurais énormément souhaité le faire , malheureusement je n’ai pas mon maillot de bain ! » . » Ce n’est pas trop grave , me dit-elle , tu peux rester en caleçon , en cette saison il n’y a pas grand monde de toute façon . » . Je fis mine de réfléchir : » Ok , j’accepte » , mais en réalité je ne m’attendais pas du tout à ce que Marie-Jo me propose de l’accompagner à la plage avec Corine , lorsqu’elle me l’a dit mon coeur s’est mis à battre à un rythme supérieur et mes mains se fermaient et s’ouvraient , sans que je puisse contrôler ce mouvement involontaire . Alors nous quittons le logement de Corine puis nous sortons de l’établissement scolaire et allons à l’arrêt de bus proche . Le voyage dans le bus se passa dans la bonne ambiance , nous discutions de choses et d’autres , surtout elles , moi je ne disais presque rien ; l’arrêt de la plage , enfin . Nous marchons quelques mètres et pénétrons dans la zone sableuse , effectivement il n’y avait pas beaucoup de monde . Nous bifurquons vers la gauche et nous nous installons enfin sur nos serviettes , Corine m’en avait prêté une . J’ôtais mon t-shirt et baissais mon pantalon et me retrouvais en caleçon . Les deux filles avaient enfilé leur maillot de bain sous leur T-shirt et le pantalon de toile pour l’une et une petite jupe pour l’autre . Voyant ces deux superbes jeune femmes se déshabiller devant moi , j’en eu le souffle coupé . Corine portait un deux pièces noir et blanc et Marie-Jo un superbe une pièce , idéal pour nager en piscine , de couleur rouge . Corine mis sa serviette à droite , Marie-Jo mit la sienne au centre et moi la mienne à gauche . Marie-Jo s’allonge sur sa serviette avec un soupir de satisfaction : » Mmmmm , que c’est agréable , ça va Corine ? » . » oui merci ,très bien ! » ; puis Marie-Jo tourne son visage vers moi : » Jean-Wilfrid je t’avertis , ne profite pas de la situation pour reluquer constamment nos corps comme le font les pervers , cela ne se fait pas , une femme doit être respectée » . » Oui , tu as tout-à-fait raison , tu as raison de me prévenir car vous êtes si jolies toutes les deux qu’on ne peut s’empêcher d’admirer votre beauté , je ne dis pas ça pour vous flatter . » . » Mrmm ! » . L’eau était à une vingtaine de mètres de nous et quelques baigneurs et baigneuses s’y aventuraient . Puis un bruit vers ma droite me fit tourner la tête vers la droite , Marie-Jo avait descendu le haut de son maillot une pièce jusqu’à la taille et ses deux superbes mamelles doraient au soleil , les tétons érectiles . Je ravale ma salive et me tourne immédiatement vers la gauche , pour ne pas la contredire . Une violente érection me saisit , mon sexe est devenu dur comme du bois … Corine et Marie-Jo commencèrent à discuter entre elles de leurs études respectives , une étudiait les lettres et l’autre la sociologie . Elles avaient toutes les deux 21 ans . » Corine tu peux me passer de la protection solaire dans le dos , je t’en prie ? » . » Oooh ce serait dommage que ce soit moi qui le fasse , demande à Jean-Wilfrid plutôt … » . » Quoi ce petit obsédé sexuel , jamais de la vie ! Je suis sûre que ce soir il va se taper une bonne branlette en pensant à nous ce petit puceau … Hé Jean-Wilfrid , pas vrai que tu vas te tirer l’élastique ce soir avant de t’endormir , hi , hi , hi ? « . Tout en restant la tête opposée à elle , je lui répondis : » Sans le faire exprès j’ai vu tes seins mais je me suis tout de suite retourné comme tu me l’avais demandé . » . » Ah bon et ils t’ont fait de l’effet ? » . » Oui , j’avoue … » , je reste silencieux un moment , » mon sexe est devenu dur comme la trique , je n’ai jamais vu une fille aussi belle que toi dans ma vie entière » . » Bon ben maintenant que je suis sur le ventre et que tu me respectes , je te donne l’autorisation de me passer de la lotion solaire sur le dos , mais vas-y doucement et délicatement , comme nous on aime les femmes …
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