Cela faisait un an que Monique et Pascal était ensemble et depuis presque autant que Monique avait demandé à Pascal de vivre avec elle et pour fêter cela ils avaient invité à dîner Sophie, chez qui les deux tourtereaux s’étaient rencontré et Jean, son petit ami.
Sophie travaillait dans le même service que Monique, elle connaissait donc Jean
Jean et Pascal c’étaient connus en primaire, perdu de vue lors des études secondaires puis retrouver dans la même équipe de basket, Sophie venait assister au match et donc connaissait Pascal.
Sophie avait prévenu Monique qu’elle ne pourrait être présente n’ayant pu se faire remplacer ce samedi soir, c’est donc seul que Jean sonna à la porte de l’appartement.
Quand la porte s’ouvrit il crut s’être trompé d’appartement, il recula pour vérifier le numéro de celui-ci, non pas d’erreur, c’était Monique là devant lui.
Monique le fît entrer, bises à l’hôtesse et bises à son ami, Jean s’excusa pour son doute dû au changement physique de Monique.
Elle n’était plus la jeune femme un peu grassouillette, ses cheveux très longs avaient été sacrifiés, ils étaient blonds, beaucoup plus courts et frisés mais la transformation ne s’arrêtait pas qu’à cela.
Jean avait toujours vu Monique habillée comme un sac, en pantalon, pull ou chemisiers à fleurs, baskets ou kickers, il avait devant lui une femme ultra sexy, elle était devenue beaucoup plus mince, la taille fine, des hanches moins larges, des jambes musclées bien dessinées, de beaux mollets ronds et les chevilles fines, elle était montée sur des mules à talons hauts, des bas ou un collant à résilles, une jupe plissée noires arrivant au dessus de la moitié de la cuisse, un chemisier noir transparent et ouvert laissant voir son soutien gorge noir sans fioriture, légèrement maquillée un rouge intense aux lèvres ainsi que sur les ongles des mains et les orteils et une chevillière à la cheville droite.
Jean la détaillait de la tête aux pieds quand Pascal lui dit.
_ Remets toi
_ Quel changement, quelle métamorphose
_ Nous vivons d’amour et d’eau fraîche.
_ Nous nous servons le moins possible de la voiture, donc beaucoup de marche à pieds et son alimentation a changé.
Jean sut que Monique portait des bas quand elle se dirigea vers la cuisine, lui tournant le dos, à chaque pas la jupette laissait apercevoir la bande noire des bas.
Jean pris place sur le canapé, Pascal mit un petit son et parti rejoindre Monique en cuisine.
Pascal dans le creux de l’oreille dit à Monique de faire attention discrètement à la jambe droite de Jean, plus exactement à l’intérieur de la cuisse, Monique hocha de la tête, son homme, après une caresse sur les fesses de sa blonde, apporta les verres, pris les commandes et servit l’apéro.
Jean était black, 1,75 m, épaules larges,, abdos, cuisses très musclées, il était beau gosse.
Il était le meneur de l’équipe mais le match fini, quand tous étaient à la douche il était encore le meneur, car, il avait été très mais très gâté par la nature, son sexe était d’une taille impressionnante, les plaisanteries grivoises fusaient.
Jean et Pascal avaient pris place sur le canapé, laissant le fauteuil à Monique, quand cette dernière apporta les petits fours salés et autres pistaches, amandes, concombres, carottes, sauces.
Quand elle se pencha pour déposer son grand plateau sur la table basse, le sein droit sorti de son bonnet, celui de gauche y parvenant presque._
_ Oh pardonnez moi, décidément rien ne va ce soir, les boutons du chemisiers qui ne tiennent pas fermés et maintenant mon soutien gorge qui n’a de soutien, que le nom.
_ Moi ça me dérange pas, au contraire dit Pascal.
_ Idem pour moi, ajouta Jean
Après avoir replacé ses seins dans leur logement l’hôtesse pris place dans le fauteuil, Pascal donna les verres à chacun et ils trinquèrent à cet anniversaire.
Quand Monique se pencha le même scénario se déroula, son 95C se retrouva dehors, elle trouva qu’il était tant de changer de soutien gorge, elle se leva imité par son homme
_ Puisque nous t’avons dit que cela nous dérangeait pas.
Il plia les bonnets en deux et les plaça sous chaque sein
_ Voilà affaire réglée, cela te dérange chérie
_ Non
Monique, au fil des semaines et des mois avait perdu tous gestes de pudeur, dirigée par son homme, il lui avait fait découvrir l’exhibitionnisme, pour cela ses orifices intimes devinrent lisses, le port de culottes, strings, tangas, proscrit, elle appris à monter en voiture et à en descendre, qu’elle soit passagère ou conductrice, le port d’un collant toléré uniquement par des températures négatives.
Au début elle fût gênée, pas habituée à être regardée, détaillée, avant sa rencontre avec Pascal, personne ne faisait attention à elle, dans la rue elle était comme transparente, aucun regard pour elle.
Donc non, avoir les seins découverts ne la dérangeait pas plus qu’elle ne fût gênée quand Jean s’aperçut qu’elle était nue sous sa jupette. Il avala une gorgée de travers quand il découvrit l’abricot tout lisse de son amie
_ Que t’arrives t-il?
_ Euh je viens de voir que ta femme a oublié de mettre une culotte.
_ Non c’est pas un oubli Jean, je ne porte plus de dessous sous mes jupes ou robes, j’aime sentir les caresses du vent et je dois l’avouer le regard des personnes quand elles s’en aperçoivent.
Pascal et Jean s’agitaient sur le canapé, Pascal passait discrètement sa main sur son bas ventre, Jean, lui se caressait l’intérieur de la cuisse droite, Monique en face des deux hommes ne se retenait plus de croiser ses jambes découvrant toute une cuisse et une partie de fesse, balançant la mule suspendue dans le vide.
Elle porta plus d’attention au renflement à l’intérieur de la cuisse de Jean, bien que prévenue par son homme qui lui avait rapporté cette description physique, elle se dit que cela ne pouvait pas être possible.
Les amis se levèrent pour passer à table, Monique remarqua qu’une bosse conséquente déformait la braguette de son chéri tandis que chez Jean une matraque arrivant à mi cuisse déformait le pantalon, quant à Monique elle sentait bien que abricot était mur, ouvert, il donnait du jus, elle partie en cuisine chercher le plat et en profita pour essuyer l’écoulement.
Tous mangèrent de bon appétit et burent plus que d’habitude mais avec modération, les rirent fusèrent, les anecdotes remémorées.
_ Monique, tu pointes, demanda Jean
_ Oui, toujours, que je sois excitée ou pas mes tétons sont toujours érigés mais quand je suis excitée, ils durcissent.
_ Et là, es tu excitée chérie
Monique sans aucune gêne se pinça le téton droit puis le gauche
_ Oui ils sont durs.
Tous débarrassèrent la table, pendant que Monique et son homme préparaient le dessert Jean fumait à la fenêtre.
Pascal en profita pour vérifier la dureté des tétons de sa chérie, lui caressa les fesses et son sexe.
_ Ta chatte est déjà mouillée et ouverte
_ J’en peux plus, je suis toute excitée de m’être ainsi montrée, exhibée, prends moi vite fait.
Elle posa une jambe sur la table, facilitant ainsi une introduction, prête à être possédée, offerte.
Son homme plaça deux doigts dans sa chatte qui s’ouvrit encore un peu plus.
_Hummm, c’est bon susurra Monique
Jean arriva au même moment proposant ses services pour apporter les gâteaux, Pascal retira ses doigts, Monique repris pieds, gâteaux et café furent posés sur la table basse.
Monique mine de rien s’exhiba de nouveau, les jambes plus écartées, se caressant l’intérieur des cuisses nonchalamment tandis qu’une main posée sur un sein le caressait mimant une petite et douce gratouille.
Les hommes s’agitaient, énervés, Monique écarta un peu plus encore les jambes.
Jean au supplice se leva et dit
_ Je vais y aller, j’ai passé une très agréable soirée.
Pascal se leva et s’adressa à Monique
Montrant le pantalon de Jean.
_ Tu peux pas laisser partir Jean dans cet état.
Monique à son tour se leva.
_ Tu as raison chéri, je vais arranger ça.
Monique aussitôt se mit à genoux, desserra la ceinture, fit sauter les boutons et baissa le jean’s, arrivé à mi cuisse il libéra une colonne de chair d’une taille que Monique n’avait jamais vu.
Ajouter un commentaire