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On n’est jamais à l’abri d’une surp

On n’est jamais à l’abri d’une surp



Suite de l’histoire, « On n’est jamais à l’abri d’une surprise ».

Quatre semaines s’étaient écoulées, depuis le fameux soir où Sophie a dû payer de sa personne, pour moi. Quatre semaines sans adresser la parole à la personne avec laquelle on vit, c’est long. À peine un ou deux bisous, par-ci, par là. Mais pas de sexe. Quatre semaines… Je me suis très souvent masturbé en repensant à cette soirée… Des images allaient à jamais rester fixées dans ma mémoire… J’avais, à mon corps défendant, aimé voir ma chérie se faire besogner par ces trois porcs ; les voir comme ça, à trois sur elle, en même temps… Voir Sophie sucer d’autres hommes, de cette façon, lentement, avec application et docilité, je reste persuadé qu’elle a aimé ça, mais je n’osais pas franchement me l’avouer… Je me demandais comment Sophie ressentait les choses, de son côté, mais je n’osais pas lui demander. Elle avait quitté son boulot de serveuse pour ce porc de Didier et avait trouvé un job en tant que soutient scolaire à des jeunes en difficulté à l’école, genre pour histoire, français, anglais. En tout cas, jouer, pour moi, c’était terminé. Je ne voulais plus vivre ce genre de choses, même si d’un autre côté… J’avais pris plus d’heures à mon job, ça m’évitait de devoir affronter le regard de Sophie… Financièrement, ça allait mieux, en tout cas. Sophie, elle, comme pour m’éviter, s’était remise au sport, plus qu’avant. Elle s’était remise à la danse et, du coup, on ne se voyait quasiment plus que quelques heures par semaines, surtout que les partiels approchant, elle allait souvent réviser chez des copines et il arrivait fréquemment qu’elle y dorme.
– Quatre semaines s’était écoulées depuis la soirée où j’avais dû payer de ma personne. Moi, c’est Sophie. J’ai 20 ans. On me dit souvent que je suis jolie fille. Je mesure environ 1 ,63m, je pèse 47, 400 kilos, j’ai de longues jambes, je suis très sportive, j’ai les cuisses assez musclées, les fesses rebondies et une poitrine assez ferme et ronde ; je fais un 95c. Je suis assez fière de mes seins et de mon cul, je l’avoue, même si je ne suis pas assez vaniteuse pour le dire. J’ai les cheveux noirs, longs, et les yeux verts en amende, j’ai un visage arrondi. J’ai la peau mate de nature, ce qui me valait souvent de me faire aborder en soirée à la fac’, dans la rue, à la bibliothèque, à la salle de fitness. J’étais assez flattée, même si j’étais folle amoureuse de Cédric.
Je n’aurais jamais pu me résoudre à le tromper, même si un soir, pour éviter des problèmes à mon copain, j’avais dû payer de ma bouche, de mon sexe, de mon cul… Cédric ne m’avait plus adressé la parole depuis. J’aurais tant aimé qu’il me rassure, me prenne dans ses bras, mais non, rien. Je me demandais ce qu’il ressentait, mais je n’osais pas lui en parler, j’avais peur de passer pour une salope à ses yeux. Je ne saurais pas dire pourquoi, ni comment, mais quelque chose s’était passé en moi à l’épilogue de cette soirée, il allait y avoir un avant et un après, c’était certain. J’avais quitté mon job de serveuse dans un des bars dont le propriétaire de notre appartement était le patron, je n’avais pas hyper envie que ce Didier bave dans mon dos à propos de cette soirée, ça aurait été gênant vis-à-vis de mes collègues.
Il fallait que je fasse autre chose. J’étais sans cesse survoltée, je débordais d’énergie, je n’avais jamais connu ça avant… En dehors des révisions, je m’étais réinscrite à la danse classique. Dans le bus qui m’amenait vers le complexe sportif, je repensais sans cesse à cette soirée. De comment j’avais été traitée par ces mâles en rut… J’étais surexcitée, même s’il m’a fallu quelques jours pour me l’avouer franchement. Je me masturbais souvent en y repensant… Je n’avais connu que Cédric, comme mec, et même si j’entendais souvent mes copines parler de cul, de ce qu’elle faisait avec leurs copains respectifs ou plans cul rencontrés en soirée, je restais très coincée et pudique au sujet de cul. Bien que curieuse et très imaginative à propos des queues de ces garçons dont j’entendais souvent parler, je refreinais ces amorces de fantasmes. Mais ça changeait, je le sentais…
Pour cette soirée, ces hommes avaient exigé que je sois épilée, manucurée, que je me fasse un lavement anal, … J’avais beaucoup aimé l’épilation, en tout cas. Depuis, j’allais très souvent au centre d’esthétique, et il m’arrivait de plus en plus souvent de pratiquer le lavement, ce qui m’amenait inévitablement à me caresser le sexe et à me mettre ou voir deux doigts dans l’anus…
Je sentais que sexuellement, j’allais devoir être patiente ; Cédric ne me touchait plus, il me tournait carrément le dos pour dormir. Plusieurs pensées perverses me traversaient l’esprit. Je me caressais presque tous les jours ; sur le dos, sur le côté, sur le ventre… Je repensais à ces queues que j’avais dû sucer, à la façon dont j’avais été prise, comment j’avais été sodomisée pour la première fois… J’avais eu plusieurs orgasmes, ce soir-là. Je n’avais connu ça qu’à deux reprises avec Cédric.
J’avais joui plus de fois en quelques heures, qu’avec mon mec sur toute la durée de notre relation… Les sentiments et les sensations contradictoires m’harassaient le cerveau… !
Malgré moi, j’avais aimé ça, j’avais aimé être traitée comme une pute, comme une chienne. J’avais aimé leur sucer leurs grosses queues, lécher leurs couilles… J’avais aimé qu’ils crachent dans ma bouche, j’avais aimé qu’ils éjaculent sur ma langue, j’avais aimé avaler. J’avais aimé le goût du sperme. J’avais aimé cette sensation, cette sensation que c’était moi qui les faisait jouir. J’ai aimé me faire mordiller le clitoris, j’ai aimé sentir leurs langues sur mon anus, et dedans aussi. J’ai aimé, les claques sur mon cul, être fessée, j’avais aimé les doigts dans mon cul. J’avais aimé que ces trois types gras me travaillent tous en même temps… Surtout, j’avais aimé humilier Cédric, j’avais été excitée de le voir se caresser lentement, trop excité pour ne pas se toucher, trop honteux pour oser sortir sa queue et se branler devant le spectacle qui lui avait été offert. J’avais eu le sentiment de me venger de m’avoir contrainte à me faire partouzer, même si j’avais aimé ça, je l’avoue.
À la bibliothèque, je lisais discrètement des ouvrages relatant des orgies romaines et je fantasmais à l’idée de pouvoir sucer un ou plusieurs mecs, encore. J’avais été à deux doigts d’entraîner un gars de la fac’ dans les toilettes d’un amphi’, tiraillée entre mon envie de queue et de foutre et ma culpabilité de faire du mal à Cédric, mais une copine m’avait appelée juste avant que je ne me lance. Dommage, il était pas mal foutu…
En allant sur quelques sites pornos à l’appart’, j’étais tombée sur des vidéos de gang-bang, et j’en devenais dingue d’y penser. Il fallait que mon corps exulte, ou que je le calme. J’avais choisi de le calmer, raison pour laquelle je m’étais remise au sport et à la danse, à fond. Je ne voulais pas tromper Cédric. Enfin, j’avais choisi de calmer mon corps, dans un premier temps, parce que plus le temps passait justement, plus je sentais Cédric s’éloigner. Et j’enrageais de plus en plus contre lui. Non seulement il ne me parlait presque plus, mais il ne me touchait plus non-plus ; il avait repris des heures en plus à son boulot et je commençais à croire qu’il m’évitait. Je ne voulais pas le quitter, je l’aimais. Alors que faire ? J’étais excitée sexuellement, lui non, apparemment. J’avais besoin de parler, lui non. J’avais de plus en plus de ressentiment à son égard. Plus je réfléchissais, plus une pensée se dessinait dans ma tête : il fallait que je le punisse.
Mais comment ? Avec qui ? Je ne savais plus quoi faire. La réponse à toutes mes questions allait arriver d’une manière dont je ne me serais jamais doutée…
Lundi matin, j’étais dans le bus direction la salle de sport. J’avais un cours de danse ce matin-là. Il faisait déjà chaud pour un mois d’avril. Déjà en mars, le fameux soir où ces trois types étaient venus pour me baiser, il faisait déjà chaud, surtout dans notre appart’ (froid en hiver, torride dès le de début du printemps). Je n’avais pas cours à la fac’, j’avais décidé de m’inscrire en dernière minute pour un cours individuel ce lundi matin en question.
J’arrive à l’entrée du complexe sportif et je me dirige vers le sous-sol où se trouvent les vestiaires et les salles de danse, celles avec les barres fixes et les miroirs. Je passe devant le local du concierge, un mec antipathique et gras, plus grand que moi de deux têtes, barbe noire pas rasée, moustache, longs cheveux noirs en queue de cheval, gros ventre et qui faisait sale. Les filles du cours du soir m’avait dit que c’était un pervers et qu’il était con et chiant, mais je n’avais pas relevé, c’est le genre de personne à qui je ne prête pas attention. La seule fois où je l’avais vu de près, c’est quand la prof’ de danse avait fait durer le cours plus longtemps de 10 minutes et il avait déboulé en râlant dans la salle, en grognant comme un sanglier parce qu’un autre cours arrivait et qu’on avait débordé. De mémoire, il ne s’était exprimé que par des grognements et des onomatopées. J’étais près de la porte quand il est entré, et je m’étais souvenue de son odeur, une odeur forte mélange de café, de tabac froid et de transpiration. Vous voyez le genre de gars.
Plus loin, je croise quelques hommes d’un quelconque cours d’art martial qui ne se privent pas de se retourner pour mater mon cul dans mon legging, je ne fais pas attention, même si trois de ces mecs sont plutôt pas mal et je me dirige vers les vestiaires, prenant bien soin de fermer le verrou derrière moi. Je me change pour enfiler mon juste-au-corps noir, je tire mes cheveux en arrière pour me faire mon chignon. Je me regarde dans la glace en tournant lentement sur moi-même, je prends mes seins par-dessous, je les soupèse et par réflexe, j’ouvre la bouche et penche ma tête en arrière, je suis excitée… Stop ! Me dis-je. Ce n’est pas le moment ! 09h56, la prof’ doit arriver dans 4 minutes. Je prends mes affaires dans mon sac et me dirige vers la salle ; bizarre, pas un bruit, personne dans les couloirs, il fait sombre. Je ne me pose pas de question et j’entre dans la salle de danse.
Ce n’est pas une grande salle mais elle est bien pratique avec des miroirs partout aux murs, tout le pourtour est équipé de barres fixes. Il y a un tapis épais et légèrement mou ; je jette mon sac dans un coin et je me mets à quatre pattes sur le tapis en question. Je cambre mes reins, fesses relevées, menton sur le tapis et je remonte lentement, pour m’échauffer un peu. Je répète ce mouvement (très sensuel, pensais-je) plusieurs fois, et je commence à avoir des pensées cochonnes. Ohlala… Je commence à me caresser, quelques secondes, quelques minutes, je ne me souviens pas, je perds la notion du temps. Je suis trempée, quand tout-à-coup, un bruit. Je sursaute ! C’est mon portable qui vibre ! Je reçois un texto de ma prof’ ; « Peux pas venir aujourd’hui, rendez-vous chez dentiste. Désolée Sophie, à bientôt ». 10h40. Merde ! Connasse, tu pouvais pas prévenir avant ? Je râle, mais je décide de rester malgré tout. 10h40, ohlala, je suis restée comme ça presque 30 minutes à me caresser ? Je bouillonne… Je me rassieds sur le tapis et instinctivement, ma main droite se dirige vers mon entrecuisse et je commence à me masser doucement le sexe, je dois éteindre ce feu, j’ai le ventre en ébullition. Je repense à ces trois hommes, à leurs queues, ils m’avaient bien excitée… J’écarte mon juste au corps et j’introduis un doigt dans mon sexe… Haaa… Ouiii, j’attendais ça, j’en avais envie depuis ce matin où j’ai fermé la porte… Je m’étais doigtée sous la douche, mais j’avais de nouveau besoin de ressentir du plaisir, même si ces caresses ne feraient que me mettre l’eau à la bouche. J’enlève mon body et je me retrouve carrément nue avec pour seuls vêtements, mes ballerines. Je m’installe à quatre pattes sur le tapis, je relève mon cul, je colle ma tête sur le sol, je suis totalement cambrée, je repense à cette fameuse soirée et à ces grosses queues… J’approche ma main de mon sexe par en-dessous et commence à me masturber, d’abord lentement puis, de plus en plus vite… Je mouille comme une folle et avec mon autre main, j’introduis mon majeur dans mon anus… Ça dure quelques minutes comme ça, je suppose. Je jouis en mordant le tapis…
Je me relève chancelante et me dirige vers les barres fixes, pensive. Je n’ai pas vraiment eu « mon compte », songeais-je. Debout, totalement nue, je croise les jambes et me penche pour toucher mes pieds, lentement, pour m’étirer. Je suis dos à la porte d’entrée de la salle dans une position pour le moins subjective, j’ai un petit rire nerveux.
Soudain, panique totale ! La porte s’ouvre d’un coup sec ! Bam ! Elle claque contre le mur ! Mon réflexe est de ne pas bouger, je réfléchis à toute vitesse : si la personne s’est trompée, elle partira sur le champ, gênée, et je pourrai dégager rapidement. Mais, pas un mouvement. Moi non-plus, d’ailleurs, je reste le cul en l’air, offert à la vue de cette personne inconnue pour ne pas qu’elle voie mon visage, justement. J’essaie de voir de qui il s’agit dans le miroir, mais pas moyen… ! J’entends la porte grincer lentement dans ses gonds, oh ! Non, la personne referme la porte ! Je ne bouge toujours pas… J’entends des bruits de pas, lourds sur le parquet de la salle… Ohlala, que va-t-il se passer… ?
Là, je sens une odeur, une odeur assez prenante, mélange de café, de tabac froid et de sueur… Est-ce que c’est le conc… ? Ouh ! Je sens une main, large, grande, dure, calleuse qui me caresse le cul… Je suis tétanisée, je ne bouge plus… Je sens cette main forte me malaxer les fesses, rejointe bientôt par une deuxième… Je ne bouge toujours pas, je respire vite, j’ai le cœur qui bat à toute vitesse… J’entends son souffle de bête fauve, ahowrr… Il doit prendre mon inaction pour une invitation, parce que je sens la paume de sa main passer sur mon sexe qui, déjà bien humide de mes caresses, commence à mouiller de plus belle… Ohlala, qu’est-ce que je suis en train de faire … ? Ça dure quelques minutes quand, toujours me tenant par les fesses, je le sens se mettre à genoux, puis, c’est son souffle chaud d’a****l en rut que je sens à proximité de mon cul ; il commence par longuement renifler mon cul et ma chatte, il sent la femelle en chaleur, prête à recevoir une queue… Il commence enfin par me lécher la chatte, bavant comme un mort de faim, il entre sa langue épaisse dans mon sexe, je commence à gémir, ça l’encourage, il continue de plus belle, passant entre mes fesses d’abord pour me les sucer ensuite (il laissera des suçons sur mon cul ; j’allais m’en apercevoir plus tard…) ; enfin, il introduit son index dans ma petite chatte, reluisante de nectar, tout en passant sa grosse langue sur mon anus pour finir par l’introduire dedans… Je jouis, je gémis comme une dingue… Après de longue minutes de ce traitement, il se relève d’un coup sec, je relève légèrement la tête, toujours le cul en l’air, ruisselant de bave épaisse mêlée au jus de mon plaisir ; mes jambes tremblent. Il jette ses bottines et enlève sa ceinture et son pull ; l’odeur se fait plus forte. Il m’att**** par les hanches, me relève et me tourne sèchement face à lui. Je fixe son visage hirsute et constate que sa grosse moustache est pleine de bave. Je suis nue, face à ce colosse d’un bon mètre 80 qui répugnerait un éboueur, il me plaque contre son énorme ventre poilu, ma poitrine ferme et juvénile s’écrase contre la sienne, tombante et poilue ; c’en est presque sensuel, érotique, puissant… D’une main, il att**** mon visage, son pouce et ses quatre autres doigts enserrent mes joues, il approche son visage du mien et sort sa grosse langue qu’il introduit dans ma bouche, je tente de lui rendre son baiser tant bien que mal, même si cela n’a rien de sensuel, bien au contraire, c’est plutôt bestial ; il ne demande pas, il prend… Il commence ensuite à me lécher le visage, comme pour bien le détailler et je ne peux m’empêcher de songer à un reptile percevant les choses qui l’entourent en sortant sans cesse sa langue. Puis, il arrête, respirant rapidement, expirant son haleine forte sur mon visage délicat.
Là, il me fait me mettre à genoux et déboutonne son pantalon tâché de peinture blanche et d’autres choses encore. Il le baisse, je l’aide un peu pour qu’il termine en caleçon lequel a certainement dû être blanc un jour ; je l’abaisse avec son aide pour me retrouver face à une queue énorme, entre 18 et 20 cm, mais large, épaisse et poilue, agrémentée d’une énorme paire de couilles pendantes… L’odeur est forte, il bande déjà bien à moitié. Il approche ma tête de sa queue en me tenant par mon chignon. Je prends cette queue veinée dans ma main qui a du mal à en faire le tour, je commence par le branler lentement pour tirer doucement dessus, faisant apparaître un gland énorme, mauve, mais sur lequel je distingue nettement quelques sécrétions blanches… Qu’importe, j’ai trop envie de sucer… Je l’embouche lentement – Arhoom… – Oheuhhouaiiis… ! C’est le premier son qui sort de sa bouche. Je pompe lentement, enroulant tant bien que mal ma langue autour de son gland, je ferme les yeux et approche ma main de droite de mon sexe, je suis bouillante de désir pour cette grosse queue veinée, j’att**** doucement ses couilles de taureau de ma main gauche pour les caresser lentement… Il maintient toujours ma tête, imprimant le rythme, alternant entre vitesse et lenteur. Avant la fameuse soirée où j’avais eu à sucer ces queues, je n’aimais pas particulièrement sucer, mais depuis, j’avais compris que c’était une excellente manière pour une femme d’avoir un homme sous sa domination… Là, je mettais en pratique mes nouveaux atouts avec passion, pompant ce dard énorme avec délectation…
Il s’est retiré, m’a agrippé la main gauche, comme s’il redoutait que sa proie ne s’envole, m’a attirée vers le tapis et s’est couché sur le dos, montrant ainsi son gros ventre. J’ai compris qu’il voulait un 69 et me suis exécutée, me retrouvant à nouveau face à cette queue qui attendait que je l’embouche à nouveau. Il m’a léchée comme ça quelques minutes, tout en retirant mes ballerines pour agripper ma cheville gauche, amenant mon petit pied à sa bouche pour le lécher et sucer mes orteils ; je ne saurais dire pourquoi, mais ça m’excitait énormément… J’étais maintenant totalement à poil sur cette montagne de gras et de muscle à sucer cette queue, à lécher ces couilles. Je mouillais de plus belle en me voyant dans le miroir, occupée à sucer cet homme… Je me faisais l’impression d’être une de ces actrices que j’avais eu l’occasion de voir à l’œuvre en allant sur quelques sites internet chaudement recommandés par quelques amies. J’exultait de plaisir…
Après quelques minutes comme ça, il m’a mise à quatre à pattes pour me lécher à nouveau, bien entre les fesses, insistant parfois sur mon petit trou en veillant bien à mouiller cette zone abondamment. Puis, j’ai senti qu’il mettait sa queue de tout son long entre mes deux fesses pour commencer un va et vient lent ; il se branlait avec mon cul. La joue collée sur le tapis, je gémissais comme une chienne en chaleur. Là, il a commencé son intromission dans ma chatte, en levrette, lentement, respirant de manière saccadée, il avançait de quelques centimètres, puis ne bougeait plus, puis quelques centimètres à nouveau, puis ne bougeait plus ; il voulait s’habituer à ma chatte serrée et ne pas cracher tout de suite. Bonne attention… Moi, ça me faisait jouir encore plus que s’il m’avait pénétrée d’une traite. Je mordais à présent dans mon maillot de danse pour ne pas hurler et alerter qui que ce soit. M’agrippant les hanches, il m’a pénétrée comme ça de longues minutes, en allant de plus en plus vite, claquant son énorme ventre contre mon petit cul, n’omettant pas non-plus de me coller une fessée avec ses grosses mains calleuses pleines de durillons… J’adorais retrouver cette sensation, d’être une pute entre les mains d’un type gras… Je sentais qu’il crachait sur sa queue et mon cul tandis qu’il pénétrait vigoureusement ; je voyais son visage hirsute dans les miroirs face à moi, sa lèvre inférieure pendante, bouche ouverte béatement d’où s’écoulait de la bave, les sourcils froncés alors qu’il me pénétrait avec concentration et application. Les miroirs décuplaient la perversité de la situation.
Tout-à-coup, il porta son pouce à sa bouche pour l’enduire de bave et enfin, le coller sur mon petit trou… Il introduisit son doigt calleux dans ma petite étoile, m’arrachant non-pas un cri de surprise (parce que je l’avais préparer son doigt grâce aux miroirs), mais de plaisir, ce qui eut pour effet d’augmenter son enthousiasme… – ‘vais t’la mettre dans l’cul, hurrh, petite salope ! Et, c’est ce qu’il fit… Il colla son gland contre mon anus bien humide et assez écarté à présent, puis commença son introduction, lentement, centimètre par centimètre pour arriver jusqu’à la garde. Il est resté quelques minutes sans bouger, haletant comme une bête, puis il a commencé son va et vient, d’abord doucement, puis de plus en plus vite… Je sentais ses couilles battre contre mon clitoris, m’arrachant de petits cris à chaque poussée. Il me défonçait littéralement, ses grosses mains posées sur chacune des petites fesses, qu’il n’oubliait pas de claquer à intervalles irrégulier…
Sensation étrange, la douleur se mêlait au plaisir… Bien que j’avais déjà pris trois queues dans mon cul avant, celle-ci était malgré tout plus épaisse. Soit ! Me caressant le sexe en même temps qu’il me défonçait me petit trou, j’atteignis rapidement l’orgasme, pour la deuxième fois entre ses mains…
Là, il s’est retiré lentement pour se relever et approcher sa queue (bien dressée à présent) de ma bouche ; je savais ce qu’il voulait… J’ai obtempéré sans broncher et j’ai ouvert grand ma bouche pour accueillir les salves de cette liqueur à laquelle j’avais pris goût, à présent. Je voulais son jus. Il m’a agrippé le chignon pour me baiser la bouche et, après quelques aller et retour, il expulsa son sperme dans ma bouche… – Rhaaaa Hoheuuu … ! Les jets de sperme frappaient ma langue et j’avalais, consciencieusement, rasade par rasade, ce foutre épais et crémeux que j’avais tant espéré avaler dès l’instant où j’ai compris qu’il allait me baiser… Il devait avoir les couilles pleines, parce que j’ai eu de mal à avaler tout facilement…Qu’importe, j’avais eu ce que je voulais. Et lui aussi.
Il a reculé, chancelant pour aller s’appuyer de dos sur les barres de bois de la salle, essoufflé. Moi, je le détaillais, de se tête en sueur, à ses pieds, toujours en chaussettes blanches, jaunies aux orteils. Quel monstre, pensais-je…
J’ai enfilé mon legging qui était au fond de mon sac, mon pull, mes baskets sans faire mes lacets ; je voulais partir, vite. Je l’ai regardé, sa queue était encore bien droite (quelle endurance, ais-je pensé…), puis, il a grommelé – Tire-toi ! Et je suis partie, sans demander mon reste.
Je me suis rhabillée en vitesse dans le couloir toujours dans la pénombre, je suis passée devant un miroir au pied des escaliers. Rapide coup d’œil à mon apparence, j’étais rouge, en sueur, avec encore du foutre sur le menton. Ohlala, quelle histoire… Quel pied, surtout ! J’avais eu exactement ce que je voulais…
Impossible de m’asseoir dans le bus tellement la peau de mes fesses rougeoyait et que mon anus était endolori… Je regardai l’heure : 12h17, Cédric m’avait dit qu’il m’attendrait pour manger, rares paroles échangées entre nous ces dernières semaines. Hébétée quelque peu, j’étais soulagée de n’avoir croisé personne dans mon état…
J’arrive à l’appart’, je monte machinalement, j’ouvre la porte, Cédric se lève et se dirige vers moi. – Ça va, Sophie ? T’as pas l’air bien…
– Si, ça va, répondis-je, le regard dans le vide. Machinalement toujours, je l’ai embrassé sur la bouche, plus ou moins passionnément. Là, je me suis souvenu que j’avais encore du foutre plein sur la langue…

(Cédric). J’étais soulagé qu’elle m’embrasse à nouveau ! J’ai eu le sentiment que notre histoire repartait, mais pendant quelques secondes, seulement, parce que je ne saurais pas dire quoi exactement, mais sa bouche avait un goût particulier, un souvenir gustatif que j’avais enfoui dans ma mémoire depuis mes 17 ans où après m’être branlé, j’avais posé un doigt sur mon mouchoir en papier que j’avais ensuite porté à ma bouche, juste, « pour voir » … Mais ça ne pouvait pas être ça, c’était pas possible… L’odeur de sa bouche par contre, ça ne laissait pas beaucoup de doutes… Oh, putain, Sophie, qu’est-ce que tu avais bien pu faire… ? Est-ce que j’allais avoir la surprise d’être cocu…?

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