Rappel partie 6:
Un peu étonné par le cadeau, j’acceptat et le cachât dans mon sac.
Je finit de me rhabiller, et on rentrat chez nous. Je puais la baise.
J’eu une petite pensée pour julie, malade.
La pauvre.
Vivement demain, que je lui rende une petite visite…
Je rentrât chez moi, traçât au la douche sans croiser personne, et dut trouver une excuse bidon pour expliquer mon retard à ma famille.
J’allai ensuite me coucher, enfin.
Madame aubin m’avais épuisé. Quelques sms et nudes a juju, qui avais apparement très envie que je lui rende visite demain.
Je finit par m’endormir, enfin. Vivement ce ne sera pas de trop une bonne nuit de sommeil pour affronter la journée de demain…
Partie 7:
Le lendemain, je me réveillat déjeuna et me lava. je commençais à 10h30.
Une fois ma famille partie travaillée, je suis allé me poser dans ma chambre, me demandant comment j’allais tuer le temps.
Soudain en faisant mon sac, je tombât sur la « pompe à penis » que m’avais offert ma prof d’art plastique.
« Connerie, » me dis-je.
Mais par curiosité, je me renseignât sur le sujet.
Ça avais l’air plus sérieux que prévu. Sur un forum gratuit et spécialisé d’entraide, je vis meme que de nombreux membres avais des résultats assez conséquents, de l’ordre de 10 a 25%, sans trop de difficultés, à base d’un entrainement régulier ayant pour but de faire grossir et allonger le penis.
Haha, amusant.
Je décida d’essayer un mois pour voir les résultats, et par curiosité pour voir si Julie remarquerais une différence.
(Rappel: d’après la 3 eme loi de la masculinité, dans 95% des cas, quelque soit sa taille, un homme veux toujours deux centimètres de plus que sa taille de penis actuelle, qu’il l’assume ou non. Sachez le 😉 )
10heures. l’heure d’aller en cours. Julie, toujours malade mais mieux en point, m’avais signalée qu’elle allais avoir besoin de moi.
Effectivement, une fois en cours, en plein cour d’eps, (avec monsieur Cocu) je reçu une convocation de la nouvelle pionne.
J’étais convoqué dans le bureau CPE à 12h.
« Encore? » disais mes camarades.
Si ils savaient…
Un peu plus tard, alors que l’on courrais autour du terrain de foot,
Sur mon téléphone, une photo. Julie, bien sapée, a son bureau, décolleté plongeant, mon gode coincé entre son bonnet H.
Je pris discrètement mon téléphone pour regarder ce qu’il se passait.
Humm… quelle chienne. Elle savait me faire bander. En voyant sa photo, J’eu une érection monumentale en plein cour d’eps.
En général, j’ai la chance d’avoir très peu d’erections pendant le sport. Mais quand ça m’arrive…
Mes 22cm formait une barre horizontale dans mon pantalon. Impossible de continuer a courir dans ces conditions.
Je remit mon portefeuille et mon téléphone dans mes poches, espérant masquer le relief de mon sexe.
D’un coup, En faisant mes tours de terrains, Je croisat melanie, qui devais rentrer des cours, derrière la grille du stade,
Melanie, une fille de terminale L, celle qui m’avais vue dans l’ascenseur avec Julie…
je n’avais jamais recroisé son regard depuis cette mésaventure…
Elle me regardait, bouche bée. Et pas à la hauteur des yeux…
J’interprètat ça comme un «non, ça camoufle rien, abruti. »
Gené a la fois par son regard et cette information, Je simulât un point de côté, espérant passer inaperçu. J’attendis ainsi deux ou trois minutes. Mais cette fichue érection ne passait pas.
Boubakar, le prof, arrivat pour voir si tout allait bien. Eh mzrde… pas lui…
« Alors tout vas bien antoine? »
Je bluffa: « Oui ça vas monsieur, j’ai juste un petit problème de… lacet defait.
« Eh bien c’est rien ca, dépêches toi de les remettre et reprend la course, champion. Ça fait 3 minutes que tu te repose. »
Par chance, ils étaient vraiment défaits. Je les remis le plus lentement possible, espèrent qu’il parte et mon érection avec.
Il me regardat faire bizarrement. Quand j’eu finit, il ajoutat « eh bien, qu’est-ce que tu attend antoine? T’es blessé? »
Toujours avec une érection d’une discrétion égale à zéro, Je lui répondit discrètement, voyant que mes potes me regardait en passant, « mais bon sang, essayez de comprendre… »
« Comprendre quoi? »
Agacé, je me levât.
Il vis la bosse dans mon jean, et dit:
« Arrête tes gamineries, Antoine, t’as quel âge. » Il essayât de me prendre ce qu’il pensait que j’avais mis dans ma poche.
Agacé, je fit un bond en arrière, il est stupide ou il en fait exprès?
Il compris. Il dit, étonné par la situation,
« Ah, oui … quand même! »
il s’excusa, un peu gêné par la situation: « ermmm… vas donc marcher par là bas, prend ta pause, et reviens d’ici dizaine de minutes »me dit il.
Il désignât les buissons aux abords du stade. « Parfait, je serais à l’abris des regards » me dis-je.
Je me dit également que si j’etait aussi mauvais menteur, je risquerais à avoir du mal à ce que mes petites manigances ne se sachent pas.
Je commençait enfin à débander. Ce que j’ignorais, c’est que Melanie avais tout vue et m’avais suivie, le long de la grille en « grillages de fils de fers » qui contournais le stade.
Soudain, je la vit s’agiter: « Eh! Toi! Garçon en t shirt blanc! Tu peux venir steuplait? » me dit elle, me faisant signe de venir.
« Eh merde… » je pensât. Je fit mine de pas avoir entendu.
Elle insistat deux ou trois fois. « Arrêtes de faire semblant, j’ai bien vu que tu m’as vue! Viens ! »
Elle finit par dire « Si tu viens pas, je dit à tout le monde ce que j’ai vu l’autre jour dans l’ascenseur. »
Petite peste. En entendant ça, j’allat vers la grille pour l’engueuler.
Elle souris, me voyant enfin arriver.
Je m’énervat, tout en essayant de rester discret.
« Putain à quoi tu joue. Tu te prend pour qui pour appeler les gens comme ça, je te connais même pas.
et quel ascenceur, moi je t’ai jamais vue avant et c’est la première fois que je t’adresse la parole. »
Surprise, elle repondit: « desolée, mais calme toi, je voulais juste te parler…
Et j’ai très bien vue ce que j’ai vue l’autre jours… dans mon immeuble, madame la CPE avec tes grosses couilles qui pendaient, sous son vagin. Et toi au bout.
Pour tout te dire… j’y ai repensée plus d’une fois. »
Eh merde… mon bluff avais raté. j’essayat de calmerle jeu. « Bon. J’ignore ce que tu a vue ou ce que tu sais de nous, mais il faut que tu n’en parle à personne. De toute façon personne ne te croira. »
Elle esquiva le sujet. Elle pris un air de chienne battue et ajoutat: « Et…. Je t’ai vu courir tout à l’heure… et j’ai vu ce que le prof t’as fait… c’est une fausse? Je suis sure que c’est une fausse. »
Je repondit pour m’en débarrasser: « Oui c’est une fausse, c’est une fausse. Maintenant laisse moi finir mon cours, et n’en parle à personne.»
A personne? Mince… j’en ai déjà parlé à sarah, mais à personne d’autre je te jure…
Elle ajoutat en regardant mon pantalon de sport: « Montre si c’est une fausse? Si c’est une fausse tu t’en fout, et je sais pas… si je me tais j’y gagne quoi? »
Je pensât: Oh non… ça vas recommencer… quelle petite pute… « alors là hors de question. Tu rêves ma petite. »
Je fit mine de partir.
Elle passât sa main dans le grillage et m’attrapa la manche.
« Attend… si tu part je diras tout à tout le monde… »
Je me destestat de me faire avoir une nouvelle fois par ce genre de chantage abject. J’avais envie de la giffler.
« mais merde! A quoi tu joue… bon. Qu’est-ce que tu veux pour ton silence ferme, et définitif.
« Calme toi… je veux juste la toucher. Etje te jure que je ne dirais rien à personne. Ça fait trop longtemps que je repense à cette image, dans l’ascenseur… mais j’ai un vide dans mon imaginaire, je n’ai pas vue ce qu’il y a au dessus de cette paire de testicules… s’il te plais… tu peux me montrer???» me dit elle avec une petite voix de chienne.
J’eu malgres moi une nouvelle pulsion sexuelle… eh merde.
« Bon… je te déteste. Mais c’est Daccord. A une condition. Je te filme sur snap. Comme ça si ta promesse n’est pas tenue, et que ça se sais, tu peux être sure que tu tombera avec moi. »
« Pffff… malin, bon je te promet sur la tête de qui tu veux. Viens, on vas derrière… le buisson là bas. » me dit elle en me désignât un buisson à une quinzaine de mètres.
Une fois derrière le buisson, à l’abris des regards de son côté, et du mien, caché par la haie du stade, je lui dit: « bon, vas y. »
Elle passât sa main au travers un trou du grillage et palpat mon paquet.
Elle dit en riant: « non, c’est pas vrai… »
Je repondit, toujours agacé par la situation: « non, je te l’avais bien dit. Je peux partir maintenant? »
« Mais nooon…. et attend dans notre deal, je te la touchais nue! Pas vrai? »
Le deal ne le stipulais pas, mais dans le doute je me laissait faire. Flemme de perdre Plus de temps.
« Bon, Daccord. Mais rien de plus, n’essaie même pas de faire autre chose que la toucher. »
Elle glissât sa main dans mon pantalon et palpat mon sexe avec envie. Elle semblait essayer de prendre ses dimensions en en faisant le tour avec ses doigts de 36 facons. « Oh nooon…. mais nonnn…. et tu bande là? Non? C’est plus gros que mon ex petit copain en bandant , »
Elle me sortit le sexe du pantalon. Je le baissat confortablement, et plaquât mon torse contre le grillage de fil de fer. Mon sexe passant dans un des trous et mes testicules dans celui du dessous.
Elle me regardat avec des yeux d’enfant qui déballe son plus beau cadeau de noël…
« Bon, ça y est t’es contente? Je peux y aller?
Vexée par mon manque d’interet, elle soupira: « pfff, j’ai l’impression que j’t’interesse pas… t’es pas drôle! »
Elle retira en quelques secondes absolument tout ses vêtement du haut du corps, et se retrouva seins nus face a moi, dans le froid.
J’était très surpris de voir ca.
Melanie était assez lambda, une jeune terminale un peu ronde, piercing à la langue, style un peu gothique, qui ne m’attirais pas plus que ça. Pas mon style.
mais avais deux qualitees. Ses rondeurs cachait une énorme paire de seins bien fermes, qui soulignait un visage d’ange affamée de bite.
« A quoi tu joue, Melanie, » lui dis-je.
«comme ça tu sera peut être un peu plus intéressé par moi, »
Elle ajoutat:
« C’est vraiment très gros… je veux l’essayer. Essayer ta grosse bite d’âne, je veux pas mourir idiote… » repond elle, tout en palpant mon sexe au travers les grillages.
Elle ajoutat: et il n’est pas question que lui rende pas l’hommage qu’elle mérite…
En commençant à me branler, toujours au travers le « barbelé »avec un regard de jeune chienne.
Je ria intérieurement. Je commençait à aimer la situation, je dois l’admettre.
J’atteignis rapidement une demi molle entre ses doigts, son sourire était proportionnel à la taille de mon sexe.
Plus je grossissait plus Elle avais le smile.
Elle me branlait maladroitement mais avec toute sa bonne volonté.
Hummm… elle grossis zncore…
garçon dont je connais pas le nom (en parlant de moi)… je peux te dire un secret?
« Vas y »
« Si tu savais le nombre de fois ou je me suis touchée en repensant à toi et madame la CPE dans l’ascenceur… et là je la touche enfin en vrai.
mais comment tu t’apelle, Garçon aux grosses couilles? j’ai même pas pu te chercher sur insta pour me doigter… » se plaignat elle, en plaisantant.
c’était presque flippant… je repondit: « Antoine, mais tu n’en saura pas plus. »
En disant ça, elle attrapa mes testicules et les fit passer dans le même trou du grillage que mon penis.
Sur le coup je ne compris pas l’intérêt. J’étais un peu serré dans le trou, et c’était peu confortable, mais bon. Rien de grave.
Elle me branlait au travers le grillage comme une nympho. Ma mi molle devenait de taille respectable… et grossissait à vue d’œil, en même temps que son sourire pervers.
J’allais finir par la baiser si ça continuais. Il fallait que je la calme, pour me clamer.
« Hum… bon, ça te suffit maintenant? Tu devais juste me la toucher pas me branler, je te ****lle… on vas s’arrêter là, avant que je n’ai envie de plus… et je dois retourner en cours. »
« Oh non, pas déjà… regarde plutôt ça. »
Elle se mis ensuite à embrasser mon sexe du bout des lèvres, mettre quelques coups de langue, et à le frotter contre ses seins, en murmurant: « hummmm… encore mieux que ce que j’avais imaginée… »
La voyant faire, je lui repondit : « ah non, pas question. On avais dit toucher pas sucer! » Et je voulut retirer mon sexe du trou dans le grillage…
Mais entre quand j’avais mis mon sexe et mes testicules au repos dans le trou et maintenant, j’avais bien bandé. Je ne passait plus, impossible de retirer mon sexe du grillage, du moins sans grosse douleur très mal placée.
J’essayat de forcer, mais mes couilles bloquait le passage, rien à faire.
Elle souria, l’air innocente, « oups, quelle malchance… (slurp) mais t’en vas pas, mon beau… ( slurp) je te veux que (slurp) du bien… »
Je compris soudainement pourquoi elle avais mis mes couilles dans le même trou que ma queue..
« Putain t’en a faite exprès…
Salope… »
je ne pensait pas qu’un jours je me ferait sucer sans mon consentement.
Cette chienne me gobait maladroitement le bout de la bite, mais avec passion.
Grrrrr… et je commençait à aimer ça.
Ma queue frottait son frein contre son piercing.
« Hmmmm… slurp, chilteplais, Sluuurp, thenerve passsslurp, chavais trop envie… sluurp, chuste… gloups, slurp, hune minute de pluche… Sluuurp! »
Elle me sucait en position chienne, avec son regard de salope, à genoux.
J’attrapat ses longs cheveux au travers le grillage, et les tena fermement.
« Ok, tu veux jouer à ca. »
Je commençait à bander sérieusement.
Je lui enfonçât ma queue dans la gorge en tirant sur ses couettes,tout en l’insultant de ce qu’elle était.
Elle gémissait de surprise, et des coups de reins qui se répercutait dans sa mâchoire. Elle me sucait comme une chienne affamée.
Je bandait enfin a mon niveau maximum.
Je lui percutait la bouche à grands coups de queue.
Je me faisait un plaisir de secouer sa petite machoire a coup de bassins.
Finalement,
N’arrivant pas à me prendre entièrement et correctement en bouche, Elle finit par me faire une bonne brznlette espagnole, un peu maladroite, qui était malgrés tout appréciable.
Je pense que j’avais du lui faire mal par mégarde.
De temps en temps, elle venais me sucer les burnes ou le bout du gland.
Je lui tirais les cheveux pour la guider sur ma queue, et lui apprendre à être une bonne chienne.
Ça faisait une petite dizaine de minutes que Melanie me sucait. Quand soudain j’entendis:
« Antoine, T’es où, on vas reprendre »
On paniquât. Je coupât la video.
Elle m’aidât a rerentrer ma queue de mon côté, ouf, on y parvint.
Je remis mon jean et elle son haut, en vitesse, on entendais quelqu’un approcher.
Je lui dit de partir de cacher. Elle paniquat, et eue à peine le temp de se rhabiller, que Boubakar nous vit, presque flagrant délit… ouf.
« Ah, Antoine, enfin. Melanie, qu’est-ce que tu fait la? »
Ma Queue en erection formait toujours une barre horizontale sous mon pantalon. Une barre humide.
son coté, elle, essayait de paraître naturelle et innocente, mais un long filet de bave entre ma braguette et sa bouche, trahissait nos actes.
Il y eu un gros blanc.
Boubakar un peu gêné par la situation, mais pas moins que nous, fit mine de ne rien voir. Il détournât la tete…
Boubakar ajoutat: « je sais pas ce qu’il s’est passé ici… mais d’après le règlements, je suis censé faire un rapport. Ce n’est ni le lieu ni le moment pour ce genre de … choses. Vous êtes dans un établissement scolaire »
Elle ajoutat, sans gene: heuuu… techniquement, non, ça se passe en dehors, Monsieur. En désignant la trace de bave autour du trou dans le grillage, comme pour dire que ça s’était passé dehors.
Et vous n’avez aucune preuve de ce qu’on a fait.
devant cette scène surréaliste, il hallucina. « Pfff… les jeunes d’aujourd’hui… bon, j’abandonne, vous savez quoi, je n’ai rien vu… mais a une condition, Antoine, rhabille toi et… reduit cette bosse au plus vite, et rejoins nous, Le cours n’est pas terminé. »
Evidement, On acceptat.
Content de ne pas avoir de rapport de ce genre. Je devais au moins lui reconnaître deux qualités. En prof, Il etait quand même cool, et sa « femme » me suce très bien.
Je quitta Ma « suceuse remplaçante »sur sa faim, tout en lui faisant jurer de ne rien dire, puis je retournât en cours.
Cette fois je débandât rapidement, Le cours de sport se termina sans problèmes, puis je pris une bonne douche dans les vestiaires, pour être bien propre pour ma convocation.
Je commençait à en avoir assez de me faire avoir par la moitié des nymphos du lycée. Bien qu’au fond, j’appréciais ça.
Une fois bien propre et bien rasé,
Je me rhabillât.
Par sms, j’expliquat ce qui venais de se passer à Julie.
J’avais hâte de la rejoindre.
Elle ria bien de savoir que son «ex copain » avais touché la queue qui le faisait cocu,
Et elle s’agaçat un peu pour Melanie. « J’espère que tu lui a bien cassée la bouche, pour lui passer l’envie de recommencer. Qu’elle se mêle de ce qui la regarde… Pour qui elle se prend celle la. Tu sais que tu peux porter plainte pour ca! »
Je la sentait un peu jalouse. Ça m’amusat.
Je la rassurât, c’était la dernière fois qu’elle nous faisait du chantage. Elle ajoutat:
« je vais la convoquer, je lui dirais deux mots. »
Je riat.
Enfin, Je retournât au lycée pour ma « convocation » avec Julie…
Une puissante mimolle sur tout le trajet rien qu’en imaginant ce qu’on allais faire.
J’arriva enfin dans son bureau.
Elle m’attendait.
Assise sur son nouveau bureau, très spacieux, avec deux beau bancs rembourrés en guise de sièges.
« Antoine, enfin… » dit elle, impatiente, avec son sourire coquin.
« Salut, Julie… » lui repondit je en lui rendant son sourire.
Elle m’embrassa.
Je m’empara instinctivement de son bonnet H, et lui malaxât.
Elle souria, et mz retira mon t shirt.
Elle se mise à genoux et ouvris délicatement ma braguette avec ses ongles de salope, pour en extraire « ma grosse teube pleine de jus » pour reprendre un de ses termes.
Elle me suça ainsi longuement, de manière à me faire durcir complètement.
« Hmmm… Julie brave chienne… »
« Hum, *slurp* je sais que t’aime ça mon poney…*slurp* »
Elle attrapa Mes grosses couilles pleines à craquer et déjà prêtes a exploser après la pipe du cour d’eps,
Pour les gober et les sucer.
C’était juste divin
Elle les lapait comme deux bonnes boules de glace, les faisant balloter lourdement, à coups de langue,en murmurant:
« Hmmm, ché groche boules lourdes et tendhue… dire que Ché pour moi tout cha. « Sluurp, » oh…. che vais te vider jusqu’à la dernière goutte, Antoine. »
Je ne demandait qu’à cracher.
« Urghhhhnnnn… putain, Julie!… »
Je craquât et me jeta sur elle. Je la mis A4 pattes sur son banc, et je l’enculat après un bref préliminaire.
Elle couina. Elle couinais un peu trop.
Ahhhhhh….. mon poney… je vais craquer, on vas nous entendre… quelqu’un peux entrer à tout moment… mais t’arrêtes surtout pas. Fait moi taire par pitié… et défonce moi. »
Je dut la bâillonner avec son foulard qui trainait par la.
Je me plaçât sur son banc derrière le bureau,et la fit s’assoir sur moi. De manière à pouvoir « disparaitre » en m’allongeant sur le banc si quelqu’un arrivait.
Elle gémissait derrière son foulard.
Je lui mis quelques fessées et elle vint twerker sur ma queue. Je faisais disparaître ma queue dans Son gros cul bien rond qui s’élargissait à chaque vas et viens. C’était délicieux.
Je lui doigtait la chatte simultanément pour la stimuler.
On resta là plusieurs minutes à baiser tranquillement, moi allongé à profiter de son twerk, en râlant par moment de plaisir.
Soudain, on frappa à la porte.
Je mnallongeat complètement sur le banc, de façon à ce que le bureau me cache complètement, et que seule Julie semble assise normalement sur un banc haut, (en étant en realite assise sur mes cuisses)
Evidement, j’avais « la bague de la mariée autour du doigt… » comme disais une amie peu subtile, soit dit autrement,
mon sexe profondément enfoncé dans son anus.
Elle, toujoirs le haut du corp toujours, habillee se rajusta rapidement, genee,
Je défit son baillon.
Elle dit: « ermmm… entrez. »
Très frustré de m’arrêter en pleine action, mon corp continuais presque inconsciemment à donner de petits coups de bassins au gros cul de ma cpe, qui palpitait toujours d’envie sur mon bassin, et sur lequel je regardait avec envie les jolies traces de mes doigts.
ma queue profondément enfoncée dans son intestin, mes mains entre son gros ventre de femme enceinte et son clitoris détrempé.
alors qu’elle, m’attrapais les couilles qui pendait entre ses cuisses, comme pour me dire de calmer un peu mes ardeurs.
Elle me chuchota, inquiète:
« Ouh… tout doux mon poney… tout doux… ou je vais craquerrrrr… »
Elle repetat, se forçant de garder son calme, « entrez! »
Mr pinazza, le second prof d’eps du lycée, entra.
(très ami avec Boubakar, un prof sympa, mais peu beauf, toujours à parler de cul ou de rumeurs. Et ça ne manquat pas.)
Il arriva souriant,
« Salut julie, tu vas bien? Je passe juste faire quelques photocopies.
Ils échangèrent quelques banalités, puis il ajoutat: Eh tu connais la nouvelle, boubak m’as dit qu’il avais surpris deux élèves baiser en plein cours d’eps tout à l´heure, et qu’un de ces gamins avais une queue si monstrueuse, qu’il devais certainement avoir des gènes equins.Hahaha, et il se faisait SUCER au travers le grillage par une petite terminale Literraire que l’employé municipal a retrouvé 10 minutes plus tard à se doigter dans les haies du stade. T’entend ça? Ah ces gosses… entre ca et les deux de la semaine dernière, ça se prend plus la tête de nos jours.
Elle repondit gênée, mais en prenant un air naturelle, en me palpant d’une main une couille. « ah oui? C’est vraiment n’importe quoi… ça c’est ces générations éduquées au porno. Complètement déconnectées de la réalité! Mais après tout, tant mieux pour la… compagne de ce jeune homme.»
En entendant ça, je me fit le plus discret possible. Mais je ne pouvais pas résister à mettre de petits coups de bassin dans son cul serré. Elle roulait lentement du cul sur ma queue, tout en répondant à Mr pinazza.
C’était une torture, j’avais envie de me lacher et de la defoncer.
« Tu trouve? Peut être, de nos jours c’est la surenchère. Les jeunes font ça toujoirs plus jeunes, toujours plus trash, et c’est la mentalité du toujours plus gros. Ça me ****lle ma fille, seins refaits, cul refait, elle s’est tout fait refaire. Tout ça pour plaire à son ex et sa soit disant grosse bite,qui la traitait comme une salope,Evidement.
Parfois C’est malheureux.
Bon, on cause on cause, moi j’ai des photocopies à faire. »
De mon côté, j’en pouvais plus. Il pouvais pas se casser? Je lui limais la chatte de moins en moins discrètement.
Je commençait à lui mettre de bons coups de reins, en me sentant faire, elle essaya d’étouffer son cri, et elle montat le volume de la radio pour masquer les claquements.
Elle me lançait un regard à la fois outrée et affamée, comme pour dire « tu vas trop loin enfoiré »
Puis elle bafouilla:
« Oh tu sais les goûts c’est subjectif. Ils sont jeunes et(ouille) en PLEINE forme… ils ont bien le droit de s’amuser, parfois….pfffiouuuuh… et Vas y je t’en prie, la photocopieuuuuse est à ta gauche!… »
« Merci mais c’est celle ci qui me faut, elle fait des photocopies couleurs en A3 il me la faut pour la course d’orientation. »
Dit il en désignant la photocopieuse derrière le bureau…. impossible d’y accéder sans me voir.
« Oh non, c’est impossssiiiiible!!!! » s’empressa t’elle de dire.
« Elle est (heu…) en panne depuis peu; et c’est TRÈS TRÈS LONG ET DURRR (ouh…) d’avoir les pièces neuves….
Tu devra te contenteeeeeerrr! De l’autre en noir et blanc… » dit elle, essoufflée.
Je n’en pouvais plus. De mon côté, j’avais abandonné. Je lui limait l’anus en essayant d’être discret mais en la bourrinant tout de même. Elle me pressais les couillzs à pleine main, et palpait ma queue. J’etait pas loin de cracher, et elle aussi.
« Ah bon? Tu est sure? Daccord, mais pourquoi tu te tortille comme ça julie, r’es malade? »
« Non, j’ai juste TRÈS ENVIE… de b…d’URINER, oh excuse moi, c’est sortit tout seul…
« ah oui je connais ça,Haha, pas de mal. »
Tranquillement, il fit ses photocopies. Une… deux… trois… pff quelle lenteur.
Julie twerkait sur ma queue et mouillait à mort. Elle souffrais autant que moi.
Soudain, me sentant craquer, je me mis à la bourrer encore un peu plus fort.
Elle gémis: « tu fait combien de photocopiiiiiies, bon sazaaang??? »
« Heu… une demi pour tout mes terminales, soit environ 100, pourquoi? »
Eh merde.
Jnetait bien incapable d’attendre tout ce temps. Et elle aussi.
Elle craquât à son tour.
« non…. non, non, Non, NOOOOOON!!!!! DEqpECHES TOIiI!!! »
Et se mis à sautiller complètement sur ma queue, pour enfoncer profondément ma queue dans sa ceinture pelvienne.
Je craquât a mon tour, on hurlat.
« Désolée mon poneyy, j’en peux PLUUUUUS!!!!
Et elle se fracassa sur ma queue à une vitesse folle. Ça m’achevat.
« RHAAAAAAAAh eh meRRRDE…. »
Je craquât et laissa tomber tout mes filtres.
Je la percutât de toutes mes forces en la faisant rebondir sur ma queue. Jel’enculais a mort et elle hurlais.
Dans un dernier soupçon de lucidité, elle m’enroula son bandeau autour du visage pour cacher mon identité ainsi que cachât mes vêtements reconnaissables.
Mr pinazza n’en revint pas.
Julie l’aggripait la nappe du bureau à pleins ongles, et la tira, (pour calmer sa tension sexuelle)
Il vis sous la nappe du bureau.
Il vis mes grosses couilles sous l’anus de Julie, je la pilonnait à mort. Ma main sur sa chatte, a la fois pour la cacher à la vue et pour lui defoncer le clito. Il resta bouche bée du spectacle.
Son anus se defourmait sous mon pieux,
Elle était au bord de l’orgasme. Soudain je repassât dans sa chatte, que j’avais elargie manuellement,
En quelques secondes,
On eu un orgasme simultané et extrêmement violent.
On hurlat.
Mes couilles pleines à craquer eurent d’énormes contractions, et jninnonda sa chatte qui dégoulina abondamment sous son bureau, laissant de nombreuses taches et éclaboussures .
« Oh PUTAIN OUIIIIII REMPLIS MOI MON PONEYYYY!!!!!!!!!…… j’en peux plussss…»
J’avais craqué. Devant le prof. Je venais de remplir sa chatte.
Elle me caressait les couilles avec passion tout en tremblant de son orgasme violent, pendant que je purgeait mon sperme dans de longs et puissantes ejaculations.
Toujours « sur le cul » du spectacle, il finit par dire: « quoi? C’est une blague? Il se passe quoi là? C’est quoi ça, Julie? C’est quoi ce monstre? C’est pas un gamin quand même ? C’est du sperme ça? MAis t’es plus avec boubak?? Depuis quand il était là?
Très gênée par la situation, Elle le fit taire avec un grand « STOOOP! »
« Romain, s’il te plaît. Laisse nous. Juste laisse nous. Mais pas un mot, pas une allusion pas un. À personne. »
« Tu plaisantes? c’est une blague c’est ça? Bon, il se fait tard, je vais vous laisser moi! Allez, bonne journée? »
Julie l’arrêta:
« Non c’est pas une blague loin de la. Écoute moi bien romain. Je voulais pas en arriver là, mais pas le choix. Je sais pour toi et Sophie… Ta femme ne serait pas ravie de l’apprendre, n’est-ce pas,surtout dans le contexte actuel. »
« Il resta bouche bée. Comment as tu su ça… Bon, tout ce que vous voulez. C’est Daccord je dirais rien, pas un mot. »
J’ajoutat, en essayant de modifier un peu ma voix, «promet, Sinon tu sais ce qui t’attend… »
« Je promet je promet! Tout mais pas ça. Vous pouvez me croire… Je ne dirais rien sur toi et Julie. Mais pas un mot sur Sophie »
Julie conclus par: « Contente de l’apprendre romain… marché conclu, maintenant laisse nous… vraiment. »
Il pris ses photocopies et disparu comme si de rien était, en ajoutant dans un rire un peu gêné: un « tu t’emmerde vraiement pas Julie…la nouvelle génération, tu parles… et tu me disait le contraire 5 minutes plus tôt… hahaha… les enfoirés… mais quels enfoires…»
Il ferma enfin la porte.
On avais eu chaud… un jours ce sera le principal qui poussera la porte et on sera certainement renvoyés de cet établissement.
On s’embrassa, puis elle vint me nettoyer la queue à coup de langue.
Je lui bouffa les seins, mangeât avec elle, et fit une petite sieste entre ses seins, quelques sucons, en sa compagnie,
Puis elle vint se blottir nue contre mon épaule, pour me faire un « câlin » de réconfort.
Je palpait et embrassait son beau ventre gonflé, qui me plaisait de plus en plus.
Un peu avant la reprise des cours, elle me libéra que je puisse me re preparer.
On se dit à bientôt. Ce soir elle devait se reposer. Elle était toujoirs malade malgré tout.
La journée se termina normalement. A une petite fellation près, dans les WC, à la récréation.
fin.
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