Soudain, nous entendons un cliquetis métallique, et voilà que la baie vitrée s’ouvre. Nous n’avons pas le temps de nous cacher, tant pis. La fille se tient sur la terrasse et nous regarde avec un sourire bienveillant. Son copain est toujours allongé sur le lit, sa bite en érection tendue vers le plafond. « Vous n’êtes pas très discrets », plaisante-t-elle. Je te sens rougir à mes côtés. Puis elle rajoute, hésitante: « Si ça vous dit, vous pouvez nous rejoindre… » Tu te tournes vers moi, battant en retraite. Je lis un mélange de panique et d’excitation dans tes yeux. Je lui réponds qu’on accepterait volontiers l’invitation, mais à deux conditions: pas d’échangisme et pas de contacts forcés. Non pas que nous y soyons farouchement opposés, mais chaque chose en son temps… « Oh, vous savez, nous ne sommes pas échangistes non plus, précise-t-elle, mais on s’est toujours demandé ce que ça ferait de faire l’amour devant un autre couple… » Ça tombe bien, nous aussi. Je te regarde, tu sembles un peu plus détendue et bien partante. La fille nous fait signe d’entrer, nous la suivons à l’intérieur. Ligoté sur le lit, le garçon semble un peu crispé. Sa copine revient se percher sur lui sans dire un mot, et reprend son petit manège comme s’ils n’avaient pas été interrompus. La lumière tremblotante qui baigne la pièce ajoute au côté surréaliste de ce moment.
Nous posons nos affaires sur la table, sans détacher nos yeux du spectacle que ce jeune couple nous offre. Tu t’installes dans le fauteuil qui fait face au lit et je viens m’accroupir derrière toi. Mes mains tâtonnent à l’aveugle sur tes cuisses, pendant que ma bouche picore le bas de ton cou. Sur le lit, la fille continue de faire doucement passer le membre du garçon, qu’elle tient fermement dans une main, sur ses lèvres humides, le privant pour l’instant de toute pénétration. Elle laisse tomber les bretelles de sa nuisette pour dévoiler une poitrine ronde et ferme, aux petites aréoles brunes, qu’elle se met à frotter sur le visage de son copain. Ils poursuivent leur câlin comme si nous n’étions pas là. Tu te tournes vers moi, visiblement très excitée, et murmures à mon oreille d’un ton coquin: « Chéri, tu me manges, s’il te plait? » Tu joins le geste à la parole et écartes sensiblement tes cuisses. Je viens m’agenouiller devant foi et fond sur ton abricot suintant qui émerge au milieu du tissu trempé, tel un succulent bonbon. Tu avances tes fesses sur le rebord du fauteuil afin que j’ai mieux accès à ton sexe. Alors que je te lèche, tu te laisses aller à gémir, les deux mains sur tes seins que tu pétris à travers ta robe, les yeux rivés sur le lit et ses occupants.
Nos deux amoureux passent enfin aux choses sérieuses, au grand soulagement du garçon. Je me retourne et vois la fille remonter sa nuisette à hauteur de sa taille, dévoilant une chatte rasée surmontée d’un fin triangle de poils bruns. « Tu la veux, hein? », nargue-t-elle son chéri en écartant ses lèvres, puis, d’un geste gracile et expert, elle lui retire son caleçon et s’empale sur toute la longueur de sa queue, arrachant au garçon un long râle de béatitude. A moitié enfoncée dans le fauteuil, tu te cambres à la vue de ces deux sexes s’unissant, tu retournes ma tête vers toi et me plaque contre ton sexe. Un flot de jus se déverse dans ma bouche alors que je recommence à laper ton minou. Tu tends tes jambes et me demandes d’enlever ta culotte. Une fois fait, tu descends tes bretelles pour laisser sortir tes seins durs aux tétons roses rétrécis, puis tu remontes le bas de ta robe jusqu’au nombril. « Mets-moi un doigt, mon amour », exiges-tu. Alors que j’insère mon majeur dans ta fente, j’entends derrière moi les gémissements de nos deux amoureux, ainsi que le claquement des fesses de la fille sur les cuisses de son copain. C’est un peu frustrant de n’avoir que le son, et pas l’image. Toi, par contre, tu ne rates rien de leurs ébats, et le moins que l’on puisse dire, c’est que ça te chauffe à blanc.
Sans attendre ta permission, je rajoute un doigt de plus pour te masturber, tant ta chatte est dilatée. Sur le lit, les évènements s’accélèrent. La fille semble monter très rapidement, la cadence de leurs va-et-vient se fait plus frénétique. Les yeux écarquillés et la bouche légèrement entrouverte, comme à demi-consciente de ce que nous sommes en train de vivre, tu observes fascinée le spectacle de ces deux corps qui fusionnent. Moi, je continue à te doigter avec force, à l’aide de trois doigts désormais, tout en taquinant ton clitoris du bout des dents. L’excitation aidant, je me sens horriblement à l’étroit dans mon boxer, aussi je déboutonne mon pantalon et extirpe ma queue reconnaissante que je commence à branler. Après tout, pourquoi ne prendrais-je pas de plaisir moi aussi? Soudain, la fille se met à hurler, une longue série de cris allant crescendo jusqu’à l’explosion finale d’une terrible jouissance. Tu parais à la fois choquée et envieuse, puis tu baisses les yeux vers moi, comme si, pendant quelques secondes, tu avais oublié ma présence. « J’ai envie que tu me baises aussi fort », assènes-tu. Tu te lèves, faisant glisser ta robe sur toi jusqu’à tes pieds. Tu ne portes plus désormais que tes bas. Puis tu t’occupes de moi, tu déboutonnes ma chemise, tu baisses mon pantalon et tu retires mon boxer. Tu prends ma main et me fais approcher du lit.
La fille, à peine remise de ses émotions, décide d’ôter les entraves de son compagnon. Enfin libre de ses mouvements, le garçon la saisit dans ses bras, lui retire sa nuisette et l’allonge sur le dos en travers du lit, nous laissant l’autre moitié du matelas. Puis, sans cérémonie, il la pénètre à nouveau, s’étalant de tout son long sur elle. Toi, tu t’installes dans l’autre sens, afin de pouvoir continuer à les regarder faire l’amour, et tu m’invites à te grimer dessus. J’insère mon gland violacé à l’entrée de ton vagin et je me laisse glisser en toi comme dans un songe. Bien que captivée par leurs ébats, tu préfères te concentrer sur notre câlin. J’entame une série d’allers-retours amples et profonds, ta chatte est tellement épanouie que je pourrais m’y noyer dedans. Nous prenons un plaisir indescriptible, sans doute dopé par cette situation pour le moins excitante (et peut-être aussi à cause du produit aphrodisiaque absorbé au préalable). Emportée dans un tourbillon de sensations, tu exprimes ton bien-être sans retenue, attirant pour la première fois l’attention du jeune couple sur nous. Tu es à ma merci, alors j’imprime un rythme encore plus soutenu pour t’arracher un premier orgasme détonant, qui te laisse le souffle coupé quelques secondes.
Sans te laisser de répit, je continue à aller et venir dans ton ventre. Tes doigts s’affairent sur ton clitoris, alors que tu subis un deuxième assaut de plaisir. A côté de nous, les deux tourtereaux, galvanisés par notre passion, sont sur la même pente ascendante. Les mains griffant le dos de son copain, la fille semble sur le point de succomber à nouveau. Sa respiration se fait plus forte, ses gémissements de plus en plus intenses. Dans un bref accès de lucidité, je remarque que vos cris se répondent en écho, et que nous vous faisons l’amour au même rythme, comme si nous étions en symbiose. Après quelques minutes, je sens ton nid d’amour palpiter à nouveau et se mettre à dégouliner d’un liquide blanchâtre. A en juger par l’expression sur ton visage, cet orgasme vient de loin et risque d’être violent. De son côté, la fille se cambre sous les intenses coups de boutoir de son amant, ses seins lourds ballotant à chaque à-coup. Toi, tu halètes, gémis, grognes, couines puis hurles, m’inondant tout le bas-ventre et m’emportant dans un torrent de jouissance, auquel je réponds instantanément en déchargeant mon sperme chaud dans ton ventre tout en hurlant mon plaisir. Une explosion simultanée se produit de l’autre côté où, blottis dans les bras l’un de l’autre, nos deux amoureux parviennent ensemble à l’orgasme. La soirée commence plutôt bien…
A suivre…
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