PUNIE UN BLACK ME DEFONCE
Dans ce récit et ceux qui suivent je vais relater les punitions, sévices et maltraitances que j’ai acceptés et endurés à un moment de mon existence car en plus d’être devenue une putain et même une prostituée (mais ça fera l’objet d’autres récits), n’étant pas un modèle de vertu je franchissais allègrement certaines bornes et comme je suis mariée mon homme n’appréciait pas certains de mes débordements.
J’ai maintenant un certain âge mais j’étais une femme blonde pas très grande avec un joli visage, de belles jambes, une poitrine avenante et un corps bien fait qui attirait les hommes. A cause de mes regards et attitudes je passais déjà pour une salope quand j’étais jeune et ensuite je me suis servie de ça auprès des mâles que j’attirais.
Première punition:
Ce jour là mon mari est fâché car j’ai renoué avec Micheline une ancienne copine (elle a le vice dans la peau et est douée pour dévoyer ses amies) qui m’avait entraînée dans ma première relation adultère avec un jeune homme à gros sexe, elle a voulu recommencer ses manigances et me faire coucher avec deux de ses relations intimes pas du tout intéressantes. J’ai raconté à mon mari ce qui s’est passé et il a décidé de me punir car il n’admet pas que je revoie cette femme.
Le lendemain des faits il remarque une annonce dans un journal de petites annonces gratuites que l’on reçoit chaque semaine.
« Raphael 32 ans, origine Africaine cherche jeune femme pour relations intimes ».
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Il y a un numéro de téléphone que je fais tout de suite et je branche le haut parleur.
Un homme dont l’intonation de la voix ne laisse pas de doutes sur ses origines me répond.
Je décris mon physique puis le questionne sur le sien, il est grand et de bonne corpulence.
Sous les directives de mon mari je lui demande les mensurations de son sexe. Il répond sans complexe et d’après ce qu’il me décrit et qui me trouble c’est énorme.
Mon mari me fait signe de prendre rendez-vous, ce que je fais puis je raccroche.
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Le surlendemain mon mari m’amène dans la ville voisine jusqu’au pied de l’immeuble ou réside Raphael, je dois revenir en bus.
Les jambes un peu flageolantes, pas rassurée je monte l’escalier jusqu’au quatrième étage, je sais que mon homme stationne devant l’immeuble et va y rester un moment pour être sur que je ne ressorte pas et que je fasse ce qu’il a décidé.
Je trouve l’appartement et je sonne à la porte.
Un homme de couleur m’ouvre et me fait entrer. Cela me fait bizarre car je n’ai jamais fréquenté de black et mon regard se porte sur un certain endroit de son pantalon ou je vois une énorme bosse.
Il m’offre à boire et nous parlons un peu mais il est pressé de se servir de mon corps et me demande de le suivre dans sa chambre.
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Ce que je fais docilement. Rapidement il est également nu.
Il scrute mon corps sous toutes les coutures.
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Il est bien proportionné et musclé.
J’observe son sexe, il bande et il est encore plus volumineux que je ne le pensais. Il va me déchirer, j’ai envie de me rhabiller et de fuir.
Il s’approche de moi et passe ses bras autour de ma taille, il frotte sa queue énorme contre mon ventre.
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Machinalement j’obéis et m’allonge sur le lit.
Rapidement il m’embrasse sans faire durer le baiser, nos langues ont à peine le temps de faire connaissance.
Il caresse sans s’attarder mes seins, mon ventre et mon sexe pendant que je caresse son torse musclé, ses cuisses et son pénis droit comme un I qui tient à peine dans ma main.
Impatient il est déjà sur moi allongé entre mes jambes.
Appréhendant la suite j’écarte les lèvres de mon sexe avec mes mains, il positionne son pieu à l’entrée de mon intimité et je m’agrippe à son dos en fermant les yeux quand il pèse de tout son poids pour me pénétrer.
Mes ongles s’enfoncent dans sa peau pendant qu’il force le passage et que son monstre s’enfonce peu à peu dans mon vagin écartelant les chairs.
J’ai le souffle coupé, enfin sa verge touche le fond de mon intimité et commence à y faire des aller-retour, elle est tellement serrée dans mon fourreau que très vite elle gonfle encore et s’agite pendant qu’il inonde mon ventre d’une grande quantité de sperme dont les jets frappent le fond de mon vagin me procurant de fortes sensations.
Je vais aux toilettes m’essuyer puis reviens m’allonger.
Il bande toujours autant, se rallonge sur moi et me pénètre de nouveau rapidement.
Sa verge coulisse plus facilement car sa semence a bien lubrifié mon vagin. Il se met en mouvement, me défonce et je commence à ressentir du plaisir mais trop rapidement il inonde encore ma grotte.
Je vais m’essuyer et à peine revenue il me pénètre. Les va-et vient de son pieu dans mon intimité durent plus longtemps avant qu’il n’éjacule et même si le plaisir monte dans mon ventre je n’arrive pas à la jouissance.
Raphael s’essuie puis se rend dans la cuisine et nous rapporte de la boisson.
Il s’allonge à côté de moi et je pense que c’est fini mais je suis dans l’erreur, il veut une pipe.
J’ouvre au maximum la bouche et y introduis son monstre un peu ramolli mais toujours imposant. Malgré mes efforts je ne peux en engloutir qu’une partie.
J’oeuvre un moment avec des haut le coeur quand il est au fond de ma gorge et j’ai des crampes à la mâchoire car il rebande rapidement et son pénis a retrouvé ses dimensions imposantes. Du coup je le masturbe en même temps que je lui fais la fellation.
C’est le calvaire pour ma mâchoire quand sa queue gonfle encore et qu’agitée de soubresauts des jets de liquides frappent le fond de ma gorge.
De suite il se retire, pendant que j’avale son sperme il m’allonge sur le lit et se couche sur moi me pénétrant brutalement.
Sa queue s’active un moment dans mon vagin, j’ai du plaisir mais c’est douloureux quand elle tape au fond de mon intimité.
Il éjacule dans mon ventre et imperturbable continue à me pilonner sans débander.
Comme notre accouplement dure plus longtemps le plaisir monte en moi, mon corps se tend et s’agite quand des giclées de cyprine sortent de mon vagin et arrosent son ventre pendant que j’ai un orgasme puissant.
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Excité par ce qui m’arrive il ne tarde pas à jouir encore dans mon vagin.
Allongé sur le dos il a débandé et me réclame une pipe que je lui fais en le masturbant en même temps.
Heureusement son pénis ne met pas trop de temps à reprendre d’énormes dimensions.
Je me positionne accroupie au dessus de lui mes jambes de chaque côté de son corps, je positionne sa queue à l’entrée de ma chatte maintenant largement ouverte, je m’empale et fais de mouvements verticaux rapides pendant qu’il triture mes seins et mes tétons.
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Son sexe cogne au fond de mon vagin, je m’active un moment avant que les soubresauts de son pénis ne surviennent et qu’il se soulage dans mon ventre.
Toujours empalée je continue à remuer à sa grande satisfaction mais comme notre étreinte dure un moment je jouis et m’affale sur lui, il nous retourne et se retrouve sur moi sans que son membre n’aie quitté mon intimité.
Sa queue fait des va-et-vient rapides en moi, je prends du plaisir jusqu’à ce qu’il éjacule encore.
Insatiable il réclame encore une pipe, je lui donne satisfaction. Une fois qu’il rebande il me repousse, s’allonge sur moi et me pénètre, nous remuons de concert.
Notre accouplement dure longtemps et je jouis bien avant que les soubresauts de sa verge ne m’indiquent qu’il se laisse aller dans mon vagin.
Puis il n’est pas décidé à arrêter et nous continuons à remuer de concert à grands coups de reins. Le plaisir de nouveau dans mon ventre et j’ai deux orgasmes avant qu’il n’éjacule de nouveau dans mon intimité.
Pour moi il est l’heure d’aller prendre mon bus malgré que mon amant du jour insiste pour que je reste.
Je passe dans la salle de bain ou je constate que j’ai la figure fatiguée et la chatte béante puis je me rhabille.
Avant de le quitter vue son insistance je lui promets de revenir le voir puis je pars après l’avoir embrassé sur les lèvres.
La route est longue jusqu’à l’arrêt de bus car je suis fatiguée et comme mon intimité a été malmenée elle est sensible et j’ai du mal à marcher.
J’espère ne plus subir cela.
Le jour de notre départ en vacances dans le sud arrive, je dois trouver une robe dos nu que je puisse porter sans soutien-gorge car je n’en mets pas à la mer.
Je m’habille avec une robe que je peux facilement enlever pour faire un essayage, pas de sous-vêtements et je me rends au marché en fin de matinée.
Je visite différents étals et sur l’un d’eux je trouve deux robes qui me plaisent.
J’attends la fin du marché et que le vendeur commence à remballer sa marchandise.
Je m’intéresse aux robes repérées et demande si je peux les essayer. Le vendeur me dit que c’est possible à l’arrière de son camion.
Je monte dans le véhicule avec une robe que j’enfile après avoir enlevé la mienne.
Le marchand vient voir si elle me va, je me tourne et lui demande ce qu’il en pense puis je demande à essayer la deuxième robe.
Il va la chercher, quand il revient je finis de retirer le vêtement et il me voit nue. Gêné il se recule et se retourne.
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Il ne sait pas quelle attitude adopter mais s’approche quand même et me tend le vêtement.
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J’enfile la robe et j’attends qu’il revienne. Je lui demande son avis bien que mon choix soit fait.
Rapidement j’enlève la robe et la lui tend avant qu’il n’aie le temps de bouger.
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Je vois que ma proposition le tente, je constate la déformation de son pantalon au niveau de son sexe qui augmente. Je continue à le baratiner.
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Il tire un double rideau qui doit être utilisé comme cabine d’essayage, toujours nue je m’approche et me colle à lui.
Par dessus son jeans je caresse son sexe gonflé puis je dégrafe sa ceinture et je baisse son pantalon et son slip qui tombent à ses pieds.
Je regarde son pénis bien gonflé et de bonne taille.
Accroupie je caresse sa queue ensuite je la lèche un moment avant de l’introduire dans ma bouche. Je lui fais une fellation énergique en donnant de l’amplitude aux aller-retour de ma bouche sur sa verge. Il soupire et émoustillé ne résiste pas longtemps, son membre enfle encore et agité de soubresauts envoie des giclées de sperme au fond de ma gorge. J’avale et continue un peu à sucer.
Je me couche sur les cartons et écarte les jambes puis je l’invite à me prendre.
Il s’allonge sur moi et introduit sa verge dans mon vagin puis il commence à remuer à grands coups de reins. j’accorde les mouvements de mon bassin avec les va-et-vient de sa queue dans mon intimité.
Nous remuons un moment pendant qu’il caresse mes seins et martyrise les tétons.
Excitée je mouille ce dont il s’aperçoit. Son corps se raidit, de nouveau son pénis est agité de soubresauts pendant qu’il déverse sa semence dans mon vagin en râlant.
Il se relève et veut se rhabiller mais je l’empêche et à genoux, mes mains crochées derrière ses cuisses, je prends dans ma bouche sa queue ramollie et gluante de sperme et mouillure. Je lui triture les bourses et lui administre une fellation en alternant avec une masturbation pendant que ses ongles pénètrent dans la chair de mes épaules. Je m’active longtemps et énergiquement, enfin je sens sa verge gonfler dans ma bouche puis retrouver de bonnes dimensions.
Satisfaite je lui tourne le dos et me mets à genoux, il se place derrière moi et me prend en levrette et s’active longtemps en soufflant beaucoup.
Le plaisir monte dans mon ventre et j’atteins l’orgasme. Ensuite je me retrouve allongée sous lui et nous remuons de concert accompagnés par les clapotis de ma mouillure, le plaisir que je ressens remonte vite mais il éjacule dans mon ventre avant que j’atteigne la jouissance.
Il se relève, essuie son pénis avec un chiffon et se rhabille.
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<<ça t'a plu c'est le principal>>.
Je m’essuie et remets ma robe et nous descendons du camion.
Il me tend un sac.
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Je prends le sac et le remercie puis je l’embrasse sur les lèvres avant de le quitter.
Le soir mon mari voit les robes et me pose un tas de questions car il sait que je n’avais pas l’argent nécessaire pour cet achat.
Je finis par lui avouer comment je les ai gagnées, il n’apprécie pas.
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Il me parle de ce que j’ai enduré avec Raphael le black qui m’a défoncée tout un après-midi avec son énorme sexe et qu’il appelle « le défonce cul ».
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Je téléphone donc à Raphael qui est content de me revoir et accepte avec empressement de me recevoir.
Vers 18 heures mon mari me dépose devant l’immeuble de mon amant fortement membré et part après m’avoir dit:
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Je sonne à la porte de l’appartement, Raphael m’ouvre, il est vêtu uniquement d’un slip qui n’arrive pas à contenir son énorme queue déjà prête à honorer la femelle avide de sexe que je suis.
je m’avance pour l’embrasser, tout ce que je réussis à faire c’est poser mes lèvres sur les siennes.
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J’ai à peine le temps de poser mon sac et de commencer à me dévêtir qu’il est là et retire son slip, il me montre son monstrueux pénis fièrement dressé.
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Il s’allonge sur le lit pendant que je finis de retirer ma robe et mes sous-vêtements.
Je le rejoins et assise sur le lit je caresse son pieu puis je le lèche patiemment partout. J’ouvre la bouche au maximum et fais pénétrer en forçant ce que je peux du membre le plus profond possible ensuit je lui fais une fellation le mieux que je peux malgré mes écoeurements et en ignorant les crampes à ma mâchoire pendant qu’il caresse un peu mes fesses, mes cuisses et mon sexe.
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J’accélère les aller-retour de ma bouche sur sa verge pendant qu’il m’encourage et je suis surprise quand son monstre augmente encore de volume et écartèle ma mâchoire, avec des soubresauts il envoie de grandes quantités de sperme au fond de ma gorge.
Je suffoque, j’en avale une partie pendant que le reste s’échappe de ma bouche, coule sur mon menton et sur lui.
Je me retire et vais me nettoyer dans la salle de bain en en profitant pour enduire les parois de mon vagin de sperme.
J’apporte une serviette et essuie son ventre mais pas son sexe toujours bien dressé que je préfère laisser gluant.
Je m’accroupis au dessus de lui mes jambes de chaque côté de son corps et j’introduis sa queue dans ma chatte puis avec des mouvements du bassin je commence les mouvements de va-et-vient en accélérant progressivement la cadence. Son gros pieu écartèle mes chairs et tape au fond de mon intimité.
Les aller-retour de mon sexe sur le sien sont maintenant très rapides et il ne tient pas longtemps avant d’éjaculer dans mon ventre.
Il me couche sur le dos et s’allonge sur moi, il me pénètre, j’accompagne ses mouvements en rythmant mes coups de reins sur les siens. Le plaisir monte en moi et je mouille bien ce qui facilite le coulissement de sa verge puis il arrose ma grotte de sa semence avant que je n’arrive à la jouissance.
Je dois encore lui faire une pipe puis il me met à genoux la tête dans les draps et me prend en levrette s’oubliant de nouveau dans ma chatte.
Il se lève, s’essuie, enfile un short et va préparer le repas, je m’essuie et je reste nue.
Assis face à face nous mangeons des plats qui viennent d’un traiteur et buvons un peu de vin et du jus de fruit.
Repas terminé pas de répit, mon amant caresse mes seins et parle de reprendre nos ébats sexuels.
Il rebande, je me lève, il est encore assis, je me mets à califourchon sur lui en lui faisant face et en m’asseyant pratiquement sur lui je m’empale sur son imposante verge.
Avec mes jambes je donne des mouvements amples à mon corps les mains agrippées à ses cuisses, lui pose ses mains sur mes seins.
Ma grotte est bien gluante son énorme sexe qui l’emplit entièrement coulisse plus facilement, je m’active un moment avant qu’il ne déverse sa semence dans mon intimité.
Il met ses mains sous mes fesses et se lève, je passe mes bras autour de son cou et il m’emmène dans sa chambre toujours empalée sur son pénis.
Allongé sur moi il s’active, je le laisse faire et je mouille beaucoup, les clapotis accompagnent les va-et-vient de son membre dans mon vagin. Le plaisir monte dans mon ventre puis le corps secoué par des spasmes je jouis l’arrosant de ma cyprine pendant qu’indifférent à ce qui m’arrive il continue à me défoncer et enfin éjacule puis sans se retirer ni débander il recommence à remuer.
Mes mouvements accompagnent les siens, j’ai le ventre en feu, il me pilonne longtemps et les spasmes de mon corps et mes jouissances lui font dire:
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Plus très lucide je ne réponds pas gémissant de plus en plus car le plaisir ne me quitte plus, il finit par éjaculer dans ma chatte.
La fin de soirée et la nuit se passent ainsi: des courtes périodes de sommeil, souvent il me réveille en me pénétrant allongé sur moi ou à genoux en levrette ou bien je me retrouve couchée sur le côté les jambes repliées et lui derrière moi, je ne compte plus nos accouplements sans parler des fellations qu’il me réclame, avec les jouissances qu’il provoque par les coïts répétés je ne récupère plus.
Vers 7 heures du matin nous buvons du café et mangeons des croissants je suis épuisée.
Le téléphone sonne, Raphael répond puis m’appelle en disant que c’est pour moi.
Mon mari m’informe qu’il prolonge ma punition et qu’il viendra me chercher à 8 heures précises le lendemain. J’essaie de protester mais je sens qu’il est déterminé, désorientée je raccroche.
Mon amant à qui je raconte une histoire qui me semble crédible au sujet du coup de téléphone est ravi que je sois obligée de rester avec lui.
Du coup pendant la journée et la nuit en dehors des repas je ne quitte pratiquement pas le lit, je subis les nombreuses pénétrations de l’énorme queue sans compter les fellations que je dois lui faire.
Souvent une fois qu’il s’est soulagé dans mon ventre je m’endors mais comme il a toujours envie mes périodes de sommeil sont courtes et les orgasmes m’épuisent.
Le lendemain matin après le déjeuner et avoir été prise une dernière fois je passe dans la salle de bain et constate l’état lamentable de mon visage plus que fatigué sans parler du trou béant entre mes cuisses, ma machoire est endolorie.
Rhabillée j’embrasse mon amant sur les lèvres, il espère me revoir, je quitte l’appartement.
J’ai beaucoup de mal à marcher et ma chatte est douloureuse.
Mon mari m’attend, je monte dans la voiture.
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En route je lui demande de s’arrêter dans un chemin, je retire ma culotte et lui montre mon sexe.
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<<ça va se refermer car c'est élastique, en attendant tu auras droit à la sodomie, tu as vu dans l'état ou tu es alors imagines comment tu reviendras après une punition d'une semaine>>.
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<<ça dépend uniquement de toi et de ton comportement>>.
Il démarre direction le sud de la France et les vacances.
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