Je suis en retard au rendez-vous de Christian. Quand je sonne à la porte, il semble furieux.
« C’est maintenant que tu arrives ? Tu as presque une heure de retard ! Tu vas le payer chère ma grande ! Michèle ! Il va falloir que je t’apprenne la ponctualité. Je vais t’administrer une punition dont tu te souviendra ! J’ai été trop indulgent avec toi jusqu’à présent ! » Déclare-t-il d’un ton sans réplique.
« Je pense que douze coups de fouet sont bien mérités et j’espère suffisants ! Mets-toi à poil !» continue-t-il.
Le verdict tombé. Je suis docilement Christian dans le salon. Je tente de me soustraire à la punition en me jetant à ses genoux et en le suppliant :
«Je t’en prie, je ne pourrais jamais supporter 12 coups. C’est trop douloureux ! Je suis prête à faire tout ce que tu veux. Mais je t’en supplie ne me frappe pas avec ça ! »
Christian contemple avec ravissement sa femelle bouleversée à l’idée de recevoir une correction. Il s’amuse à observer mes nichons qui tressautent au rythme de ma respiration trop rapide.
« Michèle ! Tu n’es pas encore prête à te comporter en femme responsable. Tu n’es qu’une petite salope désobéissante ! Tu as besoin d’être dressée ! Pour ça, tu vas accepter stoïquement ton châtiment que t’as amplement mérité ! » Laisse-t-il tomber comme un couperet avec dédain.
Nue, je suis exposée à la merci de mon juge et contrainte de mettre en évidence ses appâts. Christian me détaille tranquillement.
« Tiens-toi correctement, à genoux cuisses écartés, quand je te parle ! Je vais commencer à te donner une fessée à mains nues comme on le fait aux enfant en bas âge ! »
Heureuse au moins de ne plus avoir à affronter la morsure du fouet, je me prête au jeu et me rassure de n’être que soumise à cette punition plus légère.
Il bande de me voir exposée sans pudeur. Il sait qu’il va pouvoir abuser de moi, sans déclencher la moindre protestation. Il ne va pas s’en priver et faire durer le plaisir autant que possible. Il entreprend posément de distribuer quelques claques bien sèches sur mon derrière. Je me cabre à chaque coup mais reprend docilement la position exigée. La main correctrice distribue méthodiquement ses coups sur mes fesses qui rosissent et me chauffent. Je me mords les lèvres pour éviter de crier. Il lui m’explique alors :
« Si tu n’est pas docile se sera le fouet ou la trique. Suces moi maintenant ! »
Christian me fourre sa queue dans la bouche et butte au fond de ma gorge. Mais il ne veut pas jouir tout de suite car il a d’autre plans pour moi. Il me repousse et un filet de salive et de sécrétion séminale relit ma bouche à la queue de mon tourmenteur. Il m’attache alors par les poignets et me suspend. Ensuite, il va s’asseoir dans le fauteuil, m’observe me tortiller en dégustant un whisky. Puis il se saisit du fouet et frappe un premier coup sur mes fesses. La fine lanière s’enroule sur mes hanches. Elle laisse une strie rouge qu’il trouve du plus bel effet. Je pousse un cri de douleur et me tortille comme une diablesse au bout de ma corde.
Un autre cri déchire le silence. Cette fois, c’est le coup atteint mes seins. Le fouet est manié de main de Maître par Christian. Les marques sur mon corps atteste de la force des coups. Il prend tout son temps. Les coups s’abattent sur mon ventre, mes seins, mes cuisses, mes fesse et même ma chatte. Je crie et supplie mais rien n’y fait.
« Alors Michèle tu ne sera plus en retard maintenant ? ».
Je suis incapable de répondre. Là, il me prend en levrette et avant de jouir, il ressort de ma chatte pour se lâcher dans ma bouche en m’ordonnant :
« Avale grosse pute ! »
Après cette épisode extrême, il me cajole et nous prenons une douche où il me fait divinement jouir en me bouffant la chatte.
Je lui demande humblement :
« Pardon.Christian. Je ne serais plus en retard. Merci de m’avoir puni et maintenant de me faire jouir. »
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