N’y tenant plus, j’enfonçais mon sexe dans la chatte très mouillée de ma copine et je n’eus aucun mal à rentrer, presque d’un seul coup. Romain continuait de lui bourrer la bouche, ne manifestant aucun signe de jouissance. Tant mieux, elle n’aime pas le sperme dans la bouche.
Je l’entendais lui parler à voix basse, il lui disait que sa bouche était bonne à baiser, bien chaude, et qu’il appréciait beaucoup de se faire sucer.
Léa m’avait attrapé les fesses et elle savait que cela m’excite beaucoup, très excité et déjà au bord de la jouissance, je lui relevais les cuisses et plaçais les jambes sur mes épaules pour pouvoir varier un peu la sensation, mais après quelques vas et viens je ne pus me retenir davantage et explosais en de longs jets de sperme dans sa chatte, dans un long râle de satisfaction. Elle n’avait pas dû avoir le temps de sentir grand chose, mais elle adore quand je jouis en elle (quasi exclusivement).
Je me retirais et essuyais le sperme avec un mouchoir.
Voyant la place se libérer, Romain se dirigea vers ses habits et fouilla dans son short pour en extirper un chapelet de 3-4 capotes, visiblement il avait prévu le coup pour la soirée (avec une autre ou avec Léa d’ailleurs) !
Ca tombait bien car nous n’en avions pas, loin d’imaginer ce qui allait arriver ce soir et faisant l’amour sans protection depuis de nombreuses années (Léa prend la pilule).
J’avais débandé et je me suis un peu écarté pour laisser la place à Romain qui avait enfilé sa capote très rapidement, il ne me jeta même pas un regard et alla se positionner à l’entrée de la chatte de Léa, en lui relevant d’emblée les jambes, imitant la position de quelques minutes plus tôt. Sans ménagement il enfonça sa queue dans la chatte, elle fit un grand O avec sa bouche sans que ne sorte le moindre son. Je crois qu’il l’a dépucelée une deuxième fois ce soir là !
C’était magnifique, je m’étais placé à l’arrière de Romain et je voyais ses fesses musclées se contracter et sa bite aller et venir dans la chatte de ma copine dont les lèvres étaient distendues et venaient épouser le contour de sa grosse verge. Il avait de grosses couilles visiblement bien remplies qui venaient frapper le petit trou de Léa à chaque coup de rein, réalisant un petit claquement venant se mêler aux bruits humides et de succion de sa chatte.
Je ne résistais pas à prendre des photos de la scène pour la postérité, littéralement subjugué par la beauté de cette baise.
Je me décalais un peu sur le côté pour voir le visage de ma femme: elle avait les yeux fermés, le visage déformé par le plaisir et les bras au dessus de la tête qui s’agitaient anarchiquement. Romain appuya un peu plus sur les cuisses et il se retrouva quasiment allongé sur elle, la bouche à quelques centimètres de la sienne, continuant de la limer à un bon rythme. Léa émettait de petits gémissements à chaque coup un peu plus fort de son amant, ce qui était très excitant et assez inédit pour moi. En temps normal j’aurais joui en 2 minutes à ce rythme, mais il y allait franco depuis facilement 5 minutes.
Je bandais à nouveau dur, j’essayais de m’approcher en espérant me faire sucer comme Romain mais ne trouvais pas d’ouverture, Romain était trop proche de ma compagne pour que je puisse m’approcher de son visage. Je reculais et les laissais prendre du plaisir.
Après encore quelques minutes du même traitement, Romain se retira et positionna ma femme à quatre pattes. Cette position nous est difficile car ma femme est un peu plus grande que moi, nous ne la pratiquons que peu souvent.
Il se remit rapidement au chaud, et visiblement peu satisfait de la position, lui appuya sur le dos pour qu’elle se cambre davantage. Il plia un genou et repris de la besogner à grands coups de bite, ses couilles venant cette fois taper son clitoris. Il lui demanda plusieurs fois si elle aimait se faire baiser par un grosse bite et si elle était une bonne salope docile, ce à quoi elle répondait par un gémissement étouffé. Elle avait mis la tête dans le coussin, peut-être pour masquer un plaisir mal assumé vis à vis de moi, ou par pudeur. Et pour mieux cambrer.
Je m’approchais à nouveau espérant une gâterie de la part de ma conjointe, mais elle ne me vit pas, trop occupée à prendre son plaisir.
J’étais totalement éclipsé et ce plan à trois se transformait peu à peu pour moi en spectacle voyeuriste, ce qui était loin de me déplaire.
J’allais me rasseoir dans un fauteuil et me caressait doucement, ma bite était à nouveau très sensible, décidément la scène était intenable pour moi et je dus arrêter.
Le lit grinçait affreusement et je me mis à m’inquiéter de la réaction des voisins du dessous qui devaient dormir. Il était presque 1h du matin.
Soudain, il cracha en direction de ses fesses, loupa la raie et pris la salive avec un doigt pour venir tartiner son petit trou, tout en continuant de baiser Léa vigoureusement. Elle ne broncha pas et se laissa faire. Je le regardais tourner doucement le doigt et s’enfoncer un petit peu, puis faire de petits vas et viens. J’espérais secrètement qu’il n’allait pas essayer de l’enculer, car elle n’avait aucune expérience dans ce domaine, et sa bite était vraiment grosse.
Il n’en fit rien et continua de baiser Léa, en lui disant qu’elle était bonne et qu’il adorait lui remplir la chatte. Il lui dit aussi qu’il aurait aimé la remplir de sperme comme elle le méritait.
Tout d’un coup, alors que Romain la baisait de façon infernale depuis facilement 30 minutes, elle enfonça un peu plus la tête dans le coussin et je l’entendis étouffer un cri, son corps fut pris de tremblements, notamment les cuisses, ses bras s’agitaient dans tous les sens, et elle agrippait ce qu’elle pouvait, les draps, le coussin: elle était en train d’avoir son premier orgasme vaginal et ça semblait être très puissant, et a duré au moins 20 secondes.
Romain n’en supporta pas d’avantage car le vagin de Léa devait se contracter fortement sur sa bite, ses couilles se contractèrent plusieurs fois et remplirent la capote de gros jets de sperme, toujours à l’intérieur de Léa en enfonçant un peu plus son doigt dans son anus et sa bite sur laquelle on ne voyait même plus la capote tellement il était profond, ce qui eut pour l’effet de réactiver les secousses incontrôlées de ma femme et de lui arracher un nouveau cri de jouissance. La scène était tout bonnement incroyable et je me suis éjaculé sur les doigts quasiment sans me toucher.
Romain se dégagea et il y avait une quantité impressionnante de foutre dans son préservatif. Léa roula sur le côté, épuisée, avec semblait-il quelques larmes sur les joues.
Romain partit à la salle de bain et je m’approchais doucement de Léa en lui demandant si ça allait, elle me répondit un petit « oui » avec un sourire fatigué. Je la pris dans mes bras et l’embrassais fougueusement.
Romain se rhabilla discrètement et nous salua à distance, avant de sortir de l’appartement. Il avait choisi le bon timing pour nous laisser seuls.
Epuisés, nous nous sommes endormis tel quel sur le lit, blottis l’un contre l’autre.
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